Loneliness is ubiquitous in the life world of every human being. When the phenomenon is recognised and lived, it can be a positive experience propelling the experiencing person to growth and meaningful relations with others. However, the dread it elicits and the anxiety it engenders in a person may have as a result, a denial that leads to symptoms which can be pathological, such as severe anxiety or depression. Concomitant with this is an inauthentic or false way of being which leads to disconnectedness from others and alienation from the self. This exacerbates the feelings of loneliness. The experiencing person will do almost anything to avoid this as is often seen in man's frenzied daily activity and intellectualisation, denying the affective part of the self. These 'difficult to bear feelings' are often the reason for the experiencing person to seek psychotherapeutic help. The psychotherapeutic dialogue can assist the unfolding of the experience of loneliness and make that which is implicitly known to the patient more explicit. In this way loneliness and inauthentic living can be confronted and alleviated. Because loneliness is a lived phenomenon it cannot be studied through measurement. It can only be understood as it is experienced by the person. For this reason a qualitative, descriptive-dialogic case study research design was chosen for this study. Data for the study was obtained from one long-term psychotherapy patient who provided a rich source of information. Salient themes on the way in which the patient entered into dialogue with the therapist through various phases in the psychotherapeutic process, were extrapolated. These themes were discussed according to some of Winnicott's and Heidegger's concepts, representing the object relations and phenomenological paradigms, respectively. To facilitate the movement from Heidegger's fundamental ontology to an ontic-psychological discourse, relevant concepts from Buber and Binswanger were used. The problems engendered by the denial of loneliness and an inauthentic or false way of being is aptly illustrated in the case in question. Although the understanding and verbalisation of loneliness is painful, it also brings relief. The therapeutic alliance makes the phenomenon in question more accessible to the patient and therefore, makes it a positive experience rather than a ground for dread and anxiety. Loneliness must be confronted and lived. The alleviation of it is only possible through meaningful relationships with others. To have meaningful relationships, where separateness and mutuality are the essence, one must live in a true and authentic manner. / Thesis (D Phil (Psychotherapy))--University of Pretoria, 2007. / Psychology / unrestricted

Please read the abstract in the section 08summary, of this document / Dissertation (MA (Philosophy))--University of Pretoria, 2001. / Philosophy / unrestricted

No description available.

La presente tesis es un estudio de lo que Heidegger ha llamado “La constitución onto-teo-lógica de la metafísica” y del escrito del mismo nombre. “La constitución onto-teo-lógica de la metafísica” es el nombre de un breve escrito de Heidegger1 . Es el nombre también de una problemática que permite ingresar al territorio del llamado Heidegger tardío. Aquel de la historia del ser y del dios divino2 . Heidegger confiesa en el dialogo con el profesor japonés Tomio Tezuka, el origen teológico de la pregunta por el ser. “Sin esta procedencia teológica (theologische Herkunft3 ) no hubiera llegado nunca al camino del pensamiento.

El presente trabajo aborda los temas de la Verdad (ἀλήθεια) y Poesía (Dichtung) en “El Origen de la Obra de Arte” de Heidegger. Se trata de describir y explicar como la comprensión de la verdad en el sentido de des-ocultamiento (Unverborgenheit) fundamenta el planteamiento “estético” a partir de la verdad que acontece en el ser, en el denominado giro (Kehre) del pensamiento de Heidegger. Además la manera como se hace patente la apertura (Öffenlichkeit) del ser a través de la confrontación “dialéctica” de la Tierra (Erde) y del Mundo (Welt) a través del claro (Lichtung) de los seres presentes y de la apropiada comprensión del lenguaje como Poesía (Dichtung). Para esta descripciones tendremos como noción guía la verdad como des-ocultamiento (Unverborgenheit) y la relación de la noción de verdad desarrollada por Heidegger y su relación con los planteamientos iniciales de la fenomenología planteada por Edmund Husserl prestando atención a la: intuición categorial y la intencionalidad. Finalmente, describiremos a la noción de verdad como la noción guía que comprende el origen de la obra de arte como un “mecanismo” ocultador-desvelador.

No description available.

Québec Université Laval, Bibliothèque 2018

Dans notre thèse, nous avons cherché à savoir si Heidegger a raison d'associer la conception hégélienne du temps avec ce qu'il nomme le concept vulgaire du temps, concept qui serait différent de la compréhension du temps véritable. En premier lieu, nous avons précisé ce qu'est pour Heidegger le temps véritable afin de déterminer en quoi il est distinct du concept vulgaire du temps. Ainsi, nous avons été amenés à considérer le développement de la problématique du temps qui va de l'Être et le Temps (1927) jusqu'à « Temps et Être » (1962) en passant par les textes Kant et le problème de la métaphysique, « La parole d'Anaximandre » ainsi que « Ce qu'est et comment se détermine la Physis ». Cela fait, nous avons tenté une explication de la conception hégélienne du temps en parlant, d'une part, du temps organique, d'autre part, du temps historique. Pour ce dernier, notre explication a emprunté deux voies : celle du sens religieux et celle du sens séculier. Aussi, pour justifier cette double explication du temps historique, nous avons tenu compte de la manière dont Hegel conçoit le symbole et la métaphore. En comparant le sens séculier du temps historique chez Hegel avec ce que Heidegger nomme le temps véritable, nous avons constaté un paradoxe; à savoir qu'avec ces deux philosophes nous sommes en présence de deux conceptions du temps qui arrivent au même résultat: à la destruction du concept vulgaire du temps, et cela, alors que Heidegger range expressément la conception hégélienne du temps du côté du dit concept vulgaire!... Pour résoudre ce paradoxe, nous avons parcouru et commenté l'interprétation que Heidegger fait de Hegel dans les textes « Hegel et son concept de l'expérience » et « Hegel et les Grecs ». Ainsi, nous avons montré que le premier évitait continuellement d'expliquer le vocabulaire du second en se rapportant à la signification étymologique de mots, ce qui a pour effet de détourner le texte hégélien de son propre sens, Hegel n'accordant pas un privilège au « sens premier » des mots. Cela bien établi, nous croyons avoir su rendre évident que Heidegger mésinterprétait Hegel, d'où le paradoxe qui règne entre eux sur la question du temps. Pour terminer, nous avons posé ce que nous nommons la question critique de notre thèse et que nous formulons ainsi: qu'en est-il de la mémoire productrice désignés dans le développement de la problématique du temps par Heidegger?...

No description available.

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.