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L'édition musicale à Bruxelles au temps de Léopold Ier, 1831-1865 / Edition musicale à Bruxelles sous le règne de Léopold Ier, 1831-1865

Thieffry, Sandrine 20 May 2011 (has links)
Cette thèse retrace l'histoire de l'édition musicale, depuis la création artistique jusqu'à sa consommation, en passant par toutes les étapes de sa confection et de sa distribution. Une époque :la première moitié du XIXe siècle. Un lieu :Bruxelles. Des acteurs, les éditeurs eux-mêmes, mais aussi l’ensemble de leurs collaborateurs, à commencer par les compositeurs, mais aussi les graveurs et lithographes, les imprimeurs, les commissionnaires et autres marchands de musique qui ont participé à ce commerce spécifique. Un support physique enfin :la partition imprimée devenue un nouveau produit commercialisable et consommable. <p>Seuls les éditeurs de musique les plus importants de cette période ont été envisagés ici. Ils sont au nombre sept dont un domine largement les six autres. Il s’agit de la maison Schott frères. Tous ces éditeurs ont été traités avec le même soin et de la même manière, autour de trois axes de recherche :la production, la diffusion et la consommation de la musique. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'action des libéraux pour un enseignement public et laïque: le cas de Mons (ca. 1860-1914)

Vandervennet, Martine January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les transformations artistiques en Belgique entre 1773 et 1835: institutions, hommes et oeuvres

Loir, Christophe January 2001 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Un aspect de la politique de travaux publics à Bruxelles au XIXe siècle: l'exécution des travaux d'assainissement de la Senne par des concessionnaires anglais, 1865-1871

Leblicq, Yvon January 1979 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le temporel des cultes dans la Belgique du XIXème siècle: législation, règlementation, jurisprudence et pratiques

Sagesser, Caroline 09 December 2013 (has links)
Le régime belge des cultes est un régime hybride, qui établit l'indépendance des cultes tout en maintenant un financement public. La législation relative à la gestion du temporel des cultes, héritée du régime concordataire napoléonien, devra s'adapter au nouveau régime constitutionnel né de l'affirmation de la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Dans un premier temps, elle sera modifiée dans un sens favorable à l'Eglise catholique, avant de se trouver au coeur de la discorde entre catholiques et libéraux. Elle ne sera cependant jamais revue en profondeur, la Belgique ne connaissant jamais de loi de séparation comparable à la loi de 1905 en France.<p>Aujourd'hui encore, l'organisation du financement public des cultes repose sur les bases établies au XIXème siècle. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Affirmation du sentiment national belge au travers de la représentation du paysage, 1780-1850

Favry, Amélie 21 March 2005 (has links)
Entre 1780 et 1850, les Belges développent une image symbolique de leur environnement physique. Cette image, conjuguée à une action de transformation du terrain, participe à la structuration de l’environnement belge en un territoire national. Elle témoigne d’une grande stabilité durant l’époque considérée. Dans cette optique symbolique, l’environnement belge incarne les caractères de la communauté nationale, il exprime non seulement le long passé partagé par le sol et les hommes, les interactions séculaires qui les lient, mais aussi les aspirations nourries par les Belges à l’égard de l’avenir.<p>Les premières images mentales du territoire national développées dans le chef des Belges consistent en lieux génériques (les expressions en italiques sont empruntées à Bernard Debarbieux). Définis par le discours, ces lieux génériques sont des environnements physiques dont la physionomie résulte des donnés naturels et de leur transformation par l’homme. La physionomie de ces lieux est donc dominée par l’agriculture, l’industrie et l’habitat humain. Ces configurations génériques ne recouvrent en réalité qu’une partie du territoire national. Leur élection en tant que résumé idéal du territoire belge, reflète les aspirations de la communauté.<p>La qualité esthétique paysagère des lieux génériques du territoire belge n’apparaît pas cependant avec évidence aux contemporains. Un écart sépare le discours et la représentation picturale. Si le premier reconnaît souvent une qualité esthétique aux lieux génériques, qui deviennent alors des paysages, la représentation iconographique se montre plus réticente à leur égard.<p>Les Belges de l’époque développent une seconde facette symbolique de leur territoire. Ils soulignent l’omniprésence des souvenirs historiques nationaux dans leur environnement. La Belgique leur apparaît telle un ensemble de lieux de condensation. Le discours contemporain et les œuvres des peintres, lithographes ou graveurs, témoignant d’une cohésion remarquable, illustrent abondamment les lieux de condensation belges. <p>Les Belges cherchent à diffuser ces images mentales parmi leurs compatriotes. Ce projet collectif répond à une volonté de faire connaître et adopter ces paysages symboliques par l’ensemble des membres de la nation. Cette connaissance passe pour le socle sur lequel peuvent se développer les sentiments d’attachement à la patrie et d’identification à la nation. Le discours et l’image sont mobilisés à cette fin.<p>Ces préoccupations interviennent dans le travail des peintres de paysages. Toutefois, le choix d’un site par un paysagiste belge représentant l’environnement national, est d’abord guidé par des critères internes à la pratique picturale. Ses critères de choix rencontrent en effet ceux qu’émet le discours de l’époque définissant les normes de qualité esthétique d’un tableau. L’artiste tend en outre à satisfaire les attentes du public, lequel cherche à combler son envie d’évasion hors de la cité, mais aussi à se rassurer quant à l’harmonie et à la viabilité de la société contemporaine. Les peintres (et donc leur public) manifestent pourtant une faveur particulière envers les sites belges. Ce goût dénote une identification et un attachement au pays habité par la nation historique, telle que la décrit le discours contemporain. Même s’il vient après la satisfaction des critères esthétiques, le critère de l’identification à un site belge intervient de façon notable dans l’attrait exercé par un paysage peint. <p>Il apparaît ainsi que les lieux génériques (agricoles et industriels) passent difficilement le premier crible, esthétique, tandis que les lieux de condensation satisfont tant les attentes esthétiques que les attentes symboliques – qualité qui assure leur succès en tant que motifs picturaux.<p>Les paysagistes élaborent en outre une image paysagère générique de la Belgique qui est une adaptation, conforme aux critères d’appréciation en vigueur dans le champ de la représentation picturale, du paysage générique agricole et industriel défini par le discours contemporain. Leurs œuvres dépeignent en effet la Belgique comme un territoire réalisant les canons pittoresques, comme un environnement verdoyant, boisé, vallonné, peuplé, traversé de rivières, semé d’habitations, de moulins ou autres fabriques anciennes. Dans les années 1840, les paysagistes développent également une nouvelle facette dans ce paysage générique pictural, en représentant les étendues arides, stériles et très peu peuplées, présentes sur le territoire. Cette apparition inaugure une période nouvelle, durant laquelle l’image picturale de la Belgique se dédouble, embrassant, d’une part, les sites prisés durant les premières décennies du siècle et, de l’autre, les plaines de bruyères désertes peu à peu investies d’une valeur identitaire et élevées au rang de configuration générique nationale. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'Université libre de Bruxelles et la religion: spiritualisme et matérialisme au XIXème siècle

Daled, Pierre-Frédéric January 1996 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Des faubourgs de Bruxelles aux boulevards de Verviers: conditions et jalons itinéraires d'un voyer - Victor Besme - au XIXe siècle

d'Huart, Thierry 11 June 2014 (has links)
Faubourgs de Bruxelles. Boulevards de Verviers. Quelle(s) réalité(s) ?Quelle(s) relation(s) ?<p>Pour les deux villes industrielles, le XIXe siècle a notamment été celui de l’expansion urbaine, au-delà des limites séculaires. Ce développement s’est matérialisé par des nouvelles voies de communication et des nouvelles bâtisses, dont les autorités publiques ont vu la nécessité de planifier l’organisation. Elles ont alors mis en place les moyens législatifs, humains et financiers pour maîtriser cette extension.<p>En partant de la fonction administrative appelée « inspecteur voyer des faubourgs de Bruxelles », une première partie de l’étude montre qu’à Bruxelles, capitale de la jeune Belgique, le service, le territoire, la mission de cet agent public, constituent une réelle particularité dans l’appareil administratif de la Province de Brabant. <p>En s’intéressant à l’évolution de cette fonction depuis son institution jusqu’à sa suppression, on découvre, non seulement un renforcement de cette originalité, mais on trouve aussi les rôle(s) et influence(s) qu’ont pu avoir les titulaires successifs. Parmi ceux-ci, il en est un qui a œuvré sur une longue période, de 1858 à 1904 :c’est Victor Besme. Il est bien connu des urbanistes comme auteur d’un plan d’ensemble qui a structuré le tissu urbain de la première couronne bruxelloise. Il est moins connu comme « électron libre » du « système voyer » qui s’est installé et confirmé dans la seconde moitié du XIXe siècle. Il est quasi inconnu comme ayant contribué à l’agrandissement de Verviers, à son « âge d’or ».<p>La notoriété acquise par l’inspecteur Besme à Bruxelles a conduit les autorités verviétoises à faire appel à ses services pour débloquer une situation devenue inextricable dans la cité lainière. En peu de temps, son analyse et le projet qu’il dépose font taire les dissensions et ouvrent la voie à la réalisation des rues d’un premier quartier, celui de l’Immobilière. Les relations qu’il noue à Verviers, la connaissance qu’il a des arcanes administratifs belges, permettent à Besme de déployer ses compétences également dans d’autres quartiers (Hanlet-Peltzer, Ile Adam) et de porter plusieurs casquettes, le plaçant parfois en équilibre entre la défense de l’intérêt général et celle de l’intérêt particulier, si pas de son intérêt personnel. C’est ainsi que le dossier des tramways verviétois fait en quelque sorte la synthèse de ces multiples postures.<p>Au final, on aura découvert deux villes différentes mais néanmoins comparables et même à rapprocher à certains égards, notamment pour ce qui est des préoccupations publiques de l’époque (assainissement, communication, extension). En examinant plus attentivement les éléments factuels, on aura appris à mieux connaître un homme multi-facettes, un « célèbre inconnu », dont l’itinéraire dans ces deux villes nous instruit sur la complexité qui se cache derrière des raccourcis. On aura aussi confirmé combien les mises en contexte, les liens et enchaînements, combien les particularités et les influences sont importants à étudier en urbanisme (et en architecture) car ils révèlent non seulement les lieux et les faits, mais font apparaître les systèmes, les structures et donnent un éclairage aux hommes qui les établissent, les occupent et les manœuvrent. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / Une publication de la seconde partie de la thèse a été faite en 2016 par le Comité Scientifique d'Histoire de Verviers sous la référence suivante: D’HUART Th. Victor Besme et les extensions de Verviers sous Léopold II :genèse d’un patrimoine urbain, Comité scientifique d’histoire de Verviers (CSHV), Verviers, Mars 2016, 444p. / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Fascisme et antifascisme dans l'immigration italienne en Belgique, 1922-1940

Morelli, Anne January 1984 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Fermer les mines en construisant l'Europe: une histoire sociale de l'intégration européenne

Verschueren, Nicolas 21 December 2010 (has links)
Cette recherche a pour ambition de contribuer aux études sur l’histoire sociale de la construction européenne. En prenant pour point d’appui le cas de l’industrie charbonnière, il a été possible de mettre en évidence une tentative de préservation et de prolongement des politiques sociales d’après-guerre à l’intérieur de la Communauté. Les débats sur le logement ouvrier, les discussions paritaires et la tentative d’instauration d’un statut européen du mineur reflètent cette continuité entre les niveaux nationaux et européens. L’échec de politiques sociales d’envergure sonnait le glas d’un élan initié par quelques syndicalistes et militants européens pour un approfondissement de l’Europe sociale dont l’expression commençait à prendre consistance. La crise charbonnière de 1958 allait transformer les politiques de la Haute Autorité où la réponse aux crises régionales prenait une place majeure. En ce sens, la reconversion du Borinage était le premier test social d’envergure pour le maintien du consensus politique d’après-guerre. Malgré les mesures nationales et européennes pour la relance économique du bassin borain, aucune industrie n’est parvenue à remplacer les fosses tant du point de vue économique qu’identitaire. Les conflits sociaux apparus dans les années 1970 ont alors mis en lumière les transformations sociales et culturelles du Borinage en reconversion. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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