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Forging urban culture: modernity and corporeal experiences in Montreal and Brussels, 1880-1914 / Forger la culture urbaine: modernité et expériences corporelles à Montréal et Bruxelles, 1880-1914

Kenny, Nicolas 20 June 2008 (has links)
Anglais:<p>Through a comparative examination of Montreal and Brussels, this thesis considers the way city dwellers shaped the social and cultural significance of urban space in terms of sensorial experiences and bodily practices. The analysis is based primarily on qualitative sources relating to urban life and to the relationship with the city environment during the period 1880-1914, a time when cities underwent intense transformations associated with modernity and industrialisation. The discourses and representations examined in this study were produced by a wide range of urban actors, including elected officials and municipal bureaucrats, industrialists, urban reformers, factory and housing inspectors, workers, doctors, hygienists, writers, artists and ordinary citizens.<p><p>This was a period in which the city was increasingly conceptualised as a total, organic object. Consequently, the thesis first examines representations, both critical and celebratory, of these cities in their entirety, showing how the discourse about urban space was constructed through experiences with, and perceptions of, its materiality. The subsequent chapters examine, in turn, spaces of industrial production, homes and the streets. In each of these spaces, representations of these changing environments were produced in marked reference to the body and the senses. In a time marked by the rise of scientific and rational thought, the sources consulted demonstrate the centrality of personal and subjective experiences in the construction of understandings of the city. Analysing these specific milieus also affords the opportunity to consider the cultural significance of the body, as well as its place in the social tensions that characterised the period.<p><p>The comparative approach through which these cities are analysed illuminates the development of similar processes in analogous, yet discrete, contexts. In this way, certain specificities of Brussels and Montreal, as well the commonalities they shared, are brought to light. The principal objective of this bipartite perspective, however, is to demonstrate, in reference to two local examples, how urban dwellers interiorised vast processes of global transformation by means of their bodies, the spaces through which they moved on a daily basis, as well as their immediate socio-cultural context.<p><p>*********<p><p>Français:<p>Se penchant sur les cas de Montréal et de Bruxelles en comparaison, cette thèse examine la façon dont, à travers la perception sensorielle et les pratiques corporelles des citadins, la signification sociale et culturelle de l’espace urbain se construit. L’analyse se base principalement sur des sources discursives témoignant de la vie urbaine et du rapport à l’espace d’une multitude d’acteurs durant la période 1880-1914, traversée par d’intenses transformations liées à la modernité et à l’industrialisation. Les discours émanant des élus et des fonctionnaires municipaux, des industriels, des réformateurs urbains, des inspecteurs d’usines et de logements, des ouvriers, des médecins, des hygiénistes, des écrivains, des artistes et de simples citoyens ont été consultés. <p><p>S’agissant d’une époque où la ville est de plus en plus conceptualisée dans sa totalité, la thèse aborde, dans un premier temps, les discours, à la fois critiques et élogieux, concernant la ville industrielle dans son ensemble, en montrant comment ceux-ci sont construits par rapport à l’expérience et aux perceptions de la matérialité urbaine. Puis, dans les chapitres subséquents, les lieux de production industrielle, le logement et les rues sont examinés successivement. Dans chacun de ces types d’espace, les discours faisant état de l’intensification des transformations à l’environnement se déclinent, de façon prononcée, en référence au corps et aux sens. Ils témoignent de la place prépondérante des expériences personnelles et subjectives dans la construction du rapport à l’espace urbain, et ce à une époque marquée par la montée de la pensée scientifique et rationnelle. L’analyse de ces milieux permet aussi de mettre en relief la façon dont se construit la signification culturelle du corps, ainsi que la place de celui-ci dans l’évolution des tensions sociales caractéristiques de l’époque. <p><p>À travers une approche comparative, l’étude de ces deux villes permet d’examiner l’évolution de processus similaires dans deux contextes analogues, mais distincts. Ainsi est-il possible de déceler certaines spécificités de Bruxelles et de Montréal, de même que des traits communs aux deux villes. Cependant, l’apport principal de cette perspective croisée est de montrer, à la lumière de deux exemples locaux, la manière dont les citadins intériorisent de vastes processus globaux de transformation par le biais de leur corps, des espaces qu’ils fréquentent quotidiennement, et de leur contexte socioculturel immédiat. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'édition et la diffusion de la musique à Bruxelles au XVIIIe siècle

Cornaz, Marie January 1996 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Immigration et intégration des juifs en Belgique (1830-1914)

Schreiber, Jean-Philippe January 1993 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les Phalèse: éditeurs et imprimeurs de musique à Louvain (1545-1578)

Vanhulst, Henri January 1984 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Des arts décoratifs aux arts industriels: contribution à la genèse de l'Art Nouveau en Belgique, 1830-1893

Leblanc, Claire 13 May 2005 (has links)
Des arts décoratifs aux arts industriels. Contribution à la genèse de l’Art Nouveau en Belgique. (1830-1893)<p><p>Thèse réalisée sous la direction de M. Michel Draguet et présentée en vue de l’obtention du titre de Docteur en Histoire de l’Art.<p><p>Bruxelles, janvier 2005.<p><p><p>Dès la fin du XVIIIe puis tout au long du XIXe siècle, le secteur décoratif connaît une mutation profonde sous l’impulsion de la Révolution industrielle. La production décorative, jusqu’alors issue d’un artisanat de longue tradition, se développe désormais également dans le registre industriel (production et diffusion à grande échelle). Cette nouvelle situation est la source d’un renouvellement important quant à la nature des disciplines décoratives, aux missions qui leur sont assignées ainsi qu’à l’organisation générale du secteur. <p>L’étude présentée sous le titre susmentionné vise à observer l’impact de ce bouleversement sur le secteur industriel belge durant le XIXe siècle, depuis la fondation du pays en 1830 jusqu’au moment d’éclosion de l’Art Nouveau en 1893, amorçant une nouvelle phase d’évolution du secteur.<p>Notre étude vise dès lors à établir une nouvelle lecture de l’évolution décorative belge de cette période. Au-delà des manifestations stylistiques, majoritairement passéistes tout au long du siècle, le secteur connaît une mutation profonde s’opérant autour de nombreuses interrogations quant à ses nouvelles orientations et ses nouveaux objectifs. La question de l’équilibre délicat entre la nouvelle nature industrielle et le caractère artistique de la production décorative en constitue le point central. Nous décelons deux phases clefs dans l’évolution de cette problématique. Dans un premier temps (durant la première moitié du XIXe siècle) deux catégories distinctes – l’une nouvelle, l’autre ancienne – cohabitent désormais au sein du seul secteur décoratif :d’une part un « art industriel » moderne aux missions sociales, d’autre part un « art décoratif » traditionnel et généralement luxueux. Si les objets produits dans les deux registres répondent communément à une destination utilitaire, leur rapport au « Beau » s’oppose. Dans un deuxième temps (durant la seconde moitié du XIXe siècle) – et suite à l’Exposition universelle de Londres de 1851 qui mettra à jour les limites de la situation développée durant la première moitié du siècle –, la majorité des acteurs du secteur ambitionneront la dissolution de cette dichotomie par la fusion de ces deux registres. L’alliance de l’art et de l’industrie constituera effectivement l’objectif principal d’une large partie du secteur décoratif belge de l’époque. Deux chantiers principaux viseront à l’accomplissement de cet objectif :d’une part, la réforme de l’enseignement décoratif et d’autre part, la création d’un musée d’arts décoratifs et industriels.<p>Ce cheminement révélera, simultanément, la nécessité d’une réforme stylistique. Celle-ci est alors conçue comme un aboutissement des deux principaux chantiers…….<p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Portrait collectif de grands banquiers belges, Bruxelles - Liège - Anvers, 1830-1935: contribution à une histoire des élites / Collective portrait of Belgian bankers, Brussels - Liège - Antwerp, 1830-1935: contribution to a history of elite

Tilman, Samuel 13 May 2004 (has links)
Portrait collectif de grands banquiers belges Bruxelles-Liège-Anvers (1830-1935). Contribution à une histoire des élites (2 volumes)<p><p>Cette recherche, divisée en trois parties, est une première tentative visant à donner une vision prosopographique assez complète d’un groupe patronal dans la Belgique indépendante d’après 1830. Après avoir défini les principales caractéristiques sélectives de l’échantillon de 382 banquiers, la première partie de la thèse tente de synthétiser de manière principalement quantitative les traits distinctifs de l’élite à l’étude. La seconde partie, alternant approches quantitative et qualitative, propose des pistes de réflexion relatives aux réseaux mis à profit par les banquiers belges dans la constitution de leur tissu relationnel. La dernière partie essaye, en quelques pages synthétiques, de replacer les apports de cette recherche prosopographique dans le contexte économique de l’époque. Elle tente ainsi de jeter des ponts entre l’histoire économique et sociale, toutes deux utiles pour bien cerner les particularités du groupe de banquiers étudiés.<p><p><p><p>Collective portrait of Belgian bankers Brussels-Liège-Antwerp (1830-1935).<p>Contribution to a history of élite (2 volumes).<p><p>This research, which is divided in three parts, aims to give for the first time a quite exhaustive “prosopographic” vision of a group of entrepreneurs in post 1830 independent Belgium. The first part is twofold: it defines the principal criteria of selection of the 382 strong sample of bankers, then aims to synthesize from a quantitative point of view the distinctive features of the elite under study. The second part, which relies on both quantitative and qualitative approaches, offers fresh thinking tracks as to the networks set up by Belgian bankers and the benefits thereof from a relational perspective. The final part aims, quite concisely, to set the contributions of this research back in their original economic context, thus bridging the gap between economic and social history, both equally useful to outline the features of the bankers under consideration. <p><p> <p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Comédiens itinérants à Bruxelles au XVIIIe siècle

Van Aelbrouck, Jean-Philippe January 2000 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le Ventre des Belges: miracle économique et restauration des forces de travail :origines et développement de la politique alimentaire du second immédiat après-guerre, 1914-1948 / Belly of Belgium: economic miracle and restoration of labour force :origin and development of second immediate postwar food policy, 1914-1948

Bernardo Y Garcia, Luis Angel 01 July 2015 (has links)
Au cours du second immédiat après-guerre, la Belgique continue être soumise à une « économie de disette » qui s’est épanouie sous la seconde occupation. Afin d’assurer le ravitaillement alimentaire de la population et le maintien d’une activité économique, la puissance publique est contrainte d’organiser l’économie nationale traditionnellement acquise à la liberté du marché. Le temps de la pénurie alimentaire mondiale, la politique alimentaire va diriger l’approvisionnement général du pays par la stabilisation des prix et salaires, les importations, la mobilisation du secteur alimentaire, la distribution de l’alimentation, le rationnement et enfin la répression du « marché noir ». En dépit de la cherté des approvisionnements extérieurs et la régulation de la pénurie au niveau mondial, les gouvernements belges qui se succèdent depuis la Libération s’attachent à l’amélioration du niveau de vie d’une population affaiblie par l’occupation. Cette restauration des forces de travail est un corollaire indispensable à la reprise de l’activité économique et à la reconstruction du pays mais aussi au maintien de l’ordre établi et à la restauration politique. Cet objectif alimentaire a été assigné en exil et dans Bruxelles occupée par les élites dirigeantes – qu’elles soient politiques, économiques ou syndicales – dans une rare unanimité au même titre que la défense d’un « franc fort ». Le Parti communiste, qui participe au pouvoir dès le premier Gouvernement d’Union nationale de la Libération, va aussi adhérer à ces deux objectifs et se voit attribuer le lourd et ingrat portefeuille du Ravitaillement pendant la plus grande partie de son existence qui s’étale de septembre 1944 à décembre 1948. <p><p>Le choix assumé par une Belgique solvable d’une « politique d’abondance » aux dépens d’une planification des investissements se démarque des choix opérés par la France, les Pays-Bas ou la Grande-Bretagne impécunieux mais obsédés par la modernisation de leurs appareils de production respectifs. L’objectif belge d’apporter à la population – à coup de subventions massives – l’indispensable puis l’utile mais aussi le superflu va se maintenir jusqu’à la libération progressive des transactions et des prix et participe à la restauration rapide de l’économie belge transformatrice et exportatrice. Dès la fin de la guerre en Europe, un apparent « miracle économique » se produit en Belgique avec la reprise rapide des exportations à destination des pays limitrophes. Le processus de restauration économique a été initié dès les premières semaines de la Libération grâce aux prestations massives aux armées alliées et le « remboursement » inespéré d’une partie conséquente de celles-ci après-guerre. Dès le début de l’année 1947, la production industrielle belge rattrape le niveau d’avant-guerre alors que les productions charbonnière et agricole restent à la traîne. La politique alimentaire du second immédiat après-guerre place le consommateur au centre de l’économie agricole et multiple les contraintes du côté de l’offre en matière de transactions et de prix. Encombrée par l’héritage de l’occupation – en dépit d’un droit d’inventaire – elle rencontrera une forte opposition de la part du secteur alimentaire et principalement le monde agricole et le petit commerce. Ceux-ci déploieront des stratégies défensives à la fois politiques et illégales. Ces dernières s’expriment essentiellement depuis l’occupation par le détournement d’une part conséquente des maigres disponibilités alimentaires au profit de l’ennemi et d’une minorité au fort pouvoir d’achat. Quant au monde ouvrier organisé qui constitue aux yeux de la puissance publique le principal acteur du côté de la demande alimentaire, il va contester dès la Libération la politique d’austérité et l’inéquité des sacrifices demandés au nom de la restauration du pays. En dépit d’une pacification convenue entre les élites patronales et syndicales en échange de réformes sociales et la participation loyale des communistes au pouvoir, la seconde sortie de guerre sera marquée par de nombreuses grèves « sauvages » débordant le cadre syndical réformiste et communiste.<p><p>À vrai dire, la politique alimentaire mise en œuvre au cours de la seconde libération et du second immédiat après-guerre – ainsi que les réponses apportées par l’offre et la demande – ne peuvent être étudiées et comprises qu’en convoquant les crises alimentaires précédentes depuis la première occupation que la Belgique fut la seule à connaître en Europe occidentale sur la plus grand partie de son territoire, à l’exception du petit voisin grand-ducal. Tant la puissance publique, les élites dirigeantes que le monde agricole ou encore le mouvement ouvrier sauront tirer les enseignements des expériences passées. Enfin, la production agricole de la Belgique structurellement dépendante des importations massives de céréales et autres aliments du bétail s’inscrit depuis la fin du XIXème siècle dans une économie alimentaire mondialisée. Les crises alimentaires des temps de (sortie de guerre) traversées par la petite économie transformatrice et exportatrice sont avant tout des crises des approvisionnements extérieurs marquées par leur diminution voire leur quasi disparition. Au cours du second immédiat après-guerre, la politique alimentaire de la Belgique – comme celle des autres grands pays importateurs français, britannique ou néerlandais – sera toujours aussi tributaire des approvisionnements extérieurs régulés depuis la guerre par les Grands Alliés anglo-saxons. Ceux-ci passeront le relais en 1946 aux organismes internationaux gravitant autour des Nations Unies jusqu’aux abondantes récoltes mondiales de l’An 1948. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les réseaux unissant francs-maçons et laïques belges et italiens de la fin du XIXe siècle jusqu'à la Deuxième guerre mondiale: prémisses et réalisation de l'accueil en Belgique des fuorusciti italiens / Free-mason and free-thinker networks connecting the Belgians and the Italians from the end of 19th century till the Second World War: premises and realisation of the arrival of the Italian political emigrants in Belgium.

Casano, Nicoletta 11 March 2013 (has links)
Ce travail vise à approfondir certains aspects de l’expérience des francs-maçons et laïques italiens qui ont été exilés en Belgique, suite à la persécution opérée contre eux par la dictature de Mussolini. <p>En effet, les premières associations qui ont été poursuivies légalement par le dictateur italien ont été les associations maçonniques et celles de la Libre Pensée. Jusqu’au il y a quelques années, l’historiographie ne pouvait pas analyser davantage les conséquences de cet exil, faute d’accès aux archives de ces associations. <p>À présent, il nous a été possible d’étudier cette documentation qui nous a permis de démontrer que certains francs-maçons et libres-penseurs italiens, qui ont pris la décision de quitter leur pays afin suite aux persécutions de la dictature, avaient été des exilés politiques et avaient trouvé asile dans certains pays européens grâce aux réseaux maçonniques et laïques qui y existaient déjà depuis la fin du XIXe siècle. La Belgique a été l’un de ces pays d’accueil, mais en outre elle avait été le pays où ces réseaux étaient nés et s’étaient le plus efficacement développés. <p>C’est cette généalogie des réseaux maçonniques et laïques qui nous a permis d’expliquer pour quelles raisons, même si la Belgique n’a pas été le principal pays d’accueil des exilés maçons et laïques italiens, un certain nombre d’entre eux y sont passés ou s’y sont installés avec l’aide de la Franc-maçonnerie et de la Libre pensée belges, pendant leur exil./<p><p><p>The aim of my research project is to investigate further into the experience of the Italian free-masons and free-thinkers who had to go on exile as a consequence of their persecution by the Mussolini dictatorship. As a matter of fact, the first associations to be persecuted by the Italian dictator were the free-mason and free-thinkers associations, but till few years ago, the contemporary historiography hadn’t really focused on the consequences of these actions because of the limited access to the Archives of these associations.<p>It was only at the beginning of this century that these documents were found and have been left at the disposal of the researchers.<p>The study of part of these documents allows me to demonstrate that these free-masons and free-thinkers who had taken the decision to leave their country, in order not to accept the dictatorship, were political emigrants and<p>that they found asylum in some European countries thanks to the free-mason and free-thinker networks that they had established since the end of 19th century. Belgium was one of these countries, but more importantly the one<p>where the relation networks concerned were born and developed.<p>This fact allows us to explain the reason why a lot of Italian free-masons and free-thinkers passed in Belgium or some of them lived. Even if Belgium wasn't the country to which the most of these people exiled. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Origine et signification idéologiques de la scission communiste dans le parti ouvrier belge, 1921: étude dans un contexte international

Liebman, Marcel 01 January 1963 (has links)
Origine et signification idéologiques de la scission communiste dans le parti ouvrier belge (1921) / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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