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La vitalité ethnolinguistique de la communauté algérienne de Montréal de langue maternelle arabe

Lakhdari, Nadia January 2008 (has links) (PDF)
La théorie de la vitalité ethnolinguistique permet de comprendre et prédire le comportement linguistique d'une communauté ethnolinguistique en situation de contact: plus un groupe a de la vitalité ethnolinguistique, plus il a des chances de survivre et de se distinguer des autres groupes en maintenant davantage sa langue maternelle, et moins un groupe a de la vitalité ethnolinguistique, plus sa langue maternelle risque de disparaître et moins il a de chance de se distinguer des autres groupes. En se basant sur cette théorie, notre étude se propose de décrire la situation sociolinguistique de la communauté algérienne de langue maternelle arabe de Montréal ainsi que de mesurer sa vitalité ethnolinguistique. Nous avons un double objectif: d'une part de dresser un portrait de la vitalité « objective » de la communauté algérienne de langue maternelle arabe de Montréal, en décrivant 1) son statut, 2) sa démographie et 3) le support et le contrôle institutionnels qu'elle a réellement et d'autre part de sonder (par questionnaire) les perceptions et les attitudes des membres de la communauté sur leur propre vitalité ethnolinguistique, c'est-à-dire la vitalité « subjective », et ainsi de déterminer les chances de survie de la langue arabe au sein de cette communauté minoritaire. Les résultats montrent que la vitalité ethnolinguistique de la communauté algérienne de langue maternelle arabe est relativement faible quant au maintien de sa langue maternelle. Désormais, le français est la langue d'usage, adoptée par la majorité, vue comme une langue d'élite et symbole de la réussite. Par contre, nous observons une vitalité ethnolinguistique forte dans le domaine religieux, qui est dû au contexte social: les musulmans sont marqués par leurs coutumes et traditions religieuses auxquelles ils sont très attachés et par conséquence, on observe le maintien de la langue arabe chez la communauté algérienne, du moins comme langue du culte. Cependant, nous pouvons dire que la communauté algérienne de langue maternelle arabe est une minorité ethnolinguistique avec une faible vitalité ethnolinguistique, communauté qui aura tendance à s'assimiler linguistiquement et progressivement au sein du groupe majoritaire francophone, mais qui restera toujours une entité religieuse culturelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Vitalité ethnolinguistique, Communauté algérienne de langue arabe, Maintien de la langue maternelle, Minorité ethnolinguistique, Assimilation linguistique.
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L'islam et la laïcité dans la société québécoise : le cas des immigrants algériens à Montréal

Mouhoub, Djamel 12 1900 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur les modalités d'adaptation des immigrants algériens à Montréal en ce qui concerne leurs valeurs issues des références à l'islam et les principes laïques québécois. Afin d'identifier les tensions et les adaptations vécues dans leur processus d'intégration, nous visons à clarifier les différentes réactions des Algériens qui se déclarent attachés à l'islam en ce qui a trait au rôle de la religion dans l'affirmation de leur identité et aux règles de vie associées à l'islam eu égard au contexte laïque. Nous avons abordé cette problématique au cœur de la controverse dans le débat sur les pratiques des accommodements raisonnables, où l'islam en tant que vecteur identitaire, est devenu un thème d'actualité au Québec mais aussi ailleurs dans le monde. Au Québec, ce phénomène s'observe particulièrement dans les débats entourant la manifestation publique et la visibilité de l'appartenance religieuse à travers certaines des pratiques ou des habitudes vestimentaires. Pour atteindre cet objectif, nous avons opté pour une approche qualitative appuyée par une analyse de contenu des perceptions d'une vingtaine d'Algériens vivant à Montréal sur le rapport perçu par ceux-ci entre leur tradition religieuse et le modèle laïque québécois. Nous avons analysé les discours des répondants, ayant tous une scolarité universitaire et qui sont au Québec depuis moins de 10 ans. Nous avons pu cerner à travers nos résultats une tendance à interpréter les normes islamiques de manière à s'ajuster au contexte laïque et diverses stratégies adaptatives entre l'islam et la laïcité. Aucun répondant ne conçoit comme incompatibles les normes islamiques et les normes laïques, mais le contexte laïque est censé permettre la liberté d'expression de certains préceptes religieux. Ces données amènent à formuler l'hypothèse que les musulmans, en terre d'immigration, retraduisent, plus ou moins consciemment, les normes islamiques afin de conserver une identité musulmane tout en voulant s'intégrer comme citoyen à part entière. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Laïcité, islam, valeurs religieuses, valeurs séculières, intégration, adaptation, coexistence, discrimination.
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La construction de l'identité culturelle au cours de la traversée des cultures algérienne et française dans La goutte d'or de Michel Tournier

Allaire, Émilie 01 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, nous interrogeons le malaise que vivent certains immigrants en France : celui de ne pas réussir à s'intégrer à la culture en place, en dépit de nombreux efforts. Cette situation est dépeinte dans La goutte d'or de Michel Tournier, paru chez Gallimard en 1985. Le récit met en scène un jeune berger nommé Idriss, vivant dans une oasis du Sahara, qui quitte sa terre natale pour aller vivre à Paris. Le long de son voyage, Idriss s'est imprégné des différentes cultures qu'il a rencontrées. Dans le premier chapitre, nous introduisons les théories qui nous servent à analyser l'identité culturelle du personnage. La définition de la culture faite par Youri Lotman, sémioticien russe, nous permet de retracer les différentes cultures en jeu, un parcours culturel que nous détaillons dans le second chapitre. Nous pouvons également, grâce au concept de frontières optimisé par Rachel Bouvet, situer le personnage dans les cultures qu'il traverse : il se tient à la frontière, il est partagé entre plusieurs cultures. Il s'agit alors d'analyser son identité qui ne manque pas d'exprimer cette hybridité, analyse que nous menons dans le troisième chapitre. Afin de bien représenter le personnage principal, nous faisons appel à une conception, mise à jour par Amin Maalouf, qui concilie les particularités multiples de l'identité de chaque individu. En imbriquant dans une relation de cause à effet l'altérité et l'identité, à la manière de Gilles Thérien, nous nous penchons sur les rencontres qui jalonnent le périple du protagoniste. À travers la quête identitaire du personnage se joue un combat entre les cultures oasienne et française, chacune utilisant un langage sémiotique différent. La culture française est représentée par l'image : c'est en prenant sa photographie qu'une touriste française attire le protagoniste à Paris. Arrivé dans la métropole, il y découvre d'abondantes images qui ne lui correspondent pas. À l'opposé, la culture oasienne met de l'avant le signe, les formes abstraites. Entre ces deux pôles, le lecteur de La goutte d'or découvre l'occidentalisation erratique de la culture algérienne qui s'approprie par moment l'image. Déstabilisé par le monde occidental, Idriss se replie vers les immigrants et fait alors la découverte de la calligraphie, ce qui le soustrait au pouvoir aliénant de l'image. C'est en retrouvant le signe, écrit cette fois, qu'il trouve enfin son identité. Ce récit illustre le fait que dans le regard de l'immigrant, la profusion d'images est problématique: non seulement elles ne reflètent pas ce qu'il est, mais elles lui renvoient des possibilités douloureusement inatteignables. Ce qui permet de déterminer un manque important dans notre société : le commentaire de l'image. Cette dernière étape d'analyse nous amène à réconcilier les langages sémiotiques et les cultures dont ils sont l'apanage, à considérer que l'image doit être approchée par le biais du signe écrit ou sonore qui la rend inoffensive. C'est de cette façon que nous pouvons reléguer l'image au domaine de l'imaginaire, et nous tourner vers d'autres langages sémiotiques pour représenter l'individu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Michel Tournier, La goutte d'or, Algérie, France, culture, identité, altérité, image, signe, photographie, calligraphie.
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Construction identitaire dans la littérature "beure" : l'exemple de Georgette! de Farida Belghoul

Bolduc, Lucie 06 1900 (has links) (PDF)
Dans les années 1980, la France est confrontée à une récession économique qui participe à aggraver la précarité des conditions de vie de ses immigrants et leurs enfants. La figure de l'immigrant d'origine maghrébine se transforme. À la suite de la libération de l'Algérie, elle passe d'une perspective de l'immigration de main-d’œuvre temporaire à celle d'une immigration permanente de peuplement. C'est dans ce contexte qu'émerge un mouvement littéraire dont se revendiquent principalement de jeunes artistes français issus d'origines maghrébines : la littérature « beure ». Ce mouvement propose une identité réinventée pour les enfants de l'immigration en France. Il se réapproprie la figure stéréotypée de « l'Arabe » pour remettre en question la discrimination structurelle et systémique dont souffrent les Français issus de l'immigration post-coloniale. Des années 1980 au début des années 1990, les perspectives théoriques postcoloniales demeurent inconnues en France. Pourtant, les questions que souligne le mouvement « beur » s'inscrivent dans un même ordre d'idées que celles des théoriciens postcoloniaux anglophones pour qui la question de l'identité culturelle est un enjeu principal. L'identité mouvante et évanescente que décrivent les théoriciens postcoloniaux correspond sensiblement à l'identité controversée et poreuse que tend à définir le mot « beur ». En 1986, Farida Belghoul publie Georgette! qui lui vaut les honneurs du prix Hermès, prix du meilleur premier roman. Cette œuvre devient un roman phare au sein des études universitaires sur la littérature « beure ». Ce roman fait le récit d'une journée à l'école dans la vie d'une fillette dont les parents sont immigrants d'origines algériennes. La narratrice et protagoniste de sept ans y évolue dans un contexte où les formes de représentations identitaires sont figées et contraignantes. Il s'agira dans ce mémoire d'analyser les formes de représentation à l'œuvre dans le roman de Farida Belghoul et de les mettre en relation avec leur contexte d'émergence. La narratrice met en branle des stratégies énonciatives habilitantes et subversives pour détourner la fonction assujettissante et aliénante du stéréotype et du discours colonial et post-colonial. L'idée sera de repérer les principaux mécanismes de construction et d'énonciation identitaires qui s'illustrent dans ce roman, pour les analyser dans une perspective théorique postcoloniale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Farida Belghoul, théories postcoloniales, identité, littérature "beure"

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