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Quels sont les meilleurs indicateurs d'adiposité associés au profil métabolique des patients participants à un programme de prévention primaire et secondaire/réadaptation cardiaque?

Vadebonc¶ur, Nathalie 17 April 2018 (has links)
L'obésité est associée aux facteurs de risque de maladies cardiovasculaires. L'indice de masse corporelle (IMC) est fréquemment utilisé pour évaluer la présence d'obésité. Le tour de taille (TT) et le pourcentage de masse grasse (% MG) sont aussi utilisés en clinique. L'objectif de cette étude était de comparer l'IMC, le TT et le % MG comme indicateurs de profil lipidique, de tension artérielle et de glycémie à jeun altérés dans un programme de prévention primaire et de prévention secondaire/réadaptation cardiaque. Cette étude a permis de constater que le TT et le % MG pourraient être les meilleurs indicateurs d'un profil lipidique anormal ou d'un apoB 100 élevé. En contrepartie, l'IMC et le TT semblent être de meilleurs indicateurs de l'évaluation globale du risque cardiovasculaire. Donc, le TT et le % MG pourraient être ajoutés à l'IMC dans l'évaluation globale du risque cardiovasculaire chez les participants obèses enrôlés dans ces programmes.
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Corpulence et genre en Europe : le poids des inégalités d'apparence et de santé

Thibaut De Saint Pol, Thibaut De Saint Pol 28 November 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat en sociologie appréhende le corps à travers la corpulence, caractère objectivable qui permet d'apprécier la complexité des liens qui unissent le poids des individus aux caractéristiques sociales qui les distinguent. Socialement déterminée, la corpulence est ainsi un moyen pratique de mettre en évidence les enjeux que le corps incarne et dissimule, et ce en exploitant de façon critique les données de neuf grandes enquêtes quantitatives. Cette recherche fait apparaître l'importance du genre dans l'appréhension des différences de corpulence. Les écarts entre milieux sociaux sont plus forts pour les femmes. Le rapport des femmes à leur corps et à la minceur est plus contraint que celui des hommes, la corpulence renvoyant plus chez elle à la beauté et chez les hommes à la force. Pour ces derniers, le sous-poids, dévalorisé, joue un rôle symétrique au surpoids chez les femmes. L'étude de la situation française dans un cadre européen fait apparaître sa singularité. L'augmentation de la prévalence de l'obésité va de pair avec un accroissement des inégalités sociales qui touche plus particulièrement les femmes. Le lien entre obésité et pauvreté vaut surtout d'ailleurs, en France, pour elles. Mais quel que soit leur sexe, les personnes obèses souffrent des conséquences de leur poids à la fois en termes de santé, d'intégration professionnelle et de perception de soi. Si les femmes apparaissent plus sensibles à la dimension esthétique et les hommes à la dimension médicale, ces deux aspects s'entremêlent. Les inégalités de santé vont de pair avec les inégalités d'apparence et sont à la fois produites par et productrices des inégalités économiques et sociales
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Evolution du statut nutritionnel de personnes âgées au cours de leur hospitalisation en court séjour gériatrique enquête à propos de 82 patients /

Aigle, Pierre-Etienne. Paille, François January 2004 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Influence de la densité mammaire, du traitement hormonal substitutif et de l'indice de masse corporelle sur la sensibilité et la spécificité de la mammographie de dépistage : programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) 2000-2005

Also Alio, Ramatou 18 April 2018 (has links)
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme dans le monde, mais aussi chez la femme canadienne. La mammographie est la méthode utilisée par certains programmes pour détecter un cancer à son stade précoce. Dans le Programme Québécois de Dépistage du Cancer du Sein (PQDCS), cette technique est utilisée chez les femmes de 50 à 69 ans afin de réduire d'au moins 25 % leur mortalité due au cancer du sein. Dans le cadre du PQDCS, la sensibilité et la spécificité du dépistage par mammographie sont utilisées pour évaluer la performance du programme. Le but ultime de cette étude est d'une part d'évaluer l'effet de certaines caractéristiques personnelles de la femme (densité mammaire, traitement hormonal substitutif (THS), indice de masse corporelle (IMC)) sur la sensibilité et la spécificité du dépistage et d'autre part de déterminer si la densité mammaire peut expliquer l'effet du THS puis de l'IMC sur la sensibilité et la spécificité ou si ces deux facteurs (THS et IMC) ont un effet sur la sensibilité et la spécificité indépendamment de la densité mammaire. L'étude est basée sur une cohorte de 592 332 femmes âgées de 50 à 69 ans vues dans le cadre du PQDCS entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2005. Un total de 1 084 580 mammographies a été réalisé, parmi lesquelles, après un suivi de deux ans, 8 178 cancers du sein ont été observés. La régression de poisson avec estimateur robuste de la variance a été utilisée pour l'analyse. Les résultats de notre étude ont montré une sensibilité globale à deux ans de 69,6 % et une spécificité de 90,5 % dans le PQDCS. Une association statistiquement significative a été trouvée entre la sensibilité, le taux de faux positifs (1-spécificité) et une forte densité mammaire (rapport de sensibilité (RSe) = 0,73; IC 95 % : 0,67-079; p <0,0001); et rapport de faux positifs ((RFp) = 1,82; IC 95 % : 1,68-1,98; p < 0,0001; ) chez les femmes avec forte densité mammaire soit >75 % du sein avec densité comparées aux femmes avec densité faible soit densité <25%). La sensibilité était plus faible chez les utilisatrices actuelles de traitement hormonal substitutif (THS) (RSe = 0,94; IC 95 % : 0,91-0,97; p=0,0003) comparativement aux non utilisatrices. Après ajustement pour la densité mammaire, la force de l'association avec la sensibilité diminue substantiellement chez les utilisatrices actuelles de THS (RSe = 0,97; IC 95 % : 0,94-0,99; p = 0,03) comparativement aux non utilisatrices. Le taux de faux positifs est aussi associé à une utilisation actuelle de THS (RFp = 1,20; IC 95 % :1,17-1,24; p=<0,0001). Après inclusion de la densité mammaire, le risque des faux positifs diminue dans les différents groupes de THS (RFp chez les utilisatrices actuelles = 1,16; IC95 % : 1,12-1,19), mais l'association reste toujours statistiquement significative (p < 0,0001). Au fur et à mesure que l'IMC de la femme augmente, on assiste à une augmentation de la sensibilité (59,9; 66,2; 72,6; 73,1; 72,6 % respectivement pour IMC <20, 20-24, 25-29; 30-34; > 35 kg/m2). Après contrôle des facteurs potentiellement confondants excluant la densité mammaire, un IMC élevé (>35 kg/m2) est statistiquement associé à une forte sensibilité (RSe = 1,19; IC 95 % : 1,08-1,30; p=0,0002) comparativement aux femmes avec un IMC <20 kg/m2. Mais lorsqu'on inclut dans ce modèle la densité mammaire, la force de l'association avec l'IMC tend à diminuer considérablement et cet effet, chez ces femmes d'IMC >35 kg/m2, devient statistiquement non significatif (RSe = 1,06; IC 95 % : 0,98-1,16; p=0,1498). D'autre part, une diminution du taux de faux positifs a été observée pour chaque augmentation de l'IMC de la femme après ajustement des variables potentiellement confondantes excluant la densité mammaire. Lorsque la densité mammaire est incluse dans le modèle, on assiste à une inversion du risque de faux positifs. Les femmes avec extrême obésité (> 35 kg/m2) ont 25 % plus de risque de faux positifs comparativement aux femmes minces (RFp = 1,25; IC 95 % : 1,18-1,32; p<0,0001). Cette étude qu'une forte densité mammaire, une utilisation actuelle du THS et un IMC élevé sont statistiquement associés à la sensibilité et à la spécificité de la mammographie de dépistage du cancer du sein. La diminution considérable de la force des associations de la sensibilité avec le THS et l'IMC lorsqu'on ajuste pour la densité mammaire suggère que la majorité de l'effet du THS et de l'IMC sur la sensibilité est causé par la densité mammaire. Cependant, pour le THS, l'association avec la sensibilité et la spécificité reste significative chez les femmes utilisatrices actuelles de THS avec ou sans ajustement de la densité suggérant que le THS pourrait affecter la sensibilité et la spécificité par d'autres voies que celle impliquant la densité mammaire. Le risque de faux positifs est également associé à l'IMC avec ajustement de la densité dans le modèle multivarié suggérant que cette association implique aussi d'autres mécanismes qui vont au-delà de la densité mammaire.
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Évaluation du temps de réaction chez les adolescents : impact de l'âge, du sommeil et de l'IMC

Gagné, Annie 30 January 2019 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi / Le mémoire présente le temps de réaction simple (TRS) chez les adolescents. Ce projet de recherche s’insère à l’intérieur d’un plus vaste projet de recherche qui visait à décrire l’état de certain déterminant des habiletés motrices, des fonctions exécutives et des paramètres psychologiques chez des adolescents. Peu d’études ont décrit le TRS chez les adolescents sains. Le but de cette recherche était de décrire l’état du TRS chez les adolescents, en fonction de l’âge, du sommeil et du percentile de l’indice de masse corporelle. L’échantillonnage comprenait 226 participants âgés entre 12 à 18 ans. Le test du TRS a été mesuré à partir d’un essai réalisé à l’ordinateur. Aucune différence significative n’a été observée entre les garçons et les filles pour le TRS. En comparant les TRS des participants (adolescents et adolescentes combinés) de deuxième secondaire au TRS des participants de 4e et 5e secondaire par une analyse de variance multivarié suivi par des tests post-hoc de type Tukey-Kramer ceci a permis d’observer des différences significatives (p<0,05). La même observation a été réalisée avec le nombre de rejets obtenus lors du test du TRS entre la 1e et la 5e secondaire. Nos résultats sont en concordance avec les résultats d’autres recherches. Le phénomène de diminution du TRS, au cours de l’adolescence, peut s’expliquer par la maturation du système nerveux (SN). L’analyse des données sur le sommeil, selon une classification en trois groupes (moins de 7h, 7h à 9h et plus de 9h) a permis de déterminer que la majorité des participants rapportent dormir le temps recommandé, soit entre 7 et 9 heures. Aucune corrélation n’a été obtenue entre le TRS et le nombre d’heure de sommeil en effectuant une corrélation linéaire de Pearson. La littérature abonde concernant l’impact de l’indice de masse corporelle (IMC) sur le temps de réaction. Nos résultats n’ont pas permis d’appuyer la littérature existante car aucune corrélation n’a été obtenue entre l’IMC et le TRS chez nos adolescents en effectuant une corrélation linéaire de Pearson. Le phénomène de diminution du TRS, au cours de l’adolescence, peut s’expliquer par la maturation du SN. D’autres études seront nécessaires pour valider l’absence de lien entre le TRS et le sommeil ainsi que l’IMC. / 349242\u Résumé en anglais / 349243\u Résumé en espagnol
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Validation de l'indice de masse corporelle dans le dépistage de la dénutrition chez le patient cirrhotique

Courant, Séverine. Campillo, Bernard. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. 67 f. ill. Bibliogr. f. 57-66.
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Impacts différentiels des changements de la distribution d'adiposité sur les variations de résistance à l'insuline et d'adiponectine chez des jeunes adultes avec un poids normal sur une période de 4 ans / Differential impact of changes in adiposity distribution on insulin résistance and adiponectin variations over 4 years in normal weight young adults

Lacerte, Guillaume January 2014 (has links)
Contexte : Malgré l’ampleur du problème de l’obésité, les données scientifiques concernant les premières étapes de son développement chez les jeunes adultes restent insuffisantes. Le but de ce mémoire est d'explorer prospectivement si l’augmentation de résistance à l’insuline liée au gain de poids et la diminution d’adiponectine liée à l’adiposité abdominale observées chez des sujets plus âgés ou déjà obèses se produisent chez des jeunes adultes en santé en situation normopondérale lorsqu’ils prennent du poids à l’intérieur d'un intervalle "normal" d'indice de masse corporelle (IMC). Structure : La recension des écrits explore la littérature sur des points importants pour la compréhension de notre sujet et les principes rationnels qui supportent notre problématique et notre hypothèse: l’augmentation de la prévalence de l’obésité dans la population et ses liens avec le diabète de type 2 et d'autres maladies chroniques, les effets du gain de poids seul (indépendant du statut pondéral) et ses liens avec le diabète de type 2 et d'autres maladies chroniques, la situation particulière du gain de poids chez les jeunes adultes, la physiologie de l’insuline et les liens entre la résistance à l’insuline et le gain de poids et, finalement, la physiologie de l’adiponectine et ses liens avec la santé métabolique et le gain de poids sous forme d’adiposité abdominale. La section résultats présente l’article qui a été publié et ses résultats: dans une population de jeunes adultes, des variations modestes dans les niveaux d'adiposité à l’intérieur du spectre de poids "normal" sont significativement associées à une augmentation de la résistance à l’insuline et un gain de poids au niveau abdominal a tendance (non significatif après ajustements) à être lié à une diminution des niveaux d'adiponectine circulants. La section discussion met en perspective les résultats par rapport à ce qui est actuellement connu dans la littérature, en particulier chez une population de jeunes adultes. Contribution : Ce mémoire contribue à ajouter à la somme des connaissances sur les effets métaboliques d’un gain de poids modeste chez des participants jeunes et normopondéraux. Il offr aussi de façon prospective de l’information de plus sur les effets délétères du gain de poids sur la sensibilité à l’insuline et sur les fonctions endocrines du tissu adipeux, comme la production d'adiponectine.
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Coffee and body mass index in the risk of lung cancer / Consommation de café, indice de masse corporelle et risque de cancer du poumon

Sanikini, Harinakshi 24 October 2016 (has links)
Contexte : Le tabagisme actif et passif, la pollution atmosphérique, le radon, les expositions professionnelles à certains agents chimiques tels que l’amiante, la silice cristalline, les hydrocarbures aromatiques polycycliques sont des facteurs de risque établis du cancer du poumon. De plus, certains facteurs alimentaires comme la faible consommation de fruits et de légumes ont été associés à une augmentation de risque de cancer du poumon. Des études épidémiologiques antérieures consacrées à l’étude de l’association entre le cancer du poumon et d’autres expositions comme la consommation de café et l’indice de masse corporelle (IMC) ont été peu concluantes.Objectif : L’objectif de ce travail est d’étudier l’association entre la consommation de café, l’IMC et le risque de cancer du poumon.Matériels et Méthodes : L’étude du rôle du café dans la survenue du cancer du poumon s’est basée sur les données d’une étude cas-témoins en population générale de grande envergure, l’étude ICARE. Les analyses concernaient 2 684 cas de cancer du poumon et 3 481 témoins. Une description détaillée de la consommation de café a été recueillie à l’aide de questionnaires standardisés réalisés au cours d’entretiens en face à face. L’étude de l’association entre l’IMC et le risque de cancer du poumon s’est basée sur une étude cas-témoins nichée dans quatre cohortes aux Etats-Unis, en Europe, en Chine et à Singapour, incluant 4 172 cas de cancer du poumon et 8 471 témoins. L’IMC a été calculé à partir de du poids et de la taille mesurés ou auto-déclarés à l’inclusion. Les Odds ratios (ORs) et les intervalles de confiance à 95% (IC) ont été estimés à l’aide de la régression logistique non conditionnelle, en ajustant sur les facteurs de confusion potentiels.Résultats : Nous n’avons pas observé d’association entre la consommation de café et le risque de cancer du poumon. Les ORs ajustés étaient de l’ordre de 1,07 (0,77-1,48) pour une consommation ≥ 5 tasses/jour, de 1,02 (0,72-1,43) pour une durée de consommation ≥ 49 ans et de 1,02 (0,73-1,42) pour une consommation cumulée vie entière ≥ 184 tasses-années par rapport aux non consommateurs. L’étude cas-témoins nichée dans les 4 cohortes a montré une association inverse significative entre l’IMC et le risque de cancer du poumon. Les ORs ajustés pour les sujets en surpoids (IMC, 25-30 kg/m2) et les sujets obèses (IMC ≥30 kg/m2) étaient respectivement de 0,77 (0,68-0,86) et de 0.69 (0,59-0,82) en comparaison avec les par rapport aux/comparés aux sujets de poids normal (IMC, 18,5-24,9 kg/m2). Cette association était accentuée chez les anciens et actuels fumeurs.Conclusions : La consommation de café ne semble pas être associée au risque de cancer du poumon. L’obésité est associée à une réduction de risque de cancer du poumon, particulièrement chez les anciens et les actuels fumeurs. / Context: Smoking, second-hand smoke, air pollution, radon, and occupational exposure to chemical agents such as asbestos, silica and polycyclic aromatic hydrocarbons are well-known risk factors for lung cancer. In addition, dietary factors involving low intake of vegetables and fruits has been associated with an increased risk of lung cancer. Previous epidemiological studies on the association between lung cancer with other exposures such as coffee intake and body mass index (BMI) have been inconclusive.Objective: The aim of the present work is to investigate the association between coffee consumption and BMI and risk of lung cancer.Materials and Methods: The work on coffee was based on a large French population based case-control study, the ICARE study. Analyses involved 2,684 lung cancer cases and 3,481 controls. Detailed information on coffee was collected using standardized questionnaires through face-to-face interviews. For BMI, a case-control study was nested within four cohorts in USA, Europe, China and Singapore, which included 4,172 lung cancer cases and 8,471 controls. BMI was calculated based on the measured/self-reported height and weight at the baseline. Odds ratios (ORs) and 95% confidence intervals (CIs) were estimated using unconditional logistic regression, adjusting for potential confounders.Results: We found no significant association between coffee consumption and lung cancer risk. The adjusted OR was 1.07 (95%-CI: 0.77-1.48) for ≥ 5 cups /day, 1.02 (95%-CI: 0.72-1.43) for duration of consumption ≥49 years and 1.02 (95%-CI: 0.73-1.42) for life time cumulative consumption ≥184 cup-years compared with never consumers. In the analysis of nested case-control study, we found statistically significant inverse association between BMI and lung cancer risk. Compared with normal weight subjects (BMI, 18.5-24.9 kg/m2), the adjusted OR for overweight (BMI, 25-30 kg/m2) and obese subjects (BMI, ≥30 kg/m2) were 0.77 (95% CI: 0.68-0.86) and 0.69 (95% CI: 0.59-0.82) respectively. This association was strengthened in both current and former smokers.Conclusions: Coffee consumption does not appear to be associated to the risk of lung cancer. Obesity is associated with decreased lung cancer risk, particularly in former and current smokers.
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Évolution des caractéristiques, des déterminants et des répercussions du sommeil chez le jeune enfant

Touchette, Évelyne January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Associations entre les symptômes dépressifs, les habitudes et les comportements alimentaires et l'indice de masse corporelle chez la femme

Maltais-Giguère, Julie 19 April 2018 (has links)
Dans un contexte où la prévalence de l'excès de poids et de l'obésité est élevée, la préoccupation à l'égard du poids est très répandue, et ce, particulièrement chez les femmes. Les conséquences du surpoids sur la santé en font un enjeu majeur de santé publique. En lien avec la problématique du poids, la présence de symptômes dépressifs est également un enjeu important étant donné la prévalence élevée de la dépression, de ses impacts sur la santé et de la vulnérabilité des femmes. Ces deux problématiques pourraient aussi avoir des impacts non négligeables sur les habitudes et les comportements alimentaires. Ce mémoire est consacré à une description plus exhaustive de ces problématiques. Dans le but de fournir un portrait plus précis des femmes préoccupées par leur poids et/ou démontrant des symptômes dépressifs, l'objectif principal du projet de recherche présenté est de mieux comprendre les associations entre les symptômes dépressifs, les habitudes alimentaires, les attitudes et comportements alimentaires et l'indice de masse corporelle chez cette clientèle.

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