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Évaluation d'une bibliothérapie de l'insomnie avec sevrage des hypnotiques assisté chez des adultes souffrant d'insomnie

Belleville, Geneviève, January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2006. / Titre de l'écran-titre (visionné le 28 mars 2007). Bibliogr.
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Efficacité d'un auto-traitement pour l'insomnie /

Beaulieu-Bonneau, Simon. January 2004 (has links)
Thèse (M.Ps.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr. Publié aussi en version électronique.
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L'expérience du rêve en thérapie cognitivo-comportementale auprès d'adultes souffrant d'insomnie : une étude qualitative

Rancourt, Christine 28 March 2022 (has links)
L'insomnie est un trouble du sommeil se manifestant par des difficultés d'endormissement ou de maintien du sommeil entrainant une détresse cliniquement significative chez ceux qui en souffrent. Il est démontré que les rêves des personnes souffrant d'insomnie tendent à être plus négatifs que ceux des bons dormeurs, ce qui amène à s'interroger sur la perception du rêve chez les individus atteints d'insomnie ainsi que leur besoin d'aborder ce sujet en thérapie. La présente étude qualitative s'est ainsi intéressée à l'expérience du rêve chez les personnes souffrant d'insomnie ayant effectué une thérapie cognitivo-comportementale. Cinq participants ont été recrutés dans une clinique du sommeil. Leur consentement a été obtenu pour consulter leurs réponses à l'Index de sévérité de l'insomnie pré et post-traitement, puis leurs agendas de sommeil deux semaines avant leur traitement et à la fin de celui-ci. Une entrevue individuelle a été réalisée et enregistrée de façon audio afin d'en analyser le contenu. Les résultats démontrent que les participants accordent peu d'importance à leurs rêves, même s'ils sont négatifs. Ils n'auraient pas considéré pertinent de discuter de leurs rêves en thérapie. Leur priorité était de traiter leurs difficultés de sommeil, mais ils seraient tout de même ouverts à discuter de leurs rêves si cela s'avérait pertinent à leur situation. Les motifs jugés acceptables pour parler des rêves sont : la présence de cauchemars, de détresse associée aux rêves, de rêves perturbant la qualité de sommeil et le fonctionnement diurne, puis l'analyse de rêves afin de comprendre la cause des difficultés sous-jacentes d'un individu. La compréhension présentée ici permet d'obtenir un aperçu préliminaire de la perception du rêve chez les personnes souffrant d'insomnie ainsi que de leurs besoins à cet égard. Les résultats démontrent que certaines personnes souffrant d'insomnie ne ressentiraient pas le besoin de discuter de leurs rêves en thérapie. / Insomnia is a sleep disorder manifested by difficulties in falling asleep or maintaining sleep resulting in clinically significant distress. Dreams of insomnia sufferers tend to be more negative than those of good sleepers. This raises questions about this population's perception of their own dreams and about the possible need to discuss them in therapy. The present study therefore investigated the experience of dreaming in insomnia sufferers who had completed cognitive-behavioral therapy for insomnia. A qualitative design was used. Five participants (three women and two men) were recruited in a sleep clinic. They consented to give access to the sleep diaries completed two weeks prior and at the end of their treatment and to the scores of the Insomnia Severity Index pre- and post-treatment. A semi-structured interview constructed by the research teams was administered to each participant and audio-taped for content analysis. The results show that despite the presence of negative dreams, participants did not consider their dreams important. They did not feel the need to discuss dreams with their therapist. The participants' treatment priority was to address their sleep difficulties. They would, however, be open to discuss dreams if it could be useful in their situation. Acceptable reasons for talking about dreams are the presence of nightmares, distress associated with dreams, dreams that interfere with sleep quality and daytime functioning, and the analysis of dreams to understand the cause of an individual's underlying difficulties. The understanding presented here provides a preliminary insight into the perception and experience of dreaming in this population. The results suggest that some individuals with insomnia do not need to discuss their dreams during CBT-I.
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Caractéristiques des fuseaux de sommeil chez les gens souffrant d'insomnie

Normand, Marie-Pier 28 September 2018 (has links)
Le fuseau de sommeil (FS) est un élément oscillatoire bref de l’électroencéphalogramme associé à la protection du sommeil. Il est plausible que les gens souffrant d’insomnie (INS), pour qui le sommeil est perturbé, puissent avoir une altération de leurs FS. De plus, par leur rôle dans l’inhibition du traitement sensoriel, les FS pourraient aussi intervenir dans la perception du sommeil et expliquer la mésestimation présente chez les INS. Par contre, une étude antérieure n’a pas démontré de différences quant au nombre ou à la densité des FS entre les INS et les bons dormeurs (BD). Le présent mémoire avait donc comme objectif de vérifier si les INS, comparativement aux BD, présentaient des différences quant aux caractéristiques des FS, en séparant deux types d’insomnie, paradoxale (IPA) et psychophysiologique (IPS). Les résultats indiquent une différence quant à la durée des FS, soit que les IPA ont des FS plus courts que les IPS et les BD. Ces résultats appuient en partie le rôle du FS dans la protection du sommeil. Pour ce qui est de la perception du sommeil, aucune des caractéristiques des FS de sommeil ne semble intervenir sur la sensation d’être endormi. / The sleep spindle is a brief oscillatory electroencephalographic event associated with sleep protection. It may be possible that insomnia sufferers (INS), who present less consolidated sleep, have sleep spindles alterations. Sleep spindle plays also a role in sensory inhibition, and thus, could be linked to sleep perception and explain misperception in INS. However, a prior study didn’t find any difference in number or density of sleep spindles between INS and good sleepers (GS). The objective of this project was to determine if differences may be found in sleep spindles characteristics between INS and GS, distinguishing for paradoxical insomnia (PARA-I) and psychophysiological insomnia (PSY-I). Results showed that the duration of sleep spindles in stage 2 is lower for PARA-I than for GS. These results partially support the protective function of sleep spindles. However, in regards of sleep misperception, sleep spindles characteristics do not seem to influence the sensation of being asleep.
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Perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie associées à l'insomnie comorbide à un trouble psychiatrique ou médical

Perozzo, Cristina 24 April 2018 (has links)
Cette thèse visait à comparer les perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie associées à l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique ou médical à celles de l’insomnie seule. En premier lieu, une revue de littérature sur les perturbations du sommeil et du fonctionnement diurne caractérisant l’insomnie comorbide, comparativement à l’insomnie seule, a été effectuée. Celle-ci incluait 38 études et a révélé que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique n’était pas associée à des perturbations du sommeil subjectives plus sévères que l’insomnie seule, mais qu’elle était liée à une variabilité internuits du sommeil plus importante. L’insomnie comorbide à un trouble dépressif comportait une proportion plus élevée de sommeil paradoxal et moins d’activité électroencéphalographique à hautes fréquences au cours de la nuit que l’insomnie seule. L’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique (principalement dépressif) était liée à une utilisation accrue des soins de santé et à des perturbations plus sévères de l’humeur, de la cognition et des tâches quotidiennes. Peu de différences sur le plan du sommeil ont été observées entre l’insomnie avec et l’insomnie sans douleur chronique comorbide. La fréquence et la sévérité des perturbations de l’humeur ainsi que les risques d’absentéisme et d’invalidité au travail étaient plus élevés lorsque l’insomnie était accompagnée de douleur. Parmi les recherches recensées, la plupart portaient sur l’insomnie comorbide à un trouble dépressif ou à une condition douloureuse. Un nombre limité d’études a exploré la comorbidité médicale et celles qui ont évalué les perturbations objectives du sommeil dans l’insomnie avec et sans comorbidité psychiatrique ont obtenu des résultats mitigés. Plusieurs études comportaient des limites méthodologiques majeures, telles que l’utilisation de critères distincts afin de définir l’insomnie dans différents groupes au sein d’une même étude et le manque de contrôle des effets confondants d’autres troubles comorbides et de médicaments prescrits. Tenant compte de ces limites, une étude empirique visant à comparer les perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie qui caractérisent l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique et l’insomnie comorbide à un trouble médical à celles de l’insomnie seule a été réalisée. L’échantillon était composé de 84 adultes, répartis en cinq groupes : insomnie seule (INS; n = 22), insomnie comorbide à un trouble psychiatrique (INS+PSY; n = 16), insomnie comorbide à un trouble médical (INS+MED; n = 14), bons dormeurs avec un trouble médical (BD+MED; n = 17) et bons dormeurs en santé (n = 15). Des analyses multivariées suivies de corrélations canoniques pour des contrastes planifiés ont révélé que le groupe INS+PSY rapportait un sommeil non réparateur un plus grand nombre de nuits par semaine et des atteintes diurnes plus sévères (motivation, fatigue physique, fonctionnement physique et occupationnel, impacts de l’insomnie) que le groupe INS. Selon des agendas du sommeil, les participants du groupe INS+MED dormaient moins longtemps et se réveillaient plus souvent la nuit que ceux du groupe INS. Ces premiers étaient aussi moins productifs au travail. Comparativement aux BD+MED, le groupe INS+MED était plus déprimé et fatigué et avait un fonctionnement occupationnel plus perturbé, alors que le groupe INS avait un meilleur fonctionnement physique, mais plus de symptômes dépressifs, un niveau de fatigue plus élevé et moins de vitalité. Les résultats de la thèse suggèrent que la nature des difficultés de sommeil dans l’insomnie comorbide à un trouble dépressif et l’insomnie seule pourrait différer et que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique est caractérisée par des perturbations du fonctionnement diurne plus sévères, comparativement à l’insomnie seule. L’insomnie comorbide à un trouble médical est liée à un sommeil plus fragmenté et de courte durée et à plus de difficultés sur les plans de l’humeur et du fonctionnement occupationnel que l’insomnie seule. Ces observations soulèvent les possibilités que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique soit un sous-type d’insomnie distinct de l’insomnie seule et que la comorbidité d’un trouble psychiatrique favorise le maintien de l’insomnie par le biais de processus cognitifs et comportementaux transdiagnostiques (p. ex., mode de pensée répétitif). Les résultats appuient la pertinence d’adapter les interventions pour l’insomnie chez les personnes qui ont un autre trouble, notamment psychiatrique, afin de les aider à surmonter le fardeau d’un double diagnostic et de leur assurer un meilleur sommeil et bien-être. / This thesis aimed to compare the disturbances in sleep, daytime functioning, and quality of life associated with insomnia with a comorbid psychiatric or medical disorder to those of insomnia alone. First, a review of the literature on the sleep disturbances and daytime impairments characterizing comorbid insomnia as compared to insomnia alone was conducted. The review included 38 studies and revealed that insomnia with a comorbid psychiatric disorder was not associated with more severe subjective sleep disturbances than insomnia alone, but that it was related to increased night-to-night sleep variability. Insomnia comorbid with a depressive disorder involved a higher proportion of rapid eye movement (REM) sleep and less high frequency electroencephalographic activity during the night than insomnia alone. Insomnia with a comorbid psychiatric (mainly depressive) disorder was linked to higher health care use and more severe daytime impairments in mood, cognition, and ability to complete daily activities. Few differences in sleep were observed between insomnia with and insomnia without comorbid chronic pain. The rate and severity of mood disturbances and risks of sick leave and disability were higher when insomnia was accompanied by pain. Among reviewed studies, most investigated insomnia with a comorbid depressive disorder or painful condition. A limited number explored medical comorbidity and those that compared objective sleep disturbances in insomnia with and without a comorbid psychiatric disorder yielded inconclusive results. Many studies had major methodological limitations, including the use of different criteria to define insomnia for subgroups within a same study and the lack of control for the confounding effects of other comorbid disorders and prescribed medications. Considering these limitations, an empirical study comparing the sleep disturbances and daytime impairments characterizing insomnia with a comorbid psychiatric disorder and insomnia with a comorbid medical disorder to those of insomnia alone was conducted. The sample included 84 adults, divided into five groups: insomnia alone (INS; n = 22), insomnia comorbid with a psychiatric disorder (INS+PSY; n = 16), insomnia comorbid with a medical disorder (INS+MED; n = 14), good sleepers with a medical disorder (GS+MED; n = 17), and healthy good sleepers (n = 15). Multivariate analyses followed by canonical correlations for a priori contrasts revealed the INS+PSY group reported more nights of nonrestorative sleep and more severe daytime impairments (motivation, physical fatigue, physical and occupational functioning, insomnia-related consequences) than the INS group. According to sleep diaries, participants in the INS+MED group had shorter nights of sleep and more nighttime awakenings than those in the INS group. The former were also less productive at work. Compared to GS+MED, the INS+MED group was more depressed and fatigued, and had poorer occupational functioning, while the INS group had better physical functioning, but more severe depressive symptoms, higher levels of fatigue, and less vitality. Results of the thesis suggest that the nature of sleep complaints differs in insomnia with and without a comorbid depressive disorder and that insomnia with a comorbid psychiatric disorder is characterized by more severe daytime deficits compared to insomnia alone. Insomnia with a comorbid medical disorder was associated with a shorter and more fragmented sleep, and with more impairments in mood and role functioning than insomnia alone. Findings raise the possibilities that insomnia with a comorbid psychiatric disorder is distinct from insomnia alone and that psychiatric comorbidity contributes to the maintenance of insomnia via transdiagnostic cognitive and behavioral processes (e.g., repetitive thinking). Results support the relevance of adapting interventions for insomnia among persons with another disorder, notably a psychiatric disorder, to help them overcome the burden of a dual diagnosis and insure improved sleep and well-being.
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Stratégies de contrôle de pensées chez les gens souffrant d'insommie

Gendron, Linda. 23 August 2021 (has links)
La présente recherche étudie les stratégies de contrôle de pensées, particulièrement l'évitement chez les gens souffrant d'insomnie. Les participants sont soumis à une procédure d'évaluation incluant des entrevues et des questionnaires portant sur l'anxiété, l'insomnie et les stratégies de contrôle de pensées. Cinquante personnes forment les groupes de bons dormeurs (n=20), d'insomniaques (n=14) et d'insomniaques souffrant de trouble d'anxiété généralisée (TAG) en comorbidité (n=16). Les résultats démontrent que les insomniaques TAG ont une activité cognitive plus importante à l'heure du coucher que les insomniaques sans TAG. Ces derniers ont une activité cognitive plus intense que les bons dormeurs. Les bons dormeurs évaluent leurs stratégies comme étant plus efficaces que les deux autres groupes. Enfin, les résultats suggèrent que l'utilisation de l'évitement est une dimension à considérer davantage chez les insomniaques TAG. Les particularités retrouvées chez les gens souffrant d'insomnie avec ou sans TAG en comorbidité, sur le plan cognitif, devraient être prises en considération dans l'évaluation et le traitement de l'insomnie.
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Étude de l'influence de variables associées au stress sur le sommeil

Rodrigue, Sylvie 30 August 2021 (has links)
Le but de la présente recherche est d'étudier l'influence du stress sur le sommeil chez des personnes qui dorment bien et qui souffrent d'insomnie. L'échantillon se compose de 27 bons dormeurs, 22 insomniaques n'utilisant pas de médicaments pour dormir et 18 insomniaques en faisant l'usage. Les résultats indiquent que les insomniaques perçoivent le stress comme étant plus difficile à prévoir et à contrôler que les bons dormeurs et ils en sont plus envahis que ces derniers. De plus, l'intensité des événements négatifs vécus durant la dernière année, l'impact du stress quotidien ainsi que l'état d'activation somatique et cognitive au coucher sont aussi plus élevés chez les insomniaques que chez les bons dormeurs. Aucune différence n'est toutefois observée entre les deux groupes d'insomniaques pour l'ensemble des variables associées au stress. Deux variables, soit l'impact du stress quotidien ainsi que les stratégies de gestion du stress orientées vers l'émotion, prédisent mieux l'état d'activation au coucher. La perception du stress est pour sa part le meilleur prédicteur de la qualité du sommeil. L'efficacité du sommeil est significativement reliée à une seule variable, soit l'impact du stress quotidien.
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Évaluation objective et subjective de la performance cognitive chez les ainés avec ou sans insomnie chronique

Vignola, Annie 06 September 2021 (has links)
L'objectif du présent mémoire est d'évaluer l'impact de l'insomnie sur le fonctionnement diurne chez les personnes âgées en comparant la performance de personnes âgées souffrant d'insomnie chronique à celle de bons dormeurs du même âge sur des tests neuropsychologiques. Le but principal de l'étude est de savoir si l'insomnie a des conséquences objectives au niveau de la performance diurne. Dans un second temps, les attentes face à la performance et la perception de celle-ci sont également évaluées. Un total de 20 personnes âgées souffrant d'insomnie chronique et ne consommant pas de somnifères ont été évaluées, ainsi que 20 bons dormeurs du même âge ne rapportant aucune difficulté de sommeil. Tous les sujets ont été soumis au même processus de sélection visant à éliminer le plus grand nombre de facteurs confondants possibles (e.g., problème médical, usage de somnifères, dépression). Des mesures de sommeil, de dépression, d'anxiété ont été recueillies. Les résultats indiquent que les personnes souffrant d'insomnie ont des difficultés au niveau des fonctions attentionnelles lorsque comparées aux bons donneurs. Elles ont également une perception plus négative de leur performance. Dans l'ensemble, les résultats obtenus sont discutés dans une perspective visant à reconsidérer les conséquences diurnes de l'insomnie chez les personnes âgées.
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Efficacité d'un auto-traitement pour l'insomnie

Beaulieu-Bonneau, Simon. 07 May 2021 (has links)
À Cette étude évalue l’efficacité d’une intervention minimale pour l’insomnie prenant la forme d’un auto-traitement cognitivo-comportemental. Cent quatre-vingt-douze participants avec insomnie et provenant d’une étude épidémiologique ont été assignés aléatoirement à une condition d’auto-traitement ou à une condition contrôle sans traitement. Le traitement consistait en six modules, chacun couvrant un aspect essentiel du traitement cognitivo-comportemental de l’insomnie, envoyés par la poste de façon hebdomadaire. Les participants des deux groupes ont complété des agendas du sommeil et des questionnaires avant, immédiatement après et six mois après le traitement. Les résultats ont démontré une amélioration significative sur plusieurs variables reliées au sommeil pour le groupe traitement, alors que le groupe contrôle est demeuré inchangé. Les changements se sont maintenus au suivi de six mois pour le groupe traitement. Bien que les changements aient été modestes de façon générale, un nombre significativement plus élevé de participants du groupe traitement ont eu une amélioration cliniquement significative de leur sommeil. L’appréciation du traitement, l’observance des procédures et les prédicteurs potentiels du changement ont également été évalués. Les résultats de cette étude documentent les bienfaits d’une intervention minimale chez un échantillon hétérogène de personnes souffrant d’insomnie. / This study investigated the effects of a cognitive-behavioral self-help intervention for insomnia. Participants were 192 adults with insomnia randomly selected from a larger epidemiological study. They were randomized to either a self-help treatment condition or a no-treatment control condition. The treatment consisted of six booklets, each covering a component of cognitive behavior therapy, mailed weekly. All participants kept a daily sleep diary for two weeks and completed several measures before, after treatment, and for a six-month follow-up. Results showed significant improvements on many sleep-related variables for the treatment condition, while the control group remained stable. Changes were maintained at follow-up. Although improvements were generally modest, there were more participants with a clinically significant sleep improvement in the treatment group than in the control group. Treatment satisfaction and compliance, as well as potential predictors of sleep changes were also assessed. These results document the benefits of a minimal intervention for insomnia with an heterogeneous sample of insomnia sufferers.
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Évaluation d'une bibliothérapie de l'insomnie avec sevrage des hypnotiques assisté chez des adultes souffrant d'insomnie

Belleville, Geneviève 12 April 2018 (has links)
Cette thèse doctorale vise l’évaluation d’une intervention minimale de sevrage chez des utilisateurs réguliers d’hypnotiques. Les résultats d’un essai clinique randomisé incluant 53 utilisateurs chroniques d’hypnotiques souffrant d’insomnie ont montré qu’une intervention brève guidant l’individu dans l’arrêt graduel de sa médication hypnotique est efficace pour cesser l’emploi de cette médication. L’addition d’une bibliothérapie résumant des recommandations psychoéducatives, comportementales et cognitives de gestion du sommeil, une modalité de traitement facilement accessible et relativement peu coûteuse, produit des améliorations significatives du sommeil. Par ailleurs, une diminution de l’insomnie et de la détresse psychologique, une amélioration de la santé perçue et une augmentation de l’efficacité personnelle en cours de sevrage ont été associées à un arrêt complet des hypnotiques. D’autre part, le sevrage des hypnotiques n’a pas été associé à une diminution de la qualité de vie dans le présent échantillon. Au contraire, les aspects de santé générale et mentale, vitalité et fonctionnement social se sont vus améliorés suite au sevrage. Pour plusieurs utilisateurs chroniques d’hypnotiques, il est donc possible, et même souhaitable, d’effectuer un arrêt graduel de la médication hypnotique, lequel peut être réalisé avec un minimum d’encadrement clinique. / This doctoral dissertation aimed to evaluate the efficacy of a hypnotic taper program with minimal clinical supervision. Results from a randomized clinical trial including 53 chronic hypnotic users suffering from insomnia showed that a brief intervention providing a systematic withdrawal schedule efficiently help chronic users stop their hypnotic medication. The addition of a self-help cognitive-behavior treatment focusing on insomnia, a readily accessible and cost-effective alternative to individual psychotherapy, produced greater sleep improvement relative to the taper condition alone. Decrease of insomnia symptoms and psychological distress, improvement of perceived health and increase of self-efficacy during withdrawal have been associated to complete hypnotic cessation. Furthermore, there has been no worsening of quality of life during the hypnotic taper. On the contrary, general and mental health, vitality and social functioning indicators showed an improvement after the withdrawal. For many chronic hypnotic users, it seems possible, and even desirable, to engage in a systematic hypnotic taper, which can be effectively realized with minimal clinical guidance.

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