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Fenomenología de la conciencia: una con(testación)versación en torno a la auto-reflexión y reflexión ante la relación con los otros

Cea Bustamante, Cristóbal January 2016 (has links)
Departamento de Filosofía / El propósito de esta tesis es dar cuenta de las posibles relaciones y contrastaciones, entablando una conversación y una contestación, entre la fenomenología trascendental de Edmund Husserl y, en primer momento, la fenomenología ontológica-existencialista de Jean-Paul Sartre y, en un segundo momento, con la psicología introspectiva de William James. En base a Sartre la discusión estará al alero de una lectura de herejía fenomenológica y con respecto a James se centrará en la posibilidad o no de una lectura pre-fenomenológica de su psicología introspectiva sobre la fenomenología de Husserl, y así reflexionar cómo es que esta psicología tiene ciertos matices que pudiesen ser parte de lo que reflexionó años posteriores Sartre. Ambas lecturas, ya sea la herejía fenomenológica como la pre-fenomenología se sustentarán en los siguientes tres momentos de discusión: 1. Finalidades de sus pensamientos: filosóficas, en el caso de Husserl y Sartre y psicológico, en el caso de William James; 2. Caracterización de la conciencia: a partir de una triada conceptual que será transversal a lo largo de toda la tesina: intencionalidad, constitución y unidad; y 3. Sobre la conexión o relación con los otros sujetos u otras conciencias. Todo con la finalidad de estructurar una descripción de la conciencia, ya sea de sus características, de sus funciones, sus acciones y sus contenidos que pudiese brindan las interrogantes y los conceptos claves para poder describirla como tal.
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Si c'est vrai, qu'est-ce que ça change ?William James :fabrique des savoirs, fabrique philosophique

Drumm, Thierry 05 September 2014 (has links)
La tentative menée ici consiste à s’adresser au travail de William James (1842-1910) afin d’y chercher des moyens pour répondre à un problème qui nous concerne intensément :celui du décret séparant la connaissance et le changement. James nous rend en effet sensibles à la manière dont les conceptions habituelles avaient constamment maintenu un point de vue qui interdisait en principe qu’une idée puisse faire une différence. Il nous permet également de sentir à quel point ces conceptions ne peuvent qu’être profondément désespérantes. Cinq moments vont se succéder. Dans un premier temps, il s’agira, avec James, de nous connecter à la situation déconnectée, de saisir cette situation dans les dispositifs mêmes qui y creusent un gouffre séparant « la pensée » d’une « réalité » qui lui semble étrangère. Cette « saisie » s’efforce de remédier à l’anesthésie face à des conceptions qui produisent le désespoir et l’indifférence (« Se connecter / Situer »). Dès lors qu’est, au moins partiellement, levée la sidération qu’entraînent les versions rationalistes des connaissances, il devient possible de ré-épaissir ce que James appelle les « trois départements » de l’intelligence, ces modes d’expériences qui nourrissent les pratiques concrètes de connaissance. Pour commencer, c’est « agir » qui n’apparaît plus comme une incongruité quand il est question de connaître. La quête de certitudes indifférentes n’est pas tenable :connaître requiert la culture d’une confiance active et collective capable de rendre vraies des idées non-garanties (« Faire confiance / Agir »). Ensuite, c’est à propos des sensations que l’on s’aperçoit combien rien ne justifie de les vider de toute activité et de toute capacité. Cinq contraintes jamesiennes (épaissir, particulariser, pluraliser, relativiser, machiner) sont convoquées pour explorer les possibilités ouvertes à cet égard par un empirisme radical (« Faire le plein / Sentir »). Mais, les sensations ne se distinguant des conceptions que d’un point de vue pratique, les premières ne retrouvent pas des couleurs sans que les secondes n’en fassent autant. Les conceptions sont libérées de l’obligation qui leur était faite de seulement « copier » une réalité supposément toute faite ;prises concrètement, elles apparaissent comme pouvant désigner ces opérations délicates qui permettent aux mondes de déplier de multiples versions. C’est toute une agitation que de concevoir (« Faire des histoires / Concevoir »). Ces opérations jamesiennes (« se connecter », « faire confiance », « faire le plein », « faire des histoires ») ne visent aucunement la révélation d’une « nature » qui définirait la « pensée », mais, au contraire, elles visent l’activation de possibilités inattendues d’inventer des connaissances significatives, particulières et intéressantes. Il apparaît que ces possibilités – c’est l’hypothèse de James – avaient été tout spécialement limitées par l’omission des expériences concrètes de relation. Cette omission s’était accompagnée de la constitution tout à fait effective d’une pensée « privée » (« privée » à plus d’un titre). Il s’agit alors de relayer encore cette autre opération jamesienne – qui irriguait toutes les autres mais qui exige pour finir une attention spécifique –, celle qui consiste à restaurer les expériences de relation et à intensifier l’importance des « marges » et des « radicelles » (« S’associer / Agirpâtir »). / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Active Enchantments: Form, Nature, and Politics in American Literature

Kuiken, Vesna January 2015 (has links)
Situated at the crossroads of literary studies, ecocriticism and political theory, Active Enchantments explores a strain of thought within American literature that understands life in all of its forms to be generated not by self determined identities, but by interconnectedness and self abandonment. I argue that this interest led American writers across the nineteenth century to develop theories of subjectivity and of politics that not only emphasize the entanglement of the self with its environment, but also view this relationship as structured by self overcoming. Thus, when Emerson calls such interconnectedness "active enchantment," he means to signal life's inherent ability to constantly surpass itself, to never fully be identical with itself. My dissertation brings to the fore the political and ecological stakes of this paradox: if our selves and communities are molded by self abandonment, then the standard scholarly account of how nineteenth century American literature conceptualized politics must be revised. Far from understanding community as an organic production, founded on a teleological and harmonizing principle, the writers I study reconceive it around a sense of a commonality irreducible to fixed identity. The politics emerging out of such redefinition disposes with the primacy of individual or human agency, and becomes ecological in that it renders inoperative the difference between the social and the natural, the human and the non human, ourselves and what comprises us. It is the ecological dimension of what seems like a properly political question that brings together writers as diverse as Emerson and Sarah Orne Jewett, Margaret Fuller and Henry and William James. I argue, for example, that in Jewett's The Country of the Pointed Firs, racial minorities emerge from geological strata as a kind of natural archive that complicates the nation's understanding of its communal origin. When she sets her romances on Native American shell mounds in Maine, or makes the health of a New England community depend on colonial pharmacopoeia and herbalist healing practices of the West Indies, Jewett excavates from history its silent associations and attunes us not only to the violent foundation of every communal identity, but to this identity's entanglement in a number of unacknowledged relations. Her work thus ultimately challenges the procedures of democratic inclusiveness that, however non violent, are nevertheless always organized around a particular notion of identity. The question of the self's constitutive interconnectedness with the world is as central to Margaret Fuller's work. Active Enchantments documents how Fuller's harrowing migraines enabled her to generate a peculiar conception of the "earthly mind," according to which the mind is material and decomposable, rather than spiritual, incorruptible or ideal. This notion eventually led her to devise a theory of the self that absolves persons from self possession and challenges the distinctiveness of personal identity. My concluding chapter argues that Henry James's transnational aesthetics was progressively politicized in the 1880s, and that what scholarship celebrates as the peak of his novelistic method develops, in fact, out of a network of surprising and heretofore unexplored influences, William James's concurrent theories of corporeal emotion, Mikhail Bakunin's anarchism, and Henry James's friendship with Ivan Turgenev, which inflamed James's interest in British politics, the Russo Turkish War, and the Balkan revolutions.
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Les sénateurs qui changent le monde : l'évolution de l'influence du président de la Commission du sénat américain sur les relations extérieures après 1945

Gagnon, Frédérick January 2008 (has links) (PDF)
L'influence du président de la commission du Sénat américain sur les Relations extérieures (Senate Foreign Relations Committee ou CSRE) a-t-elle inéluctablement diminué depuis 1945? Le président de la CSRE joue-t-il toujours un rôle déterminant dans la formulation et la conduite de la politique étrangère américaine? Ces questions animent plusieurs experts du Congrès des États-Unis et guident notre thèse. Décrivant l'expérience de quatre sénateurs qui ont occupé la tête de la CSRE depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, soit Arthur Vandenberg (1947-1949), J. William Fulbright (1959-1975), Jesse Helms (1995-2001) et Joe Biden (2007-présent), nous recourons à une approche récente de la politique intérieure américaine - l'étude du développement politique américain (American Political Development) - pour formuler trois conclusions à propos de l'influence du président de la CSRE sur la politique étrangère américaine après 1945. D'abord, les experts du Congrès ont tort d'affirmer que l'impact du président de la CSRE sur la politique étrangère n'a cessé de diminuer depuis 1945. Non seulement ces experts n'offrent-ils pas d'indicateurs précis pour mesurer le déclin du président de la CSRE, mais nos propres indicateurs et observations contredisent leur thèse linéaire et simpliste. Vandenberg, Fulbright, Helms et Biden se sont effectivement démarqués par rapport aux autres sénateurs qui ont occupé la tête de la CSRE depuis 1945, ce qui mine l'argument voulant que l'influence du président de la CSRE a décru de manière inéluctable. Ensuite, à l'aide d'une approche à trois niveaux d'analyse, nous utilisons les cas de Vandenberg, Fulbright, Helms et Biden pour développer une théorie de l'influence du président de la CSRE. À notre avis, les expériences de ces quatre sénateurs sont comparables et démontrent que les présidents de la CSRE qui marquent le plus l'histoire possèdent les trois caractéristiques suivantes, sans exception: a) ils dirigent la CSRE lors d'une période cruciale de la politique étrangère américaine, c'est-à-dire lorsqu'un événement international d'envergure les incite à s'imposer dans les débats à Washington (niveau international); b) ils oeuvrent dans un environnement institutionnel et sociétal qui favorise leur réussite (niveau national); et c) ils ont les intérêts, les aptitudes et les convictions nécessaires pour exercer un fort leadership au Congrès et face au président américain (niveau individuel). À notre avis, l'histoire se souvient moins des autres présidents de la CSRE parce qu'ils ne répondaient pas à un ou à plusieurs de ces critères. Qui plus est, notre thèse porte à croire que les présidents de la CSRE qui risquent le plus de marquer la politique étrangère à l'avenir sont également ceux qui rempliront ces trois conditions. Enfin, faisant la distinction entre les actions législatives (introduction de projets de loi et d'amendements, adoption des budgets, votes législatifs, etc.) et non législatives (apparitions télévisuelles, lettres au président américain, conférences publiques, etc.) du président de la CSRE, nous démontrons que les experts du Congrès ont tort de croire que l'influence législative des sénateurs est plus importante que leur influence non législative. Certes, l'influence législative permet au président de la CSRE d'exercer un poids plus significatif et direct sur la politique étrangère que les apparitions télévisuelles, sites Internet ou encore discours au Sénat. Or, les présidents de la CSRE n'ont pas le choix de recourir aux outils non législatifs pour garantir l'adoption de leurs projets de loi. L'influence non législative est donc un préalable à l'influence législative. À ce titre, Fulbright, Helms et Biden ont marqué l'histoire parce qu'ils ont su faire preuve d'innovation: ils ont créé de nouveaux outils non législatifs qui, comme les apparitions télévisuelles, les manoeuvres dilatoires et les apparitions sur Internet, ont permis au président de la CSRE de continuer à s'imposer dans les débats à Washington malgré l'avènement de la « présidence impériale » et l'évolution du contexte socio-politique américain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Congrès des États-Unis, Sénat des États-Unis, Commission du Sénat sur les Relations extérieures, Politique étrangère des États-Unis, Politique intérieure des États-Unis, Arthur Vandenberg, J. William Fulbright, Jesse Helms, Joe Biden.
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Victorian Fiction and the Psychology of Self-Control, 1855-1885

Ryan, Anne E. January 2011 (has links)
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