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Bedingte Gerechtigkeit : soziologische Analysen und philosophische Theorien /Schmidt, Volker H. January 2000 (has links)
Habilitationsschrif--Universität Mannheim, 2000. / Bibliogr. p. 187-205.
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Vergleich des Utilitarismus mit der Theorie der Gerechtigkeit von John Rawls /Engin-Deniz, Egon. January 1991 (has links)
Diss.--Wien--Universität Wien, 1991.
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Du principe de réciprocité dans la théorie de la justice de John Rawls : recherche d'un paradigme pour refonder la solidarité et promouvoir une anthropo-éthique en Afrique /Makweta, Narcisse Kabeya, January 2006 (has links)
Dissertatio--Facultas philosophiae--Romae--Pontificia Universitas Gregoriana, 2005. / Bibliogr. p. 225-241.
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Fairness und Vernunftrecht : Rawls' Versuch der prozeduralen Begründung einer gerechten Gesellschaftsordnung im Gegensatz zu ihrer Vernunftbestimmung bei Fichte /Manz, Hans Georg von. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--München--Universität, 1990.
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Geschichte und Gerechtigkeit : Grundzüge einer Philosophie der Mitte im Frühwerk Nietzsches /Geijsen, Jacobus Antonia Ludewijk Josef Johanna, January 1997 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Leiden--Rijksuniversiteit, 1995. / Bibliogr p. 255-261. Index.
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The normative grounds of social criticism : Kant, Rawls and Habermas /Baynes, Kenneth, January 1992 (has links)
Version remaniée de: Th. Ph. D.--Philosophy--Boston university, 1987. / Bibliogr. p. 227-235. Index.
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La critique waldronienne de la révision judiciaire, ses fondements démocratiques et son potentielBeaudoin, Simon 24 April 2018 (has links)
Jeremy Waldron est un penseur d’origine néozélandaise s’intéressant aux rapports entre les législatures et les cours de justice. Tout au long de sa carrière, il a publié des articles critiquant la révision judiciaire et défendant la « dignité de la législation. » Ses travaux l’ont amené à s’opposer à H. L. A. Hart, à John Rawls ainsi qu’à Ronald Dworkin, et lui ont attiré de nombreuses critiques, entre autres celles de Richard Stacey et de Cécile Fabre. Sa thèse est qu’en vertu du droit de participation du peuple à la vie politique, ce dernier ne devrait pas être laissé hors de prises de décisions touchant à ses droits. Les cours de justice n’ayant pas de légitimité populaire, elles devraient s’effacer devant la volonté du peuple transmise par la législature. S’appuyant sur des penseurs classiques comme Aristote, Locke et Kant, Waldron démontre le surprenant soutien de ces derniers aux thèses de la sagesse populaire, de la primauté de la législation et de l’obéissance à la loi. Le présent mémoire a pour but d’explorer cette théorie originale et de la confronter à ses critiques. Après avoir, dans le premier chapitre, réuni les éléments nécessaires à une compréhension de l’argument participatif contre la révision judiciaire, nous nous intéresserons, dans le second, à un certain nombre d’arrêts des cours des États-Unis, du Canada et du Royaume-Uni, ce qui nous aidera à mieux saisir comment les juges perçoivent leurs rapports avec les législateurs. Le troisième chapitre sera celui où nous mettrons de l’avant les conséquences pratiques de l’application de la théorie de Waldron, mais aussi les critiques à son égard. Après avoir conclu que les précautions que notre auteur tente de mettre dans la présentation de sa théorie sont mises en échec par ses prémisses mêmes, nous tenterons de la modérer en montrant, grâce aux arguments de Leonid Sirota, comment elle pourrait être compatible avec la révision judiciaire en matière de fédéralisme. / Jeremy Waldron is a thinker of New Zealand origin interested by relations between the legislatures and courts. Throughout his career, he has published articles criticizing judicial review and defending the “dignity of legislation.” His work led him to oppose H. L. A. Hart, John Rawls as well as Ronald Dworkin, and have won him many critics, including those of Richard Stacey and Cécile Fabre. His thesis is that, by virtue of the right of popular participation in political life, it should not be left out of decisions affecting its right. The courts having no popular legitimacy, they should yield to the will of the people transmitted by the legislature. Drawing on classical thinkers like Aristotle, Locke and Kant, Waldron demonstrates the surprising support of these thinkers to the theses of popular wisdom, the primacy of the legislation and law’s obedience. This submission’s intention is to explore this original theory and confront it to its critics. Having, in the first chapter, put together the necessary elements for an understanding of the participatory argument against judicial review, we will consider, in the second chapter, a number of rulings from the USA, Canada and the United Kingdom courts, which will help us to understand how judges perceive their relationship with legislators. The third chapter will be where we will put forward the practical consequences of the application of Waldron’s theory, but also its critics. After concluding that the precautions that our author tries to put in the presentation of his theory are put in check by its very premises, we will try to moderate the resulting theory by showing, through Leonid Sirota’s arguments, how it could be compatible with federalism’ based judicial review.
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La justice : examen de la division aristotélicienneAuclair, Sylvain. 19 February 2022 (has links)
Ce mémoire a pour but d'examiner dialectiquement le fondement des arguments à l'appui et à l'encontre d'une division tripartite de la justice chez Aristote. Une fois rappelé en quels termes Aristote propose sa division au livre V de son Éthique à Nicomaque, nous avons passé en revue la position des commentateurs à ce sujet. Ceci fait et avec le texte d'Aristote comme référence, nous avons tâché de découvrir les difficultés ou incohérences liées aux différentes positions de même que la part de vérité de chacune, pour finalement dégager l'interprétation qui semble la plus vraisemblable et qui intègre le meilleur des points de vue. Nous concluons sur la base de notre examen dialectique que selon toute vraisemblance, il y a lieu de lire la mention de deux espèces de justice seulement, soit la justice distributive et la justice commutative.
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Globalisation, justice et éducation : le cas des politiques universitaires / Globalization, justice and education : the issue of higher education policiesMartin, Justine 12 December 2011 (has links)
Comment établir une juste répartition de l’accès aux connaissances entre les Etats et envisager ce que pourraient être des politiques universitaires équitables, à l’échelle globale ? C’est ce qu’entend montrer ce travail qui, tout en présentant l’origine historique de la situation d’inégalités qui caractérise le monde académique contemporain, engage une réflexion sur les modalités d’application des principes usuels de la justice distributive à l’échelle globale, dans un contexte où dorénavant la croissance et les échanges se fondent sur la production de biens immatériels. En s’appuyant sur la théorie des « biens publics globaux », il est ainsi possible de redéfinir les modalités de la coopération universitaire pour la faire sortir de la logique de l’aide qui a, depuis l’époque coloniale jusqu’à nos jours, caractérisé les relations académiques internationales. / How can we establish a fair distribution of access to knowledge between the states and consider what might be fair higher education policies, on a global scale ? That is what intends to demonstrate this work, presenting the historical roots of the inequalities that characterize the contemporary academic world and initiating a reflection about the application of usual principles of distributive justice on the global scale, in a context of increasing production of intangible goods. The general theory of "global public goods" makes possible the redefinition of academic cooperation, in order to depart from the logic of assistance that, since colonial times to the present day, characterized international academic relations.
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Logiques et contraintes de l'intégration politique en Afrique centrale: la théorie de la justice de John Rawls à l'épreuve de la réalité africaineKudada Banza, Damien 11 June 2012 (has links)
Nous partons d’un constat :plusieurs Etats d’Afrique, en général, et d’Afrique centrale, en particulier, connaissent un déficit très aigu de justice et de démocratie dans la répartition de biens sociaux premiers. En outre, ces Etats ne sont pas bien organisés politiquement, économiquement et socialement. Par conséquent, ils ne respectent pas les principes de justice politique à l’échelle domestique, ni les principes du droit des peuples au niveau international ou supranational. <p>Devant ce constat amer, nous nous sommes proposé de réfléchir en profondeur sur la théorie de la justice politique de Rawls en vue de nous imprégner de principes susceptibles de garantir les droits et devoirs fondamentaux des citoyens et des peuples bien ordonnés.<p>Nous avons ainsi examiné les conditions de possibilité de l’application de la théorie de la justice politique de Rawls pour une intégration politique réussie à l’échelle interne, en République Démocratique du Congo, et au niveau international ou supranational des Etats de l’Afrique centrale. Il ressort que la mise en place des institutions politiques, économiques, socioculturelles viables, de l’Etat de droit et du modèle de la démocratie représentativo-délibérative constituent, à notre sens, des préalables indispensables en vue de postuler, à un second niveau, une intégration politique supranationale dans la sous-région de l’Afrique des Grands Lacs caractérisée par des guerres récurrentes interétatiques. Les principes rawlsiens du droit des peuples peuvent aider à repenser la politique étrangère des pays de la sous-région de l’Afrique centrale et celle des organisations supranationales existantes. <p>Néanmoins, nous avons soutenu que l’application de certains principes rawlsiens du droit des peuples, comme celui du respect des traités et des engagements, nécessite que ceux-ci soient signés au sein d’une « fédération pacifique » des Etats. En effet, dans l’entendement d’Emmanuel Kant, des traités signés dans une « fédération pacifique » mettent fin à la fois aux guerres présentes et futures.<p>Dans cet ordre d’idées, nous avons souligné qu’une « fédération pacifique » des Etats pourra créer un cadre important pour l’émergence d’une « communauté de sécurité » au sens deutschien du terme, nécessaire pour la paix durable dans la sous-région de l’Afrique des Grands Lacs. La « communauté de sécurité » préconise que les Etats entretenant des relations réciproques ne recourent pas à la violence physique et règlent leurs problèmes par des « mécanismes de changement pacifique ». Dans cette logique, la guerre n’est plus facilement envisageable. De plus, nous avons estimé, en nous inspirant d’Habermas, qu’il est pertinent que les pays de l’Afrique centrale s’engagent sur la voie de l’« afrofédération », assurant la transformation des traités interétatiques conclus en une Constitution politique que chaque Etat de la fédération devra respecter.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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