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Le concept répétition du possible: Heidegger, Kierkegaard, Nietzsche

Daskalakis, Konstantios 08 May 2012 (has links)
A partir de 1919, Heidegger élabore plusieurs projets temporels grâce à une phénoménologie herméneutique caractérisée par la fonction méthodique de l’indication formelle, dont la dernière communication date de 1930. Dans ces projets, on trouve à plusieurs reprises la notion de répétition. Plusieurs commentateurs considèrent Kierkegaard comme source de la répétition heideggérienne tandis que d’autres se réfèrent à Nietzsche. Heidegger emploie le terme Wiederholung, Kierkegaard la notion Gjentagelse, et Nietzsche les notions Wiederkehr, Wiederkunft et Wiederholung. L’expression précise « répétition du possible » se trouve dans certaines œuvres des trois penseurs, et s’insère dans des projets temporels différents. La possibilité, en dehors de sa signification modale, décrit depuis Aristote un caractère de l’étant, en corrélation avec le phénomène fondamental qu’est le mouvement. Tant Kierkegaard que Nietzsche, et par la suite Heidegger, ont abordé la question de la mobilité comme thème fondamental dans leurs recherches, pour promouvoir la possibilité en tant que possibilité. Chez les trois penseurs, répétition n’est pas itération, ni retour de la même facticité empirique, mais répétition de la possibilité. Par l’expression « répétition du possible », il s’agit de décrire un mouvement temporel, accordant un sens spécifique au passé, et même à l’histoire. Ce mouvement temporel non objectivable, précède nécessairement le temps uniforme linéaire qui a déterminé la conception classique du temps depuis Aristote. Nécessairement mien, et à la fois continu et discontinu, ce mouvement qui, par son essence ne se manifeste que rarement, tient ensemble passé et futur autour de l’instant privilégié. L’instant, lié à la possibilité d’une décision qui ne se réfère pas à l’attente devant la réalisation des possibilités quotidiennes, a pour enjeu l’entièreté de la vie, visant la transformation de la vie et la constitution de l’homme. De cette manière dans différents projets chez les trois penseurs, la répétition et l’instant font entrer en jeu la question de la liberté. La conceptualité, ce qui revient à dire, la méthode de cette pensée temporelle, s’avèrent tellement importante, de sorte que cette pensée devient accessible grâce à une communication « indirecte » qui demande une contribution essentielle du lecteur. Le travail envisage l’affinité des trois penseurs tant à travers le caractère indirect de la communication de la temporalité que la tâche d’assumer le passé. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Beckett, Barthelme, and Vonnegut : finding hope in meaninglessness

Britten, Alex M. 16 April 2012 (has links)
This thesis is a study of the shifting philosophical trends in the works of Samuel Beckett, Donald Barthelme, and Kurt Vonnegut as representations of a greater shift from modernism to postmodernism. I have chosen to explore Beckett's plays Waiting for Godot and Krapp's Last Tape, Barthelme's short stories "Nothing: A Preliminary Account," "The New Music," and "Kierkegaard Unfair to Schlegal," and Vonnegut's book Timequake to see how each author seeks to find a new hope in the face of a collapsed causal system. This work is an examination of the form and content of each author's work as it pertains to their own philosophical standing and in relation to the other two authors' works. I argue that each author finds a different hope for humanity depending on their place among the philosophical trends during their time. / Graduation date: 2012

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