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Unification et adaptation locale des systèmes de contrôle dans les entreprises multinationales : Le cas des filiales situées à Singapour

Lugagne-Delpon, Nathalie 01 January 1996 (has links) (PDF)
La thèse cherche à répondre à deux questions : (1) dans quelle mesure les systèmes de contrôle en place dans les filiales d'entreprises multinationales sont-ils à la fois unifiés à ceux de leur entreprise mère et adaptés aux contraintes de l'environnement local ? (2) quels facteurs influencent-ils l'unification des systèmes de contrôle au sein des entreprises multinationales et l'adaptation locale de ces systèmes dans les filiales ? Une définition opérationnelle élargie du concept de système de contrôle est adoptée, intégrant des domaines traditionnellement réservés à la gestion des ressources humaines. L'étude empirique se fonde sur l'analyse des perceptions des dirigeants de 50 filiales, situées a Singapour, d'entreprises américaines, européennes et japonaises. Elle combine des techniques qualitatives et quantitatives. 3 groupes de filiales sont mis en évidence : les filiales dont les systèmes de contrôle sont unifiés à ceux de leur entreprise mère, les filiales dont les systèmes sont fortement influencés par les pratiques locales et les filiales dont les dirigeants insistent sur la mise en œuvre sélective et progressive des politiques "parentales". Parmi les facteurs d'influence identifiés, apparaissent de manière forte la normalisation des systèmes au sein de l'entreprise multinationale, la perception d'une importante distance culturelle entre les expatriés et les locaux et la socialisation des employés locaux. Se détachent également de très nets profils nationaux.
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Un nouveau droit de la négociation collective : essai sur la négociation organisationnelle

Kappopoulos, Ioannis 01 October 2010 (has links) (PDF)
La négociation collective est une pratique apparue, en France, à l'aube du XXe siècle. Elle compense au niveau collectif le déséquilibre entre employeur et salarié inhérent à tout contrat de travail individuel. L'essor de la pratique conventionnelle a conduit le législateur à élaborer un véritable droit de la négociation collective tendant à l'amélioration des conditions de vie et de travail des salariés.Depuis 1982, la négociation collective a également pour finalité l'amélioration de l'organisation de l'entreprise et des relations de travail. Les accords collectifs organisationnels défendent des intérêts plus généraux tels que l'intérêt de l'entreprise ou de la société et non plus uniquement l'intérêt catégoriel des salariés. Ils peuvent ainsi créer des obligations à la charge des salariés ou contenir des dispositions qui leurs sont moins favorables.Pour permettre aux accords organisationnels de développer pleinement leurs effets, le législateur a réformé les règles protectrices des salariés et autorisé les accords collectifs - notamment d'entreprise - à déroger, dans un sens moins favorable, à la loi ou à un accord supérieur.Cette étude a pour objet de démontrer qu'une autre voie était possible. En effet, la consécration des accords organisationnels pouvait se réaliser sans porter atteinte aux règles protectrices des salariés, traditionnellement inhérentes au droit du travail. Néanmoins, le caractère potentiellement dérogatoire ou " donnant-donnant " des accords organisationnels obligeait à réformer les règles relatives à leur légitimité.
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Engagement organisationnel et distanciation sociale : analyse interprétative de la situation expérimentée par des agents de service en centre d'appel /

Marcoux, Gilles. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. [297]-310. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Le rôle des instances intermédiaires du secteur de la métallurgie au Québec dans la régulation de l'économie et de l'emploi /

Gauthier, Christine. January 2003 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. [169]-[174]. Publié aussi en version électronique.
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La responsabilité sociale de l'entreprise : enjeux, stratégies, impacts / Corporate social responsability : stakes, strategies, impacts

Petit, Aurélien 18 October 2013 (has links)
Cette thèse examine la Responsabilité Sociale de l'Entreprise (RSE), précise ses enjeux, étudie les stratégies de communication de ses acteurs et détermine les conditions de l'impact financier des informations Environnementales, Sociales et de Gouvernance d'entreprise (ESG). Le premier chapitre discute des théories du bienfondé de la RSE puis présente plusieurs faits stylisés sur ses sources, sa localisation, son lexique et son évolution temporelle. Le deuxième chapitre propose une nouvelle grille de notation de la performance extra-financière des entreprises, tenant compte de spécificités sectorielles. Ainsi, l'environnement y est plus fortement pondéré pour les entreprises pétrolières que pour les banques, où la gouvernance est l'enjeu principal. Le troisième chapitre analyse les stratégies de communication RSE des entreprises, des médias et des ONG. Lorsqu'elles sont critiquées par des sources externes sur l'un des critères ESG, les entreprises font profil-bas sur ce critère et contre-attaquent en divulguant plus d'informations sur les autres critères. Au sein d'un secteur, les firmes sont moutonnières sur leur critère ESG majeur; tandis qu'on observe des comportements de passager clandestin sur les critères mineurs. A double-tranchant, leur communication sur leur critère majeur a un effet positif sur leurs relations publiques, mais les expose aussi aux attaques externes. Le dernier chapitre examine l'impact des divulgations d'informations ESG sur la rentabilité des firmes. Globalement, seules les informations négatives divulguées par les médias ont un impact significatif à court terme, négatif. La carotte est donc mieux répercutée que le bâton et les annonces des firmes et des ONG ne sont pas sources de rentabilités anormales. La réputation ESG des entreprises dans les médias est un bouclier de bienveillance contre les pertes liées aux évènements ESG négatifs. La proximité linguistique et le lexique des titres des annonces modulent également leur impact. / This thesis investigates Corporate Social Responsibility (CSR), specifies its stakes, examines the communication strategies of its actors and determines the conditions of the financial impact of Environmental, Social and corporate Governance (ESG) news. The first chapter discusses the CSR theories and provides several stylized facts about its sources, its location, its lexicon and its temporal evolution. The second chapter proposes a new grid of extra-financial business rating, taking into account sectorial specificities. Thus, environment is more heavily weighted for oil companies than banks, where governance is the main issue. The third chapter analyzes the CSR communication strategies of firms, media and NGO. When criticized by external sources on one ESG concern, companies adopt a low-profile on this criterion and counter-attack by disclosing more information on the other criteria. Within a sector, firms are sheep like on their ESG major concerns; while they adopt free-riding behaviors on the minor criteria. Double-edged, firms' disclosures on major concerns have a positive effect on their public relations, but also expose them to external attacks. The final chapter examines the impact of ESG information disc10sure on the financial profitability of firms. Overall, only negative information disclosed by the media have a significant negative impact in the short run. The carrot is better reflected than the stick and the announcements of firms and NGO are not a source of abnormal returns. The firms' ESG reputation in the media is a goodwill shield against the losses following negative ESG events. Linguistic proximity and the lexicon of announces' titles also modulate their impact..
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Impact de l'évolution du capital social sur la création de valeur de l'entreprise familiale au cours de la phase de transmission / Impact of social capital evolution on family business value creation during transmission period

Karray, Sana 16 December 2015 (has links)
L’importance de l’entreprise familiale (EF) et la légitimité de ce champ de recherche ne sont plus à démontrer. L’EF est une forme dominante dans plusieurs tissus économiques, dont celui de la Tunisie. La succession de l’EF a constitué un axe majeur de recherche dans ce champ. La transmission implique à la fois des enjeux économiques et sociaux inhérents à la survie de l’EF aux générations suivantes. Durant la dernière décennie, une série conséquente de travaux s’est intéressée à l’étude de l’EF et de sa transmission suivant l’approche par les ressources (Salvato et Melin, 2008 ; Sirmon et Hitt, 2003 ; Cabrera-Suarez et al, 2001). L’identification des ressources cruciales pour ce type d’entreprise, et la transmission de ces ressources constituent deux questions fondamentales pour cet axe de recherche. Le capital social, en tant que ressource caractérisant l’imbrication de la sphère familiale avec celle des affaires, a été identifiée comme ressource cruciale de l’EF (Pearson et al, 2008 ; Arrègle et al, 2007). Le capital social de l’EF se caractériserait par une certaine stabilité, liée à la longévité du fondateur, mais accuserait, également, un moment critique lors de l’entrée du successeur. Cette recherche se propose d’enrichir la compréhension de la phase de transmission en s’intéressant à l’évolution du capital social intra-organisationnel de l’EF, suite à l’entrée du successeur. Notre étude s’inscrit dans la continuité des travaux mobilisant la théorie de Nahapiet et Ghoshal (1998). Cette théorie avance que le capital social est une ressource déterminante de la création de valeur des organisations. Notre recherche ambitionne d’explorer l’évolution de la relation entre le capital social de l’EF et sa création de valeur, suite à l’entrée du successeur. Nous avons mené une étude longitudinale, sur une période de 18 mois, auprès de quatre EF où le successeur a récemment rejoint l’entreprise. Deux groupes de cas sont identifiés suivant le niveau de création de valeur de l’EF. Le premier groupe a révélé des évolutions remarquables au niveau des dimensions structurelle et cognitive du capital social. L’évolution de la création de valeur dans les deux cas de ce groupe s’est manifestée à travers des innovations produits, des innovations organisationnelles et de nouveaux choix stratégiques. Le deuxième groupe a révélé une évolution moins remarquable de la dimension structurelle du capital social et une certaine stabilité des dimensions relationnelle et cognitive. L’évolution de la création de valeur a été timide dans les deux cas de ce groupe. Nos observations confortent certaines propositions théoriques avancées par Nahapiet et Ghoshal (1998) sur la relation entre le capital social et la création de valeur. Nos résultats révèlent, également, que l’évolution du capital social engendrerait de nouveaux choix stratégiques dans certains cas. / The legitimacy and the importance of family business (FB) research have become obvious. FB is a dominating form in many countries, including Tunisia. Among the different family business trends, FB transmission constitutes the most important research field. FB transmission and survival involves economic and social challenges for the family, the society and the entire economy. Since the last decade, a bundle of studies mobilized the Resource Based View for FB and transmission research (Salvato & Melin, 2008; Sirmon & Hitt, 2003; Cabrera-Suarez & al, 2001). Two main questions constituted the background of those studies: Which resources are supporting the FB competitive advantages? And, how those resources are transmitted to preserve FB sustainability? Social Capital was considered as crucial resource for FB (Pearson et al, 2008; Arrègle et al, 2007). According to those authors, social capital is a resource formed and shaped by the overlap of the family and the business spheres. Since FB is governed by the founder during a long period, its social capital would be characterized by some stability. However, the successor’s entry is a critical moment for this social capital as well as the FB. Our research aims at enhancing our understanding of the FB transmission through observing the social capital evolution after the successor’s entry. Our study is based on the social capital theory suggested by Nahapiet & Ghoshal (1998). This theory assumes that social capital is a crucial resource for organization value creation. Our study explores the evolution between social capital and FB value creation after the successor’s entry. Four longitudinal case studies were performed, during 18 months, on FBs where the successor recently joined the company. Our evidence reveals a social capital evolution for each case. According to the value creation evolution, two subgroups are identified. The first group revealed remarkable evolutions of the structural and cognitive dimensions of social capital. The value creation evolution in this group of two cases concerns product innovation, organizational innovation and new strategic choices. However, the second group revealed less important evolution in the structural dimension of social capital. The cognitive and relational dimensions of social capital were quite steady and the value creation evolution was limited in this second group of two cases. These findings confirm some theoretical propositions suggested by Nahapiet & Ghoshal (1998) regarding the relation between social capital and value creation. Moreover, these results suggest that social capital evolution would entail new strategic choices and innovations.
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L'information environnementale communiquée par l'entreprise : contribution à l'analyse juridique d'une régulation / Corporate environmental disclosure : contribution to the legal analysis of a regulation

Epstein, Aude-Solveig 27 November 2014 (has links)
Alors que les obligations d’information environnementale imposées aux entreprises prolifèrent, le phénomène semble placé sous les auspices du désordre et de l’imperfection. Ces informations peinent à se couler dans les catégories du système juridique et il est difficile d’envisager en parfaire le régime en s’en remettant aux objectifs qui leur sont assignés. Ces derniers sont effectivement si divers que le sens de la communication d’informations environnementales par l’entreprise semble indéterminé. Cette indétermination est corrélative à l’ambiguïté foncière du développement durable et de la responsabilité sociale des entreprises (RSE). Ainsi, plutôt que d’imprimer un sens particulier à la RSE en imposant aux entreprises des obligations de faire, les autorités publiques misent sur des obligations de dire particulièrement flexibles pour conduire les acteurs à expérimenter de nouvelles manières de conjuguer préoccupations environnementales et économiques. Derrière la prolifération désordonnée de l’information environnementale communiquée par l’entreprise, se dessine ainsi l’expérimentation, encore tâtonnante mais perfectible, d’une régulation informationnelle de l’environnement. Cette régulation s’analyse comme le produit de la convergence entre ces deux lames de fond que constituent l’essor de l’information d’une part, et de l’environnement de l’autre, dans nos représentations de la société, du droit et de l’entreprise. Dans le sillage de cette rencontre, une nouvelle image de l'entreprise s'esquisse qui appelle à repenser sa gouvernance et ses responsabilités. Dans le même temps, s'impose une relecture des concepts fondateurs et des objectifs du droit de l'environnement. / Corporate environmental disclosure has become an inescapable phenomenon both in the business world and on the legal landscape. But when looked at through the lens of the jurist, this phenomenon seems essentially imperfect and disordered. Environmental informations disclosed by corporations do not fit easily into classical juridical categories. And given the most diverse objectives ascribed to these informations, it is seriously questionable that a functional analysis could enhance their legal regime’s coherence. This functional indeterminacy does not occur by accident and it doesn’t seem temporary. Rather, it appears as the necessary corollary of sustainable development’s and corporate social responsibility’s (CSR) inherent ambiguity. Instead of giving CSR a specific meaning by compelling corporations to act responsibly in this or that particular way, public authorities design flexible obligations urging companies to explain how they, for their part, understand their own environment and reconcile it with their perception of economic constraints. The apparently disordered proliferation of corporate environmental disclosure is thus disguising the rise of an environmental regulation by disclosure. Advancing by trial and error and thus still perfectible, this regulation stands at the crossroads of two major strands : the increasing role that both information and the environment play in our representations of society, of the law and of the corporation. In the wake of this encounter, a new image of the corporation takes shape which implies to rethink its governance and its liabilities, while environmental law’s key concepts and objectives need to be read anew.
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Collective production processes, cooperation and incentives : experimental explorations / Processus de production collectifs, coopération et incitations : explorations expérimentales

Chalvignac, Benoît 10 December 2012 (has links)
L'étude des processus de création de connaissances souligne la complexité des interactions individuelles au sein des organisations productives. Cette complexité est telle que les théories de l'entreprise basées sur les incitations, focalisées sur les problèmes de traitement de l'information, peuvent ignorer une part substantielle des facteurs de décision individuels intervenant dans le contexte de l'apprentissage organisationnel, et plus largement dans les processus de production collectifs. Nous utilisons dans cette thèse la méthode expérimentale pour étudier les déterminants de la coopération, afin d'affiner les hypothèses comportementales sur lesquelles sont basées les théories économiques de la production collective. Nous montrons que les deux visions de la coopération portées par les théories de l'entreprise - un comportement devant être extrait d'intérêts divergents et une propriété émergente découlant des interactions sociales entre agents – sont étayées par les résultats expérimentaux. Par conséquent, nous concluons que les deux approches devraient être retenues et éventuellement intégrées dans un cadre d'analyse plus large. / The study of knowledge creation processes has pointed to the complexity of individual interactions within productive organizations. This complexity appears to be such that incentive-based theories of the firm, which focus on information processing issues, may fail to grasp a substantial part of the individual decision-making involved in the context of organizational learning, and more broadly in collective production processes. In this thesis we use experimental methods to study the determinants of cooperation, in order to refine the behavioral assumptions on which economic theories of collective production are based. We show that the two visions of cooperation embodied in competing theories of the firm - a behavior to be elicited from diverging interests and an emergent property stemming from social interactions among agents - find support from the laboratory experiments. Accordingly, we conclude that both approaches should be upheld and possibly combined in a broader, integrative, analytical framework.
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Essays on the Economics of Innovation

Ince, Ela 17 September 2021 (has links) (PDF)
The thesis brings together three independent essays on the economics of innovation. I analyse the impact of competition on firm-level innovation (chapter 1) and the impact of different types of innovation on firm performance (chapter 2) looking at the top business R&D spenders of the world. I, then, switch my focus on researchers and analyse the determinants of brain drain in Europe (chapter 3).The first chapter is co-authored by Anabela Santos (European Commission) and Michele Cincera (ULB) and aims at assessing the impact of competition on firm-level innovation. The sample is composed of the world top corporate R&D spenders listed in the EU 2017 industrial R&D Scoreboard, and the analysis covers the years spanning from 2007 to 2016. We use an industry-year indicator, the inverse of the Lerner Index, as the indicator of competition for these firms that are leading in innovation efforts in the industries they are operating at the worldwide. R&D expenditures are used as the proxy for innovation. Model is estimated using two-stage least squares, to control for potential endogeneity of the competition indicator. Results confirm the existence of an inverted-U shaped relationship between competition and innovation. Further analysis is undertaken splitting the overall firm sample into services and manufacturing sectors according to technology and knowledge intensities and into the country of headquarters. We validate the inverted-U shaped relationship between competition and innovation for the firms in medium-high- and high-tech manufacturing sectors whereas we do not observe this impact for the firms operating in medium-low- and low-tech manufacturing sectors nor in services sectors. We also find differences in innovation behaviour of firms headquartered in the EU, US, Japan and China. While the inverted-U shaped relationship is highly pronounced for the Chinese firms, we find the U shaped impact of competition on the innovation of the EU and Japanese firms.The second chapter brings together firm-level R&D spending information with patent information, and aims at investigating the impact of different types of patented inventions on firm output growth performance controlling for R&D spending and other firm financials. The firm sample is sourced from the EU 2014 Industrial R&D Scoreboard that brings together the leading private sector R&D investors of the world. The analysis covers the years from 2005 to 2010. I consider forward-looking patent value indicators of breakthrough and general innovation using 7-year citation window, and backward-looking patent value indicators of originality and radicalness in innovation activities. Firm performance is estimated through a Cobb-Douglas production function. I allow for non-linearity in the relationship between innovation strategy and firm performance, and investigate sectoral heterogeneity looking at the impact in health industries and ICT producers. Models are estimated using two-stage least squares and generalised method of moments to control for potential endogeneity of innovation indicators. The findings confirm certain non-linearities and sectoral heterogeneities in the relationships between the different types of innovation and firm performance. ICT producers are growing with breakthrough innovations, generality and novelty in innovation process supporting the general-purpose technology feature of ICT. I, however, do not find a positive impact of technological breakthroughs nor a specific trend of generality and novelty in innovation process on productivity of pharmaceutical and biotechnology firms in the sample.The third chapter is co-authored by Christophe Colassin (ULB) and Michele Cincera (ULB) and aims at analysing the determinants of brain drain in Europe where there exists unbalances and polarisation between the States in terms of attractiveness for researchers despite the common policies and practices put in place by the European Union. The information about the mobility outflows are sourced from Centre for Science and Technology Studies and concern the year 2019. In order to analyse the macroeconomic determinants of mobility of researchers, the chapter brings together information from various data sources that attribute country-level values to the potential determinants of mobility outflows. We use a gravity model framework to detect quantitatively the pull and push factors of researchers' mobility including the 28 EU Member states in the time of analysis, and 3 additional Schengen countries, Norway, Iceland and Switzerland. In addition to the cultural and geographic proximity, we find that a country’s researcher base, entrepreneurial opportunities, knowledge intensity, public R&D spending and international collaborations increase the mobility of researchers within Europe whereas non-academic placements of researchers and the perception of virtual mobility as an alternative decrease the mobility. Researchers from countries with attractive research systems, more innovative private sector and more female researchers are found to be more mobile, whereas, the ones with higher GDP growth rates are less. We find that satisfaction with the recruitment process and the salary levels are decreasing factors for the mobility outflows. Finally, while fixed-term contracts in academia are found to be a factor that decreases the attractiveness; satisfaction with recruitment process, existence of the top R&D spending enterprises in the economy, and the freedom of academic exchange and dissemination are the factors that increases the attractiveness of a country for mobility inflows. / Doctorat en Sciences économiques et de gestion / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Trois essais sur l’influence des stratégies d’entreprises sur la performance des filiales / Three essays on how firms' strategies affect the performance of subsidiary businesses

Zavosh, Ghahhar 10 April 2019 (has links)
Cette thèse examine la façon dont les choix stratégique des firmes multi-établissements affectent la performance de leurs filiales et contribuent aux débats récurrents liés à la pertinence et l’importance de la stratégie d’entreprise. Dans le premier chapitre, nous nous intéressons à savoir le poids relatif des décisions stratégiques des sièges sociaux sur la performance de leurs établissements. Nous montrons l’incapacité des méthodes traditionnelles à rendre compte efficacement des effets entreprises. Nous soutenons en effet que les études précédentes sous-estiment systématiquement les effets entreprises car elles ne tiennent pas compte de l’hétérogénéité de l’impact des décisions des sièges sociaux sur leurs filiales. Une filiale peut recevoir une part très différente des ressources de l’entreprise. Par conséquent, le fait d’étudier toutes les filiales comme s’il s’agissait d’un seul groupe sous-estime systématiquement les effets entrepris. Nous soutenons plutôt qu’il est important de tenir compte de la variance induite par l’entreprise sur la performance des filiales. Nous appelons cette variance induite « effet entreprise variant », et montrons qu’elle est tout aussi importante que la valeur des effets entreprise standards, à savoir « les effets entreprise invariants ». Dans le deuxième chapitre nous nous sommes intéressés au débat relatif à l’efficacité des marchés de capitaux internes, comme une des sources essentielles d’hétérogénéité de la performance des filiales. La question centrale du débat consiste à discuter les modalités d’allocation optimale du capital. Les études empiriques mettent en évidence des montants d’allocation très au-dessus des niveaux optimaux dans des filiales qui ont des niveaux de croissance apparemment relativement faibles. Tenant compte à la fois du degré d’incertitude auquel une firme est confrontée lorsqu’elle décide d’allouer son capital et du niveau d’interdépendance de ses filiales, nous distinguons « les déviations inefficaces » des « déviations non nécessairement inefficaces ». Nous expliquons que les déviations par rapport à la logique de sélection des gagnants dans les décisions d’allocation de capital peuvent simplement refléter des intentions stratégiques différentes plutôt que des inefficacités d’allocation. De plus, nous soulignons le rôle de l’ampleur de l’expérience antérieure des dirigeants dans le domaine des filiales, en tant que source de compétences en allocation de capital des firmes, dans l’atténuation des déviations inefficaces et l’augmentation de la valeur de la corporation grâce à de meilleures pratiques d’allocation du capital. Le troisième chapitre incorpore les ressources financières à la théorie de redéploiement des ressources. La théorie standard a exclu les ressources financières qui, par définition, peut être allouée et ré-allouées à tout type d’investissement sans contrainte. Nous soutenons toutefois que, lors de l’affectation vers l’une de ses filiales de ressources financières à des investissements imparfaitement fongibles ou divisibles, telles que le capital physique, tel que des usines ou des technologies, le siège social achète également l’option de redéploiement de ces mêmes ressources dans le futur. En effet, le choix d’investissement présent doit être réalisé en tenant compte des coûts de redéploiement éventuels dans le futur. Par conséquent, la direction des flux de capitaux actuels entre les filiales ne sera pas simplement réalisée en fonction des opportunités actuelles de croissance relative du marché, mais aussi en fonction des coûts d’ajustement due aux redéploiements éventuels entre les filiales dans les périodes ultérieures. Cette extension permet d’étendre le champ d’études empiriques de la théorie du redéploiement de ressources non-financier. En effet, les études empiriques dans ce domaine ont été rares jusqu'à présent en raison du défi que représentent l'observation et la mesure du redéploiement des ressources non financières. / This dissertation deals with how multi-business firms’ strategies affect the performance of subsidiary businesses and contributes to long standing debates in corporate strategy. Overall, each of my 3 dissertation essays are designed to, correspondingly, analyze the debated magnitude, efficiency, and mechanism of the effect of a multi-business firms’ strategies on the performance of its subsidiaries. In the first chapter, I address a root question in corporate level strategy; I question traditional methods to estimate corporate effects (the effect of corporate headquarters on subsidiary businesses’ performance). I argue that previous corporate effect studies fail to account for the uneven impact of corporate decisions on subsidiaries. A headquarters makes conscious and deliberate decisions that might induce performance heterogeneity among its subsidiaries. Consequently, considering all subsidiaries as a bundle will systematically underestimate the corporate effects. Rather, I argue that it is important to account for the firm’s induced variance on the subsidiaries’ performance. We connote this induced variance as “business-variant corporate effects”, and show that they are just as important in magnitude as the value of the standard corporate effects, namely “business-invariant corporate effects”, found in previous studies. In the second essay, I focus on corporate capital allocation as a critical dimension of corporate strategies that might contribute to, within-firm, subsidiaries’ performance heterogeneity. We particularly delve deeper into the internal capital market efficiency debate by extending current theories that aim to justify why headquarters provide more resources to subsidiaries with seemingly lower growth opportunities. Considering both the level of uncertainty a firm faces when making capital allocation decisions, and the level of interdependence among its subsidiaries, we disentangle between inefficient and not-necessarily-inefficient deviations from standard models’ prescription. We explain that higher investments in subsidiaries with seemingly lower growth opportunities may simply reflect different strategic intents rather than allocation inefficiencies. Furthermore, we highlight the role of the breadth of CEOs’ prior experience in subsidiaries’ domain, as a source of firms’ capital allocation competency, in attenuating inefficient deviations and enhancing corporate value through better capital allocation practices. In the third essay, I incorporate financial resources, as a perfectly fungible and divisible resource, within the scope of the resource redeployment theory. Indivisibility and imperfect fungibility of resources play a critical role in the theory and this is why the standard theory has excluded the financial resources from its boundaries. I, however, argue that when allocating financial resources, such as capital, to one of its subsidiaries to acquire non-financial assets such as plants or technology, a corporate headquarters also purchases the option to redeploy those same resources in subsequent periods. Therefore, the direction of current capital flow among subsidiary businesses will not merely be a function of their current relative market growth opportunities. Rather, it is a function of the adjustment costs of potential resource redeployments among the subsidiaries in subsequent periods. My extension of the resource redeployment theory to include intrafirm capital allocations paves the way for further empirical investigations of the theory; that have been scarce so far, due to the challenge of observing and measuring the redeployment of non-financial resources. In turn, studying intrafirm capital allocations through the lens of RR theory helps us further develop and offer novel predictions for the theory.

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