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"Dieu(x) et l'Un conscient" : une approche de la maladie mentale en art / Non communiqué

Potherat, Fabienne 11 December 2010 (has links)
Notre étude fait suite à celle de notre D.E.A : « La ruine comme fondement », en traversant les champs croisés de la psychanalyse et de l’esthétique de l’art. Nous poursuivons le postulat analytique qui est que l’être se forme à travers la division de ses parties internes, inconscientes, ou peu conscientes et non à travers l’unité de son moi conscient. Notre étude consacre en deux parties, cette distinction fondamentale entre l’être social : “l’Unité idéalogique” et l’être créateur : « l’unité du conscient ». Nous convions les artistes et les poètes singuliers, tels que M. Rothko,Y. Reynier, J. Bosch, Arrabal, F. Pessoa, F. Kafka, L. de Vinci, F. Bacon, G. Bataille. Nous suivons la mise en forme de cette unité psychologique à l’épreuve de la création, de « la fantaisie » et de la réalité, et les limites frontalières à la toujours possible folie issue de la fragmentation. “Démembrer le corps de l’art” proclame Rothko juste avant de se trancher le bras. Nous nous sommes risqué à la tension inapaisable de l’être chez Pessoa par Heidegger pour qui, Etre, c’est être-étant hors de l’idéalité du dieu transcendental a-figural. Antigone et Œdipe ouvrent la schize … Moïse et Freud la referment. Entre ces figures mythiques, nous accompagnons « l’antre-soi » de Daniela, adolescente autiste du Mas de La Sauvagine de Vauvert et la bulle d’air de Renée, jeune patiente schizophrène de Marie Andrée Sechehaye. Ces « études de cas »nous permettent dans un premier temps de poser ce qui fait sens comme « unité » et de comprendre de façon dialectique comment cela s’articule à la notion de désir d’être et d’être de désir. / Non communiqué
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Propriétés physico-chimiques et caractérisation des matériaux du ‘sfumato'

De Viguerie, Laurence 02 November 2009 (has links) (PDF)
La technique du sfumato, de Léonard de Vinci, permet, par un jeu subtil des ombres et des lumières, de créer un effet vaporeux ‘sans lignes, ni contours, à la façon de la fumée'. Léonard de Vinci, pour la réalisation des ombres des carnations, superpose des glacis, fines couches de peintures translucides, composés d'un pigment sombre et très riches en liant organique. Les livres de recettes et traités de peinture anciens constituent une première source d'informations sur cette technique. La reconstitution de certaines recettes de liants suivie par la caractérisation de leurs propriétés rhéologiques et mécaniques a permis de mieux comprendre la formulation des glacis. Les critères définis par l'industrie des peintures peuvent être utilisés comme autant d'indices pour retrouver les recettes des peintres des siècles passées. L'analyse de prélèvements peut apporter certaines informations sur la formulation des couches picturales chez Leonard de Vinci et ses contemporains. La combinaison de deux méthodes d'analyse par faisceau d'ions (PIXE et BS) permet d'obtenir la proportion liant-pigment d'une couche de peinture, information jusqu'alors non accessible. Enfin, des œuvres de Léonard de Vinci ont été analysées de façon quantitative par spectrométrie de fluorescence des rayons X. En considérant l'atténuation des rayons X par absorption, il est possible de calculer la composition et l'épaisseur des couches à partir d'une modélisation de la stratigraphie de l'œuvre.
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Le sens du sensible. Essai de théorisation d’une philosophie de l’art à partir de la peinture renaissante / Sense and sensitive shape : An attempt at theorising philosophy of art based on Renaissance painting

Gress, Thibaut 06 December 2011 (has links)
Il s’agit dans cette thèse de penser les conditions de possibilité d’une philosophie de l’art à partir d’un examen précis et rigoureux de la production artistique picturale de la Renaissance italienne. Cherchant d’abord à définir une méthode, nous étudions en détail les présupposés de l’iconologie afin d’établir ce qui nous en semble être les limites. Puis, forts de cette analyse, nous en déduisons la nécessité d’une philosophie de l’art qui, loin de se contenter d’une analyse érudite de l’icône, cherche à extraire la signification de l’œuvre à partir de sa forme sensible. Si les pensées de Platon, Hume et Kant nous semblent échouer à proposer pareille démarche, les leçons de Hegel consacrées à l’Esthétique nous offrent un schéma analytique opérant, grâce auquel l’espace, le dessin et le coloris fournissent le lieu même à partir duquel peut surgir le sens. C’est ainsi que les œuvres de Fra Angelico, Botticelli, Léonard de Vinci et Michel-Ange constituent le matériau artistique grâce auquel nous mettons à l’épreuve la pertinence du triptyque espace-dessin-coloris, tel qu’il fut élaboré par Hegel. En outre, ce sont les pensées philosophiques consacrées au lieu, à la lumière ou encore à la couleur que nous convoquons – tant chez Thomas d’Aquin que chez Marsile Ficin, chez Albert le Grand que chez Plotin, chez Aristote que chez Nicolas de Cues – afin de proposer un sens philosophique des œuvres picturales, que ne nous semblent paradoxalement pas pouvoir délivrer les théories de l’art que proposent ces derniers. Chercher le sens philosophique des œuvres à même leur sensibilité et non dans une théorie de l’image, tel est donc le projet essentiel de cette thèse. / This thesis discusses the conditions of possibility for a philosophy of art based on a precise and rigorous analysis of the pictorial artistic production of the Italian Renaissance. After attempting at defining a method, the presuppositions of iconology are studied in detail with a view to establishing what appear to be their limits. On the basis of this analysis, the author deduces the need for a philosophy of art which, rather than just carrying out an erudite analysis of the icon, endeavours to extract the meaning of a work of art on the basis of its sensitive shape. While Plato, Hume and Kant’s thoughts seem to fail in proposing such an approach, Hegel’s teachings dedicated to aesthetics offer an operational analytical framework, thanks to which space, drawing and colour provide the very place out of which sense can come into being.Hence the works of Fra Angelico, Botticelli, Leonardo da Vinci and Michelangelo constitute the artistic material out of which the relevance of the space-drawing-colour triptych, as developed by Hegel, is put to the test. Furthermore, reference is made to the philosophical thoughts on space, light and colour – as expressed by authors like Thomas Aquinas, Marsilio Ficino, Albert the Great, Plotinus, Aristotle and Nicholas of Kues – with a view to proposing a philosophical sense of pictorial works of art, which paradoxically the theories of art provided by these authors do not seem able to deliver. It is the fundamental aim of this thesis to look for the philosophical sense of works of art through their own sensitiveness and not through a theory of the image.

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