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Les voies processionnelles de Thèbes /Cabrol, Agnès. January 2001 (has links)
Extrait de: Th. doct.--Hist.--Lille 3, 1995. / Bibliogr. p. 777-788. Index.
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Lone Star Booster: The Life of Amon G. CarterCervantez, Brian 12 1900 (has links)
Abstract
Though a very influential Texan during the first half of the twentieth century, Amon Carter has yet to receive a full scholarly treatment, a problem which this dissertation attempts to rectify by investigating the narrative of Carter’s life to see how and why he was able to rise from humble beginnings to become a powerful publisher who symbolized boosterish trends within Texas and the New South. Publisher of the Fort Worth Star-Telegram, philanthropist, oilman, and aviation supporter, Carter used his power and influence to become a leading booster of his city and region seamlessly making the transition from being a business progressive to New Deal supporter to an Eisenhower Democrat. His connections with corporations like American Airlines and General Motors helped bring aviation and industry to his region, and his ability to work with public and private entities helped inspire his failed attempt to make the Trinity River navigable up to Fort Worth. His own success at building the Star-Telegram into the largest circulating newspaper in Texas encouraged him to expand his media empire into radio and television, while the wealth he gained from his oil activities enabled him to form a philanthropic foundation that would provide support for Fort Worth’s medical, cultural, and educational needs for the future. Possessing a life marked by both success and failure, it is clear throughout this dissertation that Carter embodied the idea of the New South civic booster, a figure who at once promoted his goals for his city and region while understanding how this fit within the larger national context.
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Les divines épouses d'Amon dans l'Égypte de la XIXe à la XXIe dynastie /Gosselin, Luc, Yoyotte, Jean, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse--Égyptologie--Paris 3, 1994. / Bibliogr. p. 315-334. Index.
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Le clergé féminin d'Amon thébain à la 21e dynastie /Naguib, Saphinaz-Amal. January 1989 (has links)
Th.--Bergen, 1989. / La couverture porte pour adresse et date : "Oslo : Etnografisk museum, 1988" Bibliogr. p. 334-364. Index.
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Les cultes royaux dans le domaine d'Amon-Rê à Karnak au Nouvel EmpirePalau, Magali January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Argante of Areley Kings: Regional Definitions of Nationalism in La¿¿¿¿amon's BrutWaymel, Rachel M. 26 July 2011 (has links)
No description available.
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Amon Carter: The Founder of Modern Fort Worth, 1930-1955Cervantez, Brian 05 1900 (has links)
From 1930 to 1955, Amon Carter, publisher of the Fort Worth Star-Telegram, exerted his power to create modern Fort Worth. Carter used his stature as the publisher of the city's major newspaper to build a modern city out of this livestock center. Between 1930 and 1955, Carter lobbied successfully for New Deal funds for Fort Worth, persuaded Consolidated Aircraft to build an airplane plant in the city, and convinced Burlington Railways to stay in the city. He also labored unsuccessfully to have the Trinity River Canal built and to secure a General Motors plant for Fort Worth. These efforts demonstrate that Carter was indeed the founder of modern Fort Worth.
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Transkriptive Höranalyse von Geräuschmusik im Gehörbildungsunterricht: Ein Erfahrungsbericht zur Anwendung von Klangfeld-Transkriptionen auf die Musik Amon Tobins und Helmut LachenmannsDreps, Krystoffer 27 October 2023 (has links)
Ein Großteil zeitgenössischer Musik und insbesondere solche, die sich nicht primär auf Tonhöhenrelationen stützt, findet zu wenig Platz im Gehörbildungsunterricht an Musik(hoch)schulen. Das liegt möglicherweise auch daran, dass es kaum methodische Zugänge oder Hilfestellungen dazu gibt. In diesem Artikel wird die Klangfeld-Transkriptionsmethode vorgestellt, mit der Musik zum Unterrichtsthema werden kann, die mit Geräuschen und anderen nicht tonhöhenbasierten Klangtexturen arbeitet. Die Methode geht davon aus, dass die Studierenden das Gehörte als akusmatisch rezipieren, dass sie also die Hervorbringung oder Erstellung der Klänge nicht auf Anhieb nachvollziehen können. Sie verbindet verschiedene Ansätze zum Umgang mit elektroakustischer Musik, musique concrète instrumentale und elektronischer Popmusik im Kontext des Transkribierens. Nach einer kurzen Übersicht über Lehrwerke zur Gehörbildung sowie einem Abriss verschiedener Analyseansätze zu nicht-notierter Musik werden drei Ausschnitte von Werken Amon Tobins und Helmut Lachenmanns mithilfe der Klangfeld-Transkriptionsmethode erläutert und abschließend auf ihr Potenzial hin ausgewertet. / A large part of contemporary music, especially music which is not primarily based on pitch, seems to be missing from current ear training classes in German music academies and music schools. One possible reason for this shortcoming could be the lack of methodological access or support. This article introduces the method of sound-field transcription, which makes music with a high degree of foley, noise, or other non-pitched features accessible for teaching in music classes. The method assumes that students receive aural material primarily acousmatically, not being able to identify the creation or production of the sounds at first hearing. It combines various approaches from different musical genres such as electroacoustic music, musique concrète instrumentale, and popular electronic music on the basis of musical transcriptions. After a short outline of ear training textbooks and various analytical approaches to non-notated music, three excerpts from works by Amon Tobin and Helmut Lachenmann are explicated by the method of sound-field transcription. By conclusion, these analyses are evaluated for their potential.
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Enquête sur l’évolution des cultes d’Amon thébain au Nouvel Empire (1550-1069 avant J.-C.) : iconographie et phraséologie / The evolution of Amun’s cults in Thebes during the New Kingdom (1550-1069 BC) : iconography and phraseologyUeno, Kaori 19 December 2014 (has links)
Dieu majeur du panthéon égyptien, Amon a acquis un prestige sans pareil comme dieu dynastique durant le Nouvel Empire à Thèbes. Depuis sa première attestation certaine au début de la 11ème dynastie, après l’unification des territoires égyptiens, les rois régnants n’ont cessé de lui dédier des monuments, véritables trésors des arts égyptiens. Pendant le Nouvel Empire, la popularité d’Amon diffuse parmi les particuliers des différentes conditions sociales. Ils ont produit de nombreux monuments, variés dans leurs formes, représentant Amon sous divers aspects. Dans une approche concernant l’évolution du culte amonien, nous nous sommes plus particulièrement intéressées à la fonction d’Amon, selon ces différents aspects. Il existe bien sûr des études plus anciennes consacrées à tel ou tel aspect spécifique d’Amon, mais aucune ne donne cependant une vision globale de l’ensemble de ces aspects. Nous avons donc voulu savoir quelle fonction était liée à quel aspect d’Amon, sous forme humaine ou animale. Pour mener ces enquêtes systématiques, nous avons utilisé la méthode statistique, encore peu courante dans l’étude de la religion égyptienne. Comme elle doit s’appuyer sur des exemples en nombre significatif, nous avons choisi la période et le lieu les plus prolifiques pour l’iconographie d’Amon : le Nouvel Empire à Thèbes. Nous avons de plus sélectionné deux types d’objets particulièrement répandus, les stèles et les statues, appartenant à des gens de diverses conditions sociales, afin de comparer le culte amonien selon les différentes catégories sociales. En nous basant sur le croisement de données portant sur plus de 500 monuments, nous avons effectué deux séries d’analyses : une analyse iconographique (type de rite, personnages associés) et une analyse phraséologique (types de formules et épithètes), en tenant compte des datations et des provenances (rive est ou ouest du Nil). Cette analyse a produit des résultats intéressants sur l’évolution des cultes d’Amon à cette période. Nous avons notamment pu mettre en évidence les traitements très différenciés entre les rois et les particuliers dans la façon d’approcher Amon. En somme, les rois ont sélectionné des motifs évoquant des moments importants des cérémonies officielles. Dans la phraséologie d’Amon, qui reste conventionnelle, les rois ont mis en avant l’appellation parentale « fils et père » et la qualité de « souveraineté ». Dans la réalisation de leurs monuments, ils ont voulu s’identifier à Amon anthropomorphe ou dialoguer avec lui une relation réciproque, les plaçant sur un même rang, de manière à manifester leur royauté. Lorsqu’ils optent pour l’aspect animal d’Amon, c’est toujours dans la statuaire et sous la forme criocéphale. Leurs statues portant un objet criocéphale, liées au culte ambulatoire de l’entité divine, ont été installées dans les lieux les plus ouverts au public, à l’inverse des statues royales représentant Amon anthropomorphe, qui sont installées au fond des sanctuaires. Il existait certainement une hiérarchie entre les aspects humain et animal dans la pensée royale.En revanche, les particuliers ont représenté Amon sous divers aspects. Il est l’objet de leurs prières pour régler leurs affaires quotidiennes ou pour assurer leur survie posthume. Ils sont alors figurés dans des scènes d’adoration envers Amon, sous sa forme humaine ou animale et même sous la forme d’animal entier. Les particuliers montrent plus de flexibilité que les rois dans la sélection d’épithètes moins habituelles. Celles-ci manifestent tantôt la qualité de « démiurge », tantôt la qualité d’Amon comme « intercesseur » ou « sauveur » du peuple.Au terme de cette enquête, nous pouvons établir un nouveau corpus raisonné de l’iconographie et de la phraséologie d’Amon. Il nous est désormais possible de différencier les cultes officiels royaux, des pratiques privées et de « piété personnelle » grâce aux préférences montrées par les dédicants pour un type de monument en fonction de leur statut ... / Amun, the deity of the Egyptian pantheon, had acquired unparalleled prestige as a dynastic god in Thebes during the New Kingdom. Since his first appearance at the beginning of the 11th dynasty, after the unification of the Egyptian territories, the kings continued to dedicate the monuments, treasures of Egyptian fine art.During the New Kingdom, the popularity of Amun diffused among individuals with different social status. People produced numerous monuments in various forms of Amun. To explore the evolution of the Amun’s cult, we specifically investigated in the function of Amun, as his different aspects. The previous studies of Amun focused on one particular aspect, but none of them gave an overview of all aspects. We sought which function was related to either human or animal form of Amun. To perform these systematic surveys, we used the statistical method which is still a novel approach in the study of Egyptian religion. To obtain the significant numbers of data, we chose the most prolific time and place for the iconography of Amun : the New Kingdom in Thebes. We selected two types of objects particularly prevalent, stelae and statues which belonged to people from various social ranks. Based on more than 500 monuments data, we conducted two types of researches: iconographic analysis (ritual (ceremonial) type and associated character) and phraseological analysis (formulas type and epithets). We also included date and place (either east or west bank of the Nile). Those analyses revealed interesting results on the evolution of worship of Amun at that time. In particular, we could highlight huge differences between kings and commoners in their methods to approach to Amun.In summary, the kings selected motifs evoking important moments of royal ceremonies. In the phraseology of Amun, which remains conventional, kings emphasize parental appellation "son and father" and the quality of "sovereignty". In carrying out their monuments, they wanted to identify with anthropomorphic Amun or dialogue with him a reciprocal relationship, placing them on the same row, so to show their royalty. The animal form of Amun is only depicted in statuary as the sacred ram-headed form. Their statues presenting the ram’s head object related to the moving of the divine entity were installed in places more open to the public, unlike the royal statues of anthropomorphic Amun, which are installed in places the most sacred in the temple. There certainly was a hierarchy between human and animal aspects in the royal mind.In contrast, commoners valued his various aspects. Amun was the object of their prayers to adjust their daily business or for their posthumous survival. They then depicted in the worshipping scenes of Amun in his human or part-animal form and even in the form of whole animal. The commoners show more flexibility than the Kings in the selection of epithets less common. Theses epithets sometimes showed the quality "demiurge" and sometimes the quality of Amun as "intercessor" or "savior" of the people.The success of this attempt brought a new rational corpus of the iconography and phraseology of Amun. This study revealed that royal official cults was different from private practices and "personal piety" with the preferences shown by devotees for a type of monument, dependent on their status as well as the time.
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