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The road to war : France and Vietnam, 1944-1947 /Shipway, Martin. January 1996 (has links)
Texte remanié de: Th. / Bibliogr. p. 287-295. Index.
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L'Armée de l'air en Indochine (1945-1954) : l'impossible mission /Gras, Philippe, January 2001 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Histoire contemporaine, 1998. / Bibliogr. p. 591-604.
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L'opération Atlante : les dernières illusions de la France en Indochine /Grintchenko, Michel. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire des doctrines stratégiques--Paris--École pratique des hautes études, 2003. / Bibliogr. p. 669-680. Index.
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Les Prisonniers de guerre du corps expéditionnaire français en Extrême Orient dans les camps Viêt Minh : 1945-1954 /Bonnafous, Robert, January 1985 (has links)
Thèse 3e cycle--Histoire--Montpellier III, 1985. / Bibliogr. p. 357-362.
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Les prisonniers de guerre du corps expéditionnaire français en Extrême Orient dans les camps Viêt Minh : 1945-1954 /Bonnafous, Robert, January 1991 (has links)
Th. 3e cycle--Histoire--Montpellier 3, 1985. / Bibliogr. p. 355-360.
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Réparer l’histoire : les combattants de l’Union française prisonniers de la République démocratique du Vietnam de 1945 à nos jours / Redress the History : the soldiers of French Union prisoners of the Democratic Republic of Vietnam from 1945 to the present dayMary, Julien 24 November 2017 (has links)
Durant la guerre dite « d’Indochine » (1945-1954), plus de 20 000 combattants français, légionnaires et africains, sont portés « prisonniers et disparus ». Pour la majorité prisonniers de guerre (PG) de la République démocratique du Vietnam (RDV), ils sont soumis à un régime alimentaire et sanitaire qui, s’il est proche de celui des Vietnamiens, fait des ravages dans leurs rangs. Mais le rythme terrible des morts n’est pas le seul choc qui les attend en captivité, où ils se voient imposer une éducation politique visant à leur ouvrir les yeux sur la condition du prolétariat militaire qu’ils forment ainsi que sur celle du peuple vietnamien exploité par le colonialisme français. Désorientés par ces conditions de captivité, les PG voient leurs repères sociaux et moraux singulièrement mis à l’épreuve. Les PG se voient en effet contraints, pour survivre, de « jouer le jeu » de la propagande de leurs geôliers, enfreignant de ce fait leur devoir de soldat. Dans chaque camp, des microsociétés de captifs s’agrègent et se désagrègent, occasionnant entre eux d’importants clivages – encore sensibles aujourd’hui. Tous ensemble, ces éléments contribuent à assoir dès les années 1950 une analyse à charge de la captivité : les PG auraient été « exterminés » par leurs geôliers, fortement « soupçonnés » par leur hiérarchie après leur libération, et immédiatement « oubliés » de leurs compatriotes. Cette triple lecture – ici sensiblement nuancée – forge ainsi, pour les décennies à venir, les conditions de possibilité pour les anciens PG de la RDV de s’ériger en victimes.Mais l’expérience n’est pas également douloureuse chez tous les PG : au contact des Vietnamiens, ils deviennent également les sujets d’une expérience inter-nationale hors normes ; certains estiment même avoir retiré de cette expérience « une certaine vision enrichissante », à tout le moins font-ils part de leur soif de comprendre l’extraordinaire expérience qu’ils viennent de vivre. Pour les cadres militaires notamment, cette expérience est porteuse d’un premier « devoir de mémoire ». Plus jamais pareille défaite réclament ainsi nombre d’« anciens d’Indochine » basculant dans la « Guerre d’Algérie », modélisant « l’action psychologique » subie en captivité dans la perspective d’une « contre-insurrection » à la française. « Plus jamais ça ! » clament également nombre d’anciens PG, munis de la légitimité d’un anticommunisme empirique, pour condamner en France le mouvement de mai 1968, l’Union de la Gauche, ou les massacres commis au nom du marxisme ailleurs dans le monde. Pour certains, l’expérience de la captivité est même sublimée en une forme d’éthique pratique qui contribuera à conduire certains d’entre eux jusqu’aux plus hautes sphères, d’où ils participeront à initier le combat qui prendra son essor à partir des années 1980 pour la reconnaissance et la réparation des traumatismes subis par les PG de la RDV.Dans l’air du temps de la fin du XXe siècle, les témoins vont en effet mobiliser le traumatisme comme ressource pour la mobilisation initiée au nom de la mémoire de leur expérience. Le témoignage devient alors, tout à la fois, un matériau d’expertise historique avec la thèse de l’ancien PG R. Bonnafous en 1985, d’expertise médicolégale après l’adoption en 1989 du « statut de prisonnier du Viet-Minh », et d’expertise judiciaire lors de l’« affaire Boudarel ». La chute du bloc soviétique, l’affaissement du tiers-mondisme et de l’anticolonialisme et l’avènement de « l’ère de la victime », autorisent en effet les anciens PG de la RDV, dont le collectif s’institutionnalise et s’élargit avec la création en 1985 de l’ANAPI, à se reconnaître en tant que victimes et à travailler à être reconnus comme tels. Cette lecture victimaire de la captivité de guerre en Indochine offre au final la clé d’une patrimonialisation relative de leur expérience sur le mode paradigmatique de la mémoire des crimes et génocides nazis… le tout sur fond de réhabilitation de la colonisation française. / During the Indochina war (1945-1954), more than 20,000 French combatants, legionnaires and Africans, are listed "prisoners and missing". Prisoners of war (POW) of the Democratic Republic of Vietnam (DRVN) for the majority, they are subjected to a food and health regime that, if it is close to that of the Vietnamese, wreaks havoc in their ranks. But the terrible rhythm of the dead is not the only shock awaiting them in captivity, where they are forced to undergo a political education aimed at opening their eyes to the condition of the military proletariat they form, as well as to that of the Vietnamese people exploited by the French colonialism. Disorientated by these conditions of captivity, the POWs find their social and moral landmarks singularly put to the test. In order to survive, the POWs are forced to "play the game" of their jailers' propaganda, thereby violating their duty as soldiers. In each camp, captive micro-groups aggregate and disintegrate, causing important cleavages, still sensitive today, between them. This triple reading - here considered with nuance - thus forges, for decades to come, the conditions for the possibility of the former POWs of the DRVN becoming victims.But the experience is not as painful for all the POWs: when they come into contact with the Vietnamese, they also become subjects of an extraordinary international experience; some feel that they have even gained "a certain enriching vision" from this experience, at least they express their wish to understand the extraordinary experience they have just had. For officers in particular, this experience take the form of a first "duty to remember". Never again such defeats claim many Indochina veterans who fall into the "Algerian War", modeling "psychological action" suffered in captivity with the prospect of a French-style "counter-insurgency". "Never again!", claim many former POWs with the legitimacy of an empirical anti-communism, condemning, in France, the May 1968 movement, the "Union de la Gauche", or the massacres committed in the name of Marxism elsewhere in the world. For some, the experience of captivity is even sublimated into a form of practical ethics that will help to lead some of them to the highest political level, from where they will participate in initiating the fight that will take off from the 1980s onwards for the recognition and repair of the traumatisms suffered by the DRVN's POWs.In the spirit of the late twentieth century, witnesses mobilize trauma as a resource for mobilization initiated in the name of the memory of their experience. The testimony then becomes, at the same time, a material of historical expertise with the thesis of the former POW R. Bonnafous in 1985, of medico-legal expertise after the adoption in 1989 of the "prisoner of Viet Minh" status, and of judicial expertise during the "Boudarel affair". The fall of the Soviet Union, the collapse of the Third World and the anti-colonialism, and the advent of the "era of the victim", indeed, allow the former POWs of the DRVN, whose collective is institutionalised with the creation of the ANAPI in 1985, to recognize themselves as victims and to work to be recognized as such. This victimized reading of the war captivity in Indochina ultimately offers the key to a relative patrimonialization of their experience on the paradigmatic mode of memory of Nazi crimes and genocides... all against a background of the rehabilitation of the French colonization.
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Besançon à l'heure de la décolonisation : le processus de la décolonisation vue d'une ville moyenne de province de 1945 aux années 1960 / Besançon at the decolonization time : the decolonization process studied a medium-sized French ciy from 1945 to the 1960sPonçot, Bénédicte 01 July 2016 (has links)
L'objectif de la thèse est de mesurer comment et combien la société bisontine a été touchée par le processus de décolonisation. L'étude d'une communauté urbaine est à la confluence de plusieurs champs historiographiques (histoire politique, culturelle, de la colonisation et de la décolonisation, de la guerre froide). Dans le cadre de cette histoire vue d'en bas, il s'agit de comprendre comment les habitants vivent (comprennent, ressentent, interprètent) la décolonisation. Ce travail englobe la période qui court de 1945 aux années 1960. Une double démarche a été poursuivie l'une comparant échelon local et national, l'autre envisageant la compréhension du milieu bisontin pour lui-même. La diversité des sources (officielles, groupes constitués, presse, entretiens) et leur confrontation ont permis d'établir une double conclusion. D'une part, l'exemple bisontin démontre que le processus de décolonisation a concerné la société française, y compris dans un espace qui pouvait apparaître périphérique. Il s'agit moins d'une reproduction d'un vécu national sous direction parisienne que d'un partage d'expériences communes au territoire métropolitain. D'autre part, ces similitudes n'empêchent pas des variations, sans doute non exclusives à l'espace bisontin, qui reflètent certaines caractéristiques locales : force du catholicisme social, construction d'une lutte commune entre catholiques de gauche et communistes, radicalité des choix de certains acteurs (procès Rapiné). Enfin, dans ce processus, la guerre d'Algérie a profondément marqué le vécu bisontin au point de produire parfois une histoire particulière et différente du récit national. / This doctoral thesis aims at assessing the impact of the decolonisation process on the population of Besançon. The study of an urban community involves taking an interest in various historiographical fields (such as the political and cultural history of both colonisation and decolonisation, as well as the Cold War). From a people's history perspective, our purpose is to grasp how people experienced decolonisation (how they understood, felt, thought, acted). This research covers the period from 1945 up to the 1960s. A two-angled approach has been applied, including comparisons on local and national levels and a thorough investigation of Besançon's social environment in and of itself. The diversity of sources (official sources, organised groups, press articles, interviews) and their comparison have allowed us to draw several conclusions. The example of Besançon demonstrates that the decolonisation process affected French society, even in areas that could be considered peripheral. It was actually less the replica of the nation's reality following a Parisian leadership than the sharing of a series of collective experiences on a nation-wide scale. These shared experiences may allow for variations, undoubtedly not restricted to the area of Besançon, which do indeed reflect local characteristics: the strength of social Catholicism, left-wing Catholics joining forces with Communists, the radical choices of key protagonists (e.g. the Rapiné trial). Finally, the Algerian War so dramatically influenced Besançon's experience of decolonisation that it created a singular history, different from the national narrative on some specific points.
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À l’ombre d’Angkor, l’action des militaires français au Cambodge, 1863-1954 / Under the shadow of Angkor, the action of the French military in Cambodia, 1863-1954Maloux, Thierry 14 September 2019 (has links)
Sous l’ombre tutélaire des temples d’Angkor, les militaires français ont marqué de leur empreinte toute l’histoire du protectorat français au Cambodge. Nous avons décliné cette action sous trois aspects. Une action politique et diplomatique qui engerbe les problématiques liées au contexte cambodgien mais aussi celles des grands équilibres régionaux et internationaux. L’étude s’attache à discerner ce qui tient de l’engagement personnel des militaires et ce qui se réfère aux engagements politiques et diplomatiques du gouvernement français. Une action militaire qui a pour but de pacifier le Cambodge, de sauvegarder les intérêts français puis d’éviter l’invasion du pays par les forces communistes. Les méthodes et l’efficacité de l’outil militaire français dans ce contexte sont particulièrement analysées. Enfin, il s’agit d’analyser l’action des « militaires sans armes » : explorateurs, archéologues, ethnologues, écrivains etc., qui consolident le rôle de la France dans la reconstruction de l’identité khmère et affirment sa présence en Indochine. Une analyse prosopographique tente de discerner, pour chacun des militaires concernés, l’action qui peut s’expliquer comme une quête personnelle, voire intime, et celle qui tient de sa mission ou de l’œuvre collective. La nature du protectorat créé par les militaires français puis son évolution vers un modèle tendant à s’adapter aux invariants khmers et au contexte politique français est au coeur de cette étude. L’outil militaire français au Cambodge se dévoile ainsi à travers sa structuration, son fonctionnement et ses métamorphoses créant une situation coloniale singulière entre la France et le Cambodge. / Under the protecting shadow of the Angkor temples, the French military have left their mark in the history of the French protectorate in Cambodia. We propose to portray this action from three different angles. A political and diplomatic action that embraces the questions related to the Cambodian context, and those related to the regional and international balance of powers. The study seeks to discern what pertains to the personal commitment of the military, and what refers to the political and diplomatic commitments of the French government. A military action that aims to pacify Cambodia, to safeguard the French interests, and to avoid the invasion of the country by the communist forces. The methods and effectiveness of the French military tool in this context are carefully analysed. Finally, the action of the "unarmed soldiers": explorers, archaeologists, ethnologists, writers, etc., who also played a key role in the reconstruction of the Khmer identity, and in reinforcing its presence in the French Indochina. A prosopographic analysis attempts to differentiate, for each of the soldiers involved, the action that can be explained as a personal and sometimes intimate quest, from the action that is part of his mission or that could be considered as the product of the collective work. The nature of the protectorate, created by the French military, and its evolution towards a model inclined to adapt itself to the Khmer invariants and to the French political context, are at the heart of this study. The French military tool in Cambodia is thus revealed through its structuring, functioning and metamorphosis creating an unusual colonial relationship between France and Cambodia.
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La France au carrefour des cultures divergentesKern, Mary Elizabeth 14 June 2010 (has links)
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