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La guerre franco-thaïlandaise, 1940-1941 : déroulement et conséquences mondiales d'un conflit régional oublié / The Franco-Thai war, 1940-1941 : development and global consequences of a forgotten regional conflict

Mahé, Yann 08 June 2016 (has links)
Découlant des conflits qui ont opposé France et Siam à la fin du XIXe siècle pour le contrôle du Laos et du Cambodge, la crise franco-thaïlandaise de l’hiver 1940-1941 est le résultat d’un processus politique initié en 1932 et porté par les militaires nationalistes siamois au pouvoir. Influencés par le fascisme, ces derniers diffusent une propagande entretenant la nostalgie des « territoires perdus » et forgent, tout au long des années 1930, des forces armées formatées pour une guerre de revanche contre les puissances coloniales. Confrontée à partir de l’armistice de juin 1940 à l’isolement de la colonie dont elle assure la sécurité intérieure, l’armée d’Indochine est la première troupe coloniale française qui fait face à l’invasion d’un territoire de l’empire par une armée régulière. La Thaïlande s’appuie aussi sur des mouvements indépendantistes régionaux et la fidélité relative des dynasties locales envers la France afin de déstabiliser l’Union indochinoise, en même temps que la tournure des combats fragilise la position du colonisateur aux yeux de ses administrés. Position rendue encore plus précaire par la diplomatie du Japon qui impose sa médiation pour remplir ses propres objectifs politico-militaires. Par le biais d’une analyse exhaustive des archives militaires françaises et de celles du gouvernement général d’Indochine, ainsi que de correspondances privées de généraux et de la presse, nous verrons l’adaptabilité et les capacités de projection des troupes du groupe de l’Indochine, la difficulté pour celles-ci de mener une guerre sur des territoires, et les conséquences régionales et mondiales de ce conflit frontalier indissociable de la guerre d’Asie-Pacifique / The Franco-Thai crisis of the winter 1940-1941, resulting from the conflicts that brought into opposition France and Siam because of the control of Laos and Cambodia in the late nineteenth century, was the consequence of a political process initiated in 1932 and supported by the Siamese military nationalists in power. Influenced by the fascism, they dissiminated a propaganda that maintained the nostalgia of the "lost territories". They equally forged throughout the 1930s the armed forces prepared for a revenge war against the colonial powers. Facing the colony’s isolation starting from the armistice of June 1940 and being in charge of the colony’s internal security, the Indochinese army was the first French colonial troop coping with the invasion of the empire’s territory by a regular army. Thailand was also based on the regional independence movements and relative loyalty of the local dynasties to France in order to destabilize the Indochinese Union. At the same time, the turn of the combats weakened the colonizer’s position in the eyes of the citizens. This position was made even more precarious by the Japanese diplomacy which imposed its mediation in order to fulfill its political and military objectives. Through an exhaustive analysis of the French military archives, the Indochinese general government’s archives, the generals’ private correspondence and the press, we will see the adaptability and projection capacities of the Indochinese troops, their difficulty to wage war on the territories, as well as regional and global consequences of this border conflict that is inseparable from the Asia-Pacific war
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Des casques blancs sur le Plateau des Herbes : La pacification des aborigènes des hautes terres du Sud-Indochinois, 1859-1940

Guérin, Mathieu 04 December 2003 (has links) (PDF)
Entre 1859 et la Deuxième Guerre mondiale, les aborigènes des hautes terres du sud de l'Indochine sont intégrés à l'Indochine française. Les sources coloniales ou khmères et des entretiens in situ montrent les transformations vécues par ces peuples sur trois échelles : une communauté mnong, le Nord-est cambodgien et le Sud indochinois. Les hameaux mnong de Bu La-Bu Gler sont intégrés au royaume du Cambodge et soumis, malgré les mouvements de résistance. Mais, ils réussissent à préserver l'essentiel de leur mode de vie, alors que les autorités coloniales et cambodgiennes s'implantent dans le Nord-est cambodgien et rompent les anciens liens établis entre les aborigènes et le royaume khmer devenu un Etat en voie de modernisation. Leurs politiques découlent de l'approche coloniale basée sur la défense de la grandeur de la France, sur la mission civilisatrice et sur les enjeux économiques.
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Hanoi et Haiphong au contact de la colonisation : structuration et restructuration de la société urbaine en Indochine française (1887-1945) : le cas de Hanoi et de Haiphong / Hanoi and Haiphong in contact with the colonization : structuring and restructuring of the urban society in French Indochina (1887-1945) : the case of Hanoi and Haiphong

Okada, Tomokazu 31 May 2013 (has links)
Cette thèse tente d'étudier la structure sociale des villes coloniales en Indochine française. Il s'agit d'une étude sur l'histoire de l'influence de la colonisation sur la société et les habitants urbains au Viêtnam, en prenant principalement le cas de Hanoi et Haiphong dans la première moitié du XXe siècle.Aprés avoir bien examiné la méthode, la politique et l'organisation de la colonisation de l'Indochine, nous mettons d'abord les questions comme suit : comment les villes de Hanoi et Haiphong ont-elles été construites ? ; À quels problèmes ont-elles fait face dans les processus de sa formation et son développement ? Ensuite, nous avons jeté un regard sur les habitants à la ville coloniale de Hanoi en remarquant la répartition géographique et démographique des professions et catégories socioprofessionnelles (PCS), notamment des petits commerçants-artisans. Les cadres indochinois auraient peut-être mieux exploités surtout en ce qui concerne le salaire et niveau de vie à la veille de l'indépendance.De cela, on pourra relever certaines caractéristiques de la structure sociale et de la stratification sociale de la ville coloniale de Hanoi. À ce propos, nous analysons le mouvement social dans le contexte mondial de la crise économique après 1930 et l'application du réglementation général du travail en Indochine de 1936, en mettant en scène une grève des ouvriers déclenchée à Hanoi en 1937, qui a permis d'exécuter la politique sociale au même niveau que la métropole. En conclusion, cette grève "légale" a eu pour résultat une création de « nouveaux réseaux sociaux indigènes » en regroupant les patrons et les ouvriers par même profession au Nord-Viêtnam. / This Thesis examines the social structure of colonial cities in French Indochina, which means that it aimes to reveal link between the colonial system and the colonial society. But we're talking about a study of history of the influence of colonization on society and urban inhabitants in Vietnam. Therefor it will take the case of Hanoi and Haiphong during the first half of the twentieth century.After examining method, policy and organization of the Indochinese colonization, we ask some questions as follows : how Hanoi was built ; what problem this city was faced with in the process of its formation and development. This subject will be treated from a comparative perspective with one of the most principal city in Vietnam : Haiphong.Then, we are intersted in the inhabitants of colonial city Hanoi pointing out the geographic distribution of "professions et catégories socioprofessionnelles" (PCS : professions and social-occupational categories). The best part of this research is characterized by demography of new PCS, especially of small marchants and craftmen.From such approach, we extract some caracteristics of social structure and social stratification of colonial city Hanoi. In this connection, we analyze, moreover, social movement in the worldwide contexte of economic crisis after 1930 and application of labour law of Indochina in 1936, directing labour strike broke out at Hanoi in 1937, only which allowed exercise the social policy at the same level as metropolitain France. In conclusion, this "legal" strike had the effect of creating « a new indigenous social network » grouping management and workers into same professions in North-Vietnam.
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Cartes et constructions de territoires impériaux dans le nord de la péninsule indochinoise, 1885-1914 / Maps and construction of imperial territories in Northern Indochinese Peninsula, 1885-1914

Rugy, Marie de 18 November 2016 (has links)
Ma thèse porte sur les savoirs cartographiques en situation coloniale, au nord de la péninsule indochinoise. J'y envisage la manière dont des espaces frontaliers, disputés par des États coloniaux et nationaux, ont été représentés et construits, entre 1885 et 1914, par les différents acteurs en présence: empires britannique, français et chinois, royaume de Siam, populations locales. L'enjeu est de dépasser les histoires nationales afin de proposer une étude croisée des politiques géographiques britannique et française clans des marges impériales. Ce croisement révèle trois processus centraux. Tout d'abord, il montre que la cartographie des confins constitue un observatoire de la production des territoires et de la définition des entités étatiques et coloniales. Il montre égalemen1 le rôle de la cartographie au service des relations internationales dans un contexte de forte compétition. Enfin, il permet de lire les relations entre politiques géographiques impériales et pratiques de terrain : par-delà la manichéenne opposition entre « savoirs traditionnels » et «sciences modernes » se dessine une riche dialectique entre savoirs coloniaux et savoirs vernaculaires. / My dissertation offers a connected history of Northern lndochinese Peninsula during the early years of colonization (1885-1914). I discuss the link between cartography and the empire and question the construction of the imperial territories through maps. I see how the border areas that were disputed by the colonial and national States have been represented and constructed, between 1885 and 1914, by the different actors: British, French and Chinese empires, Siam realm, local peoples. I argue the central value of a spatially marginalized territory, for which Willem van Schendel has spoken of a "geography of ignorance". Mostly unknown from the Europeans, inhabited by ethnic minorities, it is actually a border space. Looking at the empires from their borders is a good way of studying the central imperial politics. Besides, cartography plays a role in the international relations in a context of high competition. Finally, there are links between the different cartographies at that lime, which show the rote of cartographic knowledge in the colonial encounter in Burma and in Vietnam as well.
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À l’ombre d’Angkor, l’action des militaires français au Cambodge, 1863-1954 / Under the shadow of Angkor, the action of the French military in Cambodia, 1863-1954

Maloux, Thierry 14 September 2019 (has links)
Sous l’ombre tutélaire des temples d’Angkor, les militaires français ont marqué de leur empreinte toute l’histoire du protectorat français au Cambodge. Nous avons décliné cette action sous trois aspects. Une action politique et diplomatique qui engerbe les problématiques liées au contexte cambodgien mais aussi celles des grands équilibres régionaux et internationaux. L’étude s’attache à discerner ce qui tient de l’engagement personnel des militaires et ce qui se réfère aux engagements politiques et diplomatiques du gouvernement français. Une action militaire qui a pour but de pacifier le Cambodge, de sauvegarder les intérêts français puis d’éviter l’invasion du pays par les forces communistes. Les méthodes et l’efficacité de l’outil militaire français dans ce contexte sont particulièrement analysées. Enfin, il s’agit d’analyser l’action des « militaires sans armes » : explorateurs, archéologues, ethnologues, écrivains etc., qui consolident le rôle de la France dans la reconstruction de l’identité khmère et affirment sa présence en Indochine. Une analyse prosopographique tente de discerner, pour chacun des militaires concernés, l’action qui peut s’expliquer comme une quête personnelle, voire intime, et celle qui tient de sa mission ou de l’œuvre collective. La nature du protectorat créé par les militaires français puis son évolution vers un modèle tendant à s’adapter aux invariants khmers et au contexte politique français est au coeur de cette étude. L’outil militaire français au Cambodge se dévoile ainsi à travers sa structuration, son fonctionnement et ses métamorphoses créant une situation coloniale singulière entre la France et le Cambodge. / Under the protecting shadow of the Angkor temples, the French military have left their mark in the history of the French protectorate in Cambodia. We propose to portray this action from three different angles. A political and diplomatic action that embraces the questions related to the Cambodian context, and those related to the regional and international balance of powers. The study seeks to discern what pertains to the personal commitment of the military, and what refers to the political and diplomatic commitments of the French government. A military action that aims to pacify Cambodia, to safeguard the French interests, and to avoid the invasion of the country by the communist forces. The methods and effectiveness of the French military tool in this context are carefully analysed. Finally, the action of the "unarmed soldiers": explorers, archaeologists, ethnologists, writers, etc., who also played a key role in the reconstruction of the Khmer identity, and in reinforcing its presence in the French Indochina. A prosopographic analysis attempts to differentiate, for each of the soldiers involved, the action that can be explained as a personal and sometimes intimate quest, from the action that is part of his mission or that could be considered as the product of the collective work. The nature of the protectorate, created by the French military, and its evolution towards a model inclined to adapt itself to the Khmer invariants and to the French political context, are at the heart of this study. The French military tool in Cambodia is thus revealed through its structuring, functioning and metamorphosis creating an unusual colonial relationship between France and Cambodia.
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Repenser la place des minorités en situation coloniale : le cas des Indiens d’Indochine et de Birmanie, 1907-1937

Tiburcio-Carneiro, Marly 09 1900 (has links)
codirection / À partir d’une étude comparée des communautés ayant migré de l’Inde vers l’Indochine française et la Birmanie britannique, ce mémoire étudie la place des migrants indiens dans ces deux colonies pendant la première moitié du XXe siècle. Ces derniers ont une place particulière dans l’ordre colonial du fait de leurs statuts juridiques variés, leur influence politique et économique et leurs divers rôles d’intermédiaires. Ces dynamiques et l’intérêt de les étudier sont illustrés au travers de trois études de cas : 1. le litige entre les policiers indiens et la municipalité de Saigon en 1907 ; 2. les négociations lors de la scission de la Birmanie du Raj britannique en 1935 ; 3. les répercussions du Krach boursier de 1929 sur les discours des administrations sur ces communautés et leur place en milieu colonial. Les interactions des minorités indiennes avec les administrations coloniales sont révélatrices de leurs connaissances du fonctionnement impérial. Elles illustrent leur navigation adroite des structures gouvernementales et leur mobilisation pour défendre leurs intérêts. Étudier leur position d’intermédiaires souligne comment des communautés minoritaires ont joué de leurs relations pour court-circuiter les lignes d’autorités et de pouvoir et éclaire la pluralité des axes de hiérarchie en situation coloniale. Ces trois études de cas permettent de conceptualiser plus globalement les minorités indiennes en milieu colonial et appuient leur complexité, en soulignant leurs allégeances ambigües et la manière dont elles se définissent et se redéfinissent. Les discours des autorités coloniales sur ces communautés mettent en lumière le lien entre la désirabilité des minorités indiennes et la nécessité de leur présence dans les deux colonies. Cela permet de renforcer notre compréhension de ce qu’est un empire et de la place complexe qu’ont pu y occuper des groupes jugés a priori homogènes et marginaux. / Based on a comparative study of the communities that migrated from India to French Indochina and British Burma, this thesis examines the place of Indian migrants in these two colonies during the first half of the 20th century. Indian minorities had a special place in the colonial system because of their various legal status, political and economic influence, and intermediary roles. These dynamics and the interest in studying them are illustrated by three specific case studies: 1. the dispute between Indian police officers and the municipality of Saigon in 1907; 2. Negotiations during the separation of Burma from the British Raj in 1935; 3. the repercussions of the 1929 stock market crash on government discourse on these communities and their place in colonial settings. The interaction of Indian minorities with colonial administrations indicates their understanding of imperial workings. They illustrate their skillful navigation of government structures and their mobilization to defend their interests. The analysis of their position as intermediaries highlights how minority communities have used their relationships to bypass lines of authority and power and sheds light on the plurality of hierarchical axes in colonial situations. These three case studies provide a more holistic conceptualization of colonial Indian minorities and support their complexity, highlighting their ambiguous allegiances and how they define and redefine themselves. The colonial authorities' speeches on those communities highlighted the link between the desirability of Indian minorities and Indian minorities and the need for their presence in the two colonies. This thesis helps deepen our understanding of what an empire is and the complex place that groups deemed homogenous and marginal may have occupied within it.
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L'Indochine française et l'expansion vers le sud du Japon à l'orée de la guerre du Pacifique : politique étrangère et processus de décision, 29 juin 1940 - 8 décembre 1941 / 太平洋戦争直前の仏領インドシナと南進政策ー対外政策及び政策決定過程、1940年6月〜1941年12月ー / French Indochina and the Southward Expansion of Japan on the brink of the Pacific War : foreign Policy and Decision Process, 29 June 1940 – 8 December

Michelin, Franck 06 December 2014 (has links)
L’occupation de l’Indochine française par le Japon entre juin 1940 et juillet 1941 constitue un événement-clé de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Désirant sortir de son isolement diplomatique et du bourbier du conflit chinois, le Japon profite de la victoire allemande en juin 1940 pour occuper le nord de l’Indochine, arrimer la colonie française à son économie, imposer sa médiation dans le conflit franco-thaïlandais, puis occuper le sud de l’Indochine avant de se lancerdans ce la Guerre du Pacifique. Pourtant, son ennemi désigné est, traditionnellement, l’URSS. Les raisons de cet hybris sont à chercher dans sa volonté de détruire le statu quo imposé par les puissances occidentales en Asie orientale, ainsi que dans une crise interne insoluble qui le font choisir le camp des pays totalitaires. L’occupation du sud de l’Indochine en juillet 1941 est un point de non-retour. Cette crise où l’Indochine française a joué un rôle central, permet à l’historien de découvrir le mécanisme du processus de décision dans le Japon d’avant la Seconde Guerre mondiale. Les groupes dirigeants japonais ne connaissent pas de lutte entre des faucons et des colombes, mais la rivalité permanente de factions qui cherchent prendre la tête du mouvement expansionniste. Car si l’expansion fait consensus, la décision, tant de la direction que des moyens, est l’objet d’âpres luttes. C’est cependant à l’occasion de l’occupation de l’Indochine et à mesure que la Guerre du Pacifique se rapproche, qu’une synthèse se fait en haut de l’État par la constitution d’un groupe dirigeant composé de militaires et de bureaucrates favorisant une évolution totalitaire du régime, couplée à la construction d’un empire en Asie et dans le Pacifique. / The occupation of French Indochina by Japan from June 1940 to July 1941 constitutes a key event for World War II history. Eager to escape its diplomatic isolation and the quagmire of the war in China, Japan takes advantage of German victory in June 1940 to occupy Northern Indochina, to tie up the French colony to its economy, to impose its mediation in the French-Thai conflict, occupy the Southern part of Indochina and, then, to launch the Pacific War. However, its traditional foe was the USSR. The reasons of this hubris lie in its desire to destroy the status quo enforced by western powers in Eastern Asia, as well as in an insoluble internal crisis that made Japan choose the side of totalitarian countries. The occupation of Southern Indochina in 1941 is a point of no return. This crisis where French Indochina played a crucial part allows the historian to uncover the mechanism of the decision-making process in Japan before the Second World War. Japanese leading groups do not operate on a partition between hawks and doves, but on the constant rivalry of factions who would try to take the lead of the movement for expansion. If expansion is the object of a consensus among leaders, the decision of its direction and means is the causes of fierce conflicts. However, the occupation of Indochina and the approach of the Pacific War lead to a synthesis at the top of the State, by the composition of a leading group made of military and bureaucrats who promote the totalitarian evolution of the regime coupled with the building of an empire in Asia and in the Pacific.

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