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Du traumatisme à la résilience. Étude de cas socio-anthropologique d’un dispositif thérapeutique indigène de la banlieue centrale de Sydney (Australie)

Tasia, Edgar 03 December 2018 (has links) (PDF)
L’étude de cas socio-anthropologique qui constitue cette thèse est celle du Gamarada. Le Gamarada est un dispositif thérapeutique indigène dont le principe est celui d’engendrer, chez les membres qui en ont l’usage, de la résilience. Il prend la forme d’un groupe de parole se réunissant chaque semaine dans une salle du quartier de Redfern (Sydney, Australie). Initialement conçu pour lutter contre les dommages collatéraux de la colonisation engendrés au sein des populations aborigènes de l’Australie, ce dispositif fonctionne comme une plateforme où les membres viennent y chercher un safe space, une famille (particulière), des outils de gestion émotionnelle ;où ces derniers procèdent à ce qu’ils nomment leur « voyage thérapeutique » (healing journey) notamment en pratiquant une technique de méditation guidée indigène – le Dadirri. Le programme qui compose ce dispositif s’appuie sur une série d’exercices (ou tâches) s’employant à développer chez les membres une réception et une adhésion progressive à la valeur thérapeutique de ces mêmes exercices. Ce travail de recherche se donne pour objectif de rendre compte, dans le détail, du fonctionnement de ce dispositif ainsi que du sens émique que ses membres lui trouvent. Pour ce faire, l’analyse se penche dans un premier temps sur l’étude d’une série de jeux de langage dans lesquels le Gamarada est immergé :celui du traumatisme, celui du développement personnel et celui de l’aboriginalité. Dans un second temps, elle décortique le fonctionnement du dispositif selon une approche pragmatique. Le pari sur lequel repose une telle enquête est double :d’abord, comprendre ce qu’est le Gamarada permet de mettre en lumière plusieurs caractéristiques des concepts de traumatisme et de résilience ;ensuite, l’étude de cas contribue à approfondir notre entendement de la situation des Aborigènes de Sydney au sein de l’Australie contemporaine. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Factors influencing health care utilization following a cardiovascular event among aboriginal people in Central Australia

Artuso, Stella January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Loi et Culture en Pays Aborigènes: Anthropologie des Réseaux Autochtones du Kimberley, Nord-ouest de l'Australie

Préaud, Martin 15 June 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse interroge les systèmes sociopolitiques et culturels autochtones contemporains de la région du Kimberley (Australie Occidentale) au travers d'une étude ethnographique des modes d'organisation et de représentation aborigènes menée entre 2005 et 2007 avec le Centre de la Loi et de la Culture Aborigènes du Kimberley (KALACC), une organisation régionale et représentative autochtone fédérant une trentaine de groupes se reconnaissant comme distincts. L'analyse est donc centrée sur les pratiques autochtones contemporaines de représentation culturelle et d'action politique. L'étude vise à aboutir à une compréhension anthropologique des singularités autochtones et de la pertinence, tant politique que culturelle, de la différence affirmée entre les Aborigènes et les Kartiya. A travers un dialogue critique avec le concept et la pratique de la Loi et la Culture, la problématique de recherche intiale a été recentrée sur la question de la reproduction du Kimberley en tant qu'agencement de Pays autochtones. Développant une approche relationnelle et se fondant sur une perspective à la fois locale et régionale, la thèse apporte des descriptions du champ relationnel d'interdépendances liant les autochtones du Kimberley à l'Etat australien. Les constructions historiques et expérientielles des Pays autochtones, les logiques culturelles de la pratique rituelle et politique des Aborigènes du Kimberley, les processus par lesquels ils ont indigénisé la modernité australienne ainsi que les récents modèles de développement durable qu'ils développent sont successivement examinés afin de saisir de manière performative l'articulation par les autochtones de leurs subjectivités, de leurs identités et de leur agentivité politique. En discutant les modèles du dialogue interculturel et des singularités ontologiques autochtones, je développe un cadre théorique fondé sur une perspective performative et contextuelle afin de définir les singularités autochtones en dehors de tout essentialisme, me fondant sur les concepts aborigènes de Loi et Culture et Pays pour reformuler les notions de culture, d'identité, d'oralité, et de territoire.
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Factors influencing health care utilization following a cardiovascular event among aboriginal people in Central Australia

Artuso, Stella January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Cohabiter sans coexister : division sociale de l'espace et relations interraciales entre les aborigènes et les euro-australiens à Alice Springs

Lambert-Harvey, Mireille 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur la division sociale et spatiale entre les Euro-Australiens et les Aborigènes à Alice Springs en Australie Centrale et résulte d'une recherche de terrain de trois mois en 2006. Il met en relation les notions d'espace, de lieu et de race. Il vise à souligner les rapports qu'entretiennent les groupes sociaux envers certains lieux publics et ce, sur la base de l'occupation quotidienne des espaces urbains. Il est non seulement question d'attachement aux lieux, mais aussi de ségrégation raciale spatiale. Ces notions, bien qu'elles soient contradictoires, prennent formes dans une même réalité sociale. Les Euro-Australiens. et les Aborigènes à Alice Springs s'approprient des lieux spécifiques d'où ils se ±sentent à l'aise¿ et ±confortables¿ tout en excluant de ces mêmes lieux les individus, aborigènes et euro-australiens, qui n'adhèrent pas au mode de vie et aux comportements de leur groupe. Ce contexte de ségrégation spatiale est en fait le reflet de la dynamique sociale entre les Aborigènes et les Euro-Australiens. C'est ainsi dire que leur distanciation spatiale est équivalente à leur distanciation sociale. Les Euro-Australiens et les Aborigènes, ne pratiquant pas leurs activités quotidiemes dans les mêmes endroits publics, ne peuvent partager leur existence.
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Des casques blancs sur le Plateau des Herbes : La pacification des aborigènes des hautes terres du Sud-Indochinois, 1859-1940

Guérin, Mathieu 04 December 2003 (has links) (PDF)
Entre 1859 et la Deuxième Guerre mondiale, les aborigènes des hautes terres du sud de l'Indochine sont intégrés à l'Indochine française. Les sources coloniales ou khmères et des entretiens in situ montrent les transformations vécues par ces peuples sur trois échelles : une communauté mnong, le Nord-est cambodgien et le Sud indochinois. Les hameaux mnong de Bu La-Bu Gler sont intégrés au royaume du Cambodge et soumis, malgré les mouvements de résistance. Mais, ils réussissent à préserver l'essentiel de leur mode de vie, alors que les autorités coloniales et cambodgiennes s'implantent dans le Nord-est cambodgien et rompent les anciens liens établis entre les aborigènes et le royaume khmer devenu un Etat en voie de modernisation. Leurs politiques découlent de l'approche coloniale basée sur la défense de la grandeur de la France, sur la mission civilisatrice et sur les enjeux économiques.
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Quand l'Etat se mêle de la "tradition" : la lutte des Noongars du Sud-Ouest australien pour leur reconnaissance / When the State interferes with "tradition" : the struggle of the Noongars of the Australian South West for their recognition

Bernard, Virginie 11 June 2018 (has links)
Cette thèse cherche à rendre compte des réponses que les Aborigènes Noongars du sud-ouest de l’Australie Occidentale déploient face aux discours sur la « tradition » et la « modernité » qui sont construits au sein des institutions et par les acteurs de l’État avec lesquels ils interagissent et auxquels ils sont tour à tour confrontés. L’étude de ces discours, des conditions de leur production et de leurs effets permet d’envisager les concepts de « tradition » et de « modernité » comme des moyens d’action et des techniques sociales mobilisés pour éliminer la différence culturelle dans la mise en œuvre d’un « devenir commun ».L’État australien produit ses propres définitions antagonistes de la « tradition » et de la « modernité », catégories pensées comme étant mutuellement exclusives. Dans certains contextes, il est attendu des Noongars d’être « traditionnels », alors que dans d’autres ils doivent se montrer « modernes ». Les Noongars se trouvent ainsi pris dans une contradiction : ils tendent vers la « modernité » pour rester « traditionnels » et, inversement, ils sont maintenus dans leurs « traditions » lorsqu’ils doivent faire preuve de « modernité ». Dans leurs diverses tentatives de s’intégrer à la nation australienne tout en conservant leurs spécificités, les Noongars redéfinissent leur « identité culturelle ». Pour cela, ils s’approprient, contestent et négocient l’image de l’Aboriginalité qui leur est présentée et se façonnent une identité contemporaine propre, sans pour autant s’opposer radicalement au mythe national de l’Aboriginalité.En analysant les divers processus par lesquels les Aborigènes Noongars revendiquent leur reconnaissance et tentent d’acquérir un degré de souveraineté au sein d’un État-nation, cette thèse enrichit les réflexions sur l’autochtonie en tant que catégorie politique et contingente. Il s’agit d’aborder les questions autochtones comme des réalités discursives devant être analysées dans les contextes ethnographiques particuliers où elles sont produites et articulées. / This thesis seeks to account for the responses that the Noongar Aborigines from the South West of Western Australia display to the discourses of "tradition" and "modernity" that are built within institutions and by state actors, with whom they interact and to which they are in turn confronted. The study of these discourses, the conditions of their production and their effects makes it possible to consider the concepts of “tradition” and “modernity” as means of action and social techniques mobilised to eliminate cultural difference in the implementation of a “common becoming”.The Australian state produces its own antagonistic definitions of “tradition” and “modernity”, categories thought to be mutually exclusive. In some contexts, Noongars are expected to be “traditional”, while in others they must be “modern”. The Noongars are thus caught in a contradiction: they tend towards “modernity” to remain “traditional” and, conversely, they are kept in their “traditions” when they have to show “modernity”. In their various attempts to integrate into the Australian nation, while retaining their specificities, the Noongars are redefining their “cultural identity”. For this, they appropriate, challenge, negotiate the image of the Aboriginality presented to them and shape their own contemporary identity, without radically opposing the national myth of Aboriginality.By analysing the various processes by which the Noongar Aborigines claim their recognition and attempt to acquire a degree of sovereignty within a nation-state, this thesis enriches reflections on Indigeneity as a political and contingent category. It is about addressing indigenous issues as discursive realities that need to be analysed in the particular ethnographic contexts in which they are produced and articulated.
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CONTACT DES LANGUES A TAIWAN : INTERACTIONS ET CHOIX DE LANGUES EN SITUATIONS DE TRAVAIL

Saillard, Claire 04 December 1998 (has links) (PDF)
Dans la présente étude, on décrit tout d'abord la situation sociolinguistique actuelle de Taiwan, c'est-à-dire le statut des différents langues parlées ainsi que ce qui caractérise leurs locuteurs. Les principales langues concernées sont aussi bien chinoises (chinois standard, minnan, hakka) qu'austronésiennes. On définit ensuite les questions posées par le plurilinguisme et le contact des langues dans le domaine du travail, et spécifiquement en ce qui concerne les Aborigènes de Taiwan. Des théories représentatives des champs de recherche concernant le choix de langue aux niveaux macro- et micro-sociolinguistiques sont exposées et critiquées, dans le but de définir une méthodologie pour l'analyse des données collectées sur le terrain dans l'Est de Taiwan. Les deux terrains investigués (un hôpital de la ville de Hualian et un dispensaire du district de Hualian) sont présentés. Les sujets des deux enquêtes sont des Aborigènes, locuteurs natifs des langues austronésiennes ‘amis, taroko et atayal. L'analyse des données recueillies est opérée aussi bien sous l'angle du choix de langue au niveau global des interactions que sous celui des mécanismes présents dans les interactions elles-mêmes : alternance de codes, mélange de codes, emprunts. La valeur stratégique de ces diverses manifestations du choix de langue est soulignée. On poursuit l'analyse des données en relation avec les représentations linguistiques propres aux locuteurs des langues austronésiennes. Dans une optique dynamique du contact des langues, le lien entre représentations linguistiques et perte ou maintenance des langues minoritaires est souligné.
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De l'accentuation lexicale en anglais australien standard contemporain

Martin, Marjolaine 09 December 2011 (has links) (PDF)
La littérature scientifique dédiée à l'accentuation en anglais australien standard contemporain (SAusE) est, contrairement à celle qui concerne la prononciation de ses voyelles, peu étendue. Après un chapitre introductif proposant le contexte historique dans lequel le SAusE est né et a été décrit, sa définition actuelle ainsi que sa description phonologique, notre étude est consacrée à un examen systémique de l'accentuation lexicale en SAusE. Un corpus test a été mis en place spécifiquement, qui comporte la quasi-totalité des verbes dissyllabiques, des préfixés pluricatégoriels et des exceptions aux règles d'accentuation des mots de deux syllabes et plus, ainsi qu'un large échantillon d'emprunts aux langues aborigènes. Ces quelques 3500 items ont été choisis précisément parce qu'ils font partie des mots les plus susceptibles de connaître une variation accentuelle en anglais contemporain. Notre approche se situe dans la lignée de Lionel Guierre et propose un traitement dictionnairique dans lequel les éléments du corpus sont tous étudiés au travers des données de chacune des éditions les plus récentes des Longman Pronouncing Dictionary, Cambridge English Pronunciation Dictionary et Macquarie Dictionary qui constituent les dictionnaires de références dans le domaine de la prononciation de l'anglais. Ces données ont été complétées, lorsque cela était nécessaire, par des données fréquentielles issues du Corpus of Contemporary American English et par des données orales enregistrées spécialement pour cette étude, selon une démarche similaire à la première partie du protocole du projet Phonologie de l'Anglais Contemporain. Notre analyse met en évidence une grande stabilité accentuelle intervariétale entre le SAusE, l'anglais britannique standard et l'anglais américain standard et propose un relevé étayé et détaillé des spécificités accentuelles lexicales du SAusE contenues dans le corpus étudié.
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Représentations des aborigènes de Taïwan au musée : entre art et ethnographie dans un contexte post-colonial / Representation of the aborigines of Taiwan in the Museum : between art and ethnography in a post-colonial context

Lin, Yu-Ta 18 December 2017 (has links)
La représentation des aborigènes qu’elle soit due à des artistes aborigènes ou à un regard extérieur fait partie de la construction d’une identité, notamment lorsque l’acte de création est pensé comme un mode de transmission culturelle (afin de retrouver leurs esprits ancestraux), la première étape pour aborder les œuvres des artistes aborigènes consiste à multiplier les points de vue sur la question de l’identité culturelle (la dimension politique d’affirmation de soi) et à remettre en question leur intention d’être artiste. Le fait que l'artiste aborigène se pense comme artiste dénote déjà une tentative d’inscription dans un monde social non aborigène. Cette posture ne va cependant pas sans tensions. Après le tournant ethnographique (tournant contextuel et identitaire), l’artiste aborigène s’est obligé à réfléchir à son statut, à sa manière de créer et au pourquoi de ce choix de devenir un artiste. La voie choisie par les quatre artistes étudiés ici ne les a pas conduits à apprendre des choses (acte de construire ou se construire). Il s’agit plutôt d’un effort de désapprendre, afin d’exprimer la juxtaposition culturelle et la simultanéité de l’Autre dans un monde global et mobile. En conséquence, l’artiste en tant qu’aborigène-voyageur provoque un court-circuit des interprétations. Dans cette perspective, chaque présentation au musée noue une relation avec le visiteur ou le spectateur dans un espace temporaire ou parallèle à l’espace réel.Cette recherche s’appuie à la fois sur l’analyse de la situation socio-culturelle de quatre artistes aborigènes ( Rahic Talif, Walis Labai, Sapud Kacaw et Chang En-Man ), l’analyse esthétique de leurs oeuvres et l’analyse historique du contexte de production, de diffusion et d’exposition des œuvres aborigène en général entre 1895 et 2017. Elle tente de cerner une vision post-coloniale entre l’art et l’ethnographie et de développer une pratique de l’analyse qualitative bâtie sur trois questions fondamentales : comment les oeuvres des artistes aborigènes ont-elles été représentées et « encadrées » dans un discours identitaire ? Comment l’artiste aborigène met-il en lumière la traçabilité de son appartenance (comme identité traçable) à travers sa représentation ? Comment cette représentation introduit-elle un court-circuit des interprétations culturelles dans les modes de réception ? / The representation of the aborigines, whether due to aboriginal artists or based on an outside perspective, is an integral part of the construction of an identity, in particular when the act of creation is conceived as a mode of cultural transmission (in order to find their ancestral spirits). The first step to approaching the works of the aboriginal artists consists of multiplying points of view on the question of the cultural identity (the political dimension of self-affirmation) and the questioning of their intent to be considered an artist. The fact that the aboriginal artist regards himself as an artist, had already been attempted in the non-aboriginal community. However, this position has not been without controversy. After the ethnographical turn (contextual turn into specific identity), the aboriginal artist is obliged to think about his/her status, the way to create and the reason why (s)he would become an artist. The approach chosen by the four artists studied here has not led them to learn anything (act of construction or building of themselves) ; it is rather a question of unlearning, in order to associate with the cultural juxtaposition and the simultaneity of the others in the global and mobile world. Therefore, the artist as an aborigine-traveler causes a short-circuit in the interpretations. In this perspective, each presentation at the museum builds a relationship with the ‘visitor-viewer’ in a temporary or parallel space as it relates to the real space.This research is based at the same time on the analysis of the socio-cultural situation of the four artists (Rahic Talif, Walis Labai, Sapud Kacaw et Chang En-Man), the aesthetic analysis of their works and the historical analysis of the context of production, diffusion and exhibition of the aboriginal works in general between 1895 and 2017. By relying on a sociocultural and artistic representation, our research is designed to build a strategic vision for the post-colonial studies between art and ethnography. Developing a practice of the qualitative analysis, we wish to focus on three fundamental questions : How were the works of the aboriginal artists represented and « framed » in a control of identity discourse? How does the aboriginal artist consider the traceability of his/her feeling of belonging (like a trackable identity) through his/her representation? How does this representation introduce a short circuit of the cultural interpretations in the different modes of expression, perception, evolution and reception?

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