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Ordre et variation : essai sur le système de Jamblique / Order and variation : essay on Iamblichus’ system

Lecerf, Adrien 08 December 2015 (has links)
Cette thèse se propose de donner une synthèse générale du système du néoplatonicien Jamblique de Chalcis, acteur important de l’évolution de la métaphysique grecque durant l’âge antique tardif. Elle reconstruit tour à tour sa doctrine psychologique, sa hiérarchie des êtres et quelques-uns de ses concepts fondamentaux, en mettant l’accent sur l’histoire des idées entre le fondateur de l’école, Plotin, et la naissance de l’école néoplatonicienne d’Athènes. L’ensemble des œuvres laissées par Jamblique est exploité, ainsi que les quelque 800 fragments et témoignages sur sa vie et sa doctrine laissés par les auteurs postérieurs. Les influences subies sont analysées et replacées en contexte : néoplatonisme de Plotin et Porphyre, qui donne à Jamblique les principaux niveaux de son ontologie, qu’il analyse et fractionne ; médio-platonisme, dont le néoplatonisme hérite des topiques philosophiques ; aristotélisme, qui lègue une conception dynamique de l’âme et une hiérarchie des puissances cognitives consacrant la transcendance de l’intellect ; pythagorisme, qui permet à Jamblique de concevoir les mathématiques comme un langage valable pour la description de toutes les parties de la philosophie. Par l’ampleur de son œuvre ainsi que l’originalité et la fermeté des solutions apportées aux problèmes traités, Jamblique crée une synthèse puissante qui sert de base doctrinale aux écoles néoplatoniciennes tardives d’Athènes et Alexandrie, et est profondément représentative d’un âge théocentrique, où l’âme humaine n’est qu’un principe dérivé, qui doit prendre sa place dans l’ordre universel des choses : une métaphysique de l’unité, reposant sur la dualité dynamique de l’ordre et de sa variation. / This thesis strives to provide modern research with a synthesis of the system of Iamblichus of Chalcis, an important figure in the development of later Greek metaphysics. It reconstructs in turn his psychology, his hierarchy of being and some of his most basic concepts and philosophical laws, with a stress on the continuity between Plotinus, founder of the Neoplatonic school, and the beginnings of the school of Athens. The whole of Iamblichus’ body of work is exploited, as well as the 800 fragments and testimonia on his life and doctrine handed down to us by later authors. Influences received are analysed and set in context: Plotinus’ and Porphyry’s Neoplatonism, which provides the general levels of reality which Iamblichus tried to analyse and enrich; Middle Platonism, whose topics are debated in Neoplatonism; Aristotelianism, which accounts for a dynamic conception of the human soul and a hierarchy of cognitive powers beginning with the transcendent Intellect; Pythagoreanism, which allows Iamblichus to depict mathematics as a universal language, able to take the mark of all parts of philosophy. By the scope of his work and the originality and neatness of the solutions he provided to problems which nascent Neoplatonism had to confront, Iamblichus is able to create a powerful synthesis which acts as a doctrinal basis for the later schools of Athens and Alexandria: it is profoundly representative of a theocentric era, in which human soul is but a derived principle that has to keep its place in the grand scheme of being. It is a metaphysics of unity, founded on the dual dynamic of order and variation.
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Bergson et Deleuze : deux métaphysiques de l'immanence au nom de la vie / Bergson and Deleuze : two metaphysics of the immanence in the name of the life

Lee, Arum 30 September 2017 (has links)
Notre thèse a pour but d’identifier une nouvelle conversion philosophique dans les pensées de Bergson et Deleuze que nous qualifierons de métaphysique de l’immanence au nom de la vie et d’élucider le changement radical de la signification de la vie d’après cette conversion. Cette nouvelle métaphysique s’appuie sur l’empirisme qui réexamine la condition réelle de l’ expérience et qui nous oriente vers la pensée ontologique. Cette dernière se développe comme ontogenèse selon laquelle l’Être porte en lui-même la puissance de produire une nouvelle forme de sorte qu’aucune détermination fixée ne préexiste extérieurement à la genèse de l’Être. La productivité de l’Être, à savoir, la source de la virtualité et la puissance de l’actualisation, sont la Vie. Cette conception de la vie renvoie au Tout-ouvert qui s’instaure comme totalité du monde sans transcendance, c’est-à-dire, plan d’immanence et comme unité vivante. Si les métaphysiques de Bergson et de Deleuze se distinguent, c’est par l’écart entre l’affirmation de l’intuition qui peut saisir la réalité en tant que genèse du monde et la revendication de la pensée en droit qui peut saisir la raison suffisante qui permet la genèse du monde. La métaphysique de l’immanence au nom de la vie nous permet de penser l’absolu en dépassant le relativisme kantien de la connaissance humaine et de renverser le platonisme à l’égard de la conception de l’Être. C’est la philosophie du ni Dieu, ni Homme, mais de la Vie. La philosophie de la vie nous permet d’échapper au plan philosophique de l’essence - l’apparence depuis le platonisme et à celui de la condition – l’apparition depuis le Kantisme. Une vie n’est alors ni apparence ni apparition. Dans le monde d’immanence où nous vivons et où tout communique, une vie renvoie à une expression d’une Vie en actualisant une virtualité qui est la puissance intrinsèque au monde. C’est ainsi qu’il s’agit d’une création du mode d’existence pour la métaphysique de l’immanence au nom de vie. / My thesis aims at identifying a new philosophical conversion in the thoughts of Bergson and Deleuze as metaphysic of immanence in the name of the life, and at elucidating the change of the signification for the life according to this conversion. This new metaphysics is based on the empiricism which re-examines the real condition of experience and steers us forward the ontological thought. It is developed as the ontogenesis according to which the Being retains in itself the potential to product the new form, so that any fixed determination does not pre-exist external to the genesis of the Being. The productivity of the Being, that is to say, the source of the potential and the power of the actualisation, it is the life. This concept of the life refers to the All-open which is founded as totality of the world without transcendence, in other words, plan of the immanence and living unity. If the metaphysics of Bergson and Deleuze are distinguished each other, it is because of the gap between intuition which can grasp the mobility of the reality as the genesis of the world and the logic of the thought which grasps the sufficient reason for the genesis of the world. The metaphysic of the immanence in the name of the life allow us to think the absolute, overcoming the Kantian relativism in terms of the human knowledge and reversing the Platonism with regard to the concept of the Being. It is the philosophy of neither God nor Human, but Life. The philosophy of Life escapes from two philosophical schemes of essence – appearance and condition – phenomenon. Therefore, a life is neither appearance nor phenomenon. In the world of immanence where we live and all the things communicate each other, a life means an expression of a Life actualizing the potentiality, that is, the intrinsic power to the world. That is the why the metaphysic of the immanence in the name of the life is concerned with the creation of the mode of existence.
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Heidegger et la déconstruction de la métaphysique / Heidegger's deconstruction of metaphysics

Shimabukuro, Felipe 09 November 2018 (has links)
Le but du présent travail est de proposer une interprétation du concept de déconstruction chez Heidegger. Notre interprétation repose sur trois thèses : 1) La déconstruction est l’un des trois éléments de la méthode phénoménologique de Heidegger avec la réduction et la construction, ces trois éléments étant indissociables les uns des autres. 2) Ces trois éléments nous permettent de comprendre la stratégie la plus générale de constitution de la pensée de Heidegger. 3) La déconstruction de la métaphysique est la version heideggérienne de la critique de la raison. Dans la première partie, la réduction est définie comme une opération de remise en question des présupposés naturalisés de la pensée, le présupposé qui fait l’objet de la réduction de Heidegger étant le concept métaphysique d’être. Dans la deuxième partie, la construction est définie comme une généalogie des présupposés naturalisés de toute l’histoire de la métaphysique. La construction nous permet de dégager deux définitions de la métaphysique chez Heidegger : 1) En tant que compréhension hégémonique et normative des concepts fondamentaux de l’Occident : être, vérité, pensée, langage et homme. 2) En tant qu’onto-théologie. Dans la troisième et dernière partie, la déconstruction est définie comme une double opération. D’une part, l’opération négative de circonscription des limites de la métaphysique, d’autre part, l’opération positive consistant dans la proposition d’une nouvelle manière de penser les concepts fondamentaux de la métaphysique. / The aim of this work is to propose an interpretation of Heidegger’s concept of deconstruction. Our interpretation is based on three thesis: 1) the deconstruction is one of the three elements of Heidegger’s phenomenological method with the reduction and the construction, these three elements being indissociable from each other. 2) These three elements allow us to understand the most general strategy of Heidegger’s thought constitution. 3) The deconstruction of metaphysics is the heideggerian version of the critique of reason. In the first part, the reduction is defined as an operation of questioning the naturalized presuppositions of thought, the metaphysical concept of being is the naturalized presupposition which is the object of Heidegger’s reduction. In the second part, the construction is defined as a genealogy of the naturalized presuppositions of the whole history of metaphysics. The construction allows us to identify two definitions of metaphysics in Heidegger’s thought: 1) as an hegemonic and normative understanding of the basic concepts of the West: being, truth, thought, language and man. 2) As an onto-theology. In the third and last part, the deconstruction is defined as a double operation. On the one hand, the negative operation of circumscription of metaphysics’ limits, on the other hand, the positive operation which consists in the proposition of a new way of thinking the basic concepts of metaphysics.
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La vérité chez Alasdair MacIntyre : heuristique, herméneutique, thématique

Rouard, Christophe 25 August 2008 (has links)
The theme of truth in the work of Alasdair MacIntyre has rarely been developed. The present thesis aims at filling this lack. In a long first part the goes in details through the whole of MacIntyre’s work with a special attention to the item of truth, which is omnipresent. This heuristic part leads to a hermeneutic part, in which the thought of the Anglo-Saxon philosopher is compared with that of Hans-Georg Gadamer - to whom he affirms to be widely indebted - in order to discern the proper of the Macintyrian researcher and that of his access to truth, which he considers as absolute. The unifying thread of it is the dichotomy Aristotle vs. Heidegger in Gadamer’s work. This dichotomy, which is suggested by the Anglo-Saxon philosopher, proves to be an important key of interpretation of his thought in the field of hermeneutic. In a third part the author studies a diversity of themes for a right understanding of the Macintyrian conception of truth: today’s context of plurality of traditions and civilisations, Macintyrian Thomism, the absolute and what is relative and truth as a good. This thematic part is built upon a confrontation with the thought of the second Hilary Putnam, that of "Reason, Truth and History", which is used as a safeguard in the work of MacIntyre when he tries to define the conception of truth in the tradition rationality. The author makes some critics of MacIntyre’s thought, notably on the credit given to human rationality: the Anglo-Saxon philosopher does not seem to understand the limits proper to it, on theoretical level and practical level as well. / Le thème de la vérité chez Alasdair MacIntyre restait trop peu connu. Cette thèse entend contribuer à combler ce manque. Dans une longue première partie, l’ensemble de l’œuvre macintyrienne est épluché en suivant le thème de la vérité, qui y est omniprésent. Cette partie heuristique débouche sur une partie herméneutique, où la pensée du philosophe anglo-saxon est confrontée à celle de Hans-Georg Gadamer, envers lequel il reconnaît une dette importante, afin de discerner quelle est la part propre de la situation de l’investigateur macintyrien et celle de son accès à la vérité, qu’il considère finalement comme étant absolue. La dichotomie Aristote vs Heidegger chez Gadamer en constitue le fil rouge. Cette dichotomie, suggérée par le philosophe anglo-saxon, s’avère être une clé d’interprétation importante de sa pensée dans le champ de l’herméneutique. Dans une troisième partie sont étudiés divers thèmes importants pour une juste compréhension de la conception macintyrienne de la vérité : le contexte contemporain de la pluralité des traditions et des civilisations, le thomisme macintyrien, le relatif et l’absolu, et la vérité comme (un) bien. Cette partie thématique est charpentée par une confrontation avec la pensée du second Hilary Putnam, celui de "Reason, Truth and History", qui sert en quelque sorte de garde-fou dans l’œuvre macintyrienne quand il s’agit de définir la conception de la vérité impliquée dans la tradition rationality. Certaines critiques de la pensée d’Alasdair MacIntyre sont faites, notamment en ce qui concerne le crédit qu’il accorde à la rationalité humaine : le philosophe anglo-saxon ne semble pas prendre la mesure des limites qui lui sont propres, tant au niveau théorique qu’au niveau pratique.
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La vérité chez Alasdair MacIntyre : heuristique, herméneutique, thématique

Rouard, Christophe 25 August 2008 (has links)
The theme of truth in the work of Alasdair MacIntyre has rarely been developed. The present thesis aims at filling this lack. In a long first part the goes in details through the whole of MacIntyre’s work with a special attention to the item of truth, which is omnipresent. This heuristic part leads to a hermeneutic part, in which the thought of the Anglo-Saxon philosopher is compared with that of Hans-Georg Gadamer - to whom he affirms to be widely indebted - in order to discern the proper of the Macintyrian researcher and that of his access to truth, which he considers as absolute. The unifying thread of it is the dichotomy Aristotle vs. Heidegger in Gadamer’s work. This dichotomy, which is suggested by the Anglo-Saxon philosopher, proves to be an important key of interpretation of his thought in the field of hermeneutic. In a third part the author studies a diversity of themes for a right understanding of the Macintyrian conception of truth: today’s context of plurality of traditions and civilisations, Macintyrian Thomism, the absolute and what is relative and truth as a good. This thematic part is built upon a confrontation with the thought of the second Hilary Putnam, that of "Reason, Truth and History", which is used as a safeguard in the work of MacIntyre when he tries to define the conception of truth in the tradition rationality. The author makes some critics of MacIntyre’s thought, notably on the credit given to human rationality: the Anglo-Saxon philosopher does not seem to understand the limits proper to it, on theoretical level and practical level as well. / Le thème de la vérité chez Alasdair MacIntyre restait trop peu connu. Cette thèse entend contribuer à combler ce manque. Dans une longue première partie, l’ensemble de l’œuvre macintyrienne est épluché en suivant le thème de la vérité, qui y est omniprésent. Cette partie heuristique débouche sur une partie herméneutique, où la pensée du philosophe anglo-saxon est confrontée à celle de Hans-Georg Gadamer, envers lequel il reconnaît une dette importante, afin de discerner quelle est la part propre de la situation de l’investigateur macintyrien et celle de son accès à la vérité, qu’il considère finalement comme étant absolue. La dichotomie Aristote vs Heidegger chez Gadamer en constitue le fil rouge. Cette dichotomie, suggérée par le philosophe anglo-saxon, s’avère être une clé d’interprétation importante de sa pensée dans le champ de l’herméneutique. Dans une troisième partie sont étudiés divers thèmes importants pour une juste compréhension de la conception macintyrienne de la vérité : le contexte contemporain de la pluralité des traditions et des civilisations, le thomisme macintyrien, le relatif et l’absolu, et la vérité comme (un) bien. Cette partie thématique est charpentée par une confrontation avec la pensée du second Hilary Putnam, celui de "Reason, Truth and History", qui sert en quelque sorte de garde-fou dans l’œuvre macintyrienne quand il s’agit de définir la conception de la vérité impliquée dans la tradition rationality. Certaines critiques de la pensée d’Alasdair MacIntyre sont faites, notamment en ce qui concerne le crédit qu’il accorde à la rationalité humaine : le philosophe anglo-saxon ne semble pas prendre la mesure des limites qui lui sont propres, tant au niveau théorique qu’au niveau pratique.
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La Force et son Double : l'écriture de la cruauté chez Antonin Artaud

Boivin, Jean-Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Du gène égoïste à la physiologie du phénotype étendu : vers une redéfinition des frontières de l'individualité biologique

Méthot, Pierre-Olivier January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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De la totalité radicale aux modes finis : l'ontologie moniste du multiple de Spinoza

Hotton, Alexis January 2013 (has links)
Le premier grand geste philosophique de l’Éthique de Spinoza consiste en un rejet de l'existence des substances individuelles au profit de la reconnaissance d'une substance unique qui englobe l’intégralité du réel au sein de sa propre causalité interne. Cette option moniste est l’une des grandes sources de critique du spinozisme. Selon ses détracteurs, ce dernier ruinerait soit toute pensée véritable des réalités individuelles en les écrasant sous un fond commun d'identité, soit toute conception authentique de Dieu, identifié à la substance unique, en le diluant dans l’infinité des modes. Tel est le coeur de la problématique de ce mémoire où nous proposons un examen des concepts fondamentaux de la métaphysique de Spinoza. De la substance unique aux modes finis en passant par les attributs et les modes infinis, nous parcourons l'itinéraire qui permet de penser ensemble le tout et la partie, la totalité radicale et les existences particulières. De surcroît, cette entreprise de recherche, à l’instar de l'Éthique elle-même, se double d'un questionnement sur la nature ontologique de l’homme et la possibilité réelle de son accès au salut. Ainsi, ce projet se conclut sur une analyse de la singularité du mode fini humain.
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Méthode et métaphysique chez Descartes / Method and metaphysics in Descartes

Paik, Joo-Jin 07 September 2017 (has links)
Descartes inaugure, dans le Regulae, l'idéal d'une science universelle par la méthode. La méthode cartésienne consiste avant tout à résoudre de la manière la plus parfaite possible les questions. Pour cela, il faut que l'esprit fonde sa solution sur l'expérience du réel tout en assurant qu'elle soit la solution la plus efficace possible. Dans ce sens, la méthode de Descartes comporte déjà un caractère métaphysique, car la recherche de la solution la plus efficace ne se sépare pas de la recherche d'une réalité absolue. La métaphysique cartésienne, étant le lieu où cet idéal de la méthode se réalise le mieux, fonde cette méthode sur l'expérience de la réalité absolue. Le cogito, ergo sum illustre le pouvoir de l'esprit de s'orienter par une expérience intérieure de l'esprit sur soi. Mais pour que ce pouvoir de l'esprit devienne une force productive du vrai, il faut que l'esprit participe à la puissance de Dieu tout en gardant son indépendance. Ainsi, la méthode s'étend jusqu'au fond de la métaphysique, si bien qu'elle devienne constitutive de l'unité de la métaphysique elle-même. / Descartes inaugurated, in the Regulae, the ideal of a universal science by method. The Cartesian method consists above all of solving the questions in the most perfect way possible. To do this, the mind must base its solution on the experience of the real while ensuring that it is the most effective solution possible. In this sense, Descartes' method already has a metaphysical character, for the search for the most effective solution is not separated from the search for an absolute reality. Cartesian metaphysics, being the place where this ideal of method is best realized, bases this method on the experience of absolute reality. The cogito, ergo sum illustrates the power of the mind to orient itself through an inner experience of the mind on oneself. But for this power of the mind to become a productive force of truth, the mind must participate to the power of God, while remaining independent. Thus the method extends to the heart of the metaphysics, so that it becomes constitutive of the unity of metaphysics itself.
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La métaphysique de Georges Gusdorf : métamorphoses et continuité de la conscience

Couturier, Marie-Claude January 2005 (has links)
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