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Écriture et connaissance, le lent gage des mots tels qu'aileCourcy, Rodolphe 18 April 2024 (has links)
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Questions and quantifiers : an inquiry in natural language metaphysicsShimelman, Wendy Aviva 13 April 2018 (has links)
Cette thèse traite des questions quantifiées (QQs) et, plus spécifiquement, de trois phénomènes : « Pair-List Readings » (PLRs), « Weak Islands » (WIs) et « Intervention Effects » (IEs). Nous observons que, dans plusieurs cas, il existe contraintes sur l’interprétation des QQs qui s’avèrent purement linguistiques. Par exemple, ni la logique ni la pragmatique n’empêche de répondre à la question Who did few girls see? par l’usage d’ une « pair list »; néanmoins, on ne le ferait pas spontanément. La question fondamentale qui sous-tend cette thèse est la suivante : quelles présuppositions ontologiques soutiennent le mieux une sémantique explicite des langues naturelles? Cette recherche contribue à l’ensemble de preuves que la langue naturelle quantifie sur au moins deux domaines, celui des individus et celui des évènements. Nous avons conçu une méthode novatrice pour tester les intuitions des locuteurs quant aux « conditions de réponse » des questions. Elle nous a permis de constater que des phrases interrogatives quantifiées peuvent être ambigües et avoir a la fois une lecture dite « d’objet » et une autre dite « d’événement ». Nous démontrons que les conditions de vérité de la réponse PL à une QQ sont celles de sa lecture événement. Nous postulons est que les possibilités d’interprétation d’une QQ dépendent de l’interaction des valeurs de deux paramètres : le domaine de quantification, (celui des événements ou celui des individus, E or D) et le type sémantique de la phrase sujet, (référentiel ou quantificatif, < d> ou < < dt> t> ). Une lecture PL résulte de la combinaison [E, < d> ]. Les WIs se produisent de la combinaison *[ E, < < dt> t> ]. Nous avançons l’hypothèse que les langues naturelles ne génèrent pas cette combinaison, et qu’elle est exclue à cause d’un « type mismatch ». Les combinaisons [D, < d> ] et [D, < < dt> t> ] donnent lieu toutes les deux a une lecture « objet ». Les IEs sont dus à la combinaison de celle-ci avec un autre élément (« WH-AGENT ») qui s’interpose. Nous proposons deux alternatives pour la sémantique des QQs. La première est algébrique et emploie des « alternative sets »; la deuxième est dynamique. Ici, nous suggérons que l’opérateur interrogatif, Q, fonctionne à la manière d’un quantificateur adverbial comme généralement ou toujours. Cette approche permet un traitement plus uniforme des phrases déclaratives et interrogatives et elle contribue à l’unification de la sémantique des expressions nominales et verbales. / This dissertation looks at quantified questions (“QQs”) and, specifically, at Pair-List readings, Weak Islands and Intervention Effects (“PLRs, ” “WIs” and “IEs”). In many cases, we observe that there are constraints on the interpretation of QQs that are irreducibly linguistic. Although no logical or pragmatic constraint precludes understanding, say, Who did few girls see? as a request for a pair-list, that interpretation is unavailable. The “big question” that structures this project is: What ontological presuppositions best support an explicit semantics for natural language? We contribute to the growing body of evidence that natural language quantifies over at least two basic domains, viz., individuals and events. We develop a somewhat novel method of testing speakers’ intuitions with regard to the “answerhood conditions” of questions. We found, first, that some quantified interrogatives can be ambiguous between an object- and an event-related reading. The truth conditions of the PL response to a quantified question are those of its event-related reading. The truth conditions of responses to non-quantified in-situ questions are also those of the event-related reading; the truth conditions of responses to raised quantified questions are those of the object-related reading. We hypothesize that the interpretive possibilities in QQs are a function of the values of two parameters: the domain being quantified over (events or individuals, E or D) and the type of the subject phrase (referential or quantificational, < d> or < < dt> t> ). A PL reading results from the combination [E, < d> ]. WIs are the product of the “combination” *[E, < < dt> t> ]. We hypothesize that there are no extant examples of this combination in natural language – a type mismatch precludes it. Both the combinations [D, < d> ] and [D, < < dt> t> ] yield object-related readings. IEs result from the combination of the combination [D, < < dt> t> ] and an intervener, “WH-AGENT.” We develop two proposals for the semantics of QQs. The first is algebraic and makes use of “alternative sets.” The second is dynamic. Here, the question operator, Q, is treated like an adverbial quantifier of the ilk of usually or always. This approach permits a more uniform treatment of the semantics of nominal and verbal expressions and of declaratives and interrogatives.
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Wittgenstein et la question du behaviorismeBernier, Paul, Bernier, Paul 03 December 2024 (has links)
Le propos de notre mémoire est de caractériser la conception pragmatique de la signification dans la philosophie du second Wittgenstein, et d'en faire ressortir certaines implications pour le problème de la signification des prédicats d'états mentaux. Nous présentons d'abord les grandes lignes de la notion de signification dans le Tractatus logico-philosophicus, afin de mettre en évidence le caractère distinctif de la conception pragmatique que Wittgenstein élaborera dans sa deuxième manière, -en opposition avec sa conception tractatéenne. Après avoir dégagé cette conception pragmatique, nous abordons le problème de la signification des prédicats d'états mentaux relativement aux « expériences privées ». Enfin, nous évaluons une thèse selon laquelle cette conception pragmatique du langage engagerait Wittgenstein à une forme de behaviorisme.
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Essai sur les causes, les formes et les limites de l'inflation du langage dans la philosophie contemporaineHottois, Gilbert January 1976 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'indissociabilité de la pensée et du langageSimard, Yanik 18 December 2021 (has links)
Les écrits semblent poser en principe un lien étroit entre langage et pensée. Autant on semble affirmer le principe de l'indissociabilité de ce lien entre le langage et la pensée, autant on explique peu comment s'établit ce lien. L'objectif de ce mémoire est d'étudier de plus près comment certains auteurs expliquent ce lien indissociable. L'objet second constitue une critique de cette indissociabilité. A l'aide de certains ouvrages, dont ceux de Gusdorf, Sapir et Wittgenstein, j'ai observé que les liens entre la pensée et le langage ont des similitudes et des divergences. Par exemple, par des chemins différents, Gusdorf et Sapir ont des positions qui se ressemblent. La réciprocité et le mutualisme semblent les principaux liens qui expliquent, selon ces auteurs, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Dans Investigations philosophiques, Wittgenstein suggère, pour sa part, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Pour cet auteur, le langage est antérieur à la pensée. Et c'est le langage qui fait apparaître la pensée. Dans Tractatus logico-philosophicus, de même que dans Remarques philosophiques, la pensée et le langage semblent dissociables. La pensée est plutôt affirmée comme étant antérieure au langage. Ce n'est pas le langage qui rend nécessairement manifeste la pensée; celle-ci doit se rendre manifeste d'elle-même. Si les philosophes semblent plutôt d'accord pour affirmer l'indissociabilité entre la pensée et le langage, je suis surpris de constater que les argumentations sont peu élaborées pour expliquer cette sorte de lien. L'indissociabilité entre la pensée et le langage serait-il un principe premier? Se peut-il que la culture, l'éducation aient indirectement fait en sorte que ce principe de l'indissociabilité du langage et de la pensée ne puisse être remis en question?
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The search for public virtueLanza, Jean-François 31 August 2021 (has links)
Le problème central de l’éthique est le scepticisme épistémique. On considère que cela commence, à l’époque moderne, avec Hume, puis sera codifié par Hegel insistant qu’aucune expérience objective ne saurait être décrite abstraction faite de la subjectivité, à moins qu'on puisse rendre compte de manière non-subjective du processus de représentation. Le scepticisme épistémique proclame que le droit naturel classique commet le sophisme naturaliste. En y substituant le droit naturel moderne, il conduit inéluctablement au relativisme. Deux cents ans de tentatives n’ont pas produit de réfutation du scepticisme, ni aucune théorie qui puisse passer le test de Hegel. Ils ont en fait servi à démontrer qu'il est impossible d’y parvenir tant que la question métaphysique du langage n’aura été d’abord résolue. Notre thèse tente une réfutation des problèmes du scepticisme épistémique, du relativisme éthique et du nihilisme métaphysique, en dégageant les méta-théories qui sont les présupposés tacites de la philosophie contemporaine. Il s'agit de montrer qu'elles sont injustifiées, de voir comment et pourquoi on en est rendu là, et quelle métaphysique rendrait possible la réfutation qui s’impose. / The central problem for ethics is epistemic scepticism. This is taken to begin, in modem times, with Hume and to be codified by Hegel’s insistence that no objective account of experience can be given without reference to the subjectivity of the experiencer and unless there is a non-subjective account of the process of representation.Epistemic scepticism proclaims classical natural right as a naturalistic fallacy and, by the introduction of modem natural right, leads inevitably to ethical relativism. Two hundred years of attempts have not produced any refutation of scepticism, nor any theory that could pass Hegel's test. They have instead strongly indicated that there is no way to satisfy these requirements unless the metaphysical question of language is solved first.This thesis will attempt the refutation of the problems of epistemic scepticism, ethical relativism and metaphysical nihilism by shedding light on the meta-theories that are the unspoken assumptions of contemporary philosophy, by showing that they are unjustified and indicating what went wrong and why. It will also provide for the right metaphysics that will allow the required refutation.
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Une interprétation formaliste de la signification et du statut logique de la critique quinienne de la distinction analytique-synthétiqueTardif, Pier-Alexandre 20 April 2018 (has links)
L'auteur entreprend dans ce mémoire de proposer une interprétation formaliste de la signification et du statut logique de la critique que mène Quine, dans son article Two Dogmas of Empiricism de 1951, à l'encontre de la distinction classique en philosophie entre les énoncés analytiques et synthétiques. Contre l'interprétation standard qui persiste à concevoir cette critique comme un rejet catégorique de la distinction, l'auteur reconstruit la théorie de la signification quinienne afin de relever la distinction renouvelée qu'introduit Quine entre "analytique" et "synthétique" dans son dernier ouvrage, From Stimulus to Science. Par une étude comparative de la conception de Quine et de celles de Churchland et Searle sont spécifiés le sens et le statut que l'on doit assigner à sa notion de "signification". Réinterprétée à la lumière de ces considérations, la critique quinienne se révèle être une remise en question de niveau métaépistémologique de la pratique philosophique de l'empirisme logique. / In this dissertation, the author proposes a formalist interpretation of the meaning and logical status of the critique that Quine put forward against the classical philosophic distinction between analytic and synthetic statements in his 1951 article Two Dogmas of Empiricism. Against the standard interpretation that prevails in the literature, according to which this critique is categorical and without appeal, the author undertakes to rationally reconstruct Quine's theory of meaning in order to reveal the renewed distinction between "analytic" and "synthetic" as it was introduced in his last book, From Stimulus to Science (1995). The meaning and logical status that ought to be assigned to his notion of "meaning" are specified by means of a comparative study between Quine's own conception and that of Churchland and Searle. Reinterpreted in the light of these considerations, the Quinian critique proves to be a metaepistemological reassessment of the logical empiricism's philosophical practice.
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Le signe et le langage dans les dialogues de Saint Augustin (386-389), une introduction à la lecture du "De Magistro"Rincón González, Alfonso, Rincón González, Alfonso 04 January 2025 (has links)
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Autour du principe de réalité en physique quantique : études sur Planck, Bohr et HeisenbergRhéault, Paul. 13 October 2021 (has links)
Ce mémoire s'inscrit à l'intérieur d'une réflexion systématique et critique portant sur le concept de réalité, à partir des recherches de Planck, Bohr et Heisenberg qui permirent le développement de la physique quantique; celle-là même qui allait bouleverser les fondements scientifiques acquis, sur lesquels reposait notre connaissance du monde. Cependant, la quête pour la connaissance du réel, par le biais de la physique quantique, en tant que langage sur le réel, pose le problème de ce qu'il conviendrait de nommer la réalité, vue à partir d'un langage mathématique essentiellement abstrait. Le problème de l'"accessibilité" au réel, par le biais de telles constructions mentales, est en fait une question de légitimité de l'investigation théorique dans la quête du réel et ce, en tant qu'organisation spécifique d'un langage beaucoup plus vaste sur lequel elle revient constamment s'appuyer, celle de sa raison même de penser le monde existant, de le pressentir à travers la multiplicité de ses manifestations.
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Naming and contingency: towards an internalist theory of direct reference / Sens des noms et contingence: vers une théorie internaliste de la référence directeBochner, Gregory 15 December 2011 (has links)
This work is an essay on the reference of names in language and thought. According to the Theory of Direct Reference, nowadays dominant in philosophy of language, the semantic content of a proper name is directly its referent (Chapter 1).<p>Nevertheless, despite its current fame, this theory must face two major difficulties, familiar since Frege and Russell: the Co-Reference and the No-Reference Problems. The traditional response to these problems consisted precisely in abandoning Referentialism in favour of a version of Descriptivism according to which the semantic content of a proper name would be, not its referent, but a descriptive condition (Chapter 2).<p>However, it is also this traditional version of Descriptivism that the arguments offered by the pioneers of modern Referentialism—including Kripke, Putnam, and Kaplan—have largely discredited (Chapter 3).<p>The theoretical tools developed within the framework of possible worlds semantics enable to restate the problems generated by Referentialism in terms of the opacity of linguistic intensions and Modal Illusions (Chapter 4).<p>At this stage, our semantic theory of names seems to have reached a dead end: on the one hand, modern Referentialism recreates the problems which classical Descriptivism was meant to solve, but, on the other hand, this kind of Descriptivism appears to be refuted by the argumentation of new Referentialists. A common reaction, then, has been to devise more complex semantic theories purporting to combine Referentialism with crucial features from Descriptivism. However, a careful examination reveals that the various versions of this strategy fail (Chapter 5).<p>Another type of reaction, also ecumenical, has been to draw a distinction between two kinds of contents which would be associated with names and the sentences in which these occur: while the first kind of content would be descriptive, the second would be referential. The Two-Dimensionalist framework has received several interpretations (pragmatic, semantic, metasemantic); but a new construal, metasyntactic, is defended in this work (Chapter 6).<p>The metasyntactic interpretation of Two-Dimensionalism allows for a radical gap between language and thought: while the thoughts of their users can remain descriptive, names are supposed to achieve direct reference by themselves, and independently of the mental states of their users. Hence, names must be regarded as objects living in the external world, on a par with other ordinary objects like trees or chairs, and not as mental objects. An Externalist metaphysics of names is then submitted, as well as a corresponding epistemology, according to which external names are described in the mind through a description of their reference (Chapter 7).<p>The general strategy pursued in this work amounts to combining a Theory of Direct Reference in language with a Descriptivist (hence, Internalist) account of thought. Also, certain influential arguments — notably devised by Burge — intended to support Mental Referentialism (hence, Externalism) beyond Linguistic Referentialism, are rejected; it is moreover argued that a Non-Descriptivist conception of the mental is incapable of securing the introspective transparency of thoughts, which, however, seems indispensable, among other things in order to solve and even pose the Co-Reference and the No-Reference Problems (Chapter 8).<p><p>----------<p><p>Ce travail est un essai sur la référence des noms dans le langage et la pensée. Selon la Théorie de la Référence Directe, aujourd'hui dominante en philosophie du langage, le contenu sémantique d'un nom propre est directement son référent (Chapitre 1).<p>Or, malgré son succès récent, cette théorie Référentialiste se heurte à deux obstacles majeurs, reconnus depuis Frege et Russell : les Problèmes de la Co-référence et de la Non-Référence. La réponse traditionnelle à ces problèmes consistait précisément à abandonner la conception Référentialiste en faveur d'un Descriptivisme selon lequel le contenu sémantique d'un nom propre serait, non pas son référent, mais une condition descriptive (Chapitre 2).<p>Toutefois, c'est aussi ce Descriptivisme traditionnel que les arguments formulés par les hérauts du Référentialisme moderne—dont Kripke, Putnam, et Kaplan—ont largement discrédité (Chapitre 3).<p>Les outils théoriques développés dans le cadre de la sémantique des mondes possibles permettent de reformuler les problèmes générés par le Référentialisme en termes d'opacité des intensions linguistiques et d'Illusions Modales (Chapitre 4).<p>A ce stade, la théorie sémantique des noms semble dans une impasse : d'une part, le Référentialisme moderne recrée des problèmes que le Descriptivisme classique devait résoudre, mais d'autre part, ce Descriptivisme paraît bel et bien réfuté par l'argumentation des Référentialistes. Aussi, une réaction commune a été de chercher à concilier le Référentialisme et une forme de Descriptivisme au sein d'une même théorie sémantique. Cependant, un examen approfondi révèle que les différentes versions de cette stratégie échouent (Chapitre 5).<p>Une autre réaction, elle aussi œcuménique, a été d'opérér une distinction entre deux types de contenus qui seraient associés avec les noms et les phrases dans lesquels ceux-ci figurent : le premier contenu serait descriptif, tandis que le second serait référentiel. Le cadre offert par un tel Bi-Dimensionnalisme a reçu plusieurs interprétations très différentes (pragmatique, sémantique, métasémantique) ; mais c'est une nouvelle version, métasyntaxique, qui est défendue dans ce travail (Chapitre 6).<p>Le Bi-Dimensionalisme métasyntaxique autorise une séparation radicale entre langage et pensée : tandis que les pensées de leurs utilisateurs peuvent rester descriptives, les noms sont censés référer directement par eux-mêmes, indépendamment des états mentaux de leurs utilisateurs. Dès lors, les noms doivent être considérés comme des objets appartenant au monde extérieur, au même titre que des objets ordinaires tels que les arbres ou les chaises, et non comme des objets mentaux. Une métaphysique externaliste des noms est proposée, ainsi qu'une épistémologie assortie, selon laquelle les noms externes sont décrits dans l'esprit à travers une description de leur référence (Chapitre 7).<p>La stratégie générale qui est défendue dans ce travail revient à combiner une Théorie de la Référence Directe dans le langage avec une conception Descriptiviste (et donc, Internaliste) de la pensée. Aussi, certains arguments influents — émis par notamment Burge — censés établir un Référentialisme non seulement linguistique mais aussi mental (et donc, un Externalisme) sont rejetés ; il est en outre défendu qu'une vision Non-Descriptiviste du mental apparaît incapable de garantir la transparence introspective des pensées, cependant indispensable, notamment pour résoudre et même poser les Problèmes de Co-Référence et de Non-Référence (Chapitre 8). / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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