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A Study of Arranging Technique, Performance Guide, and Practical Application on Liszt's Schubert Song Transcriptions

Kim, Sunghwan 01 September 2022 (has links)
No description available.
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New bottles for new wine : Liszt's compositional procedures (harmony, form, and programme in selected piano works from the Weimar period, 1848-1861)

Shin, Minna Re, 1969- January 2000 (has links)
No description available.
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Années de pèlerinage de Franz Liszt, cycle musical inspiré de la nature, de la littérature, de la peinture ou sculpture, de textes religieux et de thèmes folkloriques : qu'est-ce qui a influencé Liszt dans la création du cycle « Années de Pèlerinage » ?

Châteauvert, Alain 25 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 8 août 2023) / Pour de nombreux musiciens, la musique composée par Franz Liszt est absolument fascinante. Pour réaliser une bonne interprétation des œuvres de Liszt, il faut, une excellente technique et des connaissances sur sa vie. Il existe d'innombrables textes écrits sur ce compositeur qui a vécu tout près de 75 ans. D'ailleurs, Liszt a eu une grande influence auprès des musiciens du 19ᵉ siècle. Il y a très peu de thèses ou d'écrits qui vont se concentrer sur tout le cycle Années de Pèlerinage. La composition de ce répertoire de 23 pièces s'échelonne sur tout près de 40 ans de la vie de cet illustre musicien. Cette recherche s'attarde sur les éléments qui ont influencé le compositeur pour écrire chacune des pièces de ce répertoire. Après une brève biographie, le premier chapitre présente ce que Liszt a mis en musique lors de son périple en Suisse. Le second chapitre parle de l'influence des textes religieux. Le troisième chapitre rend compte des influences des tableaux et des sculptures vus surtout en Italie. Le quatrième chapitre, le plus volumineux, démontre l'importance des textes poétiques et philosophiques sur les compositions du pianiste. Le dernier chapitre parle des influences des thèmes folkloriques. En conclusion, cette thèse peut servir de guide pour les interprètes qui désirent jouer ce répertoire. / An enlightened performance of the music of Franz Liszt requires knowledge about his life and his works. There are countless texts written about this composer who lived almost 75 years. There are very few will talk about the entire Années de Pèlerinage cycle. This corpus of 23 pieces spans almost 40 years of the life of this illustrious pianist. This research focuses on the elements that influenced the composer to write each of the pieces in this collection. After a brief biography, the first chapter presents what Liszt set to music during his trip in Switzerland. He said he wanted to express his strongest feelings through music. The second chapter deals with the influence of religious texts. The third chapter gives an account of the influences of the paintings and sculptures seen especially in Italy. The fourth chapter, the most voluminous, displays the importance of the poetic and philosophical texts on the compositions of the pianist. The last chapter talks about the influences of folk themes. Finally, and as a conclusion, the reader will find a guide for the performers who wish to play this repertoire.
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La tarentelle pour piano en France à travers les partitions éditées de 1828 à 1914 / The tarantella for piano in France through relevant scores published between the years 1828 to 1914

Pimentel, Juliana 30 January 2016 (has links)
Cette étude porte sur un corpus de tarentelles pour piano éditées en France de la fin des années 1820 jusqu’à la Première Guerre mondiale. Cherchant à comprendre comment cette danse, originaire du sud de l’Italie, en est venue à occuper une telle place dans le répertoire pianistique français du XIXe siècle, l’auteur commence par évoquer ses origines présumées, entre catharsis et rituel de guérison, puis son évolution en une danse de divertissement. Après une première partie consacrée à la façon dont les récits de voyageurs, les romans et les articles de presse contribuent à entretenir un imaginaire pittoresque autour de la tarentelle, la deuxième partie aborde la question de son acclimatation dans la France du siècle romantique. On y apprend notamment que la tarentelle de La Muette de Portici d’Auber a servi de modèle aux tarentelles qui figurent dans de nombreux opéras de l’époque. Avec La Danza de Rossini, la Tarentelle d’Auber a même lancé la mode des pièces s’inspirant du rythme et de la vivacité caractéristiques de cette danse. La troisième partie apporte enfin un éclairage particulier sur les 496 partitions pour piano du corpus, celles-ci étant examinées sous l’angle de leurs couvertures illustrées, de leurs titres évocateurs, mais aussi de la gestion qu’elles font de certains paramètres musicaux (rythme, tonalité, tempo, etc.). Englobant un répertoire qui va des pièces faciles pour le salon aux œuvres les plus virtuoses pour le concert, la tarentelle a séduit le public français par sa puissance d’évocation transalpine et l’énergie de son rythme tourbillonnant. / This study relies on a corpus of tarantellas for piano, which were released in France from the end of the 1820s until World War I. From the starting point of the supposed origins of this dance – between catharsis, healing rituals, and then its mutation into an entertaining dance – the author reaches an understanding of how a dance, which actually originated in Southern Italy has come to occupy a significant place in the French pianistic literature of the 19th century. After a first section devoted to the way travellers’ tales, novels and press releases contributed to foster picturesque imagination surrounding the tarantellas, the second section deals with the issue of its adaptation to the French Romantic century criteria. One learns, among others, that the tarantella from La Muette de Portici by Auber provided a model for subsequent tarantellas, which featured in numerous operatic works of that time. Along with Rossini’s La Danza, Auber’s Tarantella initiated an authentic trend for pieces, which were taking inspiration from lively components so characteristic of this dance. Eventually, the third section brings a particular emphasis on the 496 piano pieces of the author’s corpus. This section analyses them in the light of their illustrated cover pages, evocative titles, and also the way several musical parameters such as rhythm, tonality, tempo, etc. are treated. With a repertoire encompassing easy pieces intended to parlour attendees to more virtuosic concert works, the tarantella seduced the French audiences through its transalpine evocative power and the energy of its whirling rhythm.
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Gastfreundschaft gegen unedierte Werke

Rosenmüller, Annegret 29 May 2008 (has links) (PDF)
Schon im Oktober 2007 geschah, was im Mai 2008 endlich der Öffentlichkeit vorgestellt werden konnte: der Fund einer Handschrift von Franz Liszt in der Bibliotheca Albertina durch Annegret Rosenmüller, zum damaligen Zeitpunkt Mitarbeiterin in den Sondersammlungen der Universitätsbibliothek Leipzig.
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Liszt's Schubert Lieder Transcriptions: A Study of Liszt Pianistic Idoms in the Transcriptive Procedure. A Lecture Recital, Together with Three Recitals of Works by Mozart, Debussy, Schumann, Griffes, and Other Composers

Ku, Hsiao-hung 08 1900 (has links)
Franz Liszt, who was the greatest virtuoso pianist in the nineteenth-century, was also a productive composer. But his tremendous technique brought the misunderstanding that his compositions were just flashy and superficial, thus creating an obstacle for appreciating his music. The purpose of this study is to encourage an understanding of the value of Liszt's music, especially his Schubert Lieder transcriptions. The study starts with an introduction, which states the revival of the art of transcription, gives the muscial background of Liszt and describes the instruments that were available to him. Then follows a discussion about his experimentation with the conventional piano techniques and how he applied them to the song transcriptions. Two transcriptions "Hark, Hark, the Lark" and "Der Lindenbaum" are analyzed in detail to show the transcriptive procedure and the relation between the poetry and the musical expression. A conclusion summarizes the study.
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Le piano-orchestral en France entre 1835 et 1849 : une écoute de l'oeuvre pianistique / The orchestral piano in France between 1835 and 1849 : a listening of the pianistic work

Delespaul, Caroline 09 October 2017 (has links)
En France, l’idée d’un piano-orchestral voit le jour durant la première moitié du XIXe siècle. Dès les premières décennies, de nombreux commentateurs reconnaissent dans l’instrument à clavier la capacité de restituer en son sein l’ensemble symphonique. Les écrits instaurent une relation étroite entre le piano et l’orchestre. Dans l’inconscient collectif, le piano ne tarde pas à devenir un « petit-orchestre complet » comme tend à le prouver le discours qui utilise ce qualificatif en tant que référence commune. Dans l’ombre de cette pensée s’élabore l’idée de la pénétration d’une « figure orchestrale » dans l’œuvre pianistique et naît alors l’idée d’un piano-orchestral. L’enjeu principal de cette thèse sera de tenter de définir le piano-orchestral français à travers un travail lié à la réception. Nous faisons en effet l’hypothèse que certaines œuvres pour piano ou certains éléments de celles-ci invitent l’auditeur à effectuer un transfert d’idées entre le piano et l’orchestre ou à reconnaître l’ensemble symphonique au clavier. Le piano-orchestral serait alors une écoute de l’œuvre pianistique. En tant que phénomène lié à laréception de l’œuvre, le piano-orchestral appartient au domaine de la verbalisation de la musique et nous avons donc choisi de l’étudier à travers le prisme du discours musical. Notre ambition étant de définir le piano-orchestral, nous avons décidéd’interroger son élaboration et ses fondements en nous concentrant sur ses prémices. Notre recherche s’étendra donc de 1835 à 1849 ; une période correspondant à la reconnaissance de l’idée jusqu’au début de sa remise en question. / In France, the idea of an orchestral piano was born during the first half of the 19th century. Since the early decades, many commentators recognized in the keyboard instrument the ability to reproduce the orchestra by itself and the writingsestablished a close relationship between the piano and the orchestra. In the collective unconscious, the piano soon became a "complete small orchestra" as the use of this qualifier as a common reference shows. In the shadow of this thought, the idea of including an “orchestral figure“ into the pianistic work was developed and thus the idea of an orchestral piano. The main challenge of this thesis will be to attempt to define the French orchestral piano through the study of its reception. Indeed, we hypothesise that some works for piano or some parts of them invite the listener to make a transfer of ideas between the piano and the orchestra or to recognize the orchestra on the keyboard. The orchestral piano would then be a listening to the pianistic work. As a phenomenon related to the reception of the work, the orchestral piano belongs to the domain of the verbalization of music and we therefore chose to study it through the prism of musical speech. Our ambition being to define the orchestral piano, we decided to question its elaboration and its foundations by focusing on its infancy. Our research will consequently extend from 1835 to 1849, a period corresponding to the recognition of the idea until the beginning of it being brought into question.
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Les dernières pièces pour piano de Franz Liszt. Pour une étude de la notion de fin d’œuvre / Liszt’s Late Piano Works : A Study of the Notion of Ending

Caux, Grégoire 05 November 2011 (has links)
Dans ses dernières pièces pour piano, Franz Liszt tend à déstabiliser les codes normatifs des procédures cadentielles, en cherchant à éviter la configuration générale de la consonance, de la détente et de l’apaisement. Plusieurs catégories sémantiques peuvent être déterminées, ayant chacune ses propres caractéristiques stylistiques : la figure féminine, le passé, le sinistre, le macabre, même si la mort semble constituer le principe esthétique essentiel. À partir de ces catégories, il s’agit alors de proposer une réflexion sur les significations de ces fins d’œuvres, en convoquant les stratégies poïétiques du compositeur, les attentes esthésiques et la collaboration de l’auditeur. La première partie se consacre pleinement au processus de dépouillement et à la notion de seuil, tandis que la deuxième interroge le principe d’accroissement sonore en lien avec les topoï méphistophéliques, sinistres et tzigano-hongrois. Enfin, la troisième partie s’articule autour de plusieurs axes : la fin ouverte, la forme expérimentale, l’attente, l’inattendu, l’improvisation, la notion de fragment romantique. Ces pistes de réflexions visent à cerner un paradoxe de la fin d’œuvre chez le dernier Liszt, entre structure fermée et principe de seuil. / In his late piano pieces, Franz Liszt tends to destabilize the traditional codes of the cadential procedures. He aims to avoid the general configuration of consonance, relaxation and quiescence. Several semantic categories can be defined, each of them having its own stylistic characteristics: female, past, sinister, macabre, even if death seems to be the most efficient principle, from a point of view of aesthetics. It is to propose a reflection into the meanings of these endings. To do this, we resort to poïtic intentions of the composer with the esthesic expectations and interpretive collaboration of the listener. The first part of this thesis is devoted to process of denudation and threshold notion, whereas the second part raises questions about the principle of increase, related to mephistophelian, sinister and gypsy-Hungarian topoï. At last, the third part focuses on several topics: open ending, experimental form, expectation, the unexpected and romantic fragment. These avenues of reflection attempt to identify a paradox of the ending in Liszt’s late piano pieces, between closed structure and threshold principle.
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Pianoimprovisation enligt Czerny och Liszt : 1800-talets preludierings- och pianoimprovisationspraxis i analys och exempel / Piano Improvisation according to Czerny and Liszt : Nineteenth Century Preluding and Piano Improvisation Practice: Analysis and Examples

Edin, Martin January 2008 (has links)
<p>This essay in musicology is combined with a CD-recording of piano improvisations. Its purpose is, on the one hand, to examine some of the ideas permeating piano improvisation during the first part of the nineteenth century, and, on the other, to find ways to apply these nineteenth century ideas of improvising to modern piano playing. The artistic part of the work is as important as the theoretical, and the two strands are supporting and reinforcing each other.</p><p>The first section of the text focuses on preluding – that is, a <em>genre</em> <em>of improvisation</em>. The second section investigates some aspects of the improvising of Franz Liszt – that is, different types of <em>improvisation as practised by an important nineteenth century musician.</em> The instructional music literature written by Carl Czerny is the basic source of reference in both portions.</p><p>The text and the recordings of my piano improvisations aim to show that monothematic strategies are simple and useful tools for improvising, regardless of tonal language used.</p><p>Half of the recordings consist of improvisations of separate pieces in a contemporary musical language. The other half are preludes, interludes and a cadenza improvised in the context of compositions by Liszt, Chopin, Mozart, Mendelssohn and Grieg.</p>
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Paganini au piano : Franz Liszt, Ferruccio Busoni, Michael Zadora, Mark Hambourg, Ignaz Friedman et la « grande manière » / Paganini at the piano : Franz Liszt, Ferruccio Busoni, Michael Zadora, Mark Hambourg, Ignaz Friedman and the « grand manner »

Filipec, Goran 15 November 2018 (has links)
Dans l’art de la musique instrumentale, il y a certainement eu des moments de développement extraordinaires. La plus grande révolution dans le domaine du violon aura probablement été Paganini, avec ses innovations dans le cadre de la technique, de la texture et des effets timbriques du violon. Dans le domaine du piano, Liszt, suite à sa rencontre avec le violon assimilateur et imitateur du Génois, reforma son jeu et reconçut le pianisme de l’époque. Dans cette mission, il fut accompagné par des améliorations techniques à l’instrument. L’art du jeu du piano, qui hérita de Paganini le côté assimilateur et imitateur, qui abandonna le salon et s’installa dans les grandes salles, fut reconnu comme la « grande manière » ou le « grand style ». Ces termes, provenant principalement de l’art de Liszt, qui fut apparemment son premier représentant, se réfèrent à un style pianistique particulier, basé sur de grands effets acoustiques et de nouvelles techniques d’exécution. Le corpus de l’étude est constitué des œuvres de Liszt d’après Paganini, telles que les Études d’exécution transcendante d’après Paganini, les Grandes Études de Paganini, La Grande Fantaisie de bravoure sur La Clochette et les œuvres en relation avec Paganini des générations suivantes de pianistes de la « grande manière ». Celles-ci incluent les versions des études de Liszt réalisées par Ferruccio Busoni, son Introduzione e Capriccio (Paganinesco), les arrangements des Caprices de Paganini par Michael Zadora, les Variations sur un thème de Paganini de Mark Hambourg et les Études d’après un thème de Paganini op. 47b d’Ignaz Friedman. L’étude tente de tracer la « grande manière » dans les formes pianistiques appliquées dans les œuvres citées ainsi que d’identifier les particularités du « pianisme » des auteurs concernés. / In the art of instrumental music there were moments of extraordinary evolution. The greatest revolution in the domain of the violin was probably the appearance of Paganini and his innovations in the technique, the texture of violin writings and the exploitation of the timbrical effects of the instrument. In the domain of the piano, Liszt, after having heard the assimilating and imitating violin of the Genovese, reformed his playing and transformed the pianism of his époque. In that mission, he was accompanied by technical improvements of the instrument. The art of piano playing, which inherited from Paganini the assimilating and imitating tendencies and left the salon in favor of big halls, was recognized as the “grand manner” or the “grand style” grand style’, first represented by Liszt. These terms, mainly originating from the conceptual grandeur of his art, refer to a particular pianistic style, based on big acoustic effects and new techniques of execution. The corpus of the present study is constituted by the works after Paganini by Liszt, including the Études d’exécution transcendante d’après Paganini, the Grandes études de Paganini, La Grande fantaisie de bravoure sur La Clochette, and the works related to Paganini of the following generations of pianists of the « grand manner”. These include the arrangements of Liszt’s studies of Busoni, the Introduzione e Capriccio paganinesco, the Variations sur un thème de Paganini of Mark Hambourg and the Paganini-Studies op. 47b of Ignaz Friedman. The study tempts to trace the “grand manner” in the pianistic forms applied in the cited works, and to identify the specificities of the pianism of the concerned authors.

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