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Les représentations de la Chine dans la littérature française de la monarchie de Juillet au tournant du siècle / The representations of China in the french literature from the July Monarchy to the turning points of the XXe century

Fan, Zhe 17 November 2016 (has links)
De la monarchie de Juillet au tournant du siècle, les représentations de la Chine connaissent un changement radical dans la littérature française. Elles oscillent entre l’image d’un empire décadent, et un univers merveilleux. D’une part, l’Empire du Milieu se rapproche soudain de l’opinion française par l’actualité guerrière. La Chine perd progressivement, durant la période, sa puissance politique. D’autre part, dans le domaine culturel et artistique, les représentations sont extrêmement diverses et contrastées: de l’omniprésence de ses objets précieux et luxueux, à la mise en œuvre des lieux connus de la Chine, jusqu’à la réjouissance d’accueillir la littérature chinoise classique à la fois dans le milieu littéraire par les écrivains et dans le milieu académique par les sinologues. Pourquoi cette contradiction dans les représentations d’un même pays ? Sur quels éléments les écrivains français ont-ils fondé leurs points de vue ? / From the July monarchy to the turning point of the 20th century, the representations of China experience a radical change in the French literature. They oscillate between a decadent empire and a wonderful universe. On the one hand, the Middle Kingdom is suddenly closer to French opinion by the Warrior news. China has gradually lost his political power. On the other hand, in the cultural and artistic field, the representations are like a spiral wall: from the omnipresence of its precious and luxurious objects, to the notices of the well-known places of China, to the zest for classical Chinese literature both in literary writers and in academic Sinologists. What are the reasons for such contradiction in the representations of the same country? How has the French men of letters based their views?
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Le sublime dans les contes et nouvelles de Mérimée, Barbey d'Aurevilly et Villiers de l'Isle-Adam

Pillet, Maud 19 November 2013 (has links)
Si le sublime occupe une place privilégiée au sein de la réflexion philosophique, esthétique et littéraire, rares sont les travaux qui y sont consacrés pour les œuvres de la deuxième moitié du XIXe siècle. C’est pour tenter de pallier ce manque que cette thèse analyse le sublime dans les contes et nouvelles de Mérimée, Barbey d’Aurevilly et Villiers de l’Isle-Adam. En nous appuyant sur la réflexion du sublime amorcée par Longin et prolongée notamment par Burke, Kant, Schiller ou encore Hugo, il s’agit de définir son évolution et surtout sa spécificité en cette période de crise profonde, où le sublime apparaît comme une réponse à la conquête d’autonomie de la Littérature par rapport à la science et à la question de sa finalité. Dans un premier temps, la thèse aborde la question du sublime d’un point de vue rhétorique. Nous examinons ainsi la capacité du langage à exprimer et à représenter le sublime en oscillant entre une rhétorique de l’effet, fondée sur l’expressivité du langage dans la mise en scène des conteurs et l’organisation rhétorique de la narration, un questionnement sur le tragique et enfin une rhétorique de l’ineffable, puisque le sublime ressort à bien des égards d’un imprésentable. Dans un deuxième temps, le sublime est analysé en tant que poétique fondée sur un dispositif paroxystique et oxymorique. Enfin il est envisagé en tant que véritable acte esthétique où il tend à rejoindre le concept de sublimation et à se faire, notamment par une expérience du mal, le lieu non seulement d’une connaissance, d’une croyance, mais surtout d’une métamorphose profonde aussi bien de l’homme que de la littérature elle-même, qui y trouve un moyen de lutter contre les valeurs de la modernité tout en fondant une écriture résolument moderne.
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Circonstances aggravantes : lecture de Suite française d'Irène Némirovsky

Dupont, Anne-Hélène January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le sublime dans les contes et nouvelles de Mérimée, Barbey d'Aurevilly et Villiers de l'Isle-Adam

Pillet, Maud 19 November 2013 (has links)
Si le sublime occupe une place privilégiée au sein de la réflexion philosophique, esthétique et littéraire, rares sont les travaux qui y sont consacrés pour les œuvres de la deuxième moitié du XIXe siècle. C’est pour tenter de pallier ce manque que cette thèse analyse le sublime dans les contes et nouvelles de Mérimée, Barbey d’Aurevilly et Villiers de l’Isle-Adam. En nous appuyant sur la réflexion du sublime amorcée par Longin et prolongée notamment par Burke, Kant, Schiller ou encore Hugo, il s’agit de définir son évolution et surtout sa spécificité en cette période de crise profonde, où le sublime apparaît comme une réponse à la conquête d’autonomie de la Littérature par rapport à la science et à la question de sa finalité. Dans un premier temps, la thèse aborde la question du sublime d’un point de vue rhétorique. Nous examinons ainsi la capacité du langage à exprimer et à représenter le sublime en oscillant entre une rhétorique de l’effet, fondée sur l’expressivité du langage dans la mise en scène des conteurs et l’organisation rhétorique de la narration, un questionnement sur le tragique et enfin une rhétorique de l’ineffable, puisque le sublime ressort à bien des égards d’un imprésentable. Dans un deuxième temps, le sublime est analysé en tant que poétique fondée sur un dispositif paroxystique et oxymorique. Enfin il est envisagé en tant que véritable acte esthétique où il tend à rejoindre le concept de sublimation et à se faire, notamment par une expérience du mal, le lieu non seulement d’une connaissance, d’une croyance, mais surtout d’une métamorphose profonde aussi bien de l’homme que de la littérature elle-même, qui y trouve un moyen de lutter contre les valeurs de la modernité tout en fondant une écriture résolument moderne.
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Le héros romantique dans « Le Rouge et le Noir » de Stendhal, « Illusions perdues » de Honoré de Balzac, « L’Éducation sentimentale » de Gustave Flaubert et « Les Travailleurs de la mer » de Victor Hugo

Kon, Lea 28 February 2011 (has links)
Cette étude thématique, sociocritique et philosophique fait ressortir la présence du romantisme dans les œuvres traditionnellement conçues comme réalistes dans le cadre de la littérature française du XIXe siècle. Cette recherche extrapole les attributs romantiques par l’agent du héros romantique dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, Illusions perdues de Honoré de Balzac, L’Éducation sentimentale de Gustave Flaubert et Les Travailleurs de la mer de Victor Hugo. Cette étude précise que l’archétype du héros romantique devient un délégué du romantisme, et dans chaque œuvre, son rôle est défini par cette liaison au romantisme qui affirme et le fait dépasser la catégorisation comme un être appartenant au roman de formation et également comme l’incarnation du désenchantement de l’époque. Le héros romantique est l’enfant sublime qui désire l’union à l’Absolu, le poète et le mage, ce qui le rend déplacé dans la société bourgeoise dont l’ampleur augmente considérablement à cette époque. Certes, il faut souligner les tendances de ces figures romantiques à s’immerger dans la société. Les héros romantiques présentés sont motivés simultanément par les pulsions au sublime et aux manipulations sociales dans le but d’accéder au pouvoir et à la gloire sociale. La double appartenance mène à la déchirure, à la capitulation de soi et subséquemment à la fatalité. Cette étude renforce que le héros romantique est simultanément diminué et valorisé pour demeurer la figure dominante des œuvres même de la seconde moitié du XIXe siècle. De plus, ces œuvres traitent le romantisme comme un personnage non humain, fournissant une manière de présenter la polémique à propos des personnages, thèmes, esprit, genres et la validité du romantisme.
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L’esthétique théâtrale dans les œuvres romanesques de Denis Diderot

LaFleur, Natalie 07 April 2011 (has links)
Denis Diderot se plaît à amalgamer les genres dans ses œuvres. Ainsi, dans ses romans, Diderot est narrateur, peintre, metteur en scène, encyclopédiste, épistolier mais surtout dramaturge. Il cherche à rapprocher le théâtre et la forme romanesque dans ses textes de fiction, en accordant une attention minutieuse à des éléments de mise en scène qui sont très vivants. Au XIXe siècle, la mise en scène devient indispensable mais Diderot démontre déjà dans ses romans l’usage de certains éléments théâtraux importants de la mise en scène. Il existe dans Jacques le fataliste, des personnages qui ne sont pas habituellement présents dans les romans mais qui sont importants dans le monde du théâtre. Ce sont le lecteur-spectateur et le souffleur de lignes. Diderot leur accorde une voix résonante dans son roman. Il se sert aussi de d’autres ressorts théâtraux dans ses romans comme les tableaux dramatiques, des scènes émotives dans La Religieuse et les pantomimes musicales, les séries de jeux corporels dans Le Neveu de Rameau. Le lecteur-spectateur, le souffleur de lignes, les tableaux et les pantomimes créent ainsi de nouveaux genres de romans qui sont acoustiques et visuels.
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L’esthétique théâtrale dans les œuvres romanesques de Denis Diderot

LaFleur, Natalie 07 April 2011 (has links)
Denis Diderot se plaît à amalgamer les genres dans ses œuvres. Ainsi, dans ses romans, Diderot est narrateur, peintre, metteur en scène, encyclopédiste, épistolier mais surtout dramaturge. Il cherche à rapprocher le théâtre et la forme romanesque dans ses textes de fiction, en accordant une attention minutieuse à des éléments de mise en scène qui sont très vivants. Au XIXe siècle, la mise en scène devient indispensable mais Diderot démontre déjà dans ses romans l’usage de certains éléments théâtraux importants de la mise en scène. Il existe dans Jacques le fataliste, des personnages qui ne sont pas habituellement présents dans les romans mais qui sont importants dans le monde du théâtre. Ce sont le lecteur-spectateur et le souffleur de lignes. Diderot leur accorde une voix résonante dans son roman. Il se sert aussi de d’autres ressorts théâtraux dans ses romans comme les tableaux dramatiques, des scènes émotives dans La Religieuse et les pantomimes musicales, les séries de jeux corporels dans Le Neveu de Rameau. Le lecteur-spectateur, le souffleur de lignes, les tableaux et les pantomimes créent ainsi de nouveaux genres de romans qui sont acoustiques et visuels.
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L’Évangélisme fictionnel : les livres rabelaisiens, le Cymbalum Mundi, L’Heptaméron (1532-1552) / Fictional Evangelism : the rabelaisian books, the Cymbalum Mundi, the Heptameron (1532-1552)

Le Cadet, Nicolas 11 September 2009 (has links)
Les études consacrées à l’évangélisme français ont pris essentiellement trois directions. La première approche est scripturaire et consiste à isoler un certain nombre de citations ou de paraphrases bibliques chez tel ou tel auteur, afin de déterminer la substance d’une « doctrine » située dans un entre-deux confessionnel, loin de Rome comme de Genève (cf M. A. Screech). La seconde approche, historique et thématique, se propose d’observer en diachronie la spiritualité évangélique à partir d’un thème fondamental comme celui de la mort (cf C. Blum). La troisième approche, sémantique et stylistique, entend mettre au jour une « écriture concertée », un « idéolecte » évangélique (cf I. Garnier-Mathez). Toutes ces approches se sont montrées productives, mais elles n’envisagent pas la spécificité des différents types d’imprimés évangéliques, et tout particulièrement le « trouble » que peut créer la médiation fictionnelle dans la présentation de ces idées et de ce langage partagés. Nous voudrions montrer que l’évangélisme se dévoile aussi à travers une utilisation de la fiction qui lui est propre. Les trois mondes fictionnels que sont les Livres rabelaisiens, le Cymbalum Mundi et L’Heptaméron nous permettront de dégager les traits caractéristiques d’un « évangélisme fictionnel ». Par delà leurs différences parfois très nettes, ces œuvres mettent en place certaines procédures fictionnelles communes, qui sont le fruit d’une même spiritualité évangélique, et qui les distinguent à la fois des productions dites « religieuses » de ce courant spirituel, mais aussi des œuvres de fiction non évangéliques de l’époque. / Studies dedicated to French evangelism have essentially taken three directions. The first approach is scriptural and consists in isolating a certain number of biblical quotations or paraphrases from an author, in order to determine the substance of a “doctrine” situated half-way between the denominations, as far from Rome as from Geneva (cf M. A. Screech). The second approach, both historical and thematic, plans to observe the evangelical spirituality diachronically through a fundamental subject such as death (cf Blum). The third approach, semantic and stylistic, intends to bring to light a “concerted writing”, an evangelical “idéolecte” (cf I. Garnier-Mathez). All three approaches have shown to be productive, but they do not take into account the specificity of the different kinds of evangelical printed books, and in particular the “confusion” that fictional mediation can create when displaying these shared ideas and language. The aim of this thesis is to show that evangelism can also be revealed through a specific use of fiction. Three fictional worlds, the Rabelaisian Books, the Cymbalum Mundi and the Heptameron, will be studied so as to define the characteristic features of a “fictional evangelism”. Beyond their sometimes very clear differences, these works set up certain common fictional procedures, originating from the same evangelical spirituality, and distinguishing them at the same time from the so-called “religious” productions of this spiritual current, but also from contemporary non-evangelical works of fiction.
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Le rôle de Reverdy dans le travail créateur de Saint-Denys Garneau

Godin, François January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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D'un siècle à l'autre : les inflexions de la pensée morale chez Geneviève Thiroux d'Arconville (1720-1805)

Pomminville, Shanon January 2015 (has links)
Auteure et scientifique française du siècle des Lumières, Geneviève Thiroux d’Arconville (1720-1805) contribue largement à la circulation des savoirs de son temps en publiant près de 70 ouvrages (littéraires, historiques et scientifiques), en plus de laisser à sa mort douze cahiers manuscrits rédigés à la toute fin de sa vie (1801-1805). Pourtant, cette auteure prolifique demeure, encore aujourd’hui, méconnue dans le milieu universitaire. Son œuvre représente une pensée complexe qui se déploie à travers quatre lignes de force, à savoir la fiction, la morale, l’histoire et les sciences. Dans le but de mieux comprendre son discours, cette thèse étudie l’une de ces lignes directrices : la morale. L’objectif de ce travail consiste donc à saisir l’évolution de la réflexion morale de Madame d’Arconville à travers un corpus formé d’ouvrages publiés dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle et des textes manuscrits rédigés au tout début du siècle suivant. Nous cherchons à voir comment la réflexion morale de Madame d’Arconville, qui est à la fois portée par le pessimisme augustinien hérité des moralistes du XVIIe siècle et par l’idéologie progressiste des Lumières, s’infléchit graduellement au sein de ses manuscrits de fin de vie en une morale plus réflexive.

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