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Le rôle de Reverdy dans le travail créateur de Saint-Denys Garneau

Godin, François January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Signes et traces dans l’œuvre poétique de Günter Eich (1907-1972) / Signs and traces in the poetic work of Günter Eich (1907-1972)

Attia, Sandie 24 November 2009 (has links)
L’étude porte sur les catégories "signes" (Zeichen) et "traces" (Spuren) dans l’œuvre poétique et les déclarations poétologiques de Günter Eich (1907-1972). Signes naturels, linguistiques, traces biographiques et intertextuelles, relevé de stigmates historiques (Spurensicherung) imprègnent l’œuvre sous forme d’images poétiques et de concepts poétologiques. Complémentaires ou opposés, ils éclairent le parcours complexe du poète, du déchiffrement des signes naturels au souhait tardif de "ne pas laisser de traces", de la collecte de traces au tracé de l’écriture (et à son effacement) dans des textes lus comme des palimpsestes d’écrits antérieurs. A partir de documents d’archives inédits (manuscrits, correspondances, notes), de bibliothèques d’auteurs et d’entretiens avec des proches du poète, le rôle des signes et des traces dans les relations entre écriture poétique et réalité exogène est examiné en croisant processus d’écriture (méthodes de critique génétique) et réception des textes, celle-ci orientant à son tour les tracés poétiques ultérieurs. Le travail montre les interactions entre lecture et écriture du monde, le traitement des signes et traces étant à la fois un acte de déchiffrement et l’esquisse d’un nouveau balisage poétique (Zeichen-Setzung) du langage et du réel. Cette nouvelle approche de l'évolution de la poétique et de la poésie de Günter Eich éclaire le rapport problématique du poète au réel, à la tradition lyrique et à l’histoire de son temps en situant son œuvre au confluent de problématiques romantiques anciennes et d’une nouvelle fonction de la poésie née de la situation historique. / This study probes into the categories of “signs” (Zeichen) and “traces” (Spuren) in Günter Eich's poetic œuvre and poetological statements. Natural and linguistic signs, biographical and intertextual traces, accounts of historical stigmas (Spurensicherung) permeate his work through poetic images and poetological concepts. Whether complementary or antagonistic, they shed light on the poet's complex progress, from the deciphering of natural signs to his late desire to “leave no trace”, from the collecting of traces to the traces of writing (and its erasure) within texts that are read as the palimpsests of former writings. Relying on unpublished archives (manuscripts, correspondences, notes), on authors' private collections and on interviews of the poet's relatives and friends, we show how signs and traces shape out the relationships between poetic writing and the outer reality through a cross-study of writing processes (using genetic criticism) and the reception of texts (which, in turn, shapes out future poetic tracings). This study shows the interactions between the reading and the writing of the world, the treatment of signs and traces being both an act of deciphering and the sketching out of a new poetic marking out (Zeichen-Setzung) of language and of the real world. This new approach of the evolution of Günter Eich's poetics and poetry accounts for the poet's problematic relation to reality, to the lyrical tradition and to contemporary history by situating his work at the junction of ancient romantic issues and of a new function of poetry born from the historical context.
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Esthétique de l’écart dans l’œuvre poétique de Robert Frost / Esthetics of deviation in the poetry of Robert Frost

Lemaire, Candice 07 December 2012 (has links)
Du recueil A Boy’s Will (1913) au recueil In the Clearing (1962), l’œuvre du poète américain Robert Frost (1874-1963) déploie sa réflexion sur le concept d’écart, et le présente comme principe majeur de son esthétique et de sa stratégie d’écriture. Utilisant une approche fondée sur la micro-lecture des poèmes, cette thèse entend mettre en lumière la richesse d'une thématique frostienne qui permet de repenser la dialectique entre centre et marge à différents niveaux d'analyse : cette dialectique semble à l’œuvre non seulement dans la représentation poétique des espaces nord-américains mais aussi dans le rapport des textes à l'espace métaphorique du canon, ainsi que dans l'ambiguë mise en scène du sujet dans son rapport aux espaces intime, social et politique. Nous souhaitons montrer que le poète et les personae multiples qu’il adopte au fil des recueils privilégient un positionnement détaché, qui n’est ni complètement au centre ni complètement à l’écart, mais pour ainsi dire dans l’écart. Cette position de léger retrait, à la fois sereine et équilibriste, dessine ainsi un triple autoportrait du poète. Il fait le portrait d’un artiste chez qui la tension entre tradition et modernité, entre formes fixes et libre expérimentation, relève d'une position compliquée et féconde, qui permet à Frost de se situer à la fois à l'intérieur et légèrement à l'écart du genre de la poésie pastorale ; d'autre part, il esquisse le portrait « bougé » d'un sujet en mouvement au sein du paysage de Nouvelle-Angleterre, sujet que des tentatives d’ancrage dans certains territoires installent dans une position de voisinage méfiant avec son prochain, à la fois contre les autres et tout contre eux. Enfin, l’œuvre laisse apparaître en filigrane l’autoportrait d’un Américain utilisant la stratégie de l’écart dans l’habile mise en scène de sa propre iconisation. / From the collection A Boy’s Will (1913) to the collection In the Clearing (1962), the works of American poet Robert Frost (1874-1963) can be viewed as a reflection on the concept of deviation, presenting it as a major principle in his aesthetics and writing strategy. This doctoral dissertation provides a close reading of many poems, with a view to highlighting the highly seminal quality of the Frostian theme of the slight deviation, which allows one to rethink the dialectic between the center and the margins at different levels of analysis. This dialectic appears not only in the poetic representation of North American space, but also in the established connection between the texts and the metaphorical space of the canon, as well as in the ambiguous presentation of the poetic figure in relation to the intimate, social or political spheres. We wish to show that the poet together with the multiple personae that he uses in the collected poems, favor a specific vantage point, a detached position which is neither in the center nor completely in the margin, but rather within the limits delineated by some deviation. This slightly withdrawn position, which is both dispassionate and perilous, sketches out a triple self-portrait of the poet. It is the self-portrait of an artist for whom the tension between tradition and modernity, between fixed forms and free poetic experiments, creates a complicated but fertile position which allows Frost to position himself both within, and slightly on the margin of, the genre of pastoral poetry. Frost's poems also depict the portrait of a moving poetic figure in the New England landscape, a figure who is put, because of his attempts at settling in certain territories, in a situation where neighbors are both aware and wary of each other. Lastly, the poems could be regarded as the self-portrait of an American posturing as a marginal figure in the skillful staging of his own iconization.
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Les poètes au théâtre

Racine, Noële 02 February 2012 (has links)
Cette thèse étudie le passage de la poésie au théâtre, à partir de trois parcours créateurs majeurs appartenant aux littératures française et québécoise des trois premiers quarts du XXe siècle – soit ceux d’Antonin Artaud, de Paul Claudel et de Claude Gauvreau. Ces auteurs – d’abord reconnus pour leur écriture poétique – ont su, soit en pratiquant, soit en inspirant une écriture théâtrale radicalement novatrice, jouer un rôle déterminant dans la mutation des formes tant dramatiques que dramaturgiques, et cela, par le biais de trois stratégies. Après une introduction rappelant l’évolution des liens (dés)unissant la poésie et le théâtre à travers les siècles, le premier chapitre s’attache à mettre au jour les approches mises en œuvre par les trois écrivains pour rejeter l’illusion réaliste. Celles-là ressortissent à leur prise de position antinaturaliste, à leur volonté de fonder un art total et à leur souhait de revenir aux sources d’une mimesis archaïque. Le second chapitre explore, quant à lui, les procédés de poétisation du dramatique : les mécanismes et les caractéristiques de la langue lyrique des poètes en général, et la génération d’idiomes inédits en particulier. Les techniques de théâtralisation et de dramatisation du poétique, de leur côté, sont examinées dans le dernier chapitre. Plusieurs événements et rencontres ont donné l’occasion aux poètes-dramaturges de saisir quelles sont les modalités inhérentes à la scène. Cette prise de conscience a directement influé sur leur écriture dramaturgique, notamment en les faisant user de deux stratégies propices au surgissement de la théâtralité : l’oralisation lyrique de la partition dramatique et la plastification des corps. La conclusion, pour sa part, propose une synthèse des résultats de recherche, et montre que ces trois auteurs sont réunis par la même quête cosmique d’un théâtre vital et existentiel.
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Les poètes au théâtre

Racine, Noële 02 February 2012 (has links)
Cette thèse étudie le passage de la poésie au théâtre, à partir de trois parcours créateurs majeurs appartenant aux littératures française et québécoise des trois premiers quarts du XXe siècle – soit ceux d’Antonin Artaud, de Paul Claudel et de Claude Gauvreau. Ces auteurs – d’abord reconnus pour leur écriture poétique – ont su, soit en pratiquant, soit en inspirant une écriture théâtrale radicalement novatrice, jouer un rôle déterminant dans la mutation des formes tant dramatiques que dramaturgiques, et cela, par le biais de trois stratégies. Après une introduction rappelant l’évolution des liens (dés)unissant la poésie et le théâtre à travers les siècles, le premier chapitre s’attache à mettre au jour les approches mises en œuvre par les trois écrivains pour rejeter l’illusion réaliste. Celles-là ressortissent à leur prise de position antinaturaliste, à leur volonté de fonder un art total et à leur souhait de revenir aux sources d’une mimesis archaïque. Le second chapitre explore, quant à lui, les procédés de poétisation du dramatique : les mécanismes et les caractéristiques de la langue lyrique des poètes en général, et la génération d’idiomes inédits en particulier. Les techniques de théâtralisation et de dramatisation du poétique, de leur côté, sont examinées dans le dernier chapitre. Plusieurs événements et rencontres ont donné l’occasion aux poètes-dramaturges de saisir quelles sont les modalités inhérentes à la scène. Cette prise de conscience a directement influé sur leur écriture dramaturgique, notamment en les faisant user de deux stratégies propices au surgissement de la théâtralité : l’oralisation lyrique de la partition dramatique et la plastification des corps. La conclusion, pour sa part, propose une synthèse des résultats de recherche, et montre que ces trois auteurs sont réunis par la même quête cosmique d’un théâtre vital et existentiel.
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Les poètes au théâtre

Racine, Noële 02 February 2012 (has links)
Cette thèse étudie le passage de la poésie au théâtre, à partir de trois parcours créateurs majeurs appartenant aux littératures française et québécoise des trois premiers quarts du XXe siècle – soit ceux d’Antonin Artaud, de Paul Claudel et de Claude Gauvreau. Ces auteurs – d’abord reconnus pour leur écriture poétique – ont su, soit en pratiquant, soit en inspirant une écriture théâtrale radicalement novatrice, jouer un rôle déterminant dans la mutation des formes tant dramatiques que dramaturgiques, et cela, par le biais de trois stratégies. Après une introduction rappelant l’évolution des liens (dés)unissant la poésie et le théâtre à travers les siècles, le premier chapitre s’attache à mettre au jour les approches mises en œuvre par les trois écrivains pour rejeter l’illusion réaliste. Celles-là ressortissent à leur prise de position antinaturaliste, à leur volonté de fonder un art total et à leur souhait de revenir aux sources d’une mimesis archaïque. Le second chapitre explore, quant à lui, les procédés de poétisation du dramatique : les mécanismes et les caractéristiques de la langue lyrique des poètes en général, et la génération d’idiomes inédits en particulier. Les techniques de théâtralisation et de dramatisation du poétique, de leur côté, sont examinées dans le dernier chapitre. Plusieurs événements et rencontres ont donné l’occasion aux poètes-dramaturges de saisir quelles sont les modalités inhérentes à la scène. Cette prise de conscience a directement influé sur leur écriture dramaturgique, notamment en les faisant user de deux stratégies propices au surgissement de la théâtralité : l’oralisation lyrique de la partition dramatique et la plastification des corps. La conclusion, pour sa part, propose une synthèse des résultats de recherche, et montre que ces trois auteurs sont réunis par la même quête cosmique d’un théâtre vital et existentiel.
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Les poètes au théâtre

Racine, Noële January 2012 (has links)
Cette thèse étudie le passage de la poésie au théâtre, à partir de trois parcours créateurs majeurs appartenant aux littératures française et québécoise des trois premiers quarts du XXe siècle – soit ceux d’Antonin Artaud, de Paul Claudel et de Claude Gauvreau. Ces auteurs – d’abord reconnus pour leur écriture poétique – ont su, soit en pratiquant, soit en inspirant une écriture théâtrale radicalement novatrice, jouer un rôle déterminant dans la mutation des formes tant dramatiques que dramaturgiques, et cela, par le biais de trois stratégies. Après une introduction rappelant l’évolution des liens (dés)unissant la poésie et le théâtre à travers les siècles, le premier chapitre s’attache à mettre au jour les approches mises en œuvre par les trois écrivains pour rejeter l’illusion réaliste. Celles-là ressortissent à leur prise de position antinaturaliste, à leur volonté de fonder un art total et à leur souhait de revenir aux sources d’une mimesis archaïque. Le second chapitre explore, quant à lui, les procédés de poétisation du dramatique : les mécanismes et les caractéristiques de la langue lyrique des poètes en général, et la génération d’idiomes inédits en particulier. Les techniques de théâtralisation et de dramatisation du poétique, de leur côté, sont examinées dans le dernier chapitre. Plusieurs événements et rencontres ont donné l’occasion aux poètes-dramaturges de saisir quelles sont les modalités inhérentes à la scène. Cette prise de conscience a directement influé sur leur écriture dramaturgique, notamment en les faisant user de deux stratégies propices au surgissement de la théâtralité : l’oralisation lyrique de la partition dramatique et la plastification des corps. La conclusion, pour sa part, propose une synthèse des résultats de recherche, et montre que ces trois auteurs sont réunis par la même quête cosmique d’un théâtre vital et existentiel.
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La première oeuvre poétique de Jean Boudou : edition philologique, commentaire littéraire et glossaire lexicologique / The first poetic work of Joan Bodon : philological edition, literary commentary and lexicological glossary

Oliveira, Élodie de 24 November 2012 (has links)
Notre travail de thèse, « La Première œuvre poétique de Jean Boudou : édition philologique, commentaire littéraire et glossaire lexicologique », constitue à ce jour l'unique étude philologique portant sur l'œuvre de Jean Boudou, écrivain majeur de la littérature occitane du XXe siècle. Nous établissons l'édition critique des deux premiers recueils de l'auteur, Lo frescun del nóstre Viau (1945) et La canson del paìs (1948), ainsi que de ses poèmes de jeunesse, et présentons pour la première fois ces textes en respectant les choix typographiques et linguistiques de Boudou. Nous complétons notre approche philologique par un glossaire lexicologique. Concevant notre glossaire comme une première étape analytique à l'étude de la langue de l’auteur, nous soumettons notre description aux exigences méthodologiques de la linguistique contemporaine. Nous optons, dans nos analyses littéraires, pour une étude structurale des textes. Nous avons cherché à situer l'œuvre de Boudou dans l'histoire des littératures occitane, française et européenne afin d’en dégager les principaux partis pris esthétiques. / The thesis research The first poetic work of Joan Bodon: philological edition, literary commentary and lexicological glossary is to this day the only philological study dedicated to the work of Joan Bodon, a major author of 20th century Occitan literature. The thesis establishes the critical edition of Bodon’s first two collections - Lo frescun del nóstre Viau (1945) and La canson del paìs (1948) – as well as of his early poems. The texts are studied for the first time in a version respecting Bodon’s typographical and linguistic choices. The thesis’s philological approach is complemented by a lexicological glossary, as the first analytical step towards the study of the author’s language. The lexicological glossary follows the methodological rigor of contemporary linguistics. The thesis focuses its literary analysis on a structural study. It aims at replacing Bodon’s work in the historical context of Occitan, French and European literatures in order to extract author’s main aesthetic choices.
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Imperfect indifference : the rhythm, structure and politics of neutrality

Carr, Angela 12 1900 (has links)
Cette thèse propose l’émergence d’une poésie de l’entre deux dans la littérature expérimentale, en suivant ses développements du milieu du vingtième siècle jusqu'au début du vingt-et-unième. Cette notion d’entre-deux poétique se fonde sur une théorie du neutre (Barthes, Blanchot) comme ce qui se situe au delà ou entre l'opposition et la médiation. Le premier chapitre retrace le concept de monotonie dans la théorie esthétique depuis la période romantique où il est vu comme l'antithèse de la variabilité ou tension poétique, jusqu’à l’émergence de l’art conceptuel au vingtième siècle où il se déploie sans interruption. Ce chapitre examine alors la relation de la monotonie à la mélancolie à travers l’analyse de « The Anatomy of Monotony », poème de Wallace Stevens tiré du recueil Harmonium et l’œuvre poétique alphabet de Inger Christensen. Le deuxième chapitre aborde la réalisation d’une poésie de l’entre-deux à travers une analyse de quatre œuvres poétiques qui revisitent l’usage de l’index du livre paratextuel: l’index au long poème “A” de Louis Zukofsky, « Index to Shelley's Death » d’Alan Halsey qui apparait à la fin de l’oeuvre The Text of Shelley's Death, Cinema of the Present de Lisa Robertson, et l’oeuvre multimédia Via de Carolyn Bergvall. Le troisième chapitre retrace la politique de neutralité dans la théorie de la traduction. Face à la logique oppositionnelle de l’original contre la traduction, il propose hypothétiquement la réalisation d’une troisième texte ou « l’entre-deux », qui sert aussi à perturber les récits familiers de l’appropriation, l’absorption et l’assimilation qui effacent la différence du sujet de l’écrit. Il examine l’oeuvre hybride Secession with Insecession de Chus Pato et Erin Moure comme un exemple de poésie de l’entre-deux. A la fois pour Maurice Blanchot et Roland Barthes, le neutre représente un troisième terme potentiel qui défie le paradigme de la pensée oppositionnelle. Pour Blanchot, le neutre est la différence amenée au point de l’indifférence et de l’opacité de la transparence tandis que le désire de Barthes pour le neutre est une utopie lyrique qui se situe au-delà des contraintes de but et de marquage. La conclusion examine comment le neutre correspond au conditions de liberté gouvernant le principe de créativité de la poésie comme l’acte de faire sans intention ni raison. / This dissertation proposes the emergence of a poetry of the threshold in experimental literature, tracing its development from the mid-twentieth century to the early twenty-first century. The notion of threshold poetry is premised on a theory of the neutral (Barthes, Blanchot) as that which is located beyond or between opposition or mediates. Chapter One retraces the concept of monotony in aesthetic theory, from the Romantic period, where it figures as the antithesis to changefulness or poetic tension, to the emergence of conceptual art in the twentieth century. Chapter One further examines the relationship of monotony to melancholy through an analysis of “The Anatomy of Monotony” by Wallace Stevens and alphabet by Inger Christensen. Chapter Two proposes a ‘poetry of the threshold’ through an analysis of four works of experimental, paratextually structured works of poetry: Louis Zukofsky’s index to “A”; Alan Halsey’s “Index to Shelley’s Death,” which comes after The Text of Shelley’s Death; Lisa Robertson’s Cinema of the Present; and Carolyn Bergvall’s multimedia work Via. Chapter Three retraces the politics of neutrality in translation theory. Against the oppositional logic of original versus translation, it hypothetically proposes the realization of a ‘third’ or threshold text, which also serves to disrupt the familiar narratives of appropriation, absorption and assimilation that efface the difference of the writing subject. It examines the hybrid work Secession with Insecession by Chus Pato and Erin Moure as an example of threshold poetry. For both Maurice Blanchot and Roland Barthes, the neutral represents a potential third term that baffles the paradigm of oppositional thought. For Blanchot, the neutral is difference taken to the point of indifference and the opacity of transparency while Barthes’ desire for the neutral is for a lyrical utopia that is located beyond the constraints of purpose and marketability. The conclusion examines how the neutral corresponds to the conditions of freedom governing the creative principle of poiesis as the act of making without intention or purpose.

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