• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 132
  • 20
  • 6
  • 1
  • Tagged with
  • 190
  • 190
  • 99
  • 82
  • 81
  • 79
  • 74
  • 69
  • 44
  • 37
  • 36
  • 34
  • 26
  • 26
  • 26
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
171

De l'autre côté des mots : poétique des paroles muettes et politique contrariée dans la littérature québécoise : (Gauvreau, Miron, Aquin)

Jalbert, Martin 16 April 2018 (has links)
La présente thèse traite des manières singulières dont certaines oeuvres littéraires québécoises, marquées à des degrés divers par l'horizon de l'émancipation, disposent de la possibilité que les êtres humains puissent eux-mêmes s'affranchir des conditions de leur assujettissement et de leur domination. Elle emprunte pour cela à la philosophie de Jacques Rancière sa manière de penser les rapports entre littérature et politique et de lire les productions de l'art d'écrire comme des individualités inscrites dans le régime esthétique de la littérature, ce système de possibles défini par la contradiction entre le principe d'un langage nécessaire et celui de la contingence des mots. La cohabitation contradictoire de ces principes comprend des enjeux politiques dans la mesure où s'y rejoue la vieille guerre, remontant à Platon, contre cela même dont procèdent ces oeuvres et qui rend possibles à la fois la littérature, la politique et l'émancipation : le régime de la lettre ou de la contingence du langage, grâce auquel les mots, disponibles pour tout usage et pour tout locuteur, peuvent saisir les choses sous de nouveaux rapports. Les poétiques de Claude Gauvreau, de Gaston Miron et d'Hubert Aquin sont lues ici comme autant de dispositifs esthétiques construits sur la possibilité d'échapper, au moyen de la production de mots qui seraient plus que des mots, à la contingence de la lettre dont elles exploitent pourtant les pouvoirs. Ces dispositifs présentent des reconfigurations polémiques du sensible où seraient réconciliés les pôles opposés de l'homme, où les mots se prolongeraient en dehors d'eux-mêmes dans une existence repoétisée et dans une communauté du sentir partagé, mais où s'aboliraient le coeur même de la politique et la possibilité de l'émancipation. Leur politique est une politique contrariée.
172

De l'intime au collectif : pratiques féministes de déconstruction dans Journal intime de Nicole Brossard

Gascon, Audrey-Ann 05 1900 (has links)
Ce projet de maîtrise portera sur le Journal intime (1984) de Nicole Brossard, une œuvre singulière et peu connue de cette autrice majeure de la littérature féministe québécoise. Dans Journal intime, deux mécanismes animent le texte : la construction d'un sujet féminin écrivant et l'édification d'une communauté d'écrivaines sororales autour de la diariste. En brossant un portrait historique et esthétique de « l'écriture au féminin » (Boisclair, 1984 ; Lamy, 1984 ; Smart, 1988), j'examinerai la façon dont Journal intime s'inscrit dans l'œuvre de Brossard et, plus largement, dans le paysage littéraire et féministe québécois. En m'appuyant sur des notions de la poétique des genres (Auger, 2017 ; Hébert, 1983) et sur l'histoire des pratiques du journal intime au féminin (Didier, 1976 ; Roey- Roux, 1983), j'étudierai la façon dont Brossard utilise ou détourne les codes génériques et les pratiques conventionnelles du genre diaristique pour se construire une identité de sujet féminin écrivant, afin de transmettre son expérience sensible du monde. Je m'intéresserai également, à partir des notions de liminarité (Biron, 2000) et de sororité (Delaume, 2019 ; Ledoux-Beaugrand, 2013) à la manière dont se constitue dans le Journal intime une communauté de créatrices, basée sur la solidarité littéraire, artistique et politique. Dans une visée féministe, Brossard inscrit sa pratique d'écriture dans ce que Lori Saint- Martin appelle le « métaféminisme », mouvement des années 1980 au Québec, particulièrement en littérature, qui se propose de « réécrire les métarécits patriarcaux » (Saint-Martin, 1992). J'avance l'hypothèse qu'en construisant une communauté de femmes et une filiation intellectuelle horizontale (Biron, 2000) plutôt que verticale, Brossard participe à la réécriture des métarécits patriarcaux de la société québécoise en y inscrivant un récit collectif féminin, voire féministe, à la fois individuel et collectif, ancré dans cette communauté intellectuelle féminine. Il s'agira de montrer comment, dans le journal de Brossard, l'individuel peut s'allier à la communauté, comment l'intime peut servir de tremplin vers le collectif et le social, afin de comprendre ce que cette ouverture implique pour le « féminin » et les « femmes » dans la société québécoise. / This master's thesis will focus on Nicole Brossard's Journal Intime (1984), a singular and little-known work by this major author of Quebec feminist literature. In Journal Intime, two mechanisms animate the text: the construction of a female subject and the building of a community of sororal writers around the diarist. By painting a historical and aesthetic portrait of “feminine writing” (Boisclair, 1984; Lamy, 1984; Smart, 1988), I will examine how Journal Intime fits into the work of Brossard and, more broadly, into the literary and feminist landscape of Quebec. Based on notions of genre poetics (Auger, 2017; Hébert, 1983) and on the history of feminine diary practices (Didier, 1976; Roey-Roux, 1983), I will study the way Brossard uses or diverts the generic codes and conventional practices of the diaristic genre to build an identity as a female subject writing, in order to transmit her sensitive experience of the world. I will also be interested, based on the notions of liminarity (Biron, 2000) and sisterhood (Delaume, 2019; Ledoux-Beaugrand, 2013), in the way in which a community of creators is constituted in the Journal Intime, based on literary, artistic and political solidarity. In a feminist perspective, Brossard inscribes her writing practice in what Lori Saint- Martin calls “metafeminism”, a movement of the 1980s in Quebec, particularly in literature, which proposes to “rewrite patriarchal meta-narratives” (Saint-Martin, 1992). I put forward the hypothesis that by building a community of women and a horizontal (Biron, 2000) rather than vertical intellectual filiation, Brossard participates in the rewriting of the patriarchal meta-narratives of Quebec society by inscribing a collective feminine, even a feminist narrative, both individual and collective, rooted in this female intellectual community. The aim will be to show how, in Brossard's Journal intime, how the individual can unite with the community, how the intimate can serve as a springboard towards the collective and the social, in order to understand what this openness implies for the “feminine” and “women” in Quebec society.
173

Nuka ; : suivi de Le motif du voyage dans le nord imaginaire dans la littéraure québécoise du XXe siècle, en particulier dans La rivière sans repos de Gabrielle Roy

Gagnon, Émilie 17 April 2018 (has links)
Le roman Nuka part d'un voyage à Kuujjuaq. L'objectif était de donner un souffle nouveau à l'imaginaire du Nord, mais plus que cela, une voix aux enfants du Grand Nord. À travers les yeux d'une enfant, Nuka, âgée de neuf ans, un monde se crée, à travers les yeux du lecteur, une conscience s'éveille. Deux réalités s'affrontent et l'enfant doit trouver sa propre voie, d'où l'importance de la quête : le voyage dans la toundra et le voyage qui s'opère à l'intérieur d'elle-même. La partie reflexive s'appuie sur le motif du voyage dans l'imaginaire du Nord dans la littérature québécoise au XXe siècle. La ligne est bien mince entre le voyage réel et le voyage imaginaire. Il s'agit de tenter d'en délimiter les contours. Mais l'effet de flou s'amplifie dans le Nord. Il impose ses propres règles à ses habitants et aux voyageurs qui s'y risquent. À cela se mêlent le sentiment d'étrangeté et la découverte de l'autre, ce qui implique une tout autre prise de conscience. Le roman Nuka rejoint La Rivière sans repos de Gabrielle Roy en ce sens.
174

Trajectoire ascendante de Blanche Lamontagne (1889-1918)

Tourangeau, Kathleen 12 April 2018 (has links)
Cette étude vise à démontrer la participation de Blanche Lamontagne à l'entreprise de reconnaissance des femmes de lettres. L'élaboration de sa trajectoire ascendante particulière (1889-1918), en parallèle avec le tableau du champ littéraire au tournant du siècle et les trajectoires typiques des écrivains masculins et féminins, illustre comment elle se distingue de la génération de femmes journalistes qui la précède et comment elle annonce celle des femmes poètes de l'entre-deux-guerres. En fait, nous estimons qu'elle représente une étape intermédiaire entre ces deux générations à cause de la consécration institutionnelle rapide qu'elle acquiert grâce à ses études supérieures et surtout au réseau de la littérature nationale qu'elle intègre. Comme nous le démontrons, son parcours lui permet de s'insérer dans le champ littéraire plus tôt et plus facilement que les écrivaines avant elle.
175

Des poèmes à l'âge de l'irréalité : solitude et empaysagement au Canada français (1860-1930)

Lambert, Vincent 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Période négligée de l’histoire littéraire, les années 1860 à 1930 ont apparu aux critiques de la modernité comme un âge de l’irréalité dont le patriotisme de Louis Fréchette et la mélancolie d’Émile Nelligan témoignaient de deux manières opposées, irréconciliables, sinon dans un même exil, une même absence à soi et à la vie immédiate. Cette thèse revient d’abord sur l’émergence et l’évolution de ce rapport des modernes au passé littéraire canadien-français, puis retrace une lignée considérable de poètes qui furent indifférents au patriotisme sans pour autant tomber dans l’isolement pathétique. Dans un premier temps, il faut relativiser la prépondérance de la poésie patriotique : Louis Fréchette et Nérée Beauchemin ont aussi écrit de la poésie lyrique et descriptive. La plupart des poètes de la fin du XIXe siècle pouvaient, d’un poème à l’autre au sein d’un même recueil, passer de la célébration des héros de la Nouvelle-France à l’observation directe du peintre. Cette dernière tendance prévaut dans les œuvres d’Alfred Garneau et d’Eudore Évanturel, qui ont en commun de faire passer le monde du statut de support idéologique à un lieu de présence imprescriptible, ouvert. Après une analyse de leurs poèmes dans la production littéraire de la seconde moitié du XIXe siècle, la thèse s’attarde dans les trois chapitres suivants aux parcours individuels de trois poètes majeurs du siècle suivant en les situant dans l’évolution de la littérature canadienne-française : Albert Lozeau, Jean-Aubert Loranger et Alfred DesRochers. Chacun à leur manière, ces poètes opèrent une objectivation du monde tout en interrogeant la nature de leur relation avec lui. Avec eux, sans doute à cause de la primauté accordée par le symbolisme à l’imagination créatrice, la réalité sensible est intériorisée, engagée dans un dialogue ou présentée directement comme une manifestation de conscience. Au final, il est possible de reconstituer une tradition poétique marquée principalement par une solitude retirée et une attention soutenue à la vie présente, tradition qui trouve son aboutissement dans l’œuvre de Saint-Denys Garneau.
176

Histoires de langues : Montréal, a once-divided city ; La logeuse d'Eric Dupont ; et Heroine de Gail Scott

Moreau, Annabelle 04 1900 (has links)
Ayant recours aux théories de la «surconscience linguistique», du «choc des langues» et des «zones de contact» telles que développées par Lise Gauvin, Sherry Simon et Catherine Leclerc, ce mémoire a pour objectif de développer une littérature montréalaise activée par la langue et les langues dans un contexte contemporain. S'inspirant des débats entourant la littérature anglo-québécoise, et la place accordée à l'imaginaire anglo-montréalais et à ses représentants dans l'histoire, deux romans sont analysés du point de vue des langues : La logeuse d'Eric Dupont et Heroine de Gail Scott. À la lumière d'une interdiction formulée par Gilles Marcotte dans « Neil Bissoondath disait… », célèbre brûlot qui prohibe l’analyse conjointe des littératures de langue française et anglaise, l'approche adoptée dans ce mémoire vise par l'intermédiaire des romans à dépasser les propos de Marcotte afin de créer une spécificité montréalaise orientée par des préoccupations linguistiques. Ce mémoire démontre que les propos de Gilles Marcotte sont intenables dans le contexte actuel où les langues ne sont plus une source de division, mais bien un prétexte à joindre dans un propos qui les englobe et les dépasse les corpus de langue anglaise et française dans le contexte montréalais. La logeuse et Heroine témoignent d'un imaginaire et de préoccupations linguistiques comparables et de ce fait, permettent de définir les contours d'une littérature montréalaise activée par les langues. Enfin, ce mémoire se questionne sur l'équation entre langue et culture, mais également entre littérature et culture afin qu'une langue montréalaise, à l'instar d'une littérature montréalaise, prenne forme. / Refering to the theories of Lise Gauvin, Sherry Simon and Catherine Leclerc on «linguistic superconsciousness» (surconscience linguistique), «impact of languages» (choc des langues), and « contact zones» (zones de contact), this thesis produces a Montreal literature which is based on languages, French and English, in a contemporary context. Motivated by the debates around anglo-quebec literature and anglo-quebec writers, this thesis analyses two novels from the points of view of languages : Eric Dupont's La logeuse and Gail Scott's Heroine. The main objective of this study is to show that the concept developed by Gilles Marcotte in « Neil Bissoondath disait » which forbids comparisons between French an English texts, is obsolescent following the reading of the two novels. This thesis shows that in the context of Montreal, languages can create a specificity when they are not anymore a pretext to division, but the sign of a reconciliation.
177

Écritures composites : interférences génériques et médiatiques chez Hubert Aquin et Alain Robbe-Grillet

Harvey, François January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
178

Les revues culturelles, lieux de la parole littéraire : regards métacritiques dans Liberté, L’Inconvénient, Contre-jour et Spirale

Dion-Picard, Rosalie 12 1900 (has links)
Alors que les études littéraires tendent à se professionnaliser et la culture à occuper de moins en moins d’espace dans les grands médias traditionnels, les revues culturelles proposent une critique qui se distingue de ces deux pratiques. Liberté, L’Inconvénient, Contre-jour et Spirale offrent aux intellectuels, critiques et universitaires l’espace d’une pratique mitoyenne, entre celles des publications savantes et des médias grand public. Qu’ils se définissent au premier chef comme herméneutes, médiateurs ou érudits, les critiques de ces revues revendiquent tous une parole littéraire. Chacun des chapitres de ce mémoire se penche sur une publication, retraçant son histoire et étudiant les textes métacritiques afin de cerner les différences et les similitudes entre les conceptions, les fonctions et les mises en pratique de la critique. La méthode emprunte à l’histoire des revues en tant que groupes d’affiliation, développée par Andrée Fortin et Michel Lacroix. L’analyse des thèmes récurrents et des filiations, dans la lignée des travaux de Martine-Emmanuelle Lapointe et d’Anne Caumartin, ainsi que de la rhétorique, particulièrement la notion d’ethos telle que définie par Dominique Maingueneau et Ruth Amossy, permet de mettre en lumière ce qui constitue, pour les praticiens de la critique, la singularité et la valeur de la parole littéraire. / Whilst Literature Studies are professionalizing and culture becomes less and less prominent in traditional media, literary reviews offer a distinctive voice for criticism. Liberté, L’Inconvénient, Contre-jour and Spirale offer intellectuals, critics and academics alike an adjoining space for the practice of cultural criticism, which positions itself somewhere between scientific publications and mass media. Whether they identify themselves primarily as hermeneutics experts, mediators or scholars, the critics who participate in those reviews all avail themselves of a literary word. Each chapter of this thesis will examine one of the four publications named above, retracing their history and analyzing meta-critical texts published in their pages to outline the differences and similarities between their conceptions of literary criticism, and its function and application. Methods used to conceptualize reviews as groups are akin to the works of Andrée Fortin and Michel Lacroix. By analyzing the recurring themes, the filiations (as Martine-Emmanuelle Lapointe and Anne Caumartin’s works exemplify) and the rhetoric (particularly the notion of ethos as developed by Dominique Maingueneau and Ruth Amossy) of these literary reviews, this thesis will reveal what constitutes, for the critics studied here, the singularity and the value of the literary word.
179

De résistances en rapatriements critiques : la situation québécoise au prisme des postcolonialismes

Constant, Marie-Hélène 08 1900 (has links)
No description available.
180

Histoires de langues : Montréal, a once-divided city ; La logeuse d'Eric Dupont ; et Heroine de Gail Scott

Moreau, Annabelle 04 1900 (has links)
Ayant recours aux théories de la «surconscience linguistique», du «choc des langues» et des «zones de contact» telles que développées par Lise Gauvin, Sherry Simon et Catherine Leclerc, ce mémoire a pour objectif de développer une littérature montréalaise activée par la langue et les langues dans un contexte contemporain. S'inspirant des débats entourant la littérature anglo-québécoise, et la place accordée à l'imaginaire anglo-montréalais et à ses représentants dans l'histoire, deux romans sont analysés du point de vue des langues : La logeuse d'Eric Dupont et Heroine de Gail Scott. À la lumière d'une interdiction formulée par Gilles Marcotte dans « Neil Bissoondath disait… », célèbre brûlot qui prohibe l’analyse conjointe des littératures de langue française et anglaise, l'approche adoptée dans ce mémoire vise par l'intermédiaire des romans à dépasser les propos de Marcotte afin de créer une spécificité montréalaise orientée par des préoccupations linguistiques. Ce mémoire démontre que les propos de Gilles Marcotte sont intenables dans le contexte actuel où les langues ne sont plus une source de division, mais bien un prétexte à joindre dans un propos qui les englobe et les dépasse les corpus de langue anglaise et française dans le contexte montréalais. La logeuse et Heroine témoignent d'un imaginaire et de préoccupations linguistiques comparables et de ce fait, permettent de définir les contours d'une littérature montréalaise activée par les langues. Enfin, ce mémoire se questionne sur l'équation entre langue et culture, mais également entre littérature et culture afin qu'une langue montréalaise, à l'instar d'une littérature montréalaise, prenne forme. / Refering to the theories of Lise Gauvin, Sherry Simon and Catherine Leclerc on «linguistic superconsciousness» (surconscience linguistique), «impact of languages» (choc des langues), and « contact zones» (zones de contact), this thesis produces a Montreal literature which is based on languages, French and English, in a contemporary context. Motivated by the debates around anglo-quebec literature and anglo-quebec writers, this thesis analyses two novels from the points of view of languages : Eric Dupont's La logeuse and Gail Scott's Heroine. The main objective of this study is to show that the concept developed by Gilles Marcotte in « Neil Bissoondath disait » which forbids comparisons between French an English texts, is obsolescent following the reading of the two novels. This thesis shows that in the context of Montreal, languages can create a specificity when they are not anymore a pretext to division, but the sign of a reconciliation.

Page generated in 0.0529 seconds