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Os debates em torno do Estado confessional brasileiro do século XIX (1842-1889) / Les débats autour de lÉtat confessionnel brésilien du XIXe siècle (1842-1889)

Obeid, Rafael Issa 23 May 2013 (has links)
Em meio às mudanças surgidas com as revoluções do final do século XVIII, a Constituição do Império do Brasil, outorgada em 1824, deu continuidade ao regime do padroado existente desde a colônia, segundo o qual competiria ao Estado manter a Igreja Católica Apostólica Romana, declarada pelo constituinte como religião oficial do Estado. Pelo sistema adotado, ao Estado caberia nomear os Bispos e prover os benefícios eclesiásticos. Desta maneira os homens da Igreja eram também homens do Estado, submetidos a duas hierarquias distintas, configuração que deu origem a conflitos entre o poder secular e o poder eclesiástico, cujas nuances e soluções podem ser buscadas na cultura jurídica brasileira do século XIX, manifestada na ação parlamentar ao criar uma legislação secularizada, nos pareceres do Conselho de Estado como órgão auxiliar do Poder Moderador e na literatura jurídica brasileira difundida a partir da segunda metade do século XIX. A investigação pretende demonstrar que muito antes da questão religiosa de 1873 e dos debates que resultaram no modelo de separação adotado pela república, não obstante a conveniência da manutenção da Igreja católica, havia uma preocupação dos artífices da nação em secularizar as instituições do país, como uma forma de demonstrar a força e a organização / Au milieu des changements apportés par les révolutions de la fin du XVIIIe siècle, la Constitution de l\'Empire du Brésil, accordée en 1824, a continué le régime de patronage existant depuis la colonie, selon lequel l\'Etat devrait financer l\'Église catholique romaine, déclarée religion officielle de l\'Etat. Par le système adopté, l\'Etat devrait nommer les évêques et le clergé, et en assumer les frais quotidiens. Ainsi, les hommes de l\'église étaient aussi des hommes de l\'Etat, soumis à deux hiérarchies distinctes, modèle qui a donné lieu à des conflits entre le pouvoir séculier et le pouvoir ecclésiastique, dont les nuances et les solutions peuvent être recherchées dans la culture juridique brésilienne du XIXe siècle, qui se manifeste dans l\'action parlementaire pour créer une législation sécularisée, sur avis du Conseil d\'Etat comme l\'organisme auxiliaire du Pouvoir modérateur et répandu dans la littérature juridique brésilienne de la seconde moitié du XIXe siècle. La recherche vise à démontrer que, bien avant la question religieuse de 1873 et les discussions qui ont abouti dans le modèle de séparation adoptée par la république, en dépit de l\'intérêt de maintenir l\'Église catholique, il y avait un souci des architectes de la nation de séculariser les institutions du pays, comme un moyen de démontrer la force et de l\'organisation de l\'État.
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À la recherche d'un temps perdu : la forme en -re dans la littérature juridique hispanique. Étude des hypothèses en si comportant la forme en -re, et de ses alternatives / In Search of a Lost Tense : the -re form in Spanish legal literature. A study of si-clauses containing the -re form or its alternatives

Lavissière, Mary Catherine 28 January 2017 (has links)
La forme en -re, dite « futur du subjonctif » (cantare), tombée en désuétude dans la langue standard espagnole, s’observe toujours dans le discours juridique. Dans cette étude, nous faisons l’hypothèse que la forme en -re survit car elle a une utilité pour la communauté des sujets parlants juristes. Adhérant à la linguistique du signifiant, dans la tradition guillaumienne, nous posons que cette utilité découle du signifié de la forme en -re. Notre corpus est composé de plusieurs documents juridiques qui représentent les cinq étapes du système modal définies par Gilles Luquet (1988). Nous choisissons les hypothèses en si car les experts ne s’accordent pas sur les alternatives légitimes de la forme en -re dans les protases de ces hypothèses. Les exemples collectés de ces documents, analysés au regard de la linguistique du signifiant, nous permettent de faire quatre conclusions : 1) l’alternance entre la forme en –se et la forme en -re dans les protases existe depuis le Moyen Âge ; 2) la forme en -re et ses alternatives ont des fonctions pragmatiques : elles contribuent à la cohérence du texte et elles permettent au juriste de faire progresser ourégresser l’argument du texte (fonction déictique) ; 3) la morphologie verbale des apodoses semble fortement liée au sous-genre juridique ; 4) cette étude de la forme en -re et ses alternances dans les hypothèses en si, jette la lumière sur la particularité du morphème si : étant élément du système espagnol d’affirmation, si ramène le perspectif de l’énoncé au présent, permettant au juriste de regarder la situation depuis le non-révolu (forme en -re) ou le révolu (la forme en -se) sans perdre la cohérence de son texte. / The -re form, or “future subjunctive” (cantare), is obsolete in Modern Standard Spanish, yet is still observed in legal literature. In this dissertation, we made the hypothesis that the -re form has survived because it is useful for the community of speakers who interact with legal literature. Using the theory of the linguistique du signifiant, we postulated that the different uses of the -re form are linked its signifier. To test ourhypothesis, we composed a corpus of several legal documents. They represent of each of the five epochs of the Spanish mode system defined by Gilles Luquet (1988). We chose to examine the role of this verb form in the protases of si-clauses because experts do not agree on the legitimate alternative verb forms in this syntax. After the observation and analysis of the examples collected, we made four conclusions. Firstly, the alteration between the -se form and the -re form in protases of si-clauses dates from the Middle Ages. Secondly, the -re form and its alternatives have pragmatic uses: they contribute to textual organization and allow the jurist to move backwards and forwards in the construction of his or herarguments (deictic function). Thirdly, the verbal morphology of the apodoses seems strongly linked with the legal subgenre of the documents. Fourth and finally, our study of the -re form and its alternatives sheds light on the specificities of the morpheme si: because it is part of the Spanish affirmation system, the morpheme si always brings the speaker’s perspective back to the present, allowing the jurist to observe the event unfold from a point in the non-past (-re form) or the past (-se form) without disrupting the text’scoherence.
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Entre théorie et pratique : les recueils de jurisprudence, miroirs de la pensée juridique française (1789 - 1914) / Between theory and practice : casebooks, mirrors of French legal thought (1789-1914)

Barenot, Pierre-Nicolas 07 November 2014 (has links)
Pionniers des études jurisprudentielles contemporaines, fondateurs des plus célèbres maisons d'éditionjuridique française, inventeurs de nouveaux genres littéraires et doctrinaux, les arrêtistes du XIXe siècledemeurent néanmoins encore largement méconnus. Au sein de leurs recueils de jurisprudence, Jean-BaptisteSirey, Désiré Dalloz et leurs nombreux collaborateurs, concurrents et successeurs, ont pourtant été des acteursà part entière d'une pensée juridique française trop souvent réduite aux seuls auteurs de la doctrine. Entrethéorie et pratique, l' « arrêtisme » contemporain a ainsi formé, de la Révolution jusqu'aux années 1870, unmouvement majeur de la littérature et de la pensée juridiques. Sur cette période, arrêtistes et commentateursde la doctrine se sont en effet âprement affrontés sur le terrain épistémique et éditorial, opposant travaux etdiscours sur la jurisprudence, et luttant pour le monopole des études jurisprudentielles. A partir des années 1880toutefois, l'arrivée massive des universitaires au sein des recueils de jurisprudence va marquer la fin del'arrêtisme des praticiens. A la Belle Epoque, les auteurs de l' « Ecole scientifique » qui entendent renouvelerl'étude et la science du droit s'emparent à leur tour activement de la jurisprudence ; présenté comme unrapprochement salvateur entre l'Ecole et le Palais, le « projet jurisprudentiel » des professeurs va toutefoiscontribuer à détacher les recueils d'arrêts de la culture praticienne dont ils étaient originellement issus. Il ressortde cette étude une relecture de l’histoire intellectuelle des recueils d’arrêts et des arrêtistes, dontl’historiographie classique en a dressé un portrait partiel, sinon partial. / Pioneers of contemporary case law studies, founders of the most famous French legal publishing companies,inventors of new literary and doctrinal genres, the arrêtistes of the nineteenth century still remain largelyunknown. In their casebooks, Jean-Baptiste Sirey, Désiré Dalloz and their many collaborators, competitors andsuccessors, were actors in their own right on the stage of French legal thinking, a stage too often reduced to theonly authors of the doctrine. Between theory and practice, the contemporary "arrêtisme" formed, from theRevolution to the 1870s, a major movement of literature and legal thought. Over this period, the arrêtistes andthe authors of legal doctrine clashed on epistemic and editorial grounds, opposing work and discourses on caselaw, and fighting for the monopoly of judicial analyses. However, from the 1880s onwards, the influx of universityprofessors in casebooks marked the end of the practitioners’ arrêtisme. During the Belle Epoque, the authors ofthe "Ecole scientifique", who intended to renew the study and science of law, took possession of case law;presented as a salutory reconciliation between the School and the Court, the professors’ "jurisprudential project"nevertheless contributed to separate case law reports from the culture of practitioners they were originallyderived from. What emerges from this study is a re-reading of the intellectual history of casebooks and arrêtistes,of which classical historiography gave a partial –if not biased -picture.

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