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L’intermédialité autochtone dans l’oeuvre de Natasha Kanapé Fontaine : mémoire, oralité et territoire

Morin-Martel, Florence 09 1900 (has links)
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Visions croisées dans la littérature du Grand Océan: approche comparatistes des littératures francophones et anglophones de Polynésie / Converging visions in the contemporary literature of Oceania: a comparative approach to french- and english- languages literatures from Polynesia

Close, Anne-Sophie 08 January 2015 (has links)
Ancrée dans les réalités du monde océanien contemporain et prenant comme thématique centrale les questions de la représentation de la terre et du lien à la terre, cette recherche doctorale consiste en une analyse comparative et écocritique des textes et contextes formant le champ particulier des littératures autochtones produites en Polynésie, tant en français qu’en anglais. Les problématiques environnementales et la question de l’attachement à la terre sont au cœur des œuvres littéraires polynésiennes contemporaines, tant francophones qu’anglophones, dont elles permettent de questionner la parenté. Le choix d’une approche critique novatrice et originale, basée sur les "postcolonial ecologies", permet de faire dialoguer « texte » et « monde » et d’ainsi toucher à l’universel. En s’attachant à certaines problématiques humanitaires et écologiques cruciales, dont l’urgence se fait de plus en plus pressante en cette ère où le réchauffement climatique et les pollutions multiples mettent en péril la survie de nombreuses cultures et écosystèmes, ce travail doctoral dépasse le domaine purement littéraire et réaffirme avec force le pouvoir de l’imagination poétique dans la réinvention d’un autre rapport au monde, plus juste socialement et écologiquement.<p>Par le choix de son objet autant que par celui de sa méthode, où le dialogue interdisciplinaire et interculturel occupe une place essentielle, cette étude se veut doublement novatrice. Elle embrasse plusieurs objectifs. Premièrement, faire connaître une production littéraire francophone largement méconnue, issue d’une aire géographique et culturelle spécifique (la Polynésie). Deuxièmement, renforcer le dialogue trans-océanique grâce à la confrontation des productions francophones et anglophones, et s’inscrire ainsi pleinement dans l’actualité de la recherche sur les littératures océaniennes. Troisièmement, usant des apports de ce dialogue et des outils proposés par l’analyse écocritique, poser la question de l’existence ou non d’un univers littéraire trans-linguistique et océanien. Quatrièmement, contribuer à enrichir et éclairer les théories littéraires écocritiques grâce aux spécificités et aux problématiques soulevées par les littératures polynésiennes. Œuvres littéraires et méthode critique s’inscrivent donc dans un processus d’échanges et de retours constant et dynamique, s’éclairant réciproquement afin de parvenir à une compréhension mutuelle plus profonde et féconde de nouvelles possibilités.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Indigenous transnational visibilities and identities in Oceania : establishing alternative geographies across boundaries

Souilhol, Coline 06 1900 (has links)
Pendant la deuxième moitié du vingtième siècle, les régions du Pacifique, et notamment l’Australie et la Nouvelle-Zélande, ont vu augmenter les mouvements de migrations. Ces derniers ont permis une diversification des concepts de nationalité, d’identité, de langage et d’espace. De ce fait, bon nombre d’auteurs ont donc décidé d’approcher leurs écrits à travers le spectre du transnationalisme et ont cherché à repousser les limites culturelles et les frontières géographiques -imposées par un état colonial.- Par conséquent, c’est avec une approche comparative que j’analyserai, en tenant ainsi compte de la constante évolution des nouveaux cadres géographiques et culturels, le recueil de poèmes Star Waka (1999) de l’auteur maori Robert Sullivan, le roman graphique Night Fisher (2005) de l’artiste hawaiien R. Kikuo Johnson et le roman Carpentaria de l’autrice waanyi Alexis Wright. En effet, j’examinerai la formation des identités autochtones en lien avec le lieu natal respectif de chaque auteur tout en tenant compte de l’évolution de la notion de frontière, qu’elle soit locale ou nationale. En se détournant de la perspective coloniale, je mettrai ainsi en lumière les différents outils que les auteurs utilisent dans leurs oeuvres pour permettre de définir une ou plusieurs identité(s) autochtone(s) qui se lisent entre les lignes et au-delà des limites spatiales. La question de l’enracinement et du déplacement est au coeur de ce réseau d’alliances autochtones, et permet une approche et une lecture transnationales, ainsi qu’une vision d’un monde littéraire commun et partagé. Ce réseau va au-delà des frontières locales et nationales, créant ainsi des géographies alternatives. / The second part of the twentieth century saw movements of migration increased, notably in Australia, New Zealand, and the Pacific regions, resulting in a diversification of the concepts of nationhood, identity, language, and space. As such, many authors have worked through the lens of transnationalism and have sought to think beyond the concept of borders, since locality is ultimately attached to a specific identity. Thus, to account for shifting geographical and cultural frameworks, I aim to paint a cross-cultural comparison within different genres of Indigenous literatures in Oceania. Through an analysis of Robert T. Sullivan’s Star Waka (1999), R. Kikuo Johnson’s Night Fisher (2005), and Alexis Wright’s Carpentaria (2006), I examine the formation of Indigenous identities in relation to the authors’ respective homelands while also interacting with the changing concepts of local and national boundaries. By decentering the Western definition of the border I highlight the way in which these authors can be read through the semantic lines of their works as well as across geographical borders, thereby challenging the dichotomy between the local and the global by disorientating and regenerating creative Indigenous identities on a larger scale. As the twenty-first century engages with new sorts of narratives, the issue of rootedness and displacement within a network of Indigenous alliances allows for a comparative and transnational approach, and a vision of a shared literary world that crosses over local and national boundaries, thereby enabling alternative geographies and accounting for contrasting perceptions of the world.
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Langue(s) en portage : résurgences et épistémologies du langage dans les littératures autochtones contemporaines

Bradette, Marie-Eve 06 1900 (has links)
En prenant en compte le contexte des nombreuses dépossessions, de l’arrachement et de l’invisibilisation des langues Autochtones, puis de l’imposition des langues coloniales dont la littérature des pensionnats témoigne avec force détail, cette thèse aménage une réflexion autour de la manière dont les autrices Autochtones contemporaines, qui écrivent en anglais ou en français (Virginia Pésémapéo Bordeleau, Kateri Akiwenzie-Damm, Marie-Andrée Gill, Leanne Betasamosake Simpson, Natasha Kanapé Fontaine et Cherie Dimaline), négocient avec le langage dans leurs œuvres. Plus spécifiquement, par une lecture au plus près des textes littéraires, cette thèse étudie la façon dont les écritures Autochtones sont des lieux de savoir profondément corporéïsés, situés et relationnels et, en tant que telles, elles donnent à penser les pouvoirs du langage en employant les moyens du littéraire. L’hypothèse formulée est donc que les littératures Autochtones actuelles élaborent des théories critiques du langage dans lesquelles le corps, la langue et le territoire (physique et métaphysique) sont intimement liés; le langage et sa conceptualisation par les écrivaines font ainsi se manifester une toile de relations que supporte la littérature par la création et la mise en présence de cette interconnexion entre le monde sensible et spirituel, entre les êtres humaines et les êtres autres qu’humaines. Bref, en appuyant les réflexions sur les épistémologies Autochtones (Kovach, Wilson, Ermine, Bazile, Sioui, Simpson, Bacon, Vizenor), cette thèse avance que, moins par un retour à des structures linguistiques que par le truchement d’une imagination poétique et narrative, les autrices à l’étude réclament les épistémologies et créent des théories du langage qui sont ramenées sur la scène de la présence littéraire. / Considering the context of multiple dispossessions, the extraction and invisibilization of Indigenous languages, and the subsequent imposition of colonial languages, which residential school literature recounts in great detail, this dissertation reflects on how contemporary Indigenous women writers, who write in English or in French (Virginia Pésémapéo Bordeleau, Kateri Akiwenzie-Damm, Marie-Andrée Gill, Leanne Betasamosake Simpson, Natasha Kanapé Fontaine and Cherie Dimaline), are attempting to (re)negotiate both Indigenous and colonial languages in their works. More specifically, through a close reading of selected texts, this thesis explores how Indigenous literatures are deeply embodied, situated, and relational places of knowledge and, as such, they convey the possibilities of language through their literary interventions. Thus, I argue that contemporary Indigenous literatures enable the creation of critical theories of language, in which body, language, and land (both physical and metaphysical) are intimately connected; language, and its conceptualization by women writers, enables a web of relations through writing that presents this interconnectedness between the sensible and spiritual worlds, and between human and other-than-human beings. Building on Indigenous epistemologies (Kovach, Wilson, Ermine, Bazile, Sioui, Simpson, Bacon, Vizenor), this thesis argues that through poetic and narrative imagination, which differs from a return to the linguistic structures of Indigenous languages, the creative writers explored in this dissertation are reclaiming epistemologies and creating theories of language by putting them at the forefront of their literary practices.

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