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Histoire, Révolution et esthétique : le temps et ses représentations dans le Tableau de Paris et le Nouveau Paris de Louis Sébastien Mercier / History, Revolution and Aesthetics : time and its Representations in Louis Sébastien Mercier’s Tableau de Paris and Nouveau Paris

Boucher, Geneviève 29 January 2010 (has links)
Cette thèse porte sur les représentations du temps historique dans deux œuvres panoramiques de Louis Sébastien Mercier (1740-1814), soit le Tableau de Paris, publié entre 1781 et 1788, et le Nouveau Paris, publié en 1798. Ces deux œuvres partagent une visée commune (faire le portrait physique et moral de Paris et écrire l’histoire du temps présent), mais, comme elles sont séparées par la Révolution française, elles présentent deux univers distincts. Il s’agit d’une part, d’étudier le foisonnement des représentations du temps chez Mercier et, d’autre part, de faire voir comment elles se modifient sous l’impact de la Révolution, qui oblige les contemporains à réévaluer leur place dans l’histoire. L’imaginaire temporel est abordé dans ses configurations variées et dans ses apories : l’œuvre panoramique de Mercier met en scène une série de tensions entre le passé – qui est tantôt rejeté, tantôt appelé – et le futur – qui apparaît soit comme l’horizon du progrès, soit comme le tournant de l’apocalypse. C’est toutefois le présent qui agit comme point focal de l’imaginaire temporel merciérien : il est le prisme à travers lequel l’auteur aborde les autres entités. Dans son désir de capter l’extrême contemporanéité, Mercier complexifie le rapport entre le monde ambiant et l’écriture qui tente de le fixer. Pris dans la tourmente révolutionnaire, il cherche à percer l’opacité des événements et fournit dans le Nouveau Paris l’une des premières histoires de la Révolution. Au moment où le présent acquiert dans son œuvre un statut d’objet historique, il devient également un objet esthétique : l’histoire présente, dans sa grandeur chaotique, remplace la nature comme source de sublime. / This dissertation analyzes the representations of historical time in two of Louis Sébastien Mercier’s panoramic works, that is the Tableau de Paris, published between 1781 and 1788, and le Nouveau Paris, published in 1798. These two works share a common goal (drawing the capital’s moral and physical portrait and writing the history of present time), but, since they are separated by the French Revolution, they offer two distinct universes. The aim of this dissertation is to study the representations of time in Mercier’s work and to evaluate how they change after the 1789 Revolution, a major event that greatly modifies the way contemporaries conceive their place in history. Temporal imagination is analyzed through its multiple configurations and aporias : Mercier’s panoramic work operates a constant tension between the past, that is sometimes rejected, sometimes glorified, and the future, conceived either as the horizon of a stable and positive evolution or as the turning point of Apocalypse. Nonetheless, it is the present that plays the main part in the author’s temporal imagination and that gives intelligibility to the other entities. In his desire to capture extreme contemporaneousness, Mercier makes more complex the relationship between writing and the ever changing reality it tries to fix. Caught in the revolutionary storm, he seeks to go beyond the events’ opacity and produces in le Nouveau Paris one of the first history of the Revolution. As it acquires an historical status, present history also becomes an aesthetical object : in its chaotic greatness, it replaces nature as a source of sublime.
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Mise en scène de la déambulation et écriture de la ville dans un corpus d'oeuvres du XVIIIe siècle / Staging of ambulation and writing on the city in a corpus of XVIIIth century works

Al-Mahyawi, Hussein 19 June 2012 (has links)
Dans le premier versant du XVIIIe siècle, la présence de Paris dans les œuvres littéraires demeure sous-jacente ou est seulement suggérée par un simple regard qui reste généralement distant. C’est notamment le cas dans Le Diable boiteux de Lesage où la déambulation dans la ville reste subordonnée aux priorités visuelles (depuis un lieu surplombant, le diable montre à son élève les différents aspects de la ville). C’est avec Rousseau qu’une problématique nouvelle de la déambulation apparaît. Dans ses écrits autobiographiques (Les Confessions, Les Rêveries du promeneur solitaire), le narrateur met en scène cette déambulation dans son parcours même : les marches ou les promenades propices à la rêverie, à la méditation et à la remémoration. Avec Rétif de Bretonne (Les Nuits de Paris) et Louis-Sébastien Mercier (Tableau de Paris), Paris apparaît comme l’espace par excellence d’une errance féconde. La capitale française cesse d’être à l’arrière-plan et devient un objet d’écriture à part entière. / In the first half of the eighteenth century, the presence of Paris in the literary works remains underlying or is merely suggested by a single and generally distant glance. This is notably the case in Lesage’s novel The Lame Devil where the wandering in the city remains subordinate to visual priorities (from an overlooking place, the devil shows his learner different aspects of the city). It is with Rousseau that a new problem on ambulation emerges. In his autobiographical writings (Confessions, Reveries of a Solitary Walker), the narrator portrays this ambulation in his very career: walks or promenades inspiring daydreaming, conductive to meditation and recalling memories. With Rétif de la Bretonne (Parisian Nights) and Louis-Sébastien Mercier (Panorama of Paris), Paris seems to be the ideal place for a fertile wandering. The French capital ceases to be in the background and becomes a subject of writing in its own right.
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Histoire, Révolution et esthétique : le temps et ses représentations dans le Tableau de Paris et le Nouveau Paris de Louis Sébastien Mercier

Boucher, Geneviève 11 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV), sous la direction de M. Michel Delon. / Cette thèse a pour objectif d’analyser les représentations du temps historique dans le Tableau de Paris (1781-1788) et le Nouveau Paris (1798) de Louis Sébastien Mercier et de faire voir comment elles se transforment sous l’impact de la Révolution française, elle qui oblige les contemporains à réévaluer leur rapport au temps. Ces œuvres s’inscrivent dans la tradition de la littérature panoramique : l’auteur y décrit l’état de la capitale et donne à voir les mœurs de ses habitants. Si Mercier s’attache à peindre la physionomie actuelle de Paris, il en vient, au fil de ses promenades, à décrypter le passé qui est enfoui, comme un palimpseste, sous la surface présente. L’espace urbain, ainsi peuplé des spectres du passé, fait cohabiter de multiples strates temporelles et donne l’image d’un temps dense au sein duquel différentes époques sont coprésentes. La persistance du passé pose toutefois problème : c’est pourquoi l’héritage antique et national se voit réévalué – voire éradiqué – afin de répondre aux exigences de l’idéologie progressiste. Avec la Révolution, de nouveaux outils conceptuels sont élaborés pour gérer le rapport avec le passé : si les révolutionnaires rejettent, après la Terreur, les entreprises d’épuration par la destruction, ils développent un nouveau mode de mise à distance du passé, la patrimonialisation. Celle-ci, par la conservation même, relègue paradoxalement le passé au rang d’histoire morte. Le futur occupe également une place de choix chez Mercier, auteur de l’un des premiers romans d’anticipation. Il s’exprime prioritairement sous deux formes, la dégénérescence et la régénération. Alors même qu’il décrit l’état actuel de la ville, Mercier anticipe sa ruine. Une étroite corrélation s’instaure alors entre la construction et la destruction, qui est son aboutissement inéluctable. Ce phénomène s’accompagne de modulations esthétiques majeures : l’évocation de la perte plonge l’auteur dans la mélancolie et teinte son style de lyrisme et d’élégie. Si la Révolution ne fait pas disparaître cet imaginaire, elle le met entre parenthèses et entrevoit surtout son avenir sous la forme optimiste de la régénération. Ce concept clé, qui alimente projets et utopies, fait cohabiter de multiples modèles temporels, tels que la rupture radicale, le retour à l’origine, la régénération instantanée et la construction nationale. Le fondement du projet de Mercier demeure néanmoins de capter la contemporanéité. Tentant de fixer par l’écriture la fugitivité du temps, l’auteur s’engage dans une course désespérée qui le condamne à être perpétuellement décalé par rapport à l’actualité qu’il cherche à saisir. Au-delà de cette dimension transitoire, Mercier confère au présent une certaine stabilité en l’élevant au rang d’histoire. Ce phénomène touche surtout l’histoire révolutionnaire : afin de terminer la Révolution, les contemporains l’érigent en objet historique et tentent d’en comprendre les mécanismes. Corrélativement, l’histoire révolutionnaire acquiert un statut esthétique. Les réformes poétiques appelées par Mercier depuis le début de sa carrière littéraire (contemporanéité des sujets, originalité stylistique, esthétique de la force et du contraste, invention poétique et néologie) trouvent un terrain d’expression particulièrement fertile dans la représentation de l’histoire récente. / This dissertation analyzes the representation of historical time in Louis Sébastien Mercier’s Tableau de Paris (1781-1788) and Nouveau Paris (1798) and seeks to explain how this representation was transformed by the French Revolution, a major event that changed the way contemporaries conceived their place in history. These two works are considered as panoramic literature: as he walks through the neighbourhoods of Paris, the author describes the state of the city of his day as well as its inhabitants’ customs. Although Mercier is mostly interested in painting the present, his exploration of the city leads him to exhume the past that lies, like a palimpsest, beneath the surface. Crowded with specters from the past, the urban space generates a form of temporal density resulting from the coexistence of various times. But the persistence of the past is also highly problematic: Mercier’s faith in progress implies a constant reevaluation – if not a rejection – of antique references and national heritage. After the 1789 disruptions, new conceptual tools were developed to manage the past. If revolutionaries rejected radical destruction after the traumatic experience of the Terror, they invented a new way to put the past aside – patrimony. It is, paradoxically, by its conservational function that patrimony relegates the past to a status of dead history. The future also occupies a large place in Mercier’s works. It is represented under two antithetic forms: degeneracy and regeneration. While he describes the physiognomy of the city of his day, the author anticipates its ruin and establishes a strong correlation between construction and destruction (its inescapable outcome). This pessimistic representation of time modifies his aesthetics: as he evokes the ineluctability of loss, the author deals with a melancholy which colours his style with lyricism and elegy. This imaginative world does not entirely disappear with the Revolution, but it is marginalized. After 1789, the future is viewed mainly through the optimistic and utopian notion of regeneration, in which several conceptions of time coexist (radical rupture, return to an uncorrupted original state, instantaneous regeneration, the building of national unity, etc.). Although Mercier oscillates between past and future, his main goal is to capture a sense of contemporaneousness. As he tries to immobilize the continuous flux of time by writing, he finds himself in a hopeless race in which he is condemned to be perpetually behind the current events he wishes to paint. But Mercier goes beyond the fugitive nature of time and grants the present a status of historical discourse. This historiographical dimension mainly concerns revolutionary history: in order to end the Revolution, contemporaries set it up as historical knowledge and hope to understand its complex evolution. As it acquires an historical status, present history also becomes an aesthetical object. Poetical reforms that had long been called for by Mercier (contemporary topics, stylistic originality, contrast and strength, aesthetical invention and neology) are fully integrated in the representation of recent history.
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Histoire, Révolution et esthétique : le temps et ses représentations dans le Tableau de Paris et le Nouveau Paris de Louis Sébastien Mercier

Boucher, Geneviève 11 1900 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’analyser les représentations du temps historique dans le Tableau de Paris (1781-1788) et le Nouveau Paris (1798) de Louis Sébastien Mercier et de faire voir comment elles se transforment sous l’impact de la Révolution française, elle qui oblige les contemporains à réévaluer leur rapport au temps. Ces œuvres s’inscrivent dans la tradition de la littérature panoramique : l’auteur y décrit l’état de la capitale et donne à voir les mœurs de ses habitants. Si Mercier s’attache à peindre la physionomie actuelle de Paris, il en vient, au fil de ses promenades, à décrypter le passé qui est enfoui, comme un palimpseste, sous la surface présente. L’espace urbain, ainsi peuplé des spectres du passé, fait cohabiter de multiples strates temporelles et donne l’image d’un temps dense au sein duquel différentes époques sont coprésentes. La persistance du passé pose toutefois problème : c’est pourquoi l’héritage antique et national se voit réévalué – voire éradiqué – afin de répondre aux exigences de l’idéologie progressiste. Avec la Révolution, de nouveaux outils conceptuels sont élaborés pour gérer le rapport avec le passé : si les révolutionnaires rejettent, après la Terreur, les entreprises d’épuration par la destruction, ils développent un nouveau mode de mise à distance du passé, la patrimonialisation. Celle-ci, par la conservation même, relègue paradoxalement le passé au rang d’histoire morte. Le futur occupe également une place de choix chez Mercier, auteur de l’un des premiers romans d’anticipation. Il s’exprime prioritairement sous deux formes, la dégénérescence et la régénération. Alors même qu’il décrit l’état actuel de la ville, Mercier anticipe sa ruine. Une étroite corrélation s’instaure alors entre la construction et la destruction, qui est son aboutissement inéluctable. Ce phénomène s’accompagne de modulations esthétiques majeures : l’évocation de la perte plonge l’auteur dans la mélancolie et teinte son style de lyrisme et d’élégie. Si la Révolution ne fait pas disparaître cet imaginaire, elle le met entre parenthèses et entrevoit surtout son avenir sous la forme optimiste de la régénération. Ce concept clé, qui alimente projets et utopies, fait cohabiter de multiples modèles temporels, tels que la rupture radicale, le retour à l’origine, la régénération instantanée et la construction nationale. Le fondement du projet de Mercier demeure néanmoins de capter la contemporanéité. Tentant de fixer par l’écriture la fugitivité du temps, l’auteur s’engage dans une course désespérée qui le condamne à être perpétuellement décalé par rapport à l’actualité qu’il cherche à saisir. Au-delà de cette dimension transitoire, Mercier confère au présent une certaine stabilité en l’élevant au rang d’histoire. Ce phénomène touche surtout l’histoire révolutionnaire : afin de terminer la Révolution, les contemporains l’érigent en objet historique et tentent d’en comprendre les mécanismes. Corrélativement, l’histoire révolutionnaire acquiert un statut esthétique. Les réformes poétiques appelées par Mercier depuis le début de sa carrière littéraire (contemporanéité des sujets, originalité stylistique, esthétique de la force et du contraste, invention poétique et néologie) trouvent un terrain d’expression particulièrement fertile dans la représentation de l’histoire récente. / This dissertation analyzes the representation of historical time in Louis Sébastien Mercier’s Tableau de Paris (1781-1788) and Nouveau Paris (1798) and seeks to explain how this representation was transformed by the French Revolution, a major event that changed the way contemporaries conceived their place in history. These two works are considered as panoramic literature: as he walks through the neighbourhoods of Paris, the author describes the state of the city of his day as well as its inhabitants’ customs. Although Mercier is mostly interested in painting the present, his exploration of the city leads him to exhume the past that lies, like a palimpsest, beneath the surface. Crowded with specters from the past, the urban space generates a form of temporal density resulting from the coexistence of various times. But the persistence of the past is also highly problematic: Mercier’s faith in progress implies a constant reevaluation – if not a rejection – of antique references and national heritage. After the 1789 disruptions, new conceptual tools were developed to manage the past. If revolutionaries rejected radical destruction after the traumatic experience of the Terror, they invented a new way to put the past aside – patrimony. It is, paradoxically, by its conservational function that patrimony relegates the past to a status of dead history. The future also occupies a large place in Mercier’s works. It is represented under two antithetic forms: degeneracy and regeneration. While he describes the physiognomy of the city of his day, the author anticipates its ruin and establishes a strong correlation between construction and destruction (its inescapable outcome). This pessimistic representation of time modifies his aesthetics: as he evokes the ineluctability of loss, the author deals with a melancholy which colours his style with lyricism and elegy. This imaginative world does not entirely disappear with the Revolution, but it is marginalized. After 1789, the future is viewed mainly through the optimistic and utopian notion of regeneration, in which several conceptions of time coexist (radical rupture, return to an uncorrupted original state, instantaneous regeneration, the building of national unity, etc.). Although Mercier oscillates between past and future, his main goal is to capture a sense of contemporaneousness. As he tries to immobilize the continuous flux of time by writing, he finds himself in a hopeless race in which he is condemned to be perpetually behind the current events he wishes to paint. But Mercier goes beyond the fugitive nature of time and grants the present a status of historical discourse. This historiographical dimension mainly concerns revolutionary history: in order to end the Revolution, contemporaries set it up as historical knowledge and hope to understand its complex evolution. As it acquires an historical status, present history also becomes an aesthetical object. Poetical reforms that had long been called for by Mercier (contemporary topics, stylistic originality, contrast and strength, aesthetical invention and neology) are fully integrated in the representation of recent history. / Thèse réalisée en cotutelle avec l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV), sous la direction de M. Michel Delon.
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La imagen literaria de París. Desde Mercier, Baudelaire y el surrealismo hasta Rayuela de Julio Cortázar

Hoyos, Camilo 23 March 2010 (has links)
El propósito de nuestra investigación es analizar la imagen del París surrealista para luego ver su posterior recepción y variación por parte de Julio Cortázar en Rayuela. Los criterios analíticos de nuestra investigación constan en la importancia de la promenade y la visión en la construcción de la imagen de la ciudad a manera de espacio interior. Para comprender los orígenes e inserción en la tradición por parte de los surrealistas, fue necesario establecer los orígenes de las poéticas urbanas de la ciudad de París a finales del siglo XVIII, comprender el auge de París como tema literario a mediados del siglo XIX, analizar la importancia de la tradición noctámbula y la incidencia de Baudelaire en el París moderno para situar a los surrealistas en su manera de comprender la ciudad como un espacio psíquico e interior. Por último, comprenderemos los distintos elementos surrealistas de la construcción de París en Rayuela de Cortázar gracias a los textos escritos durante su período de interés surrealista (1947-1949) y su posterior variación en Rayuela. / The purpose of our investigation is to analyze the image of Paris forged in four Surrealist texts published between 1926-1928 in order to understand the Surrealist elements that allowed Julio Cortázar to forge his own image of the city in the novel Rayuela. Our analytical criteria are the importance of the regard and the promenade in the construction of the city as an interior and personal space. To understand the importance of the Surrealist production, it was necessary to visit the origins of Paris as a literary text in the late eitheenth century, the importance of the tradition noctámbule in the XIXth century, the incidences of Baudelaire's work regarding the modern Paris and the change of century that allowed the Surrealist movement to understand the city as an interior and psychic space. Through the establishment of certain criteria and images, we analyzed Paris in Cortázar's novel Rayuela as a Surrealist product, even if Cortázar himself never felt as as a Surrealist writer.

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