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L'œuvre d'Arnaud Berquin : littérature de jeunesse et esprit des Lumières. / Arnaud Berquin's work : literatury for youth and enlightenment ideas

Baudron, Annette 10 December 2009 (has links)
Au dix-huitième siècle, la question de l’éducation fut posée avec force. Sous l’impulsion des philosophes des Lumières, des auteurs vont répondre à cette nouvelle demande : instruire en amusant. Arnaud Berquin est l’un d’eux. Il est connu pour être l’auteur du premier périodique pour la jeunesse : L’Ami des enfants. Le parcours singulier de cet écrivain bordelais l’a mis au contact des hommes des Lumières les plus influents du dernier quart du siècle. Nous avons abordé son œuvre, qu’elle s’adresse aux amateurs d’idylles et de romances, à la jeunesse avec les livres d’enfance, périodiques ou romans d’éducation, aux habitants des campagnes sous la Révolution. Les gazettes littéraires nous ont permis d’apprécier le succès d’un auteur qui vécut de sa plume. L’étude des textes nous a donné la mesure de son engagement constant au côté des philosophes et sa démarche novatrice pour insuffler l’esprit des Lumières à l’enfance à travers un discours moral, religieux, éducatif et politique. / In the eighteenth century, a great deal was said about Education by the philosophers of the Enlightenment. They saw in it the way to promote morality and progress. Under of their impulse, some authors tried to answer their new request : how to teach while enjoying oneself. Arnaud Berquin is one of them. He is known as the author of the first periodical for youth : L’Ami des enfants. During his life, this writer met the most important of the philosophers of the Enlightenment from the end of the century. We have studied his whole works, the poetic part, with idylls and romances, the youth part with periodic and children’s books, and finally a periodical for rural people, in the Revolution’s time. The literary gazettes told us that Arnaud Berquin was estimated so he had the capacity to live on his writing. The study of the texts shows us a man who was engaged to promote the Enlightenment ideas to young people through a purpose based on morality, religion, education and politics.
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Laser à solitons et vortex localisés

Genevet, Patrice 09 October 2009 (has links) (PDF)
Les solitons de cavité (SC) sont des structures spatiales localisées que l'on peut générer dans une cavité optique non-linéaire. Ces structures se présentent sous la forme de pics lumineux de sur-intensité, "posées" sur un fond de lumière homogène. Depuis leur découverte, de nombreuses démonstrations de principe ont été réalisées, mettant en évidence leurs utilisations pour le traitement tout optique de l'information. Néanmoins, l'implémentation de dispositifs capables de générer des solitons de cavité dans le réseau télécom reste à l'heure actuelle improbable. Une simplification mais surtout une miniaturisation, qui passe par l'invention de nouveaux dispositifs, est un objectif majeur de la recherche sur les SC. L'objectif de cette thèse est de montrer qu'un système simple, miniaturisable, appelé Laser à solitons de cavité, permet d'obtenir ce type de structures spatiales localisées. Ce dispositif est obtenu en couplant mutuellement deux lasers de large section transverse. L'un des lasers joue le rôle d'un amplificateur alors que le second sert d'absorbant saturable fournissant le mécanisme de bistabilité. Les structures spatiales localisées obtenues sont indépendamment contrôlables à l'aide d'un faisceau dit d'écriture. La différence fondamentale entre les SCs obtenus avec un laser à SC et les SCs obtenus auparavant est due à la symétrie de phase du système laser. Cette symétrie de phase nous permet de générer des structures composites dont la phase entre les différents constituants n'est pas identique. Nous avons également observé des structures localisées circulaires possédant un défaut de phase en leur centre. Bien que prédit théoriquement, ce type de structure, appelé vortex optique localisé, n'avait jusqu'alors jamais été observé expérimentalement.
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Que peut-on faire avec un microscope à force atomique dans un porte échantillon d'un synchrotron?

Silveira Rodrigues, Mario Manuel 29 April 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse a comme objectif principal la combinaison en temps réel et in-situ de deux types de spectroscopies différentes: la microscopie en champ proche et la spectroscopie avec la lumière de synchrotron. Donc cette thèse a pour but l'introduction de nouvelles techniques expérimentales qui permettent d'explorer les propriétés des matériaux à l'échelle nanométrique. Ces nouveaux instruments sont sensés permettre d'obtenir à la fois une image topographique et un contraste chimique avec une résolution latérale de 10-40 nm. Ceci repousserait les limites de chacune de ces deux familles de spectroscopies et ouvrirait la porte à de nouvelles opportunités de recherche et de défis. Pour réussir cette combinaison in situ et en temps réel, un microscope à force atomique (AFM) a spécialement été construit. Ce microscope a été développé autour d'un diapason à cristal de quartz qui était le capteur de force avec lequel des forces à l'échelle manométrique ont été mesurées. Le microscope développé ici a été utilisé dans différentes lignes de lumières au synchrotron (ESRF) avec deux objectifs essentiellement différents. Un premier objectif était de faire de la spectroscopie, comme la mesure d'un seuil d'absorption, localement au moyen de la pointe de l'AFM. Ce type de mesures a effectivement été fait, mais la résolution latérale obtenue n'était pas donnée par la géométrie de la pointe mais par la taille du faisceau X. La pointe de l'AFM a également été utilisée pour mesurer la diffraction de Bragg dans des cristaux de tailles inférieures au micromètre. Un deuxième objectif a été d'utiliser la pointe de l'AFM pour interagir mécaniquement avec des systèmes à l'échelle nanométrique et simultanément utiliser un faisceau X pour mesurer des changements du paramètre de mailles dans les systèmes en question. Ainsi, la pointe de l'AFM a été utilisée pour déformer élastiquement un cristal de SiGe pendant que le signal de diffraction été mesuré. Ceci a permis d'observer des décalages des pics de Bragg en fonction de la pression appliquée par la pointe. La combinaison in-situ de microscopie atomique avec la diffraction a, cette fois ici, permis d'obtenir le module d'Young d'un cristal à l'échelle nanométrique sans aucun paramètre ajustable.
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La critique de l'irrationnel dans L'ami des enfants (1782-1783) d'Arnaud Berquin

Fournier-Goulet, Geneviève 02 1900 (has links) (PDF)
On a longtemps considéré l'enfant comme « un petit adulte » et ce n'est qu'avec les XVIe et XVIIe siècles qu'on commence à lui reconnaître des caractéristiques propres. Toutefois, c'est avec le XVIIIe siècle que des auteurs se mettent à écrire des récits spécifiquement destinés à un jeune public. Ceux que l'on peut qualifier de grands auteurs pour la jeunesse à la fin de l'Ancien Régime, qu'il s'agisse de Madame d'Épinay (1726-1783), de Madame de Genlis (1746-1830) ou d'Arnaud Berquin (1747-1791), se font les porte-paroles des idées et des critiques que nous désignons aujourd'hui sous le nom de « philosophie des Lumières ». Nous nous intéresserons ici à L'Ami des enfants, un périodique écrit par Arnaud Berquin. Paru en vingt-quatre numéros entre 1782 et 1783, il comporte 121 historiettes de plusieurs genres différents, dans lesquelles Berquin se réclame d'une des idées essentielles des Lumières : le recours à la raison. En effet, il y dénonce de plusieurs manières l'irrationnel (revenants, monstres, magie, mondes enchantés) et c'est cette critique que nous étudierons, afin de voir comment elle est rendue accessible aux jeunes lecteurs, tout en restant très près des Lumières. Dans un premier chapitre, nous retracerons le contexte socio-historique pour comprendre comment la critique des croyances s'est articulée en France, et ce, jusqu'à envahir le domaine de la littérature pour enfants. Il s'agira avant tout de voir comment le discours de Berquin s'insère dans un mouvement qui le dépasse et qui tire ses origines de la fin du XVIIe siècle. Ce rappel historique nous mènera à une définition opératoire des termes « irrationnel » et « irrationalité », qui seront utilisés dans la suite de notre mémoire. Nous tenterons ensuite de voir de quelle manière Berquin s'emploie à mettre cette critique à la portée des enfants. L'ensemble des histoires sera d'abord observé, afin de voir comment elles mettent toutes de l'avant un monde où la raison prime. Trois manifestations de ce monde « raisonnable » seront étudiées dans les historiettes : leur réalisme de fond et de forme; leurs liens avec la science et la méthode scientifique, telles que décrites dans l'Encyclopédie de Diderot et D'Alembert (1751-1772) ; leur proximité avec le déisme. Notre troisième chapitre sera finalement consacré à l'analyse de six histoires en particulier qui traitent explicitement de la critique des irrationalités. Il s'agira surtout de déterminer quelles stratégies rhétoriques utilise Berquin pour inciter à critiquer les irrationalités. Une telle étude nous permettra de lier la critique des irrationalités faite par Berquin aux idées véhiculées dans la société française de cette époque, de manière à voir comment cet auteur diffuse une philosophie des Lumières et une définition de la raison adaptées aux enfants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arnaud Berquin, littérature pour enfants, irrationnel, philosophie des Lumières, XVIIIe siècle
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Discours protestant et parcours féminin dans Delphine (1802) de Madame de Staël

Horst, Christina 26 October 2009 (has links)
Notre travail se consacre à une analyse sociohistorique de la représentation du protestantisme dans le roman épistolaire Delphine (1802). Dans ce premier roman, Madame de Staël dépeint une héroïne dont le parcours offre une réflexion sur la conduite morale en société et sur la place d’une femme éclairée dans un milieu à la fois catholique et protestant. Nous montrons comment le discours protestant, qui est porteur d’un élan libérateur, permet à Delphine (de confession catholique) d’être plus indépendante et libre d’esprit. La jeune femme se démarque en effet des autres personnages, et ce, tant par ses opinions sur la condition féminine que par sa grande ouverture d’esprit à l’endroit de la religion réformée. Le premier chapitre porte sur le contexte sociohistorique du protestantisme au tournant des Lumières ainsi que sur la condition de la femme dans la société française à la fin du XVIIIe siècle. Ce survol historique nous permet de passer à l’analyse du parcours et des opinions de l’héroïne et de quelques personnages secondaires dans les deuxième et troisième chapitres. Le deuxième chapitre étudie la représentation romanesque de la problématique religieuse, de la pratique morale et religieuse de la jeune femme et de la notion du libre examen si chère au protestantisme. Enfin, le troisième chapitre est consacré à l’analyse de l’autonomie propre à la religion réformée, et ce, à travers les rôles non officiels de guide ou d’intermédiaire spirituel donnés par Madame de Staël à certains de ses personnages. Ainsi se dévoile l’un des traits caractéristiques du premier roman staëlien, dont le discours religieux témoigne d’une grande importance accordée à la liberté de la foi de même qu’à la participation de l’individu dans sa propre démarche spirituelle.
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Discours protestant et parcours féminin dans Delphine (1802) de Madame de Staël

Horst, Christina 26 October 2009 (has links)
Notre travail se consacre à une analyse sociohistorique de la représentation du protestantisme dans le roman épistolaire Delphine (1802). Dans ce premier roman, Madame de Staël dépeint une héroïne dont le parcours offre une réflexion sur la conduite morale en société et sur la place d’une femme éclairée dans un milieu à la fois catholique et protestant. Nous montrons comment le discours protestant, qui est porteur d’un élan libérateur, permet à Delphine (de confession catholique) d’être plus indépendante et libre d’esprit. La jeune femme se démarque en effet des autres personnages, et ce, tant par ses opinions sur la condition féminine que par sa grande ouverture d’esprit à l’endroit de la religion réformée. Le premier chapitre porte sur le contexte sociohistorique du protestantisme au tournant des Lumières ainsi que sur la condition de la femme dans la société française à la fin du XVIIIe siècle. Ce survol historique nous permet de passer à l’analyse du parcours et des opinions de l’héroïne et de quelques personnages secondaires dans les deuxième et troisième chapitres. Le deuxième chapitre étudie la représentation romanesque de la problématique religieuse, de la pratique morale et religieuse de la jeune femme et de la notion du libre examen si chère au protestantisme. Enfin, le troisième chapitre est consacré à l’analyse de l’autonomie propre à la religion réformée, et ce, à travers les rôles non officiels de guide ou d’intermédiaire spirituel donnés par Madame de Staël à certains de ses personnages. Ainsi se dévoile l’un des traits caractéristiques du premier roman staëlien, dont le discours religieux témoigne d’une grande importance accordée à la liberté de la foi de même qu’à la participation de l’individu dans sa propre démarche spirituelle.
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La théâtralité de l'écriture romanesque : Le paysan parvenu de Marivaux

Poulin, Maria-Clara January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Rapport de l'immoralisme sadien au matérialisme des Lumières

Hayes, Kathleen January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Sexe, cosmos et société : Enquête littéraire et philosophique sur la formation d'une utopie sexuelle libérale chez Diderot, Rétif de la Bretonne et Fourier (1759-1822)

Samzun, Patrick 30 November 2013 (has links) (PDF)
Entre 1759 et 1822, Diderot, Rétif de la Bretonne et Fourier coopèrent à distance et sur le mode de la fiction à la formation d'une utopie sexuelle libérale. Les " êtres de fiction " (Souriau/Latour) qu'ils mettent en scène expérimentent dans l'espace, dans des décors merveilleux ou dans une campagne réenchantée par une humeur gaillarde, des relations sexuelles utopiques. Ces relations tissent un " nouveau monde amoureux " qu'on peut qualifier de " libéral " par le soin accordé aux goûts de chacun-e, la générosité à l'égard des déshérité-e-s de l'amour et la pluralité de ses formes d'association. Notre enquête dégage ainsi un nouveau type de coopération, indissociablement littéraire et intellectuelle, entre des auteurs et des textes d'époques différentes, qui pouvaient ne se connaître que de loin, mais qui s'avèrent consonner de près : une même ouverture cosmique, un éthos sexuel commun, une semblable gaieté fictionnelle se traduisent par la formation d'une utopie sexuelle et textuelle convergente. La texture de cette utopie conduit notre enquête à emprunter aux études littéraires, pour l'analyse du merveilleux et de la gaieté notamment, ainsi qu'aux études philosophiques, pour l'analyse de la pensée sexuelle - mais surtout aux deux à la fois, car ce sont les " êtres de fiction " délégués par Diderot, Rétif et Fourier qui façonnent cette pensée et lui confèrent son originalité utopique.
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L’Électricité médicale dans la France des Lumières : histoire culturelle d’un nouveau remède / Medical Electricity in Enlightenment France : Social History of a Novel Medicine

Zanetti, François 17 November 2011 (has links)
À partir des années 1750, l’électricité médicale connait en France et en Europe une vogue tant parmi le monde savant que dans un plus large public. À l’heure de la curiosité et des spectacles de science, la première application du fluide à la mode est thérapeutique et vise à soigner la paralysie. En France, ce n’est pas avant les années 1770 que des médecins s’intéressent à la nouvelle méthode de guérir. Le rôle joué par la nouvelle Société royale de médecine et Pierre Mauduyt de la Varenne est déterminant dans la transformation de l’électricité en un objet médical à proprement parler. Ce processus s’est accompagné de l’exclusion progressive des amateurs et des philosophes naturels du champ de la pratique légitime. Les enjeux de l’incorporation du nouveau médicament à la médecine ne sont pas seulement institutionnels et professionnels. Ils mettent en jeu les représentations culturelles autour desquelles s’articulent les savoirs scientifiques et médicaux, mais aussi les pratiques des malades qui l’utilisent comme un moyen dans le parcours qu’ils construisent en vue de guérir. L’électricité médicale est marquée par un net déclassement social à partir du milieu des années 1780. Elle doit alors permettre de régénérer la Nation et de la remettre au travail. En concentrant notre attention sur un remède particulier, nous soulignons l’articulation entre des domaines trop souvent cloisonnés : histoire des idées médicales, histoire sociale des acteurs, histoire culturelle des représentations et des pratiques, en intégrant pleinement l’histoire de la médecine à l’histoire des Lumières. / From the 1750s, Electricity was the object of widespread scientific and popular curiosity across Europe. Its first use was therapeutic and electric sparks have immediately been applied to paralytics. In France, medically-trained physicians did not become interested on the new treatment until the 1770s. The role of the newborn Société royale de médecine and of Pierre Mauduyt de la Varenne was pre-eminent in fashioning electricity as a properly medical tool, thus excluding natural philosophers and amateurs from its legitimate practice. Not only does this process have institutional and professional dimensions but it also deals with cultural representations in the scientific and medical fields of knowledge and with the behaviour and practices of both the patients and practitioners. We underline the authority of the patients in ther organisation of their own treatment and their being active in the medicalisation process. During the 1780s, there is a sharp social shift in the use of medical electricity, which is thereafter targeted towards the urban poor, in order to regenerate the Nation and put them back to work. Focusing on a single therapeutical means allows us to cross traditional boundaries between the history of medical ideas, social history of the patients and practitioners and cultural history of representations thus integrating the history of medicine to the wider field of Enlightenment history.

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