• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Arts du Cirque et remaniements psychiques : la piste comme Surmoi d'emprunt, ou le cirque comme pré-texte / Circus arts and psychological reorganisations : the ring as a borrowed superego, or the circus as a pretext

Braun, Sandra 17 September 2016 (has links)
Dans les champs de la médiation artistique, la psychanalyse s'est peu intéressée au cirque comme médium thérapeutique. Le travail proposé ici en tente une articulation. La thèse avancée montre que la pratique du cirque peut être vecteur de remaniements psychiques, dans un dispositif sensible aux enjeux transférentiels.À partir des particularités du cirque, j'avance quelques spécificités psychiques pouvant se jouer dans cet espace, thérapeutique de surcroît.Le cirque apparait comme un espace subversif, hétérotopique (Foucault), où les équilibres sont rendus instables. Ce déséquilibre, inhérent au cirque, pourrait aussi concerner les instances psychiques : j'en viens ainsi à proposer la piste comme un surmoi d'emprunt. Un surmoi clément, comme celui décrit par Freud dans L'humour (1927), autorisant à expérimenter le monde comme un jeu d'enfant. Un surmoi réconciliateur avec le moi, permettant quelques mobilités, dans cet espace sensoriel. Car la piste, dans son étymologie, est le lieu de la trace. Surface marquée, elle permet l'empreinte, en s'approchant du sensoriel comme première matrice, par le corps éprouvé. Elle réactualise quelques échos originaires, que je propose de décrire, du côté du sentir, du regard, et de la contenance rendue possible.Le cirque est aussi l'espace du Réel, réanimé par la vivance de la part animale. En ce sens, il permet un espace de silence nécessaire à l'articulation du langage. Il est pré-texte, pré-verbal indispensable, et fait résonner un peu d'inquiétante-familiarité. La piste de cirque apparait alors comme un espace où l'imprévisible peut émerger, où une sortie de la stase est possible, pour qu'une dynamique subjective prenne forme. / In the fields of artistic mediation, psychoanalysis has very rarely focused on the circus as a therapeutic medium. The hereby approach attempts to articulate this connection. The proposed thesis shows that the practice of circus arts can be a conveyor of psychological reorganizations, within a sensitive transferential framework.From the perspective of the distinctive features of circus arts, I bring forward psychological specificities that play a role in this therapeutic space.The circus appears as a subversive heterotopic space (Foucault), where balances are rendered unstable. This imbalance, which is inherent to circus arts, could also be a concern for psychological authorities. The circus ring could be considered as a borrowed superego. A clement superego, similar to the one described by Freud in Humour (1927), allowing to experience the world as a child's play. A superego that reconciles with the self, allowing movement in the sensory space. Etymologically, the ring is the place of trace, a marked surface, that aliows the notion of footprint, by approaching the sensory dimension as the initial matrix, through the experienced body. Thus, it generates the update of several native echoes that I describe from the perspective of feeling, sight and composure.The circus is also a real space, reanimated by the experience of animal nature. In this respect, it allows a space of silence, necessary to the articulation of language. It is an unavoidable pretext and pre-verb that resonates a somewhat worrying familiarity. The circus ring thus appears, where the unpredictable can emerge, and where an exit from the stasis is possible, so that a subjective dynamism takes shape
2

La honte comme sauvegarde de la subjectivité dans la clinique des troubles alimentaires / Shame as safeguard of subjectivity in case of clinic eating disorders

Karcher, Brigitte 01 July 2014 (has links)
« Etre esclave de », perdre son autonomie, voir sa liberté personnelle entravée ; autant de manières de vivre l’asservissement que représente toute addiction. Un comportement répétitif lié à une dépendance entraînant une consommation excessive, c’est ainsi qu’on définit l’addiction, ce qui la rattache à une forme d’esclavage et, par extension, élargit le champ des recherches au domaine des troubles alimentaires. En effet, ceux-ci impliquent le plus souvent un comportement de dépendance vis-à-vis de la nourriture, au point d’en faire une véritable aliénation. Alors même que les patients concernés se présentent plus objets que sujets, un affect émerge dans le transfert : la honte. La honte est une émotion enfouie, secrète, le plus souvent silencieuse. Elle ne s’avoue pas facilement, effectivement « la honte de la honte empêche de dire la honte » qui revient à mettre en évidence l’impossibilité d’exprimer l’indicible. Partant du constat selon lequel les sujets souffrant de troubles alimentaires ressentent majoritairement de la honte, nombre d’auteurs (M. Corcos, G. Apfeldorfer) ont estimé que ce sentiment, en cas d’obésité notamment, était lié à l’image véhiculée, reléguant l’affect de honte au rang de symptôme annexe, quand il sera question ici de le considérer comme à l’origine de celui-ci. Non seulement la honte ne serait pas un symptôme secondaire, mais encore elle constituerait bel et bien un symptôme primaire dont le trouble alimentaire ne serait qu’un avatar. La honte sera ici considérée sous l’angle du trauma, notamment d’un trauma infantile dont nous tentons d’en démontrer les origines. Partant de là nous abordons les demandes formulées par cette clinique spécifique et les ouvertures thérapeutiques dont la médiation artistique. / To be a slave, to lose one’s autonomy, to have one’s freedom curtailed: there are many ways to experience the enslavement that is addiction. Addiction is defined as a repetitive behavior due to dependence and that causes excessive consumption. This definition reveals a form of slavery and, by extension, broadens the scope of research on addictions to the field of eating disorders. Eating disorders involve indeed often addictive behaviors with respect to food, to the point of making the disorder a real alienation. Even though the affected patients behave more like objects than subjects, an affect emerges in the transfer: shame. Shame is a hidden, secret, and most often silent emotion. Patients do not confess it easily. In fact, patients "are ashamed of their shame” and this prevents them of “saying their shame". This brings to light an impossibility of expressing the inexpressible. While noting that a majority of subjects with eating disorders feel shame, many authors (M. Corcos, G. Apfeldorfer) considered that this sentiment, especially in the cases of obesity, was linked to body image, and relegated shame to the rank of a secondary symptom. We propose here in contrast to consider shame as a cause of eating disorder. Not only would shame not be a secondary symptom, but it would indeed be a primary symptom and eating disorder its avatar. Shame will be considered here from the point of view of traumas, including childhood traumas and we will strive to demonstrate its origins. We will use this conceptual basis to discuss the specific requests that arise in the clinical practice of treating patients with eating disorders and how artistic mediation can offer a therapeutic opening.
3

La honte comme sauvegarde de la subjectivité dans la clinique des troubles alimentaires

Karcher, Brigitte 01 July 2014 (has links) (PDF)
" Etre esclave de ", perdre son autonomie, voir sa liberté personnelle entravée ; autant de manières de vivre l'asservissement que représente toute addiction. Un comportement répétitif lié à une dépendance entraînant une consommation excessive, c'est ainsi qu'on définit l'addiction, ce qui la rattache à une forme d'esclavage et, par extension, élargit le champ des recherches au domaine des troubles alimentaires. En effet, ceux-ci impliquent le plus souvent un comportement de dépendance vis-à-vis de la nourriture, au point d'en faire une véritable aliénation. Alors même que les patients concernés se présentent plus objets que sujets, un affect émerge dans le transfert : la honte. La honte est une émotion enfouie, secrète, le plus souvent silencieuse. Elle ne s'avoue pas facilement, effectivement " la honte de la honte empêche de dire la honte " qui revient à mettre en évidence l'impossibilité d'exprimer l'indicible. Partant du constat selon lequel les sujets souffrant de troubles alimentaires ressentent majoritairement de la honte, nombre d'auteurs (M. Corcos, G. Apfeldorfer) ont estimé que ce sentiment, en cas d'obésité notamment, était lié à l'image véhiculée, reléguant l'affect de honte au rang de symptôme annexe, quand il sera question ici de le considérer comme à l'origine de celui-ci. Non seulement la honte ne serait pas un symptôme secondaire, mais encore elle constituerait bel et bien un symptôme primaire dont le trouble alimentaire ne serait qu'un avatar. La honte sera ici considérée sous l'angle du trauma, notamment d'un trauma infantile dont nous tentons d'en démontrer les origines. Partant de là nous abordons les demandes formulées par cette clinique spécifique et les ouvertures thérapeutiques dont la médiation artistique.
4

Partager (par) la rencontre avec des oeuvres d'art : l'expérience de l'art co-construite par le dialogue avec des enfants en contexte de médiation de l'art actuel

Bélanger-Martel, Sarah January 2020 (has links) (PDF)
No description available.

Page generated in 0.1945 seconds