• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 8
  • Tagged with
  • 9
  • 9
  • 8
  • 8
  • 8
  • 6
  • 5
  • 5
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Les violences verbales à Manosque au tournant du XIVe siècle (1284-1330)

Vachon, Christian 25 April 2018 (has links)
A Manosque, ville provençale du tournant du XlVe siècle, près du tiers de l'activité judiciaire est occupé par des contentieux verbaux, conséquence d'un quotidien où la parole pèse lourd et où chacun croit trouver en sa personne l'honneur et la considération dévolus aux nobles. Insultes, propos diffamants, démentis ou défis et menaces, nous renseignent beaucoup sur les sensibilités et les qualités estimables des habitants: intégrité physique et retenue chez les femmes; intégrité morale et honneur de la famille, à l'imitation du monde noble, chez les hommes. La sociabilité manosquine, dense et publique, encourage les atteintes à l'honneur, et les habitants jugent légitimes de préserver leur réputation par des plaintes en justice. Mais les Hospitaliers, seigneurs ecclésiastiques, vont minimiser ces poursuites, puis récupérer, à la faveur de la récession des années 1310, le monopole de l'estime sociale. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
2

Communautés d'habitants et pouvoir seigneurial au Moyen-Âge : l'exemple de Manosque aux XIIIe et XIVe siècles

Michaud, Claire January 1986 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
3

Les élites rurales dans la région de Manosque au début du XIVe siècle : le registre du notaire Pierre Gibosi

Paul, Richard 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire repose sur une année de travail du notaire Pierre Gobosi de Manosque telle qu'on la retrouve dans le recueil de ses actes du début d'avril 1303 à la fin mars de la même année. Les archives notariales constituent une source précieuse pour l'histoire des régions méridionales. Notre but est de tirer le plus de renseignements possible sur la vie commerciale de cette petite ville de la France méridionale pour en identifier les agents économiques, principalement ceux qui proviennent du milieu rural. Notre mémoire de maîtrise s'inscrit dans cette évolution des études rurales qui recherche ceux des paysans qui sont riches, qui entrent dans des transactions, qui sont actifs dans les marchés et que nous pouvons identifier par une source écrite. Après un premier chapitre portant sur l'historiographie générale des élites rurales ainsi que sur l'historiographie particulière de la Provence et de Manosque, nous abordons l'étude de la source elle-même. En effet nous n'avons pas pu faire l'économie d'une étude du contexte notarial du Midi, pour arriver à une juste compréhension des actes du registre de maître Gibosi. Ceux des actes qui nous intéressent particulièrement sont de nature commerciale. Un chapitre est consacré au marché des grains tel qu'il apparaît dans les instruments légaux ainsi qu'aux protagonistes des transactions. Un autre chapitre suit dans lequel est examiné le marché de l'argent qui est souvent en relation avec celui des grains. Les acteurs présents dans ces chapitres nous permettent d'identifier les gens actifs commercialement et ainsi de nommer certains membres de cette élite rurale que nous recherchons. Le chapitre suivant traite des relations entre la campagne et la ville. En conclusion, c'est par l'activité marchande que nous pouvons documenter le contact entre les paysans et les habitants de Manosque et apercevoir ceux des habitants de la campagne qui font partie de l'élite. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Moyen Âge, Manosque, Registre de notaire, Activités commerciales, Élite rurale.
4

Femmes, solitude et société à Manosque au XIVe siècle (1314-1358)

Guénette, Maryse 25 April 2018 (has links)
L'utilisation en détail d'archives judiciaires conservées pour la ville de Manosque de la première moitié du XIV siècle n'a pas servi ici à une étude sur la justice canne technique de répression. Bien sûr, le but premier de cette documentation est de retracer et de mémoriser les comportements criminels en les rendant publics, permettant ainsi de déceler et de quantifier plus ou moins facilement les valeurs et variables délictuelles. Mais au-delà de cette lecture classique, les archives criminelles offrent la possibilité de cerner certains phénomènes particuliers. La solitude féminine en est un; à travers la diversité des situations où elle se vit, elle fournit une approche problématique éclairante à" l'étude d'une société en relation avec les conditions qu'elle génère. Si certains principes sont globalement acceptés par la collectivité manosquine, celui de la solitude au féminin est pour sa part dénoncé et rejeté. Il ne peut être admis, car vivant seules, ces femmes n'entrent pas dans les normes reconnues; non seulement elles ne sont pas mariées, mais elles ne présentent pas cette nécessaire référence masculine. Elles n'ont d'autre garantie à offrir que leur solitude. Cette dernière devient alors le pôle central de leur existence, l'élément autour duquel s'articulent et s'expliquent les différentes attitudes adoptées par la collectivité à leur égard. Puisqu'elles ne se conforment pas aux modèles établis, les femmes seules sont marginalisées; les mécanismes et les conditions de cette marginalisation apparaissent au fil des documents. La collectivité met en place un processus de désignation, basé essentiellement sur des critères négatifs; corme ces femmes ne peuvent fournir de référence officielle, c'est leur solitude qui servira à les désigner. En les identifiant comme "femmes sans homme", non seulement on publicise leur état, mais on rend également officielle leur non intégration au réseau habituel des solidarités, ce qui a pour conséquence de les exposer plus facilement à la violence puisqu'elles ne sont pas protégées. Par leur mode de vie, les femmes seules se sont exclues des mécanismes fonctionnels de la communauté, justifiant par là-même les attitudes d'exclusion adoptées par la collectivité. Leur sociabilité apparait vécue à deux niveaux: tout d’abord, celui de la collectivité où elles vivent, mais aussi et surtout du fait de leur état; c’est leur solitude qui explique les conditions dans lesquelles se déroule leur vie. Bien sûr, la question de l’honneur sexuel est importante, mais elle n’apparait pas fondamentale. Plus que de défendre leur réputation il est important pour les femmes seules d’assurer leur subsistance et leur protection. La solitude explique ici encore leur délinquance; en les confinant à la pauvreté, elle fait des délits économiques la principale composante de cette délinquance. Elle les oblige également à assurer seules leur défense, et le nombre d’accusations d'agressions, tant physiques que verbales, portées centre ces femmes montre bien le besoin qu’elles ont de se protéger, d’autant plus qu’elles sont très souvent la cible de violences physiques plus ou moins graves. Les conditions de vie auxquelles font face les femmes seules les poussent souvent à changer de lieu de résidence, et de fait une population flottante assez importante, constituée d’étrangères, de vagabondes et de prostituées, est présente à Manosque dans les années retenues. L’errance apparait alors comme un mode de vie consécutif à la Solitude et à la pauvreté; il n’est pas choisi par les femmes seules, mais généralement imposé par les attitudes collectives adoptées à l’égard de ces déméres. Ces femmes éveillent d’autant plus la méfiance qu’elles mêlent l’embauche temporaire et la prostitution au vagabondage, au gré des circonstances; elles ne sont pas enracinées dans un milieu fixe. L’espace urbain dans lequel s'insèrent les femmes seules génère une sociabilité à la mesure de ses habitants; ce sont les habitudes de vie qu’ils se créent, les valeurs qu’ils se reconnaissent et les structures collectives qu’ils se donnent qui déterminent les conditions de leur existence sociale. Plus encore que de leur propre perception, l’existence des femmes seules dépend des attitudes pratiques et mentales de leur entourage. Se plaçant à l’extérieur de l’espace social normatif admis par le groupe, les femmes seules rompent le "contrat implicite" qui les lie à la communauté et sont ainsi reconnues isolées par leur différence. Elles sont acceptées au sein de la collectivité, à condition toutefois qu’elles ne réclament pas une reconnaissance morale et qu’elles acceptent de voir leur différence publicisée. En ce qui les concerne, il ne saurait être question d’une quelconque égalité sociale. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
5

Justice, criminalité et société à Manosque au milieu du XIIIe siècle (1240-1260)

Gosselin, Ronald 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
6

Crédit, endettement et patrimoine féminin à Manosque au milieu du XIIIe siècle : 1257-1265

Michaud, Francine 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
7

Regard sur la femme médiévale : la délinquance féminine à Manosque au tournant du XIVe siècle

Courtemanche, Andrée 25 April 2018 (has links)
La recherche de la condition féminine de la Manosquine du tournant au XIVe siècle nécessite l'utilisation d'une documentation permettant de cerner la vie de la femme à travers les divers rites de passage et les actes de la vie quotidienne. Les procès criminels colligés pour la période de 1280 à 1330 permettent de suivre le cheminement féminin ainsi que de dresser un tableau évolutif de leurs conduites délictuelles. L'analyse de ce dernier aspect des agissements féminins doit être précédée d'un examen des différents rôles joués par les femmes au cours du processus judiciaire soit accusée, dénonciatrice, témoin, experte et garante. Les deux derniers attirent plus particulièrement l'attention dans le cadre d'une étude sur la condition féminine. Ils montrent que des femmes exercent un métier ou une activité professionnelle (tisserande, sage-femme) dans lequel elles ont acquis une certaine notoriété ou qu'elles sont propriétaires de biens qu'elles semblent administrer elles-mêmes et qu'elles peuvent engager pour aider autrui. L'évolution des comportements délictuels des Manosquines se révèle conforme à l'image traditionnelle de la criminalité des sociétés pré-industrielles où dominent très nettement les agressions contre les personnes. En effet, pour l'ensemble de la période étudiée, la violence occupe une large place de la criminalité mais légèrement décroissante. Une augmentation sensible des agressions physiques au détriment des injures marque la décennie 1320-1330. A ce déclin de la violence s'oppose une progression assez nette de la délinquance économique au seuil de la même période. Ce fait s'expliquerait par la dégradation des conditions économiques générales. Ces diverses statistiques s'inscrivent au sein d'une seconde lecture qu'autorisent les procès criminels. Au-delà des attitudes de délinquance qu'ils relatent, ces textes rapportent maints comportements quotidiens des femmes. Une analyse de type ethnologique fournit de nouvelles questions qui éclairent la vie féminine et permet de remettre en question la vision traditionnelle de la femme bien que le thème retenu pour suivre le cheminement des femmes soit l'institution matrimoniale. De l'enfance de ces fillettes, peu de détails percent si ce n'est le fait que leur éducation soit confiée à leur mère jusqu'à leur mariage qui est le but à atteindre. La qualité fondamentale requise pour nouer une union satisfaisante est la conservation de la bonne renommée et la jeune fille demeure tributaire de la vision manichéenne que manifeste la société à son égard, elle ne peut être que pure ou publique et le pas semble pouvoir se franchir aisément. A celles qui n'ont pu ou su conserver leur honneur, la chasteté, s'ouvrent souvent les portes du lupanar local où s'exerce l'amour mercenaire. L'union conclue, la reconnaissance de ce passage dans le monde des adultes se concrétise par la naissance d'une nombreuse progéniture. Le mariage marque aussi pour la femme son entrée dans une demeure dont elle devient la maitresse. L’accomplissement des nombreuses tâches domestiques est sous sa responsabilité. Ces multiples travaux se doublant parfois d'un emploi salarié qui est le prolongement naturel de certaines tâches accomplies pour le bien-être familial comme le filage et le tissage ou le travail de la terre. De nombreuses femme louent leur force de travail lors des moissons et des vendanges. D'autres sont propriétaires d'un négoce, taverne ou poissonnerie. Quelques-unes y ajoutent un aspect plus lucratif: le prêt sur gage exercé tant par des chrétiennes que des juives. L'âge et le fait d'avoir complété un cycle biologique complet sont les qualités requises de certaines femmes pour pouvoir être sage-femmes ou matrones. Cependant, la majeure partie des mentions d'activités "professionnelles" recensées touche à la domesticité. Ces servantes paraissent être des célibataires, sans attache, qui exercent ce métier dans l'attente d'un mariage peu probable. Tous ces travaux délimitent une aire de circulation féminine et surtout des lieux de socialisation et de sociabilité. En effet, ils servent de lieux de formation pour les jeunes filles mais aussi c'est là que seront jaugées ses capacités et sa renommée lorsque sera venu le temps de rechercher un conjoint. Toute la communauté féminine participe à ces deux étapes de la vie ces jeunes femmes. Le veuvage, dernière étape de la vie féminine que toutes ne peuvent vivre, est marqué du sceau de l'ambiguïté. Le décès du conjoint permet à certaines femmes d'accéder à un statut plus autonome où elles prennent en main les destinées familiales. D'autres doivent se résigner à l'indigence à laquelle les condamne l'impécuniosité du ménage ou des moyens de subsistance d'une veuve chargée de bouches à nourrir. Le remariage est une solution pour les plus jeunes, la mort délivrera les moins chanceuses. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
8

Crime ou péché? : recherches sur l'évolution du discours judiciaire à la fin du Moyen Âge (1240-1430)

Roberge, Karine 11 April 2018 (has links)
Cette recherche s'appuie sur l'analyse de près de 250 actes d'accusation relatifs aux mœurs et à la délinquance sexuelle à Manosque, ville de Provence tenue par les Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, entre 1240 et 1430. D'une façon qui n'est pas toujours formelle et explicite, ces textes par nature contiennent un discours susceptible de révéler les fondements de l'intervention judiciaire dans un domaine sis au confluent de l'ordre social et des valeurs morales. Après avoir examiné la pensée chrétienne sur la sexualité, à cette époque où le magistère chrétien faisait autorité sur l'ensemble de la société, l'étude fait ressortir l'existence d'une morale publique autonome fondée pour l'essentiel sur des considérations dans lesquelles la notion de péché n'avait guère de part. Cependant, une évolution du discours se décèle au cours de cette longue période; elle tend à démontrer que le discours sur le crime sexuel est progressivement envahi par la pensée religieuse, au point que l'acte d'accusation devient sermon et que le péché devient l'aune par quoi se mesurent les conduites sexuelles. C'est le péché qui l'emporte. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
9

La condition des femmes dans la société manosquine (1290-1369)

Courtemanche, Andrée 25 April 2018 (has links)
S'inscrivant dans un courant historiographique, l'histoire des femmes, qui souhaite rendre les activités et les gestes des femmes historiquement significatifs, ce travail s'est fixé comme objectif de montrer que les femmes de Manosque au XlVe siècle, grâce à leurs apports multiformes à la richesse du ménage et de la famille, participaient aux stratégies familiales - foncières, matrimoniales et successorales - qui modifiaient les structures des patrimoines et, de ce fait, collaboraient à leur gestion. D'emblée, le cadre de cette analyse s'impose. Lieu de la reproduction biologique et culturelle, la sphère familiale, c'est-à-dire le ménage conjugal enserré dans un vaste réseau de solidarités, est également un espace d'échanges économiques auquel le matrimoine permet aux femmes d'imprimer leur marque. Cette fortune personnelle se compose d'éléments disparates dont la dot est sans contredit la pierre angulaire. Prévue comme participation féminine aux charges du ménage, son usage est limité par un ample appareil juridique destiné "à la protéger et qui donne à l'épouse des droits sur les biens patrimoniaux. De ces droits découle, en partie, leur rôle lors des modifications apportées aux patrimoines. Outre la dot, les épouses ont des avoirs personnels, en numéraire ou en biens-fonds, dont elles organisent la mise en valeur. Si la matérialité du concours des épouses aux stratégies familiales et à l'administration des patrimoines est indubitable, les modalités de leurs actions varient selon les transactions. Lors des mutations foncières, elles achètent ou vendent seules les biens paraphernaux. Pour les avoirs patrimoniaux, elles s'associent à leur époux pour la vente mais la présence féminine se fait moins pressante au moment d'agrandir le domaine foncier du ménage. La conclusion des ententes matrimoniales joue sur un registre plus complexe qui laisse place à une grande diversité d'interventions, surtout de la part de la mère. De leur vivant, certaines apparaissent aux côtés du chef de famille lors de la rédaction du contrat de mariage accroissant parfois la somme ou le capital foncier promis. À l'heure de la dictée des dernières volontés, un legs - sous forme d'augment de dot ou non - ou une participation au partage final de l'héritage maternel procure un apport financier supplémentaire aux jeunes filles. Par leurs questions posées en public, leurs remarques parfois acerbes, les ainées, souvent des mères, pourchassent Ia faute qui se cache derrière des conduites jugées repréhensibles pour une jeune célibataire. Ainsi, se sont développées des pratiques féminines touchant au social qui leur permettent de contrôler Ia morale sexuelle des plus jeunes en attente d'un mariage. L'analyse des pratiques foncières et matrimoniales illustre un trait fondamental: Ia symbiose régnant entre matrimoine et patrimoine. Elle engendre l'association conjugale. Par Ia solitude du geste, le testament éclaire une facette différente: Ia rupture de l'osmose financière du couple par le retour du matrimoine a son lieu d'origine ou consécration de son intégration au patrimoine. En règle générale, la présence d'une descendance directe implique l'agrégation définitive du matrimoine au patrimoine par l'institution d'héritage en faveur des enfants. Dans le cas contraire, par un dernier geste d'autonomie, le matrimoine est soustrait à l'emprise maritale pour réintégrer le patrimoine de la famille d'origine de la testatrice. Cette collaboration des épouses à Ia gestion des patrimoines apparait souvent en étroite relation avec Ia défense de leurs droits sur ces biens. Toutefois les fonctions qui leur sont dévolues par le testament de leur conjoint montre que l'association conjugale a une réalité bien tangible. En effet, dans Ia majorité des cas, le mari assure Ia continuité de Ia vie familiale en désignant son épouse comme tutrice des enfants mineurs et/ou administratrice des biens; à l’extrême elle est instituée légataire universelle. Chef de famille, elle détient "une véritable délégation de puissance paternelle" et assume Ia pérennité des stratégies familiales. En partageant les responsabilités de l'administration des patrimoines, en agrandissant - mais aussi en morcelant - le capital foncier, en nouant des alliances matrimoniales souvent porteuses de capital symbolique, les femmes, mariées ou veuves, participent à un pouvoir valorisant et valorisé socialement. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Page generated in 0.0373 seconds