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L'expansion urbaine de Damas extra muros depuis l'époque seldjukide jusqu'à la fin de l'époque mamelouke : l'exemple de quartier d'al-Midan / Extramural expansion of Damascus from the Seljukid period to the Mamluk period : the example of the quarter of al-Midan

Dayoub, Bassam 21 October 2016 (has links)
Le quartier d'al-Mïdan est un exemple judicieux pour présenter l'histoire et le développement de l'expansion urbaine extra-muros de la ville de Damas. En effet, son expansion s'est poursuivie sans interruption au fil des siècles. Longeant la Rue principale vers la Terre Sainte, l'Égypte et la Palestine, ce quartier a été divisé en trois parties (Nord, Centre et Sud) afin d'en faciliter son étude. Le quartier s'est développé à partir des villages des premières tribus arabes installées aux alentours de la muraille (VIIe et VIII siècle). La partie Nord a été le premier secteur du quartier à connaître un vrai essor dans son urbanisation jusqu'à l'époque ayyoubide (570-658/1174-1260) où le Musalla a été transformé en mosquée (en 606/1211) et où la partie centrale a connu un noyau d'urbanisation. A l'époque Mamelouke (658-923/1258-1516), le village al-Qubaybat est apparu dans le Sud avec sa mosquée, la Mosquée al-Karïmï (en 718/1318). Par la suite, la Mosquée de Manjak a été érigée (avant 826/1423) dans le secteur Central qui a intégré la partie Nord. Suite à cela, al-Qubaybat a perdu son indépendance en intégrant l'unité spatiale du quartier avant l'arrivée des ottomans (en 923/1516). L'étude architecturale de l'ensemble des monuments du quartier d'al-Mïdan révèle une identité spécifique avec, d'une part, l'absence totale de madrasa et, d'autre part, la présence de mausolées mamelouks à deux coupoles. Par ailleurs, le quartier présente le seul exemple dans l'architecture damascène d'un édifice proche du type« sabïl- maq'ad », bien connu au Caire d'époque mamelouke. Les sources historiques et les documents écrits des archives fournissent des listes importantes de monuments du quartier disparus de nos jours. Cela s'ajoute à la liste issue des travaux sur le terrain et permet d'avoir une vue plus complète sur l'histoire de l'urbanisation du quartier. La société a été composée de plusieurs classes: les notables (al-Kubartiou al-A 'yiin) qui ont collaboré avec les militaires pour contrôler les peuple (al-'Amma), sans oublier les grand commençants et les milices locales appelées « al-Zu 'ur ». Le pouvoir était représenté par un walï, qui avait la responsabilité de le contrôler, d'y maintenir l'ordre et de collecter les impôts. Ce dernier était soutenu dans sa mission par deux autres personnages : le Shaykh al-hara, qui en général était choisi par le pouvoir parmi les élites ou les personnes puissantes du quartier, et le 'Arif al-hara, qui était un des chefs des milices locales « al-Zu 'ur ». / The district of al-Mïdan is a perfect example to present the history and development of the extramural expansion of the city of Damascus. Indeed, its expansion has continued without interruption for centuries. On both sides of the main road to the Holy Land and Egypt, the area was divided into three sections (North, Central and South) to facilitate its study. The district started to develop from the villages of the first Arab tribes settled a round the wall (seventh and eighth century AD). The northern part was the first sector to experience a real momentum in its urbanization in the Ayyubid period (570-658 / 1174-1260), where the Musalla was converted into a mosque (in 606/1211) and the central part became the core of urbanization. ln Mamluk times (658-923 / 1258-1516), the town of al-Qubaybat appeared in the South with its al­Karimï mosque (in 718/1318). Thereafter, the Jamï Manjak was erected (before 826/1423) in the central area which then incorporated the northern part. Subsequently, al-Qubaybat lost its independence by incorporating into the spatial unity of the area before the arrival of the Ottomans (in 923/1516). The architectural study of the monuments in the district of al-Mïdan reveals a specific identity, total lacking madrasas on the one hand, and on the other band, including: Mamluk mausoleum with two domes. Furthermore, the district has the only example in Damascus of a building approximating to the type "sabïl­maq'ad", well known under the Mamluks in Cairo. The historical sources and written documents of the archives provide important lists of monuments today disappeared. This can be added to the list of the monuments studied and provides a more comprehensive view of the area's urbanization. The social organization was composed of several classes: the notables (al-Kubariï or al-a’yan) who worked with the military to control the people (al-'Amma), without forgetting the well known merchants and local militias called "al-Zu'ur ". The authority was represented by the walï, who was responsible for control, maintaining order and collecting taxes. The walï was supported in his mission by two other persons: Shaykh al-hara, who in general was chosen by the authorities among the elites or powerful people in the district, and the 'Arif al- hara, who was a leader of local militias "al-Zu'ur".
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La Furūsiyya des Mamlûks : Une élite sociale à cheval (1250-1517)

Carayon, Agnès 26 June 2012 (has links)
Les Mamlûks sont réputés pour avoir porté les arts de la furūsiyya à leur plus haute expression. Cette thèse a pour objectif de cerner à la fois les enjeux de leur dextérité, et ses caractéristiques. La première partie porte sur la littérature de la furūsiyya. Après un bilan historiographique, plusieurs ouvrages de furūsiyya sont analysés et comparés, afin de mieux appréhender les héritages et les apports proprement mamlûks. Un traité anonyme de maniement de dabbūs et de lutte à cheval, contenant également une partie sur les feux de guerre, est édité et traduit. La deuxième partie de cette thèse porte sur la suprématie militaire des Mamlûks. Leur formation très poussée y est décrite, mais la lumière a aussi été mise sur leurs chevaux : leurs races ; leur dressage ; leur nombre ; leur entretien. Un large échantillon d'armes mamlûkes est présenté. Enfin, un chapitre est consacré au problème des procédés de combat, encore très mal connus, qui tend à nuancer la vision d'archers montés que l'on a généralement des Mamlûks. Enfin, la dernière partie relève de l'histoire sociale. Elle a pour ambition de démontrer que la maîtrise de la furūsiyya était perçue par les Mamlûks comme la détention d'un art complexe, un « attribut de distinction » qui les distinguait du vulgum pecus. Ce sont alors les diverses manifestations de cette appartenance sociale qui sont analysées : les « sports » équestres, les lieux de jeu et d'entraînement militaire et les palais-écuries, enfin les institutions et les spectacles.Les annexes contiennent un tableau détaillé des manuscrits de furūsiyya et un glossaire, en plus de quelques planches. / The Mamluks are renowned for bringing the arts of furūsiyya to their highest expression. This thesis aims to identify both the issues of their dexterity, and characteristics.The first part focuses on the literature of furūsiyya. After a historiographical balance, several treatises of furūsiyya are analyzed and compared in order to better understand the legacy and contributions properly Mamluk. An anonymous treatise of handling dabbūs and fight on horseback, also containing some of the fires of war, is edited and translated.The second part of this thesis is on their military supremacy.Their extensive training is described, but the light was also put on their horses : races, training, numbers and maintenance. A wide selection of Mamluk weapons is presented. Finally, a chapter is devoted to the problem of combat methods, very little known, which tends to moderate vision of mounted archers that is generally widespread.The last part focus on social history. It aims to demonstrate that furūsiyya mastery was seen by the Mamluks as the knowledge of a complex art, an "attribute of distinction", which distinguished them from the hoi polloi. Then, the various manifestations of belonging to this social class are analyzed: "sports" riding, gambling venues and military training, and palace-stables, and finally the institutions and the shows.The appendices contain a detailed table of manuscripts of furūsiyya, a glossary and a few plates.
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Le quartz et la cinématique des zones ductiles

Bouchez, Jean-Luc 28 May 1977 (has links) (PDF)
Ce travail est voué à l'étude de comportement plastique du quartz dans les tectonites, par l'examen au microscope optique des microstructures des sous-structures et des orientations préférentielles de forme et de réseau. en vue d'une analyse cinématique de ces tectonites. Trois zones de grande déformation appelées zones ductiles apportant chacune des contributions spécifiques. sont choisies comme support de l'étude : l'axe Angers- Lanvaux étudié dans la région d'Angers (Massif Armoricain), le Grand Chevauchement Central himalayen au Népal Central et la zone ductile de Maydan (Afghanistan). Le caractère cinématique le plus constant dans ces zones est un écoulement plastique subparallèle à une linéation majeure d'allongement. horizontale ou faiblement pentée ; l'échauffement plastique développé par cet écoulement peut rendre compte, au moins partiellement, du métamorphisme de position lié à ces zones, ainsi que le montre un modèle thermique schématique. Le problème de l'initiation et de la croissance d'une zone ductile est abordé à l'aide d'un modèle basé sur l'existence d'une hétérogénéité locale de la loi de déformation d'une plaque soumise à un couple de cisaillement constant. Un modèle général de zone ductile à plan d'écoulement subverti cal (par opposition aux grands chevauchements) tente d'intégrer les caractéristiques communes à ces zones.

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