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Le Staffordshire Hoard : une interprétation d'après ses matériaux et ses techniques de fabrication

Côté, Cathy 08 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée à la Division de la gestion des documents et des archives. / Le Staffordshire Hoard est un trésor anglo-saxon qui date des 6e et 7e siècles qui fut découvert en juillet 2009 par un détectoriste dans un champ du comté du Staffordshire en Angleterre. Ce trésor est composé d’environ 4600 fragments d’artéfacts représentant pour la plupart des garnitures d’épées en or et en argent. Bien que nous retrouvions aussi dans le Hoard certains objets ecclésiastiques, comme une grande croix en or ainsi qu’une bande inscrite en latin, aucune pièce de monnaie ne fut retrouvée, ni aucune lame d’épée. Le Staffordshire Hoard pose beaucoup de questions, notamment par sa composition inédite et aussi en raison du mauvais état dans lequel les objets furent retrouvés. Depuis sa découverte en 2009, les chercheurs se sont majoritairement posé les mêmes questions, à savoir de quel type de Hoard il s’agit, à qui il appartient et pourquoi il fut enterré. Avec ce mémoire, nous allons plutôt emprunter un autre chemin. En effet, nous étudierons plutôt les aspects matériels et techniques de la construction des artéfacts en or décorés avec la technique du cloisonné, et particulièrement le seax set. Ceci nous permettra dans un premier temps de comprendre comment ce type d’objet fut fabriqué par une société en particulier à l’époque du haut Moyen-Âge. Dans un second temps, l’étude de ces sujets aidera à répondre à une question qui fut souvent mise de côté par les différents chercheurs s’étant intéressés au Staffordshire Hoard, à savoir pourquoi aucune lame d’épée ne fut retrouvée dans cet assemblage. / The Staffordshire Hoard is an Anglo-Saxon treasure dating from the 6th and 7th centuries that was discovered in July 2009 by a detectorist in a field in the county of Staffordshire, England. This treasure is composed of approximately 4600 fragments of artefacts representing mostly gold and silver sword fittings. Although some ecclesiastical items were also found in the Hoard, such as a gold Great Cross and a Latin inscribed strip, neither coins nor sword blades were found. The Staffordshire Hoard raises many questions, due to its unusual composition and the poor condition in which the objects were found. Since its discovery in 2009, researchers have mostly asked the same questions, namely what type of hoard it is, to whom it belongs and why it was buried. With this dissertation, we will take a different path. Instead, we will study the material and technical aspects of the construction of gold artefacts decorated with the cloisonné technique, specifically the seax set. This will allow us in first place to understand how this type of object was made by a particular society in the early Middle Ages. Secondly, the study of these objects will help us to answer a question that has often been put aside by various researchers interested in the Staffordshire Hoard, namely why no sword blades were found in this assemblage.
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L'armement en métal au Proche et Moyen-Orient : des origines à 1750 av. J.-C.

Gernez, Guillaume 05 December 2007 (has links) (PDF)
Les productions artisanales de l'homme font partie des témoins culturels les plus pertinents pour l'étude des périodes préhistoriques et protohistoriques, dans la mesure où elles sont issues de savoir-faire, de techniques et de conceptions morphologiques et fonctionnelles qui mêlent tradition et changement. Au sein de cette culture dite « matérielle », l'armement métallique occupe une place cruciale puisqu'il est le point de rencontre entre les artisans et le point confrontation entre les peuples.<br /> <br /> L'histoire de l'apparition et de l'évolution des armes métalliques répond à une série de besoins, de possibilités et de contraintes qui sont principalement liées à 3 facteurs : <br /><br />- le matériau, qui permet la réalisation de formes complexes et parfaitement adaptées à un usage souhaité, dont la solidité et l'efficacité peuvent atteindre de haut degrés en fonction des compétences des artisans. <br />- les stratégies militaires et leurs innovations, qui sont en constante interaction avec les possibilités matérielles (quantitatives et qualitatives) et l'environnement social et politique à différentes échelles (contrôle palatial ou système moins hiérarchisé, périodes d'insécurité ou de guerre ouverte, etc.)<br />- les traditions artisanales et culturelles. L'accumulation des savoir-faire est pondérée par les refus d'emprunts et surtout les choix culturels. Ces derniers sont au cœur de la problématique envisagée. En effet, les formes et les types sont en lien direct avec une préférence qui n'est souvent pas régie par une contrainte technique, mais plutôt par une volonté identitaire.<br /> <br /> Nous avons choisi d'orienter nos recherches en prenant en compte autant que possible l'ensemble de ces problèmes en toile de fond. Cependant, la principale base documentaire est constituée d'un vaste corpus d'armes en métal.<br /><br /> Aucune synthèse générale n'avait encore été menée jusqu'ici, chacune étant concentrée sur une période, une région et/ou une forme bien précise. Il nous semblait pertinent d'étudier le phénomène dans son ensemble, à la fois sur la longue durée et sur une aire géographique large.<br /> Afin de connaître et de comprendre les modalités d'apparition, de développement et de diffusion des formes et des types d'armes, il est apparu nécessaire de mettre en place une base de données permettant de gérer la documentation à la fois riche et variée. Plus de 6130 armes sont répertoriées et le plus souvent illustrées, sur un espace s'étendant de la mer Égée jusqu'à la Bactriane, du Caucase au delta du Nil et de Chypre au Golfe arabo-persique, et ce du milieu du Ve au début du IIe millénaire avant notre ère.<br /> La base de données s'organise en une soixantaine de champs correspondants aux principaux éléments descriptifs des objets, mais également de leurs contextes. À côté des données intrinsèques (morphologie, dimensions, composition), extrinsèques (région, structure, assemblage, contexte) et documentaires (bibliographie), des résultats analytiques sont essentiels (typologie, chronologie). La base de données a été intégrée à un SIG, permettant ainsi une cartographie variée et évolutive de la répartition des armes sur plus de 620 sites.<br /> <br /> Les résultats de l'analyse typochronologique et de la répartition des armes permettent d'appréhender l'évolution, la transmission et les échanges de façon dynamique. La complexité entrevue et les nombreuses nuances observées témoignent d'une évolution non linéaire liée à des facteurs techniques, conceptuels et sociopolitiques en constante interaction.<br /> <br /> Bien qu'inégalement réparties dans le temps et l'espace, les données iconographiques livrent des informations précieuses à la fois sur la perception, l'utilisation militaire et le rapport culturel à l'armement. <br /> <br /> Enfin, pour ne pas restreindre cette recherche aux seuls enjeux matériels, une large part de l'étude est consacrée aux divers contextes, en particulier les dépôts et les tombes. Les données funéraires sont en effet très variées et offrent la possibilité d'établir le degré de relations entre les armes et les hommes.<br /><br /> En réalisant cette synthèse globale de l'évolution des armes métalliques depuis les origines jusqu'au milieu de l'âge du Bronze, nous avons tenté, à travers l'analyse exhaustive des objets et du contexte de leur découverte, de comprendre les trajectoires, les échanges et les transferts techniques et conceptuels au sein des sociétés du Proche et du Moyen-Orient. Cette recherche, volontairement entreprise sur un espace géographique vaste et sur la longue durée, nous a surtout permis de nous interroger sur des thèmes dépassant le cadre matériel, tels que l'identité, les mécanismes de diffusion des techniques et des savoirs, le conservatisme face à l'innovation, ainsi que la diversité culturelle des sociétés de l'Orient ancien.
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La Furūsiyya des Mamlûks : Une élite sociale à cheval (1250-1517)

Carayon, Agnès 26 June 2012 (has links)
Les Mamlûks sont réputés pour avoir porté les arts de la furūsiyya à leur plus haute expression. Cette thèse a pour objectif de cerner à la fois les enjeux de leur dextérité, et ses caractéristiques. La première partie porte sur la littérature de la furūsiyya. Après un bilan historiographique, plusieurs ouvrages de furūsiyya sont analysés et comparés, afin de mieux appréhender les héritages et les apports proprement mamlûks. Un traité anonyme de maniement de dabbūs et de lutte à cheval, contenant également une partie sur les feux de guerre, est édité et traduit. La deuxième partie de cette thèse porte sur la suprématie militaire des Mamlûks. Leur formation très poussée y est décrite, mais la lumière a aussi été mise sur leurs chevaux : leurs races ; leur dressage ; leur nombre ; leur entretien. Un large échantillon d'armes mamlûkes est présenté. Enfin, un chapitre est consacré au problème des procédés de combat, encore très mal connus, qui tend à nuancer la vision d'archers montés que l'on a généralement des Mamlûks. Enfin, la dernière partie relève de l'histoire sociale. Elle a pour ambition de démontrer que la maîtrise de la furūsiyya était perçue par les Mamlûks comme la détention d'un art complexe, un « attribut de distinction » qui les distinguait du vulgum pecus. Ce sont alors les diverses manifestations de cette appartenance sociale qui sont analysées : les « sports » équestres, les lieux de jeu et d'entraînement militaire et les palais-écuries, enfin les institutions et les spectacles.Les annexes contiennent un tableau détaillé des manuscrits de furūsiyya et un glossaire, en plus de quelques planches. / The Mamluks are renowned for bringing the arts of furūsiyya to their highest expression. This thesis aims to identify both the issues of their dexterity, and characteristics.The first part focuses on the literature of furūsiyya. After a historiographical balance, several treatises of furūsiyya are analyzed and compared in order to better understand the legacy and contributions properly Mamluk. An anonymous treatise of handling dabbūs and fight on horseback, also containing some of the fires of war, is edited and translated.The second part of this thesis is on their military supremacy.Their extensive training is described, but the light was also put on their horses : races, training, numbers and maintenance. A wide selection of Mamluk weapons is presented. Finally, a chapter is devoted to the problem of combat methods, very little known, which tends to moderate vision of mounted archers that is generally widespread.The last part focus on social history. It aims to demonstrate that furūsiyya mastery was seen by the Mamluks as the knowledge of a complex art, an "attribute of distinction", which distinguished them from the hoi polloi. Then, the various manifestations of belonging to this social class are analyzed: "sports" riding, gambling venues and military training, and palace-stables, and finally the institutions and the shows.The appendices contain a detailed table of manuscripts of furūsiyya, a glossary and a few plates.

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