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1

Returnees, resettlement and power relations : the making of a political constituency in Humera, Ethiopia /

Kassahun Berhanu. January 2000 (has links)
Th. doct.--Department of cultural anthropology/sociology of development--Amsterdam--Free University, 2000. / Bibliogr. p. 239-251.
2

Tussen onderdanen, rijksgenoten en Nederlanders : Nederlandse politici over burgers uit Oost & West en Nederland 1945-2005 /

Jones, Guno, January 2007 (has links)
Proefschrift--Rechtsgeleerdheid--Amsterdam--Vrije universiteit, 2007. / Bibliogr. p. 353-361. Index. Résumé en anglais.
3

Les émigrés algériens de retour au pays, du rève à la réalité /

Alimazighi, Kamel. January 1993 (has links)
Texte extr. de: Th.--Sociologie--Paris 7, 1985.
4

"Back to Bangalore" étude géographique de la migration de retour des indiens très qualifiés à Bangalore (Inde) /

Varrel, Aurélie Ma Mung, Emmanuel January 2008 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Géographie : Poitiers : 2008. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. f. 421-456. Notes bibliogr.
5

Mythe, trajectoires migratoires et projet de vie : les perceptions des immigrants français au Québec retournant en France en 2005 et 2006

Linquette, Philippe January 2008 (has links) (PDF)
Chaque année, quelque trois mille Français immigrent, enthousiastes, au Québec. Ils s'y installent de leur plein gré certes, mais aussi à l'invitation appuyée et réitérée des autorités québécoises, en quête d'une immigration francophone, éduquée, formée, diplômée et financièrement autonome. Mais, et cela ne fait pas l'objet d'une publicité comparable, d'autres Français issus de générations migratoires antérieures, naguère porteurs eux aussi de grands espoirs, quittent cette même province du Québec afin de retoumer en France. C'est à cette population très ciblée, celle des Français du retour, que nous nous intéressons dans ce mémoire. Notre recherche n'a pas pour objet la quantification de la migration de retour, ni une éventuelle réévaluation du taux de rétention des immigrants français au Québec avancé par le ministère de l'Immigration et des Communautés Culturelles (MICC). Nous n'entendons pas davantage nous cantonner à la seule mise au jour des raisons de cet « éternel retour », motifs fournis par un échantillon de onze hommes et femmes de tous les âges, résidant à Montréal ou à Québec, célibataires, vivant en couple, mariés ou non, ayant pour certains des enfants, lesquels étant nés parfois sur le sol canadien ont acquis de ce fait et, d'emblée, la citoyenneté canadienne. Nous formons en revanche le voeu de réduire le paradoxe, a priori incompréhensible, entre le phénomène observé du retour au pays, d'une part, et l'image de société idéale et parfaite dont bénéficie le Québec en France, d'autre part. Notre recherche se veut certes irénique, mais nous n'abdiquons pas pour autant tout esprit critique. Ainsi, constaterons-nous notamment que le portrait idyllique, brossé par les autorités québécoises via la Délégation Générale du Québec à Paris, est souvent véhiculé par la presse française, notamment écrite et magazine. Notre objectif étant de comprendre, nous plaçons notre recherche de type qualitatif, sous les auspices du paradigme interprétatif qui, a contrario du paradigme normatif, vise à « accéder aux significations accordées par les membres aux événements sociaux. » Nous optons en conséquence pour un cadrage, tant théorique que méthodologique, coïncidant avec cette orientation, ainsi qu'avec notre démarche, nécessairement inductive. Par souci d'homogénéité, nous privilégions de bout en bout de notre mémoire l'approche phénoménologique d'Alfred Schutz. À ce sociologue autrichien, dont l'émigration vers la France puis à destination des États-Unis est imputable aux Nazis, nous empruntons l'épistémologie de la compréhension, le Verstehen cher à la sociologie interprétative mais aussi et surtout la volonté de faire voix et sens aux perceptions de « l'homme oublié » qu'est l'acteur. Afin d'atteindre cet objectif, nous usons de manière concomitante de l'observation participante, parfois de l'observation dissimulée, de la technique documentaire, de l'analyse de contenu de diverses productions médiatiques et discursives, enfin et surtout, de l'entretien de type phénoménologique. L'emploi de cet arsenal de techniques de recueil et d'analyse des données nous a permis de dégager l'influence du mythe dans les trajets migratoires, aller et retour, et au-delà dans les trajectoires de vie. Les Français semblent en processus constant de construction de projets de vie, passant d'une sphère de réalité à une autre, éternels migrants en quête d'une hypothétique permanence. Tout en manifestant une impatience teintée de circonspection, nos répondants n'excluent pas en effet que leur retour plus ou moins prochain en France puisse ne pas être, après tout, la fin de leur périple. Comme s'il n'y avait jamais d'aller simple à destination de la félicité. Comme si le bonheur importait moins, à y bien réfléchir, que la quête en soi du bonheur. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Retour au pays, Mythes de l'Eldorado, du Paradis Perdu et de la Terre Promise, Projet migratoire et projet de vie, Réalités multiples et provinces de signification, Motifs de l'action et stock de connaissances.
6

Remigration in die Heimat oder Emigration in die Fremde ? : Beitrag zur europäischen Migrationsforschung am Beispiel remigrierter griechischer Jugendlicher /

Paraschou, Athina, January 1900 (has links)
Diss.--Frankfurt am Main, 1999. / Bibliogr. p. 219-244.
7

Skandinavische Erfahrungen erwünscht ? : Nachexil und Remigration : die ehemaligen KPD-Emigranten in Skandinavien und ihr weiteres Schicksal in der SBZ-DDR /

Scholz, Michael F. January 2000 (has links)
Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Greifswald--Ernst-Moritz-Arndt-Universität, 1999. / Bibliogr. p. 386-409. Index.
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De retour : le post-exil comme mise à l'épreuve de l'origine dans les spectacles de Jorge Lavelli et Andrei Serban

Feoli-Gudino, Anrea 08 1900 (has links) (PDF)
Au retour, l'altérité rencontrée une première fois lors de l'exil s'est transformée. La confrontation avec le «nouveau» pays d'origine mène à un chavirement identitaire et le «revenant» fait l'expérience de l' «entre-deux» du post-exil. L'exilé qui revient à son origine met sa personne, ceux qui l'accueillent et sa vie en général, à l'épreuve. Dans les mises en scène de Jorge Lavelli, exilé volontaire argentin, et d'Andrei Serban, exilé politique roumain, de retour dans leur pays natal, on découvre des fragments de leur origine, des traces de leur retour chez eux. Bertolt Brecht a été l'exemple séminal de ce mémoire. Il est rentré en Allemagne définitivement après un long exil. Lavelli vit des retours ponctuels à Buenos Aires. Serban tente un retour plus stable à Bucarest; après un premier retour de trois ans, il fait des retours ponctuels à Cluj et à Bucarest. Le premier chapitre de ce mémoire aborde l'altérité et l'identité du retour sous trois angles: être l'autre (Yvonne, princesse de Bourgogne -1972 de Lavelli et Oncle Vania -2007 de Serban); devenir l'invité chez soi (Mein kampf (farce) -2000 de Lavelli et La mouette -2007 de Serban); la langue maternelle comme outil identitaire (Divines paroles -1964, La fille de l'air -2004 et Le roi Lear -2006 de Lavelli; Une trilogie antique (Médée, Les Troyennes et Électre) -1990 et Qui a besoin de théâtre:? -1990 de Serban). Dans le deuxième chapitre, nous étudions comment la mémoire (Six personnages en quête d'auteur -1998 de Lavelli et La cerisaie -1992-1993 de Serban), la perte (Le roi Lear et Médée) et la quête de l'universel (La fille de l'air et Les Troyennes) se déploient sur la scène pour dessiner l'entre-deux du retour. Le chapitre 3 traite de la réception en deux temps: nous verrons les particularités de l'œuvre chez chaque metteur en scène quand il retourne dans son pays natal d'une part, et d'autre part, nous étudierons le regard que portent la critique et le public sur Lavelli. Des neuf spectacles à l'étude, sept contiennent des traces de reprise, de duplication ou de recréation de la version originale montée dans les pays d'accueil respectifs: la France pour Lavelli et les États-Unis pour Serban. Cette réflexion sur l'œuvre de metteurs en scène «revenants» procède d'une double approche: d'un point de vue philosophique et du point de vue de l'analyse théâtrale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : retour, exil, identité, origine, théâtre, mise en scène, Lavelli, Serban.
9

De retour de France métropolitaine : une étude des représentations (post)coloniales et des nouvelles formes d’altérité à la Martinique

Lanthier, Aude 11 1900 (has links)
Archipel des Petites Antilles, la Martinique est une société née de la traite transatlantique, de l’esclavage et du colonialisme français. Cette société créole, liée à sa métropole depuis près de quatre siècles, est devenue un département français en 1946, conférant à ses habitants le statut de citoyen français. Dès lors, l’émigration vers son centre, l’Ile-de-France, s’intensifia peu à peu pour s’institutionnaliser au cours des années 1960 grâce à un organisme d’Etat, le BUMIDOM. La présence antillaise en France est aujourd’hui telle, qu’on parle de la métropole comme d’une « troisième île ». Toutefois, on assiste de nos jours à de nouvelles pratiques de mobilités transatlantiques, plurales et multiformes, dont les migrations de retour font partie intégrante. Les acteurs du retour, les dits « retournés » ou « négropolitains », ont témoigné de plusieurs obstacles à l’heure de réintégrer leur terre d’origine. La présente étude entend démontrer cette tendance à considérer le migrant de retour comme un nouveau type d’ « outsider », soit comme un étranger culturel ; manifestation inédite qui dévoile une autre facette de l’altérité à la Martinique ainsi qu’une nouvelle configuration de sa relation postcoloniale avec la République française. Suite à un terrain ethnographique auprès de ces « retournés », et d’une observation participante auprès de la population locale, cette étude entend soumettre les représentations de l’île et de ses habitants à une analyse qualitative et comprendre comment l’expérience en territoire français transformera le migrant, sa façon d’appartenir à la culture martiniquaise et/ou à la culture française. Nous nous livrons ainsi à un examen des représentations et des pratiques des acteurs du retour pour permettre un éclairage novateur sur les nouvelles allégeances identitaires et les nouveaux déterminants de l’altérité à l’intersection de ces deux espaces à la fois proches et distants. Aussi, nous interrogerons comment le prisme du retour s’articule au cas martiniquais. En effet, le retour acquiert une dimension particulière dans le contexte de ces itinéraires de mobilité de « citoyens de couleur » qui expérimentent souvent un double rejet social et ce, sans même s’être écartés de leurs frontières nationales. / The Lesser Antilles Archipelago Martinique is a society born of the transatlantic slave trade, slavery and French colonialism. This Creole society, tied to its metropolis for nearly four centuries, became a French department in 1946 giving its residents the status of French citizens. As a result, migration to the colonial center, Paris and the metropolitan region (Ile-de-France), intensified gradually to the point of institutionalization in the 1960's, thanks to the state agency BUMIDOM. The Caribbean presence in France is now such that the metropolis is refered to by immigrants as a "third island". However, in the contemporary setting there are new transatlantic mobility practices, plural and multifaceted – an integral part of which are centered around return-migration. The protagonists of return, the so-called "returnees" or "négropolitains" encounter several obstacles upon return to their homeland. This study examines the tendency to consider the returnee as a new type of "outsider" – more precisely, as a cultural foreigner; revealing another facet of otherness in Martinique and a new configuration of its postcolonial relationship with the French Republic. Following ethnographic fieldwork with these "returnees" and with the local population, a qualitative analysis of representations of the island and its inhabitants reveals how their experience in the French territory transforms the migrant and their way of belonging to Martinican and/or French culture. The representations and practices of the returnees are examined, shedding light on the emergence of new allied identities and new determinants of otherness at the intersection of these two areas, at once near and far. Also, we will examine how the prism of return as an object of study, is transposed and reconfigured in the case of Martinique. The return acquires a special dimension for "citizens of color" who often experience social rejection and a double exclusion without stepping outside their national borders.
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De retour de France métropolitaine : une étude des représentations (post)coloniales et des nouvelles formes d’altérité à la Martinique

Lanthier, Aude 11 1900 (has links)
Archipel des Petites Antilles, la Martinique est une société née de la traite transatlantique, de l’esclavage et du colonialisme français. Cette société créole, liée à sa métropole depuis près de quatre siècles, est devenue un département français en 1946, conférant à ses habitants le statut de citoyen français. Dès lors, l’émigration vers son centre, l’Ile-de-France, s’intensifia peu à peu pour s’institutionnaliser au cours des années 1960 grâce à un organisme d’Etat, le BUMIDOM. La présence antillaise en France est aujourd’hui telle, qu’on parle de la métropole comme d’une « troisième île ». Toutefois, on assiste de nos jours à de nouvelles pratiques de mobilités transatlantiques, plurales et multiformes, dont les migrations de retour font partie intégrante. Les acteurs du retour, les dits « retournés » ou « négropolitains », ont témoigné de plusieurs obstacles à l’heure de réintégrer leur terre d’origine. La présente étude entend démontrer cette tendance à considérer le migrant de retour comme un nouveau type d’ « outsider », soit comme un étranger culturel ; manifestation inédite qui dévoile une autre facette de l’altérité à la Martinique ainsi qu’une nouvelle configuration de sa relation postcoloniale avec la République française. Suite à un terrain ethnographique auprès de ces « retournés », et d’une observation participante auprès de la population locale, cette étude entend soumettre les représentations de l’île et de ses habitants à une analyse qualitative et comprendre comment l’expérience en territoire français transformera le migrant, sa façon d’appartenir à la culture martiniquaise et/ou à la culture française. Nous nous livrons ainsi à un examen des représentations et des pratiques des acteurs du retour pour permettre un éclairage novateur sur les nouvelles allégeances identitaires et les nouveaux déterminants de l’altérité à l’intersection de ces deux espaces à la fois proches et distants. Aussi, nous interrogerons comment le prisme du retour s’articule au cas martiniquais. En effet, le retour acquiert une dimension particulière dans le contexte de ces itinéraires de mobilité de « citoyens de couleur » qui expérimentent souvent un double rejet social et ce, sans même s’être écartés de leurs frontières nationales. / The Lesser Antilles Archipelago Martinique is a society born of the transatlantic slave trade, slavery and French colonialism. This Creole society, tied to its metropolis for nearly four centuries, became a French department in 1946 giving its residents the status of French citizens. As a result, migration to the colonial center, Paris and the metropolitan region (Ile-de-France), intensified gradually to the point of institutionalization in the 1960's, thanks to the state agency BUMIDOM. The Caribbean presence in France is now such that the metropolis is refered to by immigrants as a "third island". However, in the contemporary setting there are new transatlantic mobility practices, plural and multifaceted – an integral part of which are centered around return-migration. The protagonists of return, the so-called "returnees" or "négropolitains" encounter several obstacles upon return to their homeland. This study examines the tendency to consider the returnee as a new type of "outsider" – more precisely, as a cultural foreigner; revealing another facet of otherness in Martinique and a new configuration of its postcolonial relationship with the French Republic. Following ethnographic fieldwork with these "returnees" and with the local population, a qualitative analysis of representations of the island and its inhabitants reveals how their experience in the French territory transforms the migrant and their way of belonging to Martinican and/or French culture. The representations and practices of the returnees are examined, shedding light on the emergence of new allied identities and new determinants of otherness at the intersection of these two areas, at once near and far. Also, we will examine how the prism of return as an object of study, is transposed and reconfigured in the case of Martinique. The return acquires a special dimension for "citizens of color" who often experience social rejection and a double exclusion without stepping outside their national borders.

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