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Etude de certaines valeurs d'emploi du présent de l'indicatif chez Henry de MontherlandMoisan, René. January 1977 (has links)
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La paternité dans le théâtre de Montherlant /Lecorps, Lëila. January 1975 (has links)
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La paternité dans le théâtre de Montherlant /Lecorps, Lëila. January 1975 (has links)
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« Une éthique de célibataire (…) » ou ce que l’homme Montherlant enseigne à la psychanalyse / « An ethics of single man (…) » or what the man Montherlant teaches the psychoanalysisBaeskens, Thierry 12 November 2015 (has links)
Par ce travail de recherche, nous avons souhaité révéler, à l’intérieur de l’œuvre littéraire de Montherlant, un sens plus profond qui aurait échappé à Montherlant, à ses lecteurs. Notre approche s’est attachée à croiser ces caractères d’expressions littéraires avec des éléments de la biographie de l’auteur. Puisqu’il est pour nous tout à fait certain que l’entendement de l’œuvre de Montherlant ne puisse ignorer les références précises à la connaissance de l’homme que nous a fourni l’écriture de sa biographie. Nous avons considéré ce qu’une certaine éthique de la psychanalyse doit à l’étude de la perversion comme noyau infrangible du désir et poussé un peu plus loin cette étude en maintenant serré son rapport à l’œuvre, au texte. Reformulant en cours de recherche notre intitulé qui, de l’étude d’un « cas », a pu s’envisager comme la constitution du désir pour,∀x.Φ(x), tout-homme. Nous avons utilisé dans nos travaux le terme célibataire dans son acception lacanienne, différente du sens commun, où il s’est agi dès lors ni de désigner les sujets hors mariage ni l’absence d’épouse mais la diversité des économies libidinales dans lesquelles la femme n’est pas l’objet. Sigmund FREUD, Psychopathologie de la vie quotidienne, Petite Bibliothèque Payot, traduit de l’allemand par le Dr S. Jankélévitch, Paris, 1924. p. 239. « On se croit en général libre de choisir les mots et les images pour exprimer ses idées. Mais une observation plus attentive montre que ce sont souvent des considérations étrangères aux idées qui décident de ce choix et que la forme dans laquelle nous coulons nos idées révèle souvent un sens plus profond, dont nous ne nous rendons pas compte nous-mêmes. » / By this research work, we wanted to reveal within the literary of Montherlant, a sense deeper that would have eluded Montherlant, to its readers. Our approach is attached to cross these characters of literary expressions with elements of the biography of the author. Since it is quite certain that the mind of of montherlant's work cannot ignore the specific references to the human knowledge that has provided us with the writing of his biography. We considered that a certain ethic of psychoanalysis must study the perversion as the untouchable core of desire and pushed a little further this study now tight his report at work, in the text. Restating searching our entitled study of a 'case', could be thought of as the constitution of the desire for, ∀x.Φ(x), all-man. We have used in our work the term single in the Lacanian sense, different from common sense, where it acted accordingly or to designate the subjects out of wedlock or the absence of wife but the diversity of wouid economies in which the woman is not the object. Sigmund FREUD, Psychopathologie de la vie quotidienne, Petite Bibliothèque Payot, translated from the German by Dr. S. Jankélévitch, Paris, 1924. p. 239. "It feels generally free to choose the words and images to express his ideas. But a more careful observation shows that many considerations extraneous to the ideas that decide this election and that the form in which we flow ideas often reveals a deeper meaning, which we are not ourselves. »
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Le Jeu dans l'oeuvre de Henry de Montherlant / The game in Henry de Montherlant's worksSorel, Marie 05 December 2013 (has links)
Le jeu a joué bien des tours à Montherlant, si l’on en croit les jugements proférés à l’encontre d’un auteur accusé de cacher son jeu et de duper son lectorat. Le personnage Montherlant continue à éclipser une œuvre multiforme, s’étalant sur une cinquantaine d’années. Mais la part du jeu dans l’élaboration de l’image de l’écrivain ne peut être envisagée indépendamment de la vision des pratiques ludiques qui émane de ses écrits. L’étude du jeu dans l’ensemble de l’œuvre, y compris dans le paratexte envahissant qui l’accompagne, offre un angle d’approche privilégié pour dépassionner notre rapport à l’auteur et interroger l’inactualité supposée de son œuvre. Ce travail de contextualisation, qui invite à faire dialoguer les écrits de ce polygraphe avec ceux d’autres auteurs, mobilise des outils historiques et sociologiques, à même d’éclairer la conception du jeu de l’écrivain. Notion malléable que l’auteur interprète à l’aune de ses expériences sportives et tauromachiques, le jeu se présente comme un espace initiatique. Revendiquant son appartenance au milieu nobiliaire, Montherlant s’érige en arbitre du goût. S’ils se conforment pour une part à une logique aristocratique, les choix de cet homme de loisir déjouent parfois les attentes du lecteur. Le ludisme existentiel qu’affiche l’auteur informe non seulement ses pratiques d’écriture mais aussi sa conception du rôle de l’écrivain, laquelle révèle toute sa fragilité durant la période de l’Occupation. Rendre compte de l’impact du jeu sur la réception de l’œuvre conduit ainsi à faire apparaître les failles des stratégies adoptées par l’auteur, failles dans lesquelles s’engouffrent parfois la critique et les lecteurs. / Many a time has play fooled Montherlant if we are to believe comments accusing the author of hiding his hand and deceiving his readers. Montherlant’s character continues to overshadow his protean works which span approximately fifty years. However, the playful construction of the writer’s image cannot be separated from the aspect of play stemming from his texts. Studying the element of play in his works as a whole, including the overwhelming paratext which accompanies them, offers a privileged point of view and allows us to take the heat out of our relationship to the author and question the assumed obsolescence of his works. This effort of contextualisation, which invites us to put the texts of this versatile writer in relation to those of other authors, draws on historical and sociological tools allowing us to shed light on the writer’s conception of play. Play, a malleable term which the author construes in the light of his own athletic and bullfighting experiences, presents itself as an initiatory space. Montherlant asserts his aristocratic background and sets himself up as an arbiter of taste. If his choices are partly induced by an aristocratic logic, they sometimes deceive the reader’s expectations. The existential playfulness asserted by the author not only influences his way of writing but his conception of the writer’s role as well, a role whose weakness has been revealed to the full during the Occupation. Studying the impact of play on the reception of his works hereby leads us to unveil the flaws of the strategies adopted by the author, flaws in which critics and readers are sometimes swallowed up.
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L’ “esilio” francese di d’Annunzio (1910-1915). Ricostruzione di un’esperienza intellettuale e letteraria / L’ “exil” français de d’Annunzio (1910-1915). Reconstruction d’une expérience intellectuelle et littéraire / D’Annunzio’s French ‘‘exile’’ (1910-1915). Reconstruction of an intellectual and literary experienceQuarta, Andrea 10 November 2018 (has links)
La reconstruction de l’expérience intellectuelle et littéraire mûrie par Gabriele d’Annunzio durant son ‘exil ’ volontaire en France (1910-1915) a mis en évidence de nombreux aspects jusqu’alors peu analysés dans les travaux biographiques et critiques, ouvrant ainsi de nouvelle pistes de recherche. L’étude, conduite sur des documents inédits, vise à éclaircir les rapports d’amitié et de collaboration qu’il développa avec plusieurs personnalités françaises. Dans le cas de Marguerite Yourcenar, on a retrouvé les publications – jusqu’ici inconnues - qu’elle offrit à d’Annunzio, enrichies d’une dédicace autographe; un tel témoignage documentaire représente un facteur important dans la reconstruction de l’influence exercée par d’Annunzio à son égard. L’analyse de la relation d’Annunzio-Gide a fait émerger des éléments inédits (lettres et livres avec dédicace) qui changent en partie la perspective des études autour de ces deux figures, imposant une réécriture de l’histoire de leur rapport. D’autre part, concernant Paul Morand la recherche a révélé l’influence de d’Annunzio qui atteint son apogée dans France la doulce. En outre, des découvertes significatives ont été faites sur d’Annunzio lui-même, en particulier grâce à l’examen de ses notes, dont certaines complètement inédites. Une comparaison entre les citations (rapportées dans les “feuilles volantes”) et les livres présents dans sa collection privée a permis de démontrer que lors de la rédaction de certaines œuvres écrites en France, il se servit de sources littéraires françaises (De Lisle, Flaubert, Chateaubriand). Parmi elles, et cela constitue une nouveauté, figurent aussi des auteurs comme Claudel, Suarès et Barbusse, c’est-à-dire des intellectuels avec qui d’Annunzio était en contact direct pendant cette période. / The reconstruction of the intellectual and literary experience acquired by Gabriele d'Annunzio during his voluntary French 'exile' (1910-1915) has highlighted numerous aspects which have not yet been fully analyzed in biographical and critical works relating to the writer, effectively opening up new avenues of research. The study, using unpublished documents, aimed to clarify the professional and personal relationships developed between him and various French figures. In the case of Marguerite Yourcenar, publications have been found where she has paid homage, with autographed dedication, to d'Annunzio and were hitherto unknown; this documentary reference represents an important factor in the reconstruction of the influence exercised by d'Annunzio on their behalf. Analysis of the d’Annunzio-Gide relationship unearthed unpublished material (letters and books with dedications) that partly change the perspective of the studies around these two figures, imposing a rewriting of the history of their relationship. Furthermore, research has brought to light an influence by d'Annunzio on Paul Morand that finds an apex in the title France la Doulce. Significant discoveries have also been made regarding d'Annunzio himself, in particular by examining his notes, some of them completely unpublished. A comparison between citations (noted in the "loose papers") and books in his private collection, has allowed an assertation that, for the drafting of some works written in France, he used various French literary sources (De Lisle, Flaubert, Chateaubriand); among these, representing a new development, there are also authors such as Claudel, Suarès and Barbusse, namely intellectuals with whom d'Annunzio was in contact in those years.
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"Histoires de fous". Approche de la folie dans le roman français du XXe siècle / "Histoires de fous". An analysis of madness in the twentieth century French novelTouboul, Anaëlle 02 December 2016 (has links)
Figure obsédante de l’imaginaire collectif, le fou a longtemps été chargé de significations qui le dépassent ; le mythe de la folie fait recette sur la scène littéraire mais les malades n’en sont que des figurants. Alors que le fou réel est maintenu dans les marges de la littérature comme de la société, le fantasme culturel de la folie est nourri et modelé au XIXe siècle par la littérature romantique ou fantastique et exalté au début du siècle suivant par les avant-gardes historiques. Un certain nombre de textes de romanciers du XXe siècle, parmi lesquels Georges Duhamel, André Baillon, Julien Green, Henry de Montherlant ou encore Alexandre Vialatte, mettent au contraire en œuvre un décentrement du regard littéraire de la folie vers le fou – du mythe à l’individu. Ce sont les modalités et les logiques de cette émancipation de la figure du fou et de son affirmation comme sujet – au sens de thème comme de subjectivité – autonome dans l’espace romanesque que ce travail s’applique à éclairer. Ces récits fictionnels qui font de la conscience aliénée à la fois le foyer et l’objet principal de la narration mettent en scène une folie presque familière, où l’idéalisation cède le pas à la représentation de troubles intimes et ordinaires, qui atteignent un personnage banal menant une existence modeste. Par leurs affinités sémantiques, syntaxiques et pragmatiques, ils forment un « sous-genre » romanesque, celui des "histoires de fous". L’enjeu de cette thèse est de déterminer le répertoire générique de ces romans tout en examinant la manière dont la folie interroge les moyens et les pouvoirs de la fiction romanesque. Il s’agit également de mettre au jour ce que la littérature nous aide à comprendre de cet impensable, envers de l’expérience partagée de la raison, et d’observer comment les romanciers contribuent à refléter tout autant qu’à remodeler les formes de cet objet social et culturel. / Haunting our collective imagination, the madman has always been laden with symbolic significance. The myth of madness is abundantly present in literature, however those characters with an actual mental illness are ultimately overshadowed. While mental patients are pushed to the margins of literature, just as they are pushed to the outskirts of society, this particular cultural legend of madness develops during the nineteenth century in Romantic and fantastic literature and stays in the spotlight at the beginning of the following century through the avant-garde artists. In contrast to the aforementioned representation of madness, a number of novelists of the twentieth century, including Georges Duhamel, André Baillon, Julien Green, Henry de Montherlant or Alexandre Vialatte, brought on a literary shift away from “madness” towards “the madman” – from the myth to the individual. The focus of this piece of work is on the modality and logic leading to the emancipation of the figure of the madman and its affirmation as an autonomous subject – in every sense of the world – in the literary field. These fictional stories, where the alienated consciousness is both the focus and the main subject of the narrative, present the reader with an almost familiar madness. They don’t idealize insanity but provide representations of almost ordinary disorders, which affect a banal character living a modest life. Through their semantic, syntactic and pragmatic preferences, these stories form a fictional “sub-genre”, called “histoires de fous”. This research aims at determining the generic features of these novels and at considering the way madness questions the means and powers of fiction. Another purpose is to shed light on how literature helps us understand this inconceivable experience, which represents the other side of the commonly shared human experience of reason and logic, and to study how novelists help to reveal as well as reshape the characterization of this social and cultural topic.
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