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Lipopolysaccharides et glucagon-like peptide 1 : des mécanismes moléculaires à la physiopathologie / Lipopolysaccharides and glucagon-like peptide 1 : from molecular mechanisms to pathophysiology

Lebrun, Lorène 25 November 2016 (has links)
La prévalence de l’obésité et du diabète de type 2 évolue de façon épidémique. Ces pathologies sont caractérisées par un état inflammatoire à bas bruit dont l’origine moléculaire est inconnue. L’une des pistes qui émerge concerne le microbiote intestinal et plus particulièrement des molécules pro-inflammatoires présentes à la surface des bactéries Gram(-) : les lipopolysaccharides (LPS). Nous avons récemment montré que ces LPS augmentent les taux circulants de glucagon-like peptide 1 (GLP-1), une hormone connue pour stimuler la sécrétion d'insuline. Par ailleurs, un lien existerait entre qualité nutritionnelle de l’alimentation et taux de LPS sanguins. Ainsi, alimentation, LPS et GLP-1 pourraient être liés. Ces travaux de thèse portent sur i) les mécanismes moléculaires reliant LPS et GLP-1 et ii) les conséquences physiopathologiques d’une endotoxémie expérimentale lors d’un régime obésogène. Nous montrons, in vitro, ex vivo et in vivo, que les LPS stimulent la sécrétion de GLP-1 par les cellules entéroendocrines via un mécanisme TLR4-dépendant. Les LPS présents dans l’intestin déclenchent cette sécrétion lors de situations pathologiques de dégradation de la muqueuse, faisant du GLP-1 un potentiel marqueur précoce d’altération de la barrière intestinale. Chez des souris sauvages, une endotoxémie expérimentale n’aggrave pas les conséquences métaboliques généralement observées lors d’un régime obésogène, certains paramètres sont même améliorés. Enfin, des souris présentant un défaut de détoxification des LPS nourries avec un régime obésogène prennent plus de masse corporelle que les souris contrôles. Les origines moléculaires de ces différences sont également recherchées. / Obesity and type 2 diabetes are metabolic diseases which have reached epidemic proportions worldwide. These metabolic disorders are related to a low grade inflammation whose molecular origin is still unknown. Previous studies have highlighted the involvement of the gut microbiota and especially components of the cell wall of Gram(-) bacteria: lipopolysaccharides (LPS). We have recently shown that LPS enhance glucagon-like peptide 1 (GLP-1) plasma levels, a hormone which is known to stimulate insulin secretion. Moreover there would be a link between the nutritional qualities of food and LPS plasma levels. Thus diet, LPS and GLP-1 may be closely related. The present work focuses on i) the molecular mechanisms linking LPS to GLP-1 and ii) the pathophysiological consequences of an experimental endotoxemia under obesogenic diet conditions. In vitro, ex vivo and in vivo experiments highlight LPS as potent secretagogues of GLP-1. They are able to induce GLP-1 secretion from enteroendocrine cells through a direct TLR4-dependent mechanism. Luminal LPS trigger GLP-1 secretion only under pathological conditions leading to intestinal mucosal damages. Therefore GLP-1 could be a promising early biomarker for diagnosing gut barrier injuries. Experimentally-induced endotoxemia in wild-type mice does not worsen the usually observed metabolic consequences of an obesogenic diet but rather seems to improve some of them. In addition, under high-fat diet, genetically-engineered mice with a defective LPS detoxification process gain more weight than control mice. The purpose of this thesis is also to disentangle the molecular explanation behind this difference.
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Impact d'une suralimentation prolongée et d'une supplémentation en polyphénols sur le profil d'activité physique et de sédentarité

Giroux, Valérie 07 1900 (has links)
No description available.
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Životní styl jako determinant nadváhy a obezity / Lifestyle as a determinant of overweight and obesity

Wlochová, Markéta January 2011 (has links)
Diploma thesis "Lifestyle as a determinant of overweight and obesity" focuses on risk factors determination which influences overweight and obesity in population in regards to failure of programmes dealing with this topic. Main goal of this thesis is to understand current lifestyle of chosen group of people because traditional understanding for reasons of overweight and obesity - higher energy income than outcome - seems to be insufficient. Further target is current Czech policy analysis, especially part of policy dealing with overweight and obesity prevention and its connection with European Union. In the first part of the thesis reader takes up with overweight and obesity as itself. This is followed by targets and research questions definition. Primary method is qualitative research. There is no generally accepted definition for this kind of research and therefore this method is briefly described here. Method used for policy analysis is content analysis. For this part i used domestic public policy documents as well as abroad ones. The next chapter is devoted to the theoretical recurrences and conceptualization of basic terms which are basement for this work. The chapter focused on development of obesity prevention policy briefly introduces into policy creation from its origins as a protection of...
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Politika boje proti dětské obezitě ve vztahu k produkci a marketingu potravin / Public Policy to Prevent Childhood Obesity and the Role of Food Production and Marketing

Winzbergerová, Alžběta January 2013 (has links)
This thesis is a case study focused on a relationship between public policy to prevent childhood obesity and the role of the food production and marketing in the Czech Republic. The emphasis is especially given to the institutional framework of food marketed and produced for children and its social concequences, because childhood obesity is one of them. The results from the analysis are then confronted with views and opinions of children and their parents, with how they feel about food advertising. Conclusion: advertising and production of food designated for children is not regulated in the Czech Republic. On governmental level only basic standards and rules are given and self-regulation is given precedence. Parents are aware of the huge influence of advertising on their children and that is why they are not satistied with the current situation. They would appreciate stronger legislative regulation of marketing and production of food for children.
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Étude du comportement et des contextes associés à la consommation d’aliments sucrés dans une communauté montréalaise originaire du Moyen-Orient

Moubarac, Jean-Claude 03 1900 (has links)
L’Organisation mondiale de la Santé recommande aux individus de limiter leur consommation d’aliments sucrés dans le but de prévenir le développement des maladies chroniques. En santé publique, peu de recherches ont tenté d’identifier les facteurs individuels et contextuels qui peuvent influencer conjointement la consommation de ces aliments. Or, de telles connaissances seraient utiles pour guider les interventions nutritionnelles visant à en réduire la consommation. L’objectif de cette thèse est d'étudier les facteurs reliés au comportement et les contextes associés à la consommation quotidienne d’aliments sucrés chez des adultes vivant dans un milieu urbain occidental. Cette étude a été menée auprès d'une communauté moyen-orientale établie dans la Ville de Montréal. Les aliments sucrés ont été définis comme étant les glucides raffinés dont la teneur en sucres totaux dépasse 20 % de l’énergie totale. Lors de l’étape exploratoire (N = 42), un rappel de 24 heures a permis d’identifier les sources d’aliments sucrés et de déterminer l’apport quotidien en sucres totaux de cette communauté. Une étude qualitative descriptive a été privilégiée et un cadre écologique a guidé la réalisation d’entrevues semi-dirigées sur les contextes de consommation (N = 42). Une analyse de contenu employant des procédures de codage initial et focus a mené à l’élaboration d’un instrument de mesure quantitatif sur les contextes de consommation. Cet instrument a été soumis à un pré-test (N = 20), puis administré à l’échantillon principal (N = 192). Une analyse factorielle exploratoire a permis de préciser les contextes de consommation. Les facteurs individuels mesurés incluent les données sociodémographiques, les symptômes dépressifs, la maîtrise de soi, l’assoupissement de jour, les perceptions ainsi que l’hémoglobine glycosylée. La consommation quotidienne de sucres totaux a été mesurée par un questionnaire de fréquence alimentaire (N = 192). Une analyse de régression multivariée employant le modèle linéaire généralisé (distribution de type gamma et lien logarithmique) a été effectuée pour mesurer les relations entre les contextes de consommation, les facteurs individuels et la consommation de sucres totaux, en contrôlant l’âge et le sexe. L’apport quotidien en sucres totaux de l'échantillon est de 20,3 %, ce qui s’apparente aux apports des Canadiens et des Québécois. La consommation quotidienne moyenne est de 76 g/j. Les analyses qualitative et factorielle ont permis d’identifier un ensemble de 42 contextes de consommation regroupés en sept domaines (Actes et situations de grignotage, Stimuli visuels, Besoins énergétiques, Besoins émotionnels, Indulgence, Contraintes, Socialisation). La consommation quotidienne de sucres totaux est supérieure chez les hommes (B = 0,204, ES = 0,094, p = 0,03). Les facteurs positivement associés à la consommation sont le grignotage (B = 0,225, ES = 0,091, p = 0,01), la prise de dessert (B = 0,105, ES = 0,036, p = 0,001) ainsi que les symptômes dépressifs (B = 0,017, ES = 0,094, p = 0,03). L’âge (B = -0,01, ES = 0,004, p = 0,02), l’indulgence (B = -0,103, ES = 0,052, p = 0,05) et l’auto-modération (B = -0,121, ES = 0,042, p = 0,001) montrent, pour leur part, une association négative. Cette étude a privilégié une méthodologie mixte et a permis de développer une mesure innovatrice pour étudier les facteurs contextuels associés à la consommation d’aliments sucrés. Ceux-ci ont été analysés conjointement avec les facteurs individuels. Afin d'encourager les individus à réduire leur consommation de sucres totaux lorsque nécessaire, les initiatives en santé publique devraient en effet cibler les contextes de consommation de même que les facteurs individuels. / The World Health Organization recommends that individuals reduce their consumption of sweet foods and drinks to prevent chronic diseases. Research in public health has not generally sought to elucidate the environmental and individual factors that may jointly influence sweet food consumption. Such knowledge would be relevant, however, in supporting interventions on sweet food consumption. The aim of this thesis was to examine contextual and individual factors associated with daily consumption of sweet foods in adults living in a western urban setting. An established Middle Eastern community in Montreal was the setting for this study. Sweet food was defined as refined carbohydrates that contain more than 20% of total energy from total sugars. In a preliminary step (N = 42), 24-hour recalls enabled the identification of sweet food sources and the measurement of daily intake of total sugars from total energy intake. The context of sweet food consumption was studied through a qualitative descriptive study. An ecological conceptual framework was used to frame the context of sweet food consumption and thus to guide the collection of semi-structured interviews (N=42). Content analysis using open and focused coding techniques was used to inform the development of a quantitative measure to investigate the context of sweet food consumption. This measure was pilot-tested on 20 individuals and administered to the main sample (N = 192). Contextual domains were clarified using exploratory factor analysis. Individual factors measured included depressive symptoms, mastery, sociodemographic factors, perception, daytime sleepiness and HbA1C. A food frequency questionnaire was used to measure daily intake of sweet food (N = 192). Sweet food consumption followed a gamma distribution. Multivariate regression analysis using the generalised linear model (gamma distribution and log-link function) was used to estimate the associations between contextual and individual factors and consumption of sweet food, accounting for covariates (gender and age). Total sugar consumption was 20,3 % of total energy, similar to the average intake of the population of Quebec and Canada. Daily consumption of total sugars averaged 76 g/day. Qualitative analyses and factor analysis led to the identification and refinement of a 42-item contextual measure with items grouped into seven domains (emotional needs, snacking, energy demands, socialisation, visual stimuli, indulgence and constraints). Consumption of total sugars was higher amongst males (B = 0,204, SE = 0,094, p = 0,03). Domains positively associated with total sugar consumption included eating dessert (B = 0,105, SE = 0,036, p = 0,001), snacking (B = 0,225, SE = 0,091, p = 0,01) and depressive symptoms (B = 0,017, SE = 0,094, p = 0,03). Indulgence (B = -0,103, SE = 0,052, p = 0,05), self-moderation (B = -0,121, SE = 0,042, p = 0,001), and age (B = -0,01, SE = 0,004, p = 0,02) were negatively associated with sugar consumption. This mixed-methods study developed a novel measure to study the factors associated with sugar consumption. Individual and contextual factors were jointly associated with consumption of sweet foods. Contextual as well as individual factors should be jointly targeted by public health efforts to support individuals in limiting their consumption of sweet foods, as necessary.
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Étude du comportement et des contextes associés à la consommation d’aliments sucrés dans une communauté montréalaise originaire du Moyen-Orient

Moubarac, Jean-Claude 03 1900 (has links)
L’Organisation mondiale de la Santé recommande aux individus de limiter leur consommation d’aliments sucrés dans le but de prévenir le développement des maladies chroniques. En santé publique, peu de recherches ont tenté d’identifier les facteurs individuels et contextuels qui peuvent influencer conjointement la consommation de ces aliments. Or, de telles connaissances seraient utiles pour guider les interventions nutritionnelles visant à en réduire la consommation. L’objectif de cette thèse est d'étudier les facteurs reliés au comportement et les contextes associés à la consommation quotidienne d’aliments sucrés chez des adultes vivant dans un milieu urbain occidental. Cette étude a été menée auprès d'une communauté moyen-orientale établie dans la Ville de Montréal. Les aliments sucrés ont été définis comme étant les glucides raffinés dont la teneur en sucres totaux dépasse 20 % de l’énergie totale. Lors de l’étape exploratoire (N = 42), un rappel de 24 heures a permis d’identifier les sources d’aliments sucrés et de déterminer l’apport quotidien en sucres totaux de cette communauté. Une étude qualitative descriptive a été privilégiée et un cadre écologique a guidé la réalisation d’entrevues semi-dirigées sur les contextes de consommation (N = 42). Une analyse de contenu employant des procédures de codage initial et focus a mené à l’élaboration d’un instrument de mesure quantitatif sur les contextes de consommation. Cet instrument a été soumis à un pré-test (N = 20), puis administré à l’échantillon principal (N = 192). Une analyse factorielle exploratoire a permis de préciser les contextes de consommation. Les facteurs individuels mesurés incluent les données sociodémographiques, les symptômes dépressifs, la maîtrise de soi, l’assoupissement de jour, les perceptions ainsi que l’hémoglobine glycosylée. La consommation quotidienne de sucres totaux a été mesurée par un questionnaire de fréquence alimentaire (N = 192). Une analyse de régression multivariée employant le modèle linéaire généralisé (distribution de type gamma et lien logarithmique) a été effectuée pour mesurer les relations entre les contextes de consommation, les facteurs individuels et la consommation de sucres totaux, en contrôlant l’âge et le sexe. L’apport quotidien en sucres totaux de l'échantillon est de 20,3 %, ce qui s’apparente aux apports des Canadiens et des Québécois. La consommation quotidienne moyenne est de 76 g/j. Les analyses qualitative et factorielle ont permis d’identifier un ensemble de 42 contextes de consommation regroupés en sept domaines (Actes et situations de grignotage, Stimuli visuels, Besoins énergétiques, Besoins émotionnels, Indulgence, Contraintes, Socialisation). La consommation quotidienne de sucres totaux est supérieure chez les hommes (B = 0,204, ES = 0,094, p = 0,03). Les facteurs positivement associés à la consommation sont le grignotage (B = 0,225, ES = 0,091, p = 0,01), la prise de dessert (B = 0,105, ES = 0,036, p = 0,001) ainsi que les symptômes dépressifs (B = 0,017, ES = 0,094, p = 0,03). L’âge (B = -0,01, ES = 0,004, p = 0,02), l’indulgence (B = -0,103, ES = 0,052, p = 0,05) et l’auto-modération (B = -0,121, ES = 0,042, p = 0,001) montrent, pour leur part, une association négative. Cette étude a privilégié une méthodologie mixte et a permis de développer une mesure innovatrice pour étudier les facteurs contextuels associés à la consommation d’aliments sucrés. Ceux-ci ont été analysés conjointement avec les facteurs individuels. Afin d'encourager les individus à réduire leur consommation de sucres totaux lorsque nécessaire, les initiatives en santé publique devraient en effet cibler les contextes de consommation de même que les facteurs individuels. / The World Health Organization recommends that individuals reduce their consumption of sweet foods and drinks to prevent chronic diseases. Research in public health has not generally sought to elucidate the environmental and individual factors that may jointly influence sweet food consumption. Such knowledge would be relevant, however, in supporting interventions on sweet food consumption. The aim of this thesis was to examine contextual and individual factors associated with daily consumption of sweet foods in adults living in a western urban setting. An established Middle Eastern community in Montreal was the setting for this study. Sweet food was defined as refined carbohydrates that contain more than 20% of total energy from total sugars. In a preliminary step (N = 42), 24-hour recalls enabled the identification of sweet food sources and the measurement of daily intake of total sugars from total energy intake. The context of sweet food consumption was studied through a qualitative descriptive study. An ecological conceptual framework was used to frame the context of sweet food consumption and thus to guide the collection of semi-structured interviews (N=42). Content analysis using open and focused coding techniques was used to inform the development of a quantitative measure to investigate the context of sweet food consumption. This measure was pilot-tested on 20 individuals and administered to the main sample (N = 192). Contextual domains were clarified using exploratory factor analysis. Individual factors measured included depressive symptoms, mastery, sociodemographic factors, perception, daytime sleepiness and HbA1C. A food frequency questionnaire was used to measure daily intake of sweet food (N = 192). Sweet food consumption followed a gamma distribution. Multivariate regression analysis using the generalised linear model (gamma distribution and log-link function) was used to estimate the associations between contextual and individual factors and consumption of sweet food, accounting for covariates (gender and age). Total sugar consumption was 20,3 % of total energy, similar to the average intake of the population of Quebec and Canada. Daily consumption of total sugars averaged 76 g/day. Qualitative analyses and factor analysis led to the identification and refinement of a 42-item contextual measure with items grouped into seven domains (emotional needs, snacking, energy demands, socialisation, visual stimuli, indulgence and constraints). Consumption of total sugars was higher amongst males (B = 0,204, SE = 0,094, p = 0,03). Domains positively associated with total sugar consumption included eating dessert (B = 0,105, SE = 0,036, p = 0,001), snacking (B = 0,225, SE = 0,091, p = 0,01) and depressive symptoms (B = 0,017, SE = 0,094, p = 0,03). Indulgence (B = -0,103, SE = 0,052, p = 0,05), self-moderation (B = -0,121, SE = 0,042, p = 0,001), and age (B = -0,01, SE = 0,004, p = 0,02) were negatively associated with sugar consumption. This mixed-methods study developed a novel measure to study the factors associated with sugar consumption. Individual and contextual factors were jointly associated with consumption of sweet foods. Contextual as well as individual factors should be jointly targeted by public health efforts to support individuals in limiting their consumption of sweet foods, as necessary.

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