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La figure du langage et le problème de l'origine dans L'ombre et le double d'Yvon RivardLarsen, Marianne 13 April 2018 (has links)
La question du langage occupe une fonction centrale dans l'univers narratif de L'Ombre et le double. Dans ce roman d'Yvon Rivard, en plus d'être un objet de spéculations qui accapare les personnages, cette question est aussi un élément qui influence la réalité diégétique. Nous avons donc abordé la figure du langage par le biais de ses rôles et de ses fonctions dans le récit. En analysant cette figure dans ses interactions avec la notion d'origine, nous avons tenté d'identifier certains pouvoirs attribués aux mots dans le roman afin d'en dégager une conception du langage. Le premier chapitre traite de la dimension collective et analyse le rôle du langage dans l'organisation sociale du roman. Nous considérons ensuite la dimension individuelle du langage afin d'étudier ses liens avec la construction de la subjectivité et de l'identité. Enfin, la dimension textuelle du langage, abordée dans le dernier chapitre, permet d'examiner comment le matériau linguistique se manifeste au lecteur et ne se laisse jamais oublier au profit de la référentialité. Les rôles diégétiques attribués au langage permettent de proposer une conception du rapport entre les mots et la réalité : le langage n'est jamais réduit à une simple instrumentante et le sens est dépourvu d'un centre fixe.
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La voix en exergue : l'unanimisme de Jules Romains et la poésie de Jean-Aubert LorangerMainguy, Thomas 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Ce mémoire est consacré à l'influence qu'exerce l'unanimisme de Jules Romains (1885- 1972) sur la poésie de Jean-Aubert Loranger (1896-1942). Les principaux textes analysés sont La vie unanime (1908), dans le cas de Romains, et Les atmosphères (1920) ainsi que les Poëmes (1922), dans le cas de Loranger. Cette étude se divise en trois chapitres: le premier vise à définir l'unanimisme de Romains sur les plans idéologique et esthétique, mettant en lumière son orientation particulière vers l'aspect collectif de l'existence humaine; le second cherche à relever les similitudes stylistiques et thématiques entre les poèmes de La vie unanime et ceux de Loranger, faisant valoir les répercussions qu'ont suscitées les lectures unanimistes sur la recherche expressive de ce dernier ; le troisième s'attache à la notion d'écart qui défmit la posture lorangienne, divulguant une vision du monde marquée par l'avènement d'une conscience qui informe le poète de son irrémédiable marginalité.
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Noces de plumes (et de vent) : section création : L'apprentissage poétique : une transformation du rapport au langage : section réflexion critiquqeToussaint, Geneviève 13 April 2018 (has links)
L'apprentissage poétique est une démarche existentielle qui demande au poète de quitter la réalité, soit ce qui est communément admis, pour atteindre le réel, c'est-à-dire le lien singulier que l'Être entretient avec le monde et les choses. Pour que cette rencontre devienne possible, le poète doit se détacher de la rationalité et se tourner vers une connaissance intuitive qui se manifeste par un langage souple à l'analogie. Grâce à ce changement de position, le poète découvre un autre lieu, celui du poème, qui est également celui de la solitude essentielle, selon l'expression de Maurice Blanchot. L'expérience de ce lieu, atteinte et enracinée par la lecture et l'écriture, fait que le malaise psychologique est transcendé au profit d'une détente ontologique, comme cela est perceptible dans Je t'écrirai encore demain de Geneviève Amyot, oeuvre phare ayant servi d'impulsion à l'écriture du recueil Noces de plumes (et de vent) ainsi que d'accompagnement à la présente réflexion.
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Jacques Ferron : polémiste ou pamphlétaire? Analyse des lettres au Devoir (1960-1969)Gélinas, Marc-André 13 April 2018 (has links)
Jacques Ferron a écrit 197 lettres dans différents journaux et revues du Québec. De cet ensemble, 47 lettres forment le corpus à l'étude. Toutes ces lettres ont été écrites entre 1960 et 1969 et on les retrouve dans les pages du Devoir. La pratique de la lettre ouverte chez Ferron est méconnue et très peu étudiée. La manière dont Ferron l'utilise pour s'exprimer est au coeur de ce mémoire. Le traitement des cibles et la construction de l'ethos sont les éléments importants qui ont été analysés pour comprendre comment Ferron entre en relation avec ses adversaires et comment il se présente dans les lettres pour assurer la crédibilité de sa parole. Par la suite, le choix d'un discours, polémique ou pamphlétaire, et les conséquences d'un tel choix sur l'écriture ont fait l'objet d'une analyse, tout en tenant compte d'une perspective chronologique. Observer la manière dont Ferron pratique la lettre ouverte nous a amené à constater qu'il entretient des relations conflictuelles surtout avec des cibles ayant un lien direct ou indirect avec le pouvoir. Dans ces confrontations, Ferron tente de présenter l'image de celui qui est instruit et solidaire des préoccupations de la population tout en défendant son indépendance d'esprit. Quant au choix des discours, Ferron semble privilégier, tôt dans la décennie, le discours polémique, voulant ainsi entretenir le dialogue avec l'autre. Par contre, plus la décennie avance, plus le discours pamphlétaire et une forme hybride (présence dans une même lettre du discours pamphlétaire et polémique) s'imposeront comme choix. Il semble évident que le discours public de Ferron dans les lettres aux journaux se radicalise avec le temps.
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Le complexe des aboiteaux : l'expérience du souvenir obstinément renouvelée chez l'écrivain acadien Claude LeBouthillierDoiron, Andrée Mélissa 13 April 2018 (has links)
Le traumatisme de la Déportation a résisté au temps et demeure toujours un important repère identitaire pour l'Acadie moderne. Il est le motif et l'obsession de l'écriture romanesque chez Claude LeBouthillier. Le récit cherche à remplir une fonction testimoniale malgré la distance temporelle qui sépare le trauma de récriture. Il lui faut alors concilier fiction, historiographie et discours transgénérationnel. Pour ce faire, la figure auctoriale adopte trois postures : celle du romancier, de l'historien et du descendant de survivant. Cela dit, l'écriture qui témoigne que l'on a survécu à la tentative d'extermination de sa culture et de son peuple est un acte qui déstabilise l'ordre normal des rapports entre soi et l'Autre. Dans ce cas, écrire devient transgression, violence, voire terrorisme symbolique. Or, l'écriture ne saurait être une victoire satisfaisante. Le récit de survivance tient du paradoxe parce qu'il est non seulement la démonstration d'un certain contrôle sur l'événement traumatique, mais il révèle également i'emprise que l'événement continu d'exercer sur le survivant.
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Port-Alfred Plaza : roman ; suivi de Port-Alfred evermore : déambuler dans la ville portuaireGirard, André 13 April 2018 (has links)
"Ça s'est passé à la taverne de l'hôtel Plaza, à deux pas des installations portuaires de la compagnie Alcan, à Port-Alfred. Chaque jour de la semaine, ils se retrouvaient en aprèsmidi autour de la même table : barbier à la retraite, chauffeur de taxi à la grande gueule, manoeuvre au port et prostituée vieillissante. Ça parlait de marée, marins, clients d'exception et voyages longue distance. Ça se racontait des histoires pas toujours catholiques. Enregistrées à leur insu par un étudiant rattaché au GRAMUL, les histoires de cet étrange quatuor intriguent un autre étudiant, Etienne, qui met la main dessus. Celui-ci est à ce point touché par ces personnages qu'il décide de faire une pause dans la rédaction de sa thèse en muséologie afin d'écrire un roman basé sur ces documents. Ça s'intitulera Port- Alfred Plaza, et Etienne ira écrire sur place son premier roman. Dans ce lieu de transit, il fera la connaissance de Johanna, une femme de ménage dotée d'un étonnant sens des affaires." / "Dans le roman Port-Alfred Plaza, la ville portuaire impose sa présence pour devenir un véritable personnage. Dans la réflexion intitulée Port-Alfred evermore, cette même ville se transformera en espace propice à l'introspection. D'une approche résolument thématique, cette réflexion sur la présence de la ville portuaire en littérature prendra la forme d'un journal intime. Cinéaste apatride retrouvant après quarante ans d'absence les rues et les ruelles de son enfance, Laurence Kennedy prendra plaisir à se mouler au plan orthogonal de la petite ville portuaire. Vers la fin de son séjour, il rencontrera dans le parc un jeune homme venu écrire ici son premier roman, et le jour suivant, à la taverne, un certain barbier à la retraite. Son journal de déambulation aura cette particularité d'être émaillé d'extraits de textes. Ceux de Femand Dumont et d'Alain Médam deviendront autant d'amorces à la réflexion, et les extraits de quelques écrivains ayant décrit la réalité portuaire viendront cristalliser les souvenirs d'une enfance lumineuse passée dans un petit port en Amérique."
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"Aussi belle fille-- que Maria Chapdelaine" : la littérature dans la revue féminine rurale Paysana (1938-1949)Gagné, Marie-Pierre 13 April 2018 (has links)
Dans la première moitié du XXe siècle, la littérature circule encore aisément dans l'espace public par le biais des périodiques. Les écrivains y publient poèmes et récits de tous genres en même temps qu'ils y pratiquent une activité journalistique dite alimentaire. Notamment dans le cas des femmes, le journalisme revêt alors une importance particulière dans l'élaboration d'une carrière littéraire. Cette pratique leur offre l'occasion de formuler et de former un projet d'écriture tout en leur donnant les moyens de l'assumer. Françoise Gaudet-Smet fonde la revue féminine rurale Paysana en 1938. Véritable carrefour régionaliste, le contenu littéraire de la revue est à la hauteur des ambitions de sa fondatrice. Elle met à profit ses réseaux formés dans l'entre-deux-guerres et prolonge de façon stratégique l'histoire du journalisme féminin en s'attribuant notamment le rôle d'éditrice pour les récits d'une nouvelle venue dans le champ littéraire des années 1940 : Germaine Guèvremont.
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Statut énonciatif du personnage-narrateur dans Les enfantômes et Gros mots de Réjean DucharmeFortin, Karine 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Les enfantômes et Gros mots de Réjean Ducharme se caractérisent par le refus de leur personnage narrateur respectif de s’intégrer à la société et de se conformer aux normes et usages établis. Cette propension des protagonistes ducharmiens à aller à contre-courant de l’opinion publique, à se situer en marge des institutions, systèmes et écoles de pensée, à faire table rase de tout ce qui les entoure, à l’exception de l’amour, contribue à l’édification d’une identité marquée par le vide, l’insuffisance et l’inconsistance. Afin de cerner ce «manque à être» des personnages narrateurs, nous nous sommes penchée sur leur manière de s’exprimer, sur leur énonciation, et avons trouvé que celle ci témoignait d’une impossibilité à s’affirmer en tant que sujet, à s’inscrire dans le langage et dans le monde. L’usage du pronom personnel «on» et la «mise en texte» des valeurs représentent les lieux de «désubjectivation» auxquels nous nous sommes intéressée dans le présent mémoire. Un premier chapitre propose une étude contextualisée du pronom «on» et de ses différentes valeurs (exclusive, conjonctive, générique, «transsubjective» et décalée). Les outils théoriques proposés par Émile Benveniste, Catherine Kerbrat Orecchioni et Dominique Maingueneau ont été dûment utilisés afin de mener à terme cette entreprise. Le deuxième chapitre interroge la vision du monde des personnages narrateurs et la façon dont cette vision s’énonce ou se manifeste sur le plan discursif. Notre examen du système des valeurs s’appuie sur certains éléments de la démarche élaborée par Vincent Jouve dans son ouvrage intitulé La poétique des valeurs. L’hypothèse selon laquelle les positions idéologiques et existentielles des protagonistes ducharmiens sont le plus souvent communiquées par le biais d’un discours à tendance polémique est confirmée à travers l’étude de quatre extraits représentatifs. Il apparaît en outre que, par-delà la dévastation, la destruction et la néantisation inhérentes aux œuvres analysées, les liens fondés sur la tendresse et l’amour donnent un sens à la vie des personnages. / The characteristic features of Les enfantômes and Gros mots by Réjean Ducharme are the refusal of their respective first person narrators to integrate into society and to conform to prevailing norms and customs. The propensity of Ducharme’s protagonists to swim against the current of public opinion, to position themselves at the outer limits of institutions, systems and schools of thought, to erase everything around them, with the exception of love, contributes to the construction of an identity characterized by emptiness, inadequacy and inconsistency. In order to define this “lack of being” of the first person narrators, we analyzed the way in which they express themselves, their enunciation which, as we discovered, discloses their inability both to assert themselves as subject and to be part of language and the world. The use of the personal pronoun “one” and the representation of textual values represent locii of “desubjectivization” with which the present thesis is concerned. The first chapter presents a contextualized study of the pronoun “one” and its various values (exclusive, conjunctive, generic, trans-subjective and displaced). The theoretical tools proposed by Émile Benveniste, Catherine Kerbrat Orecchioni and Dominique Maingueneau were duly utilized to achieve our object. The second chapter examines the world vision of the first person narrators and the way in which this vision is articulated or manifested at the discursive level. Our study of the value system is based on specific elements of the procedure outlined by Vincent Jouve in his work La poétique des valeurs. The hypothesis that the ideological and existential positions of Ducharme’s protagonists are usually communicated through discourse with polemical tendencies is confirmed by a study of four representative extracts. Moreover, it emerges that, over and above the devastation, destruction and nothingness inherent in the works analyzed, connections based on tenderness and love give meaning to the characters’ lives.
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Une prise de parole sur la langue : l'ambivalence générique dans l'écriture poétique de Gaston Miron et de Patrice DesbiensLamoureux, Myriam 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / L'énonciation lyrique, qui domine largement notre conception moderne de la « voix poétique », constitue un enjeu important pour la critique contemporaine. Aborder l'écriture poétique par la figure complexe et indéterminée du sujet lyrique, voire par sa fictionnalité, permet de repenser le poème comme un genre ambivalent. Le Je de renonciation peut en effet emprunter différentes postures, tant lyrique qu'essayistique ou narrative, pour créer une poésie hybride, à mi-chemin entre la fiction et l'autobiographie. Cette étude porte sur la question linguistique dans L'homme rapaillé (1970) de Gaston Miron (principalement dans « La vie agonique », « Aliénation délirante » et « Notes sur le non-poème et le poème ») et dans trois recueils de Patrice Desbiens (L 'homme invisible / The Invisible Man, 1981 ; Poèmes anglais, 1988 ; La fissure de la fiction, 1997) selon une perspective d'hybridation générique au sein de l'écriture poétique. L'analyse du corpus rendra compte de la place qu'occupent certaines stratégies discursives à l'intérieur du poème pour créer d'autres espaces énonciatifs. Ainsi, le sujet lyrique emprunte les traits d'un narrateur fictif dans les « récits-poèmes » de Desbiens et la figure de l'essayiste dans les poèmes didactiques de Miron. Ces postures d'énonciation renvoient à différents statuts du poète (l'écrivain, l'homme d'action, le marginalisé, etc.) qui prend position sur l'état de la langue dans sa communauté. Cette préoccupation constante chez les deux poètes est abordée dans notre travail par une approche sociocritique et par une poétique des genres s'inspirant des théories de renonciation.
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Une poétique du personnage dans cinq romans québécois contemporains au féminin (1980-2000) : métaféminisme et postmoderneOprea, Denisa-Adriana 12 April 2018 (has links)
Ce travail a comme objectif de montrer le fonctionnement et de préciser le statut du personnage dans cinq romans québécois contemporains au féminin. Par le biais d'une approche poétique et psychosociologique, sont analysés Le sexe des étoiles (1987), de Monique Proulx, Copies conformes (1989), de Monique LaRue, Baroque d'aube (1995), de Nicole Brossard et L'hiver de pluie (1990) et La danse juive (1999), de Lise Tremblay. Le personnage est situé à la charnière d'une problématique double. En premier lieu, il relève du métaféminisme, c'est-à-dire d'un féminisme autre, distinct des courants de la deuxième vague. Il sous-tend une image nouvelle de la femme, de l'homme et de leurs rapports. Son fonctionnement témoigne d'un déplacement dans la définition des rôles sexuels et de genre. Dans le métaféminisme, le féminin et le masculin tendent à devenir des entités impures, poreuses, empruntant l'une à l'autre. Le personnage féminin métaféministe apparaît comme une femme libre et libérée. Sujet de son être et de son faire, elle revalorise l'amour, le couple et la maternité, tout en cherchant l'accomplissement professionnel et l'affirmation de soi au plan social. Sur un fond de remise en question des paramètres traditionnels de la masculinité, le personnage masculin métaféministe se présente comme changeant, en devenir. Il peut apparaître soit comme vulnérable, incapable de répondre aux attentes de la femme, soit comme équilibré, véritable « homme nouveau ». En second lieu, dans les romans étudiés, le personnage est issu d'une problématique postmoderne. Dans cette perspective, une double série typologique est mise en évidence ici : une série qui se revendique du postmoderne du décentrage et une série qui participe du postmoderne du vide. Le personnage du décentrage est impur et en devenir. Il perturbe la binarité du système de sexe et de genre et met de l'avant une ontologie provisoire et performative. Il s'appuie sur une conscience et sur une subjectivité nomades. Il est fragmenté et décentré, se refusant à la causalité et à la téléologie. La / le nomade est l'archétype de l'identité postmoderne. Le personnage du vide est éclaté, désubstantialisé, excessif et marginal. Il est le reflet d'un temps trouble, que dominent à la fois le désabusement et l'urgence de vivre, le mépris de la vie et la soif de sens, le manque d'« énergie vitale » et la tentation du geste. Dans les romans étudiés, le personnage relève d'une « philosophie métisse », à la charnière du métaféminisme et du postmoderne. Des personnages tels la transsexuelle, l'androgyne ou la / le nomade témoignent d'une alliance entre le métaféminisme et le postmoderne du décentrage. Cette alliance s'appuie sur une remise en question des systèmes binaires de sexe et de genre, sur une pensée impure, sur une ontologie en déplacement, sur des identités provisoires et performatives, etc. En revanche, un conflit axiologique oppose le métaféminisme et le postmoderne du vide. Il peut prendre la forme de la confrontation entre une culture des femmes, ancrée sur les valeurs de l'espoir, de la solidarité, de la responsabilité, de l'art, et une culture postmoderne, que dominent les simulacres et les simulations, les non-lieux et la violence Par ce travail, nous prônons la pertinence du concept de métaféminisme au sein de l'espace critique, mais pas uniquement québécois, et une lecture plus nuancée, tant esthétique qu'épistémologique, du féminisme, du métaféminisme et du postmodernisme.
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