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La petite noblesse ardennaise aux XVIIè et XVIIIè siècles : approche socio-démographique (1650-1789) /Sardet, Michel. January 1998 (has links)
Th. doct.--Institut de recherches sur les civilisations de l'Occident moderne (U.F.R. d'histoire)--Paris--Université Paris IV-Paris Sorbonne, 1997. / En annexes, recueil de documents, certains en fac-sim. Bibliogr. p. 23-47.
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La Reproduction d'une catégorie sociale : la petite noblesse de Haute-Bretagne, XVe-XVIIIe siècles /Nassiet, Michel, January 1989 (has links)
Thèse--Paris 4, 1989. / Bibliogr. f. XX-XXXIX.
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Les Salers et les d'Escorailles, seigneurs de Haute Auvergne : 1500-1789 /Goldsmith, James Lowth, Buttin, Jacques L. January 1984 (has links)
Texte remanié de: Thèse--Philosophie--Harvard, 1971. / Bibliogr. p. 21-35.
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Noblesse et pauvreté : la petite noblesse en Bretagne, XVe-XVIIIe siècle /Nassiet, Michel, January 1993 (has links)
Th. univ.--Paris 4, 1989. Titre de soutenance : La reproduction d'une catégorie sociale, la petite noblesse de Haute-Bretagne, XVe-XVIIIe siècles. / Bibliogr. p. 489-509.
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L'habitat de la petite noblesse dans la partie nord de l'ancien comté de Hainaut, 15e-18e siècles: architecture, modes de vie et manières d'être / Gentry's settlement in the County of Hainault ,15th-18th centuries: architecture, ways of life, behaviours.Mathieu, Clémence 13 September 2012 (has links)
Cette étude s’attache à comprendre ce qu’est un habitat seigneurial secondaire en Hainaut à la fin du Moyen Age et aux Temps Modernes. La disparition de la plupart des résidences de la haute noblesse en Hainaut, nous a amenée à nous pencher sur l’étude des habitats de la petite noblesse, dont le manque de reconnaissance, entrainant la démolition ou les transformations irréversibles de ces habitats, rend ces édifices sujets à l’oubli. Ajoutons à cela que, victimes d’une tradition castrale héritée du 19e siècle, archéologues et historiens de l’art ont bien souvent eu leur attention d’abord attirée par les grands châteaux et donc la haute noblesse, laissant de côté toute une tranche de la population noble et de leurs possessions. Notre étude a comme objectif majeur de comprendre comment ces habitats ont fonctionné comme structures de vie, mais aussi comme des architectures à travers lesquelles et par lesquelles les habitants pouvaient exprimer leurs identités. Dans cette optique, après avoir considéré les différents types architecturaux (types de plans, types de corps de logis, types de tours), suivant une typo-chronologie, nous considérons les matériaux utilisés et la distribution intérieure de ces édifices. <p>Ce sont ensuite les entourages de l’habitat en tant qu’espace construit, leur situation dans le paysage, et par rapport au relief, à l’hydrographie, aux villages, aux terres de cultures, et aux réseaux de communication, qui occupent une grande partie de l’étude. Les liens avec leurs habitants, ces membres de la « petite noblesse » sont ensuite considérés. Leurs fonctions, leurs origines et leurs zones de déplacements sont abordés, afin de mieux percevoir le rôle et la détermination de ce groupe social, qui s’avère être en rupture avec la haute noblesse. L’opposition traditionnelle entre villes et campagnes est dépassée, de même que la question des maisons principales et secondaires, au profit d’une approche plus fluide, favorisant une interaction entre villes et campagnes, et considérant les mouvements de population émergeant de l’un ou l’autre milieu. <p>La partie interprétative suit ensuite, permettant d’aboutir à une caractérisation de ce type d’habitat. Le but est notamment de mettre en lumière la relation entre les aspects défensifs et résidentiels des édifices. Pour ce faire, les éléments de défense active et passive sont examinés, ainsi que le degré d’efficacité de ces structures. <p>La suite de cette partie a pour but de replacer les habitats de la petite noblesse dans le contexte des types architecturaux des campagnes, de la haute noblesse et des villes du Hainaut et des anciens Pays-Bas, afin de mieux dégager les liens ou les ruptures entre les différents groupes sociaux et architecturaux. Les rapports avec les habitats ruraux sont établis en ce qui concerne les diverses composantes que sont les douves, les pont-levis, les orifices de tir, les espaces verts et les aménagements hydrographiques d’agrément, la basse-cour, les tours, les typologies des plans et de maisons, les matériaux et leur qualité de mise en œuvre, les intérieurs, les ouvertures et les styles, les armoiries et les millésimes. La catégorie intermédiaire que sont les habitats des élites rurales, est également abordée, puisqu’elle développe des types architecturaux ambigus et se rapprochant davantage des habitats de la petite noblesse que des autres ruraux. Cette catégorie est examinée d’un point de vue architectural et social./This research is aiming at understanding what is a gentry’s settlement in the County of Hainault at the end of the Middle Ages and during the Modern Times. The disappearance of most of the castles of the high nobility in Hainault, led us to study the gentry’s settlement. The lack of recognition of this kind of building is often leading to their destruction and irreversible transformations. There is also the fact that the archaeologists and art historians often inherited from the 19th century tradition, whose attention was mostly attracted by the main castles and the high nobility, forgetting by the same occasion a side of the nobility –the gentry- and his settlement.<p>The main objective of this research is to understand how these settlements were linked with their inhabitants, expressing their identities, ways of living and behaviours. In this framework, we first analyse the architectural typologies (plans, residential buildings, towers) in connection with the chronology, the materials, and the inner organisation of these buildings.<p>Afterwards, we consider the surroundings of the buildings, the location in the landscape, the relief, hydrography, the village, the lands, the communication net. The lesser nobility is also studied, through its functions, origins, movement areas, in order to have a better understanding of the role and definition of this social group which is distinctly separated from the high nobility. The traditional opposition between cities and countryside, and between the main and secondary housing, is overstepped, in order to reach a more flexible approach. We therefore consider the topic through an interaction between cities and countryside, and their inhabitants.<p>The rest of the research is dedicated to the interpretations, in order to draw the characterists of the gentry’s settlement. First, the relationships between the defensive and residential aspects are considered. The active and passive defensive elements are studied, as well as the efficiency of these structures.<p>Secondly, we replace the gentry’s settlement in the context of the other architectural types of the countryside, high nobility and cities of the county of Hainaut and the Southern Low Countries, in order to have a better understanding of the links and breaks between the different social and architectural groups. The link with the rural settlement is established concerning the following elements :drawbridges, moats, arrow slits, green spaces and water structures, farms, towers, plans and houses typologies, materials and their quality, interiors, openings and styles, coats of arms. The intermediate category of the settlement of the rural elites is also considered, as the architectural types are close to the gentry’s settlement. This category is examined on an architectural and social point of view.<p>The link with the settlement of the cities and the high nobility is also studied, allowing to see a lack of link between the different categories at least until the end of the 17th century. <p>In the last chapters, the gentry’s settlement of Hainault is replaced in the context of the Southern Low Countries, through a comparative approach. We also consider the link with this kind of settlement and the tradition and the modernity, as well as the link with the social status of their inhabitants and builders.<p>The conclusion is the occasion to remind all the characteristics of the gentry’s settlement in Hainault, and the evolution of the architectural types through the centuries. Some comparisons with the same kind of settlement in surroundings countries are also established, opening new research perspectives. In the epilogue, we consider the buildings on a conservation, restoration and preservation point of view. The state of the art of the legislative situation is given, and prescriptions for a better future conservation are drawn, in order to avoid a disappearance of the architectural information, together with an important part of the history.<p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Une ambition féminine au siècle des Lumières : éducation et culture au château : les journaux de Mme de Marans (1719-1784) / A woman’s ambition in the age of Enlightment : education and culture in the manor : Mme de Marans and her commonplace books (1719-1784)Chollet, Mathilde 29 November 2014 (has links)
Mme de Marans (1719-1784) est issue d'une famille de noblesse récente et vit en châtelaine dans le Bas-Vendômois. Elle tient la plume dès son enfance et écrit en son for privé toute sa vie. Trois de ses journaux personnelsont été conservés : recueils de miscellanées, ils s'apparentent aux livres de lieux communs. La forme et le fond de cesécrits privés révèlent la personnalité de leur auteure, très cultivée, les raisons de sa prise de plume et ses pratiquesd'écriture. À l'aide de ces sources principales, de la correspondance de Mme de Marans et d'actes de la pratique, il estpossible de restituer l'éducation reçue par la diariste et les voies d'accès à la culture pour cette provinciale curieuse detout. Mme de Marans mobilise l'univers de la sociabilité des élites et celui du livre (elle offre même le fruit de sesréflexions au public via les anonymes Pensées errantes) pour satisfaire son ambition d'en apprendre davantage.Introspection, morale, théologie, histoire, littérature ancienne et moderne, sciences, intéressent Mme de Marans. Elleporte aussi sa réflexion sur des sujets d'actualité : place de la noblesse dans la société, nature du pouvoir royal etdroits des femmes. Le profil de Mme de Marans correspond à celui d'autres écrivantes et curieuses de la France et del'Europe des Lumières, mais elle subit les mêmes contraintes que ses contemporaines dans son accès à laconnaissance. Son cas montre ce qui est possible en matière de réception et d'appropriation des savoirs à lacampagne, et contribue à la réévaluation de l'éducation et la culture des femmes au château au XVIIIe siècle. / Mme de Marans (1719-1784) was born in a noble but new family and lives amongst the Bas-Vendômois gentry.She starts writing as a child and keeps private writings her whole life. Three of her diaries, or commonplace books, werepreserved. Form and content of these private writings reveal their author's character, her great culture, the reasons whyshe started writing and her writing practice. Those main sources, Mme de Marans' correspondence and notary sourceshelp reconstituting her education, and the ways her inquiring mind can access knowledge. Mme de Marans takesadvantage of her social network and of the book industry (she even publishes her thoughts in the anonymous Penséeserrantes) to fulfill her ambition of always learning more. Mme de Marans is interested in introspection, ethics, theology,history, science, ancient and modern literature. Topical issues such as nobility's place in society, nature of royal powerand women's rights concern her as well. Mme de Marans shares similarities with other women writers from France orEurope of the Enlightment, but she experiences the same restrictions as her contemporaries in her access toknowledge. Her case is an example of what can be appropriation of ideas in the countryside, and contributes to thereassessment of women's education and culture amongst the 18th century gentry.
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La petite noblesse de la sénéchaussée de Sarlat de la Fronde à la Révolution française (1648-1789) / The low nobility of the Sarlat sénéchaussée from the Fronde to the French Revolution (1648-1789)Royon, Olivier 26 March 2011 (has links)
La noblesse du Sarladais avait la réputation d'être pléthorique et désargentée, mais ce point de vue traditionnel doit être nuancé : les nobles n'étaient nombreux que dans les villes de Sarlat, de Monpazier, et dans les vallées. Ils étaient effectivement pauvres, mais leurs lignées étaient anciennes : un partage favorable à l'aîné et l'exercice d'activités sans dérogeance pour les cadets permettaient aux uns et aux autres de se distinguer de leur environnement social. Leurs relations avec l'Etat évoluèrent : aux XVI ° et XVII ° siècles, la noblesse lutta pour son indépendance, encouragée par les La Tour d'Auvergne, dont la vicomté de Turenne était souveraine. Vers 1740, avec le déclin de cette lignée, le second ordre se soumit au monarque : il s'intégra dans ses clientèles pour le servir, et il renforça ses liens avec lui, par des unions avec de vieilles lignées d'officiers, qui faisaient de l'ancienneté un élément essentiel de l'identité nobiliaire. Bien que vaincus, les nobles envisagèrent de réformer l'Etat absolutiste, car la noblesse voulait rester maîtresse chez elle en se protégeant de la domination parisienne et bordelaise. Mais, la réforme n'était pas sans risques, car la noblesse était isolée : d'une attitude ambivalente avec la bourgeoisie, elle se heurtait à des paysans hostiles aux droits féodaux, qu'un noble pauvre ne pouvait abandonner sans perdre sa supériorité dans la paroisse. / The nobility of Sarlat region was know to be overed and penniless, but this reputation needs to be qualified : the noblemen were numerous only in Sarlat, Monpazier and the valleys. They were poor indeed, but their lineage was ancient : the sharing out was in favor of the eldest and the activities reserved to the nobility of the younger brothers allowed them to distinguish themselves from their social environment. The relationships between the nobility and the State also deserve a closer investigation : throughout the 16 th and the 17 th centuries, the nobility fought for its independence, and it's supported by La Tour d'Auvergne whose the viscountey of Turenne was sovereign. Around 1740, with the decline of this lineage, the members of the "second ordre" submitted themselves to the Monarch and joined as it's followers to serve him. Trough this, they also strengthened bonds with him through the unions of old officer lineages for whom length of service was the fundamental element of the identity nobility. Although they had been defeated, the noblemen considered that it was a necessity to reform the absolutistic State, for the nobility wanted to remain in control protecting itself from the domination of Paris and Bordeaux. Yet, the reforme included risks, for the nobility was isolated : its ties with the "bourgeoisie" were ambivalents, but they faced farmers hostile to the feudals rights which a poor nobleman could not give up on, without losing superiority within the parish.
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