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Modalités de l'autoportrait photographique contemporain

Roy Matton, Maude 08 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est de répertorier différentes modalités de l'autoportrait photographique à partir de la production artistique des années 1960 à 1990. Évidemment, les catégories proposées ne sont représentatives que de l'une des multiples avenues empruntées par la photographie contemporaine et en ce sens, ces typologies ne doivent pas être considérées comme invariables. Elles visent à mettre en lumière une tendance dominante dans la pratique contemporaine, soit celle de ne plus privilégier la présence du visage lors de la création d'un autoportrait par l'emploi de procédés de masquage et de brouillage. Pour ce faire, nous avons remonté aux origines du portrait et de l'autoportrait dans l'histoire de l'art occidental en s'attardant, dans un premier temps, au médium de la peinture. En procédant de manière chronologique, il a été possible de mettre en évidence le lien étroit, pour ne pas dire intrinsèque, qui unissait ces deux genres avec le concept de ressemblance. Par la suite, nous nous sommes attardés à l'apparition de la photographie et à son incidence sur le développement du portrait et de l'autoportrait au XIXe et au XXe siècles. La mimésis, qui occupait jusqu'alors une place prépondérante dans le domaine de la peinture, s'est vue approprier par le médium photographique. Mais rapidement, parce que la photographie tentait au cours de cette période de définir sa pratique, l'idée de simplement copier les préceptes de la peinture semblait inconcevable pour certains photographes. Nombreux furent ceux qui se mirent à expérimenter avec les possibilités plastiques et techniques que leur offrait la photographie avec pour objectif de développer un langage proprement photographique. En dernière instance, il a été question de l'autoportrait dans le contexte de la production contemporaine avec la présentation de trois catégories d'esthétiques sous lesquelles ont pu être regroupés les autoportraits choisis comme corpus d'œuvres. La tendance dont rend compte ce mémoire ne doit pas signifier la mort de l'autoportrait, mais au contraire, elle doit plutôt être vue comme un moyen l'empêchant de trépasser. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Typologie, autoportrait, art contemporain, photographie.
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Des archives photographiques à l'installation comme lieu de mémoire de femmes : un récit de pratique

Aucê, Anahy 10 1900 (has links) (PDF)
L'œuvre Au-delà du regard constitue le corps de la présente thèse création. Elle explore les enjeux liés à la mémoire et propose une réflexion sur la mort et la survie. Des signes de l'imaginaire féminin appartenant à la fin du XIXe et au début du XXe siècle sont mis en scène dans une installation vidéographique. Celle-ci se compose de projections d'images photographiques animées de visages de femmes, d'un ensemble de quatre cents têtes de poupées disposées au sol, dont certaines sont identifiées par un prénom; des codes d'identification numérique et des noms de famille inscrits sur certains murs de la salle d'exposition. La création de ce lieu de mémoire est une invitation à découvrir ces femmes, à s'interroger sur leur existence et ainsi, à les faire revivre dans notre imaginaire. L'œuvre présente également un questionnement sur les migrations des mémoires de femmes qui, à travers le regard d'aujourd'hui se réactualisent constamment. Ma proposition dépasse la question de la femme et ouvre sur le thème de la finitude de l'humain et de l'installation comme espace de commémoration. Dans le contexte de cette thèse création, une approche descriptive et autopoïétique est privilégiée. Le point de vue adopté est celui de la production et l'accent est mis sur la genèse et le processus de création d'Au-delà du regard. Le texte qui accompagne l'œuvre prend la forme d'un récit de pratique qui décrit et analyse différentes stratégies et opérations artistiques, instaurant une dialectique entre l'effacement et la réactivation de la mémoire des femmes. Autrement dit, l'observation et l'analyse portent sur le travail de collecte d'images dans les archives photographiques brésiliennes et québécoises; sur les différents processus de traitement des images comme la numérisation, le découpage et l'animation; sur le travail sculptural, c'est-à-dire, le processus de reproduction de poupées en argile par le moulage et, finalement, sur la mise en espace de l'œuvre. Plusieurs études philosophiques sur la photographie, l'indice, les archives, la théorie de l'image numérique, la vidéo, le moulage, l'installation et la mémoire m'ont permis d'analyser les opérations sur lesquelles se fonde ma pratique. M'appuyant sur un cadre théorique hybride et hétérogène, harmonisé par l'autopoïétique, j'analyse d'un point de vue d'artiste un corps d'œuvres contemporaines. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : archives, installation, mémoire, mort, opérations artistiques, photographie de femme, survivance, vidéo.
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Au-delà de la controverse, la série Immediate family de Sally Mann : l'"image pensive" comme outil d'analyse de la photographie contemporaine

Pineau, Valérie 09 1900 (has links) (PDF)
Les photographies de la série Immediate Family ont suscité une controverse importante dans les années 1990 à 2000. Sally Mann expose dans son œuvre, ses enfants nus, blessés et souillés au regard du public. Malgré le fait qu'elles aient déclenché des menaces et des critiques, les photographies de la série Immediate Family n'ont pas fait l'objet de poursuites judiciaires et ont même valu à son auteur le titre de photographe de l'année 2001 du Time Magazine. Ce constat provoque l'émergence de certaines questions entourant la sensibilité commune. La problématique qui sera étudiée dans ce mémoire est celle-ci : par quel procédé les photographies de la série Immediate Family s'insèrent-elles dans la sensibilité commune? Notre hypothèse est que les photographies de cette série intègrent le sensible commun grâce à leur qualité d'« image pensive ». Nous nous proposons d'utiliser cette notion, développée par le théoricien de l'art Jacques Rancière, comme outil d'analyse de la série Immediate Family. Nous allons étudier le processus de création de l'« image pensive » qui apparaît par l'intermédiaire du mécanisme de la suspension esthétique, terme que nous allons aussi définir. Puis, nous allons étudier le potentiel créateur de la suspension esthétique de la citation et de l'ironie. Finalement, nous allons analyser le fonctionnement de l'ironie et de la citation dans la série Immediate Family pour démontrer le caractère pensif de ces œuvres. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sally Mann, Image pensive, Suspension esthétique, Controverse, Ironie, Citation, Immediate Family.
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La force et le charme de la trace : un projet de portrait photographique

Funk, René January 2009 (has links) (PDF)
La recherche présentée dans cette thèse répond à la question fondamentale suivante: que peut-on donner à voir, dans une image, qui ne se livre pas à la vision physiologique directe? Autrement dit, pourquoi regarder une oeuvre plutôt que directement son référent? Question plus délicate encore lorsqu'il s'agit d'une image photographique. La recherche est ordonnée en deux parties. La première, intitulée La force et le charme de la trace, prolégomènes à un projet de portrait photographique, tente de répondre à la sous-question: pourquoi photographier? en proposant une approche apologétique de l'image optique fixe enregistrée, fondée sur une poïétique, c'est-à-dire sur une connaissance phénoménologique sensible qui m'est propre, en tant qu'opérateur. J'ai réservé une place de choix à la machine photographique, en mettant en évidence la sensorialité de l'opérateur, qui «regarde voir» sa machine, découvrant ainsi une fonction haptique visuelle. Le produit de la machine, le tirage, est aussi examiné dans la perspective d'une caractéristique sensorielle peu connue que je nomme la «pâte photographique». La seconde partie, intitulée Un projet de portrait photographique, propose une «chaîne de réflexions» sur le portrait, qui s'allie à la genèse de mon projet et en explicite les fondements, tout en répondant à une deuxième sous-question: pourquoi faire du portrait ? Le premier élément porte sur le portrait, tous médiums confondus, qui dégage les embrayeurs (facteurs moteurs) du portrait en soi et montre comment s'incarne la «pulsion portraiturante» et quels sont ses moyens opératoires; j'examine ensuite sur le portrait sculpté, tel que je l'ai pratiqué, qui m'avait conduit à la découverte de la «gravité», état ontologique plutôt que psychologique, que j'avais pu observer alors sur le visage de mes modèles. Cette gravité, ce «quelque chose» venant du tréfonds, quasi invisible dans la vie courante, avait une double particularité: son universalité et sa répétition. Puis, j'aborde le portrait peint, par le truchement de Giacometti, dont l'apport majeur à mon projet est constitué par sa recherche acharnée de «densification» (accroissement de la présence, de la consistance). Vient ensuite le portrait photographique en soi, tous auteurs confondus, dont je dégage les spécificités, celles-là mêmes qui ont été mises en oeuvre dans mon projet, notamment l'intrusion d'une machine dans un dispositif de portrait et les peurs qu'elle peut engendrer. Le fait qu'elle recueille le «don de photons» du référent dérange autant qu'il fascine, comme en font foi les réflexions des premiers photographiés. La chaîne se termine par l'examen attentif du travail d'un photographe: Davidson, New York, East 100th Street, travail qui constitue un apport majeur à mon projet, entre autres, par le concept opératoire d'installation dans la durée, permettant l'immobilité, donc la non-instantanéité, notion qui institue un lien entre le portrait sculpté et le portrait photographique: il est possible d'abolir l'expression fugitive en photographie, d'y restaurer l'idée de non-événement. Cet apport majeur, en relation avec un événement personnel important et la remémoration de la découverte de la gravité, va donner naissance à mon projet de portrait photographique. Ce projet est essentiellement une quête de la gravité. Ce qui fut une apparition inattendue dans l'atelier du sculpteur s'est métamorphosé en une recherche active, exécutée en photographie, avec des concepts opératoires ayant migré de la sculpture mais avec aussi d'autres concepts propres, créés en lien étroit avec la réflexion sur la photographie dont il est fait état dans les Prolégomènes. Il a d'abord fallu déjouer un paradoxe: avant de pouvoir photographier la gravité, il est nécessaire qu'elle apparaisse sur le visage. Or, la présence autant que les pouvoirs de la machine photographique tendent à occulter cet état profond de l'être, que permettait la vacuité vécue par le modèle du sculpteur. Autrement dit, c'est dans l'inaction qu'apparaissait la gravité, alors que le modèle du photographe -que je nomme, pour cette raison, le référent -est normalement actif par le fait de son auto-inscription sur la surface sensible. Il s'agit donc de déjouer la «volonté d'inscription» par quelques stratégies, dominées par une demande: cesser d'émettre des signes, mais tout en restant présent et conscient de l'opération, ce qui constitue une gageure de la part du photographié et explique en partie la petite quantité de vues répondant aux visées du projet. Pour faire passer la gravité d'un impondérable apparemment fugitif à une réalité plastique inscrite dans la durée, s'incarnant dans un tirage photographique que je nomme la vue majeure, il faut ajouter l'opération de densification, qui devrait se jouer simultanément dans deux registres: une présence accrue de la gravité en tant qu'état du référent, actualisée dans une présence accrue de l'image photographique en tant qu'oeuvre. Neuf vues majeures se dégagent des quelque cinq mille deux cents vues effectuées depuis 1994 avec cinquante et un participants. Concrètement, j'opère au moyen de séances répétées, avec un dispositif volontairement dépouillé (aucune composition : posture rigoureusement frontale; fond neutre ; éclairage normalisé ; vêtements neutres ; aucun bijou), avec la même personne, parfois durant plusieurs mois, voire plusieurs années. La vue majeure pourrait se définir comme étant une image capable de livrer des qualités et des densités plastiques équivalentes aux qualités et à la densité de présence des protagonistes, avec une «métaqualité» : celle d'une monstration de la gravité. Plus précisément, pour montrer : premièrement, l'abolition d'une «distance» (psychique) entre le référent, l'opérateur et la chambre optique; secondement, l'unification de deux éléments-clefs du visage que sont les yeux et la bouche lorsqu'ils sont accordés entre eux, liés dans une même présence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L'AUTEUR: photographie, portrait photographique, densification, durée, gravité, haptique visuelle, image optique native, non-instantanéité, pâte photographique, peur (de la machine), répétition, sensorialité de l'opérateur, trace (charme et gestion), verre dépoli.
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Le masque social ou la representation de la bourgeoisie mexicaine dans le portait photographique (1854-2008) / The social mask or the representation of the Mexican bourgeoisie in the photographic portrait (1854-2008)

Herrerias Cuevas, Vesta Mónica 09 June 2009 (has links)
Loin de la dénonciation sociale ou d’un exercice strictement historique, le présent travail cherche à comprendre comment se construit l’image du personnage bourgeois à travers l’étude de portraits de la bourgeoisie mexicaine entre 1854 et 2008. Le concept de masque permet de rendre compte du portrait en tant que construction d’un modèle de représentation sociale. La première partie propose un aperçu général des origines et de l’évolution du portrait pictural, de son influence sur le portrait photographique, des conséquences des idées humanistes sur l’art, enfin de l’histoire de la bourgeoisie mexicaine et du portrait photographique bourgeois au Mexique. La deuxième partie s’intéresse au phénomène de la carte-de-visite en tant que source et modèle du portrait photographique de la bourgeoisie mexicaine, avant d’examiner la question de la figure : l’interprétation de la pose et du visage en tant qu’éléments constitutifs de la construction d’une identité sociale. La troisième partie étudie le fond, c'est-à-dire les différents espaces dans lesquels le personnage bourgeois se fait photographier, les objets qui l’entourent et son rapport à eux. Cette recherche s’appuie sur les contributions théoriques de philosophes, d’écrivains, d’historiens et de photographes tels qu’André Adolphe Eugène Disdéri, Joan Foncuberta, Geoffrey Batchen, Octavio Paz, Carlos Monsiváis, Celso Sánchez Capdequí, Pierre Francastel, Christian Phéline, E. H. Gombrich, Gilles Lipovetsky, Gillo Dorfles, Graham Clarke, Jacques Aumont, Jean Sagne, Jean-Luc Nancy, Michel Frizot, Philippe Dubois, John Berger, Hermann Broch, Umberto Eco, Roland Barthes, Tzvetan Todorov, Michel Foucault, Susan Sontag, Walter Benjamin. Parmi les photographes mexicains abordés dans cette étude, l’on citera les frères Valleto, Cruces et Campa, les Archives Casasola, Nacho López, Héctor García, Pedro Meyer, Daniela Rossell et Ivonne Venegas. / Far from social condemnation or a strictly historic review, this work seeks to understand the construction of the bourgeois personage through the study of Mexican bourgeoisie portraits between 1854 and 2008. The “mask” concept allows us to explain the portrait as the construction of a model of social representation. Part I offers an overview of the origin and evolution of the pictorial portrait and its influence on the photographic portrait, as well as the consequences of humanist ideas on art, the history of Mexican bourgeoisie and the bourgeois photographic portrait in Mexico. Part II analyses the carte-de-visite phenomenon as origin and model for the photographic portrait of the Mexican bourgeoisie, to later study the figure, the interpretation of posture, stance and facial expression as components of the construction of social identity. Part III studies depth: different spaces where the bourgeois character is photographed, the objects around him and his relation to them. Taken into account are the theoretical contributions of philosophers, writers, historians, and photographers, like André Adolphe Eugène Disdéri, Joan Foncuberta, Geoffrey Batchen, Octavio Paz, Carlos Monsiváis, Celso Sánchez Capdequí, Pierre Francastel, Christian Phéline, E. H. Gombrich, Gilles Lipovetsky, Gillo Dorfles, Graham Clarke, Jacques Aumont, Jean Sagne, Jean-Luc Nancy, Michel Frizot, Philippe Dubois, John Berger, Hermann Broch, Umberto Eco, Roland Barthes, Tzvetan Todorov, Michel Foucault, Susan Sontag, Walter Benjamin. Among the Mexican photographers studied are the Valleto brothers, Cruces y Campa, the Casasola Archive, Nacho López, Héctor García, Pedro Meyer, Daniela Rossell and Ivonne Venegas.

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