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René Burri et la presse illustrée. Inventaire et analyse du système de diffusion de l’œuvre du photoreporter (1955-2013) / René Burri and the illustrated press. Inventory and analysis of the photojournalist’s work’s mass circulation (1955-2013)

Jouvin, Émilie 18 January 2014 (has links)
René Burri est un photoreporter, membre de l’Agence Magnum Photos depuis 1955. Certaines de ses photographies sont aujourd’hui considérées comme des icônes de l’histoire de la photographie. L’analyse du système de diffusion de son travail, à travers la presse illustrée, tentera de répondre à la question de la fabrique de ces images en tant que symboles. Cette dense production est traitée en quatre chapitres. Le premier introduit le contexte photographique et éditorial dans lequel arrive René Burri, en 1955. Le deuxième suit l’ordre des publications liées à une prise de vue photojournalistique, événement après événement. Le troisième accompagne, thématiquement, les sujets développés par le photoreporter, quand le troisième replace la photographie au moment de sa reconnaissance institutionnelle. Le travail de René Burri subit dès lors, par la presse illustrée, une sélection par l’icône.Quelle est la relation entre l’œuvre de René Burri et la presse illustrée ? L’analyse des politiques éditoriales des plus grands titres de la deuxième moitié du XXe siècle soutient le discours et atteste de la place de la photographie de René Burri dans la presse illustrée. Cette recherche, au corpus inédit, permet de montrer l’œuvre du photographe sous une approche singulière et, au- delà, permet de voir en quoi la presse illustrée participe à un mode de diffusion exclusif de certaines photographies. En effet, certains clichés, qui avait été sujets à de nombreuses publications sont aujourd’hui oubliés, alors que d’autres, qui n’avaient pas été publiées au moment de leur réalisation, sont aujourd’hui, avec quelques unes qui résonnent toujours, représentatives du parcours du photoreporter. / René Burri, member of Magnum Photos agency since the middle of the fifties, is a famous photographer. Thanks to an exhaustive inventory of all of his published production, the study will bring it out. Through the analysis of the way the work of this swiss photographer has been edited, we could understand how, today, some pictures are kind of iconic. Four chapters analyse this dense production. The first one introduces the photographic and editorial context in which René Burri begins working in 1955. The second, following the order of the publications, event after event, deals with a photojournalistic photography. The third one handles the investigation photography of René Burri, trough a thematic construction. The last section is about the institutional recognition of the photography as an Art, so as some of the photographs are published like pieces of a photographic heritage. René Burri’s work is then broadcasted undergoing an iconic selection. What is the relationship between the work of René Burri and periodicals? The analysis of some greatest titles of the second half of twentieth century’s editorials politics attests of the importance of photography; and furthermore, of René Burri’s pictures. Through an unpublished corpus, the purpose of this study is to show the work of the photograph through an original approach; and, beyond, to see how the press can give a selective vision of this work. Indeed, some of photographs often published by the past are now unknown, although others, which did not appear in periodicals at the moment they were taken, are now very famous. Today, those ones, among vintages ones that still echoe, are representatives of René Burri’s work.
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Le dispositif photo-littéraire en France dans la seconde moitié du XXème siècle : analyse de l'oeuvre de François-Marie Banier, Jean-Loup Trassard, Lorand Gaspar et Denis Roche

Pal, Gyöngyi 02 April 2010 (has links) (PDF)
Au cours de la deuxième moitié du XXe siècle le statut de la photographie se trouve bouleversé : l'institutionnalisation du médium, son emploi dans les arts conceptuels, la crise du photo-journalisme, l'avènement de la photographie digitale, en accord avec le passage à l'esthétique pragmatiste, influencent la reconnaissance de l'instabilité du signe et de la précarité du sens d'une œuvre. De nouveaux concepts apparaissent alors dans la définition de la photographie tels l'empreinte ou le dispositif, qui déplacent le sens de l'œuvre au delà de sa réalisation matérielle. Ce changement aura un impact sur la relation texte-image en général, ainsi que sur les œuvres photo-littéraires. Si le discours sur la photographie a toujours tourné autours de sa valeur de vérité, apposé au texte cette dernière devient problématique. La valeur documentaire paradoxale de la photo ouvre alors une multitude de possibilités de son utilisation dans les autobiographies, les autofictions ou les œuvres de fiction. La richesse des rapports texte/photo se dévoile également dans la partie qui met en parallèle des études monographiques consacrée à l'œuvre de François-Marie Banier, Jean-Loup Trassard, Lorand Gaspar et Denis Roche. Ces écrivains photographes nouent justement de différentes manières leur deux pratiques photographique et littéraire, dont l'étude nécessite aussi le développement de nouveaux outils méthodologiques. Inspiré des « cultural studies » ce travail cherche donc à comprendre l'émergence et le dépassement du problème de l'instabilité du signe dans la théorie de la photographie, dans les autobiographies photo-littéraires et dans les œuvres iconotextuelles des écrivains photographes
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La force et le charme de la trace : un projet de portrait photographique

Funk, René January 2009 (has links) (PDF)
La recherche présentée dans cette thèse répond à la question fondamentale suivante: que peut-on donner à voir, dans une image, qui ne se livre pas à la vision physiologique directe? Autrement dit, pourquoi regarder une oeuvre plutôt que directement son référent? Question plus délicate encore lorsqu'il s'agit d'une image photographique. La recherche est ordonnée en deux parties. La première, intitulée La force et le charme de la trace, prolégomènes à un projet de portrait photographique, tente de répondre à la sous-question: pourquoi photographier? en proposant une approche apologétique de l'image optique fixe enregistrée, fondée sur une poïétique, c'est-à-dire sur une connaissance phénoménologique sensible qui m'est propre, en tant qu'opérateur. J'ai réservé une place de choix à la machine photographique, en mettant en évidence la sensorialité de l'opérateur, qui «regarde voir» sa machine, découvrant ainsi une fonction haptique visuelle. Le produit de la machine, le tirage, est aussi examiné dans la perspective d'une caractéristique sensorielle peu connue que je nomme la «pâte photographique». La seconde partie, intitulée Un projet de portrait photographique, propose une «chaîne de réflexions» sur le portrait, qui s'allie à la genèse de mon projet et en explicite les fondements, tout en répondant à une deuxième sous-question: pourquoi faire du portrait ? Le premier élément porte sur le portrait, tous médiums confondus, qui dégage les embrayeurs (facteurs moteurs) du portrait en soi et montre comment s'incarne la «pulsion portraiturante» et quels sont ses moyens opératoires; j'examine ensuite sur le portrait sculpté, tel que je l'ai pratiqué, qui m'avait conduit à la découverte de la «gravité», état ontologique plutôt que psychologique, que j'avais pu observer alors sur le visage de mes modèles. Cette gravité, ce «quelque chose» venant du tréfonds, quasi invisible dans la vie courante, avait une double particularité: son universalité et sa répétition. Puis, j'aborde le portrait peint, par le truchement de Giacometti, dont l'apport majeur à mon projet est constitué par sa recherche acharnée de «densification» (accroissement de la présence, de la consistance). Vient ensuite le portrait photographique en soi, tous auteurs confondus, dont je dégage les spécificités, celles-là mêmes qui ont été mises en oeuvre dans mon projet, notamment l'intrusion d'une machine dans un dispositif de portrait et les peurs qu'elle peut engendrer. Le fait qu'elle recueille le «don de photons» du référent dérange autant qu'il fascine, comme en font foi les réflexions des premiers photographiés. La chaîne se termine par l'examen attentif du travail d'un photographe: Davidson, New York, East 100th Street, travail qui constitue un apport majeur à mon projet, entre autres, par le concept opératoire d'installation dans la durée, permettant l'immobilité, donc la non-instantanéité, notion qui institue un lien entre le portrait sculpté et le portrait photographique: il est possible d'abolir l'expression fugitive en photographie, d'y restaurer l'idée de non-événement. Cet apport majeur, en relation avec un événement personnel important et la remémoration de la découverte de la gravité, va donner naissance à mon projet de portrait photographique. Ce projet est essentiellement une quête de la gravité. Ce qui fut une apparition inattendue dans l'atelier du sculpteur s'est métamorphosé en une recherche active, exécutée en photographie, avec des concepts opératoires ayant migré de la sculpture mais avec aussi d'autres concepts propres, créés en lien étroit avec la réflexion sur la photographie dont il est fait état dans les Prolégomènes. Il a d'abord fallu déjouer un paradoxe: avant de pouvoir photographier la gravité, il est nécessaire qu'elle apparaisse sur le visage. Or, la présence autant que les pouvoirs de la machine photographique tendent à occulter cet état profond de l'être, que permettait la vacuité vécue par le modèle du sculpteur. Autrement dit, c'est dans l'inaction qu'apparaissait la gravité, alors que le modèle du photographe -que je nomme, pour cette raison, le référent -est normalement actif par le fait de son auto-inscription sur la surface sensible. Il s'agit donc de déjouer la «volonté d'inscription» par quelques stratégies, dominées par une demande: cesser d'émettre des signes, mais tout en restant présent et conscient de l'opération, ce qui constitue une gageure de la part du photographié et explique en partie la petite quantité de vues répondant aux visées du projet. Pour faire passer la gravité d'un impondérable apparemment fugitif à une réalité plastique inscrite dans la durée, s'incarnant dans un tirage photographique que je nomme la vue majeure, il faut ajouter l'opération de densification, qui devrait se jouer simultanément dans deux registres: une présence accrue de la gravité en tant qu'état du référent, actualisée dans une présence accrue de l'image photographique en tant qu'oeuvre. Neuf vues majeures se dégagent des quelque cinq mille deux cents vues effectuées depuis 1994 avec cinquante et un participants. Concrètement, j'opère au moyen de séances répétées, avec un dispositif volontairement dépouillé (aucune composition : posture rigoureusement frontale; fond neutre ; éclairage normalisé ; vêtements neutres ; aucun bijou), avec la même personne, parfois durant plusieurs mois, voire plusieurs années. La vue majeure pourrait se définir comme étant une image capable de livrer des qualités et des densités plastiques équivalentes aux qualités et à la densité de présence des protagonistes, avec une «métaqualité» : celle d'une monstration de la gravité. Plus précisément, pour montrer : premièrement, l'abolition d'une «distance» (psychique) entre le référent, l'opérateur et la chambre optique; secondement, l'unification de deux éléments-clefs du visage que sont les yeux et la bouche lorsqu'ils sont accordés entre eux, liés dans une même présence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L'AUTEUR: photographie, portrait photographique, densification, durée, gravité, haptique visuelle, image optique native, non-instantanéité, pâte photographique, peur (de la machine), répétition, sensorialité de l'opérateur, trace (charme et gestion), verre dépoli.
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Appert, photographe parisien (1860-1890) : atelier et actualité / Appert, a Parisian photographer (1860-1890) : studio and topicality

Sotteau, Stéphanie 18 January 2010 (has links)
E. Appert (1831-1890) est un photographe essentiellement connu pour ses portraits d’insurgés dans les prisons versaillaises après la Commune de Paris et pour ses photomontages des Crimes de la Commune. Cependant, sa carrière débuta à Paris bien avant 1871 et se poursuivit sur une trentaine d’années. Ce photographe se révéla être un véritable « reporter » attentif à illustrer l’actualité. Tissant des liens utiles avec la Justice et la Préfecture de Police, ses portraits et ses photomontages se firent l’écho des événements politiques. Alors réputé pour être un photographe partisan de Thiers ou proche des bonapartistes, Appert photographiait en fait l’élite politique, religieuse et militaire sans parti pris. Il mit rapidement en pratique un portrait dépouillé de décor, où l’homme politique, à l’instar du détenu, posait assis sur une chaise devant un fond uni. Ses photomontages réalisés avec beaucoup de soin étaient principalement des portraits de groupe reflétant l’actualité politique et judiciaire. Le photographe développa des liens étroits avec la presse illustrée et publia dès le début des années 1860 des portraits dans le Monde Illustré et dans l’Illustration. Cette collaboration suivie lui donna l’occasion de faire connaître sa production au grand public. Issu d’un milieu modeste, la photographie permit à Appert de s’élever dans la société. Son opportunisme commercial fut un moyen de survivre aux aléas politiques de la fin du Second Empire, du siège de Paris, de la guerre civile et de l’instabilité de la Troisième République. / E. Appert (1831-1890) is a photographer known for his prisoners’ portraits after the Commune of Paris and for his photomontages of Crimes de la Commune. Meanwhile, he has begun his career before 1871 and for nearly thirty years. This photographer was in fact like a “reporter” looking after events of the moment. Weaving useful links with the Justice and the Paris police headquarters, his portraits and montages reflected political occurrences. Considered as a supporter of Thiers and closed to imperial family, Appert photographed above all the pick of Politic, Army and of the Church without choosing any side. He made a type of portrait, pure without any ornament: the model, politic or prisoner, seated on a simple chair in front of a plain background. His photomontages made carefully were mostly group portraits for political and judiciary actuality. The photographer developed narrowed links with illustrated press and has published portraits as early as the beginning of 1860 portraits in Le Monde Illustré and L’Illustration. This followed collaboration was an opportunity to be known by the public. From a modest social sphere, photography was a way for Appert to rise himself into the society. His commercial opportunism allowed the photographer to survive to economic and political difficulties throw the end of the Second Empire, siege of Paris, civil war and Third Republic.
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Paparazzi à l’écran : Présence et disparition d’un personnage photographe dans la fiction cinématographique et télévisée occidentale (1940 – 2008). / Paparazzi on screen : Presence and disappearance of a photographer character in western fiction films and TV series (1940 – 2008).

Fossard, Aurore 10 June 2013 (has links)
Si le paparazzi est le parent pauvre de l’histoire de la photographie, il est une source précieuse d’inspiration pour la fiction cinématographique et télévisuelle. Personnage avant même d’apparaître à l’écran, le paparazzi instaure une tension à la fois narrative et visuelle qui autorise un questionnement sur ses modalités de représentations. À l’aide d’un corpus defilms et de séries télévisées occidental allant de 1940 à 2008, notre étude entend repérer et analyser les récurrences des représentations du paparazzi dans une approche socio-historique et culturelle. Séducteur, sauveur... chasseur, voleur ? Revenir sur l’imaginaire de l’appareil photographique et sur le caractère hybride de sa pratique permet de comprendre comment se construit l’image d’un « mauvais » photographe. Masse impersonnelle ou personnage principal du récit, mi-animal, mi-machine, les différentes formes que prend le paparazzi à l’écran révèlent et menacent l’humanité de la star. À l’heure où les chances d’accéder au statut de célébrité sont aussi fortes que les probabilités de « faire le paparazzi », la fiction révèle une lutte à mort dans laquelle chaque partie se bat pour une valeur devenue absolue : la visibilité. / Although the paparazzi is the poor relation in the history of photography, it is a precious source of inspiration for cinematographic and televisual fictions. Already a character before appearing on screen, the paparazzi establishes a tension, both narrative and visual, that encourages an exploration of its forms of representation. Supported by a collection of films and western television series, from 1940 to 2008, this work will identify and analyze the reoccuring ways in which the paparazzi is represented, from a socio-historical and cultural perspective. Seducer, savior… hunter, thief ? Returning to the imaginary world which surrounds the camera and the hybrid quality of its use allows one to understand how theimage of a « bad » photographer is built. Anonymous croud or main character in the story, half-animal, half-machine, the different faces of the paparazzi on screen both enlighten and threaten the star’s humanity. At a time when the chance of reaching celebrity status are as high as the odds of « acting like a paparazzi », works of fiction reveal a struggle to the deathin which each party fights for a new absolute value : visibility.
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Emmanuel Sougez (1889-1972) : un photographe en prise avec son temps / Emmanuel Sougez (1889-1972) : the influence and interaction between a photographer and his era

Lavie, Juliette 06 December 2013 (has links)
La Renaissance de la photographie entre la fin des années 1920 et le début des années 1930 en France était-elle liée au seul cercle des avants-gardes ? Les historiens de la photographie ont longtemps orienté leurs recherches sur le fait que les photographes de la Nouvelle Vision avaient sorti la photographie des errements du pictorialisme et lui avait rendu son autonomie vis-à-vis des arts graphiques, toutefois ils ont négligé une remarque formulée dès 1930 par Carlo Rim selon lequel « les images abstraites de Man Ray et de Tabard, qui annoncèrent une réaction heureuse […] ne fur[ent] qu’une vogue éphémère ». Si la Nouvelle Vision fut considérée comme un nouvel âge d’or, elle fut rapidement éclipsée en France par un retour « à l’image la plus nette du sujet le plus pauvre » généré par la redécouverte des photographes primitifs.C’est à cette part de l’histoire de la photographie que cette étude sur le photographe Emmanuel Sougez (1889-1972) est consacrée. Car si Sougez a été élevé au rang des maîtres de la photographie et célébré jusque dans les années 1950 comme le plus grand photographe français vivant, c’est pour avoir réintroduit l’usage de la chambre photographique de grand format et le tirage par contact. Ce faisant, cette étude fait apparaître une autre face de la Renaissance de la photographie en France à partir d’une figure oubliée, en évoquant le rôle crucial que Sougez a joué entre le Premier Salon indépendant de la photographie en 1928 et le dernier Salon national de la photographie en 1959. Aussi, en soulignant l’apport de ce photographe à l’histoire de son art, cette thèse révèle des aspects inédits de la photographie dans la première moitié du XXe siècle. / Is it possible for the renaissance in the field of photography that took place in France between the 1920’s and early 1930’s to be traced to a single group of avant-garde artists ? Photography historians have traditionally concentrated their research on the fact that the photographs of the New Vision released photography from the mistakes of pictorialism and gave it back its autonomy in terms of graphic arts. However, they neglected a remark made in 1930 by Carlo Rim: “the abstract images of Man Ray and Tabard, which foreshadow a joyful reaction, are nothing but an ephemeral fad.” Though the New Vision can be considered to be photography’s new golden age, in France it was rapidly eclipsed by a return “to the most in focus image of the poorest subject,” generated by the rediscovery of early photographs.It is to this era in the history of photography that this study of the photographer Emmanuel Sougez (1889-1972) is devoted. Sougez’s rise to the ranks of the masters of photography and his celebration until the 1950’s as one of the greatest living French photographers, is largely due to his reintroduction of the use of a large format view camera and contact prints. Thus, this study brings to light another facet of the renaissance of photography in France, within the context of a forgotten figure, by assessing the crucial role that Sougez played between the First Independent Salon of Photography in 1928 and the last National Salon of Photography in 1959. Furthermore, in emphasizing the photographer’s contribution to his art, this thesis reveals previously unseen aspects of photography in the first half of the 20th century.

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