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Le mirage des oracles militaires en Grèce ancienne : l'exemple de Leuctres (-371)

Castex, Jonathan 07 1900 (has links)
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Lire et écrire les signes divins : recherches sur la divination romaine à travers l'historiographie impériale / Reading and Writing divine Signs : roman Divination through imperial Historiography

Loriol, Romain 02 April 2016 (has links)
La divination est à Rome l’instrument central du dialogue avec les dieux, et les sources témoignent de l’attention que les Romains portent aux signes divins sous la République et sous l’Empire, dans la pratique publique comme privée. Or, loin d’être une simple manifestation de crédulité, ou à l’inverse la coquille vide d’un ritualisme formel, la croyance aux signes divins a un caractère rationnel, attesté par l’existence à Rome de savoirs et de procédures divinatoires très élaborés. Cette rationalité est sensible dans un autre champ, qui n’a pas ou peu été exploré : les récits de signes. La narration d’un signe divin, telle qu’on en trouve en abondance chez les historiens impériaux, se présente sous la forme d’une description factuelle et sèche dont l’intérêt paraît limité. L’objectif de ce travail est de montrer au contraire que le récit de signes est une forme très riche qui traduit et met en œuvre la pensée divinatoire des Romains.Un signe divin ne peut être reconnu, interprété, discuté qu’à condition d’avoir été verbalisé. Puisqu’un signe est toujours mis en mots, la posture d’un sénateur devant un prodige qui lui est annoncé, celle d’un simple particulier face à un présage et celle d’un lecteur vis-à-vis du signe qu’il lit ou entend raconter sont similaires : ils reconnaissent et interprètent un signe à partir de sa traduction verbale. Ce que l’étude du récit de signes éclaire alors, ce sont les enjeux de cette mise en mots et de sa réception : sur quels critères un phénomène était-il reconnu à Rome comme un signe ? Quels obstacles rencontrait ensuite son interprétation ? À quelles conditions un signe divin pouvait-il être chargé d’une signification politique, morale, voire d’un sous-texte comique ? Quelles sont enfin les potentialités esthétiques propres au récit de signes ? Il s’agit là de montrer, en déployant ces strates de sens et en dégageant la structure fonctionnelle d’un signe, comment il pouvait être construit et compris – de montrer, autrement dit, pourquoi la divination est un art de lire et d’écrire les signes divins. / In Rome, divination is the essential instrument of the dialogue with the gods, and sources are witness to the attention that the Romans paid to divine signs under the Republic and the Empire, in the public as well as in the private practice. Yet, far from being a simple expression of credulity, or, conversely, the hollow shell of a formal ritualism, the belief in divine signs has a rational nature, as shown by the existence in Rome of extremely elaborate divinatory knowledge and procedures. This rationality is discernible in another field, which has not, or only partially, been explored: tales of signs. The narratives of divine signs, plenty of which can be found in imperial historians’ works, appear as factual and plain descriptions whose interest seems limited. The aim of this dissertation is nonetheless to show that tales of signs are a rich form of expression which translates and implements the Romans’ divinatory thought. A divine sign cannot be recognised, interpreted, discussed unless it has been verbalised. Since a sign is always put into words, the stances of a senator confronted with a heralded wonder, of an average individual faced with an omen and of a reader vis-à-vis a sign which he reads or hears about are similar: they recognise and interpret a sign from its verbal translation. Thus, the study of tales of signs sheds light on what is at stake in this verbalisation and its reception: what criteria allowed for a phenomenon to be recognised as a sign in Rome? What could impede its subsequent interpretation? Under what conditions could a divine sign be charged with political, moral meaning or even a comical subtext? Finally, what are the aesthetic potentialities specific to tales of signs? We intend to show, by unfolding these strata of meaning and by exposing the functional structure of a sign, how it could be constructed and construed – in other words, to show why divination is a craft of reading and writing divine signs.
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Étude lexicale et anthropologique de la mort à partir des textes suméro-akkadiens (fin IIIème-Ier millénaire av. J.-C.) / A lexical and anthropological study of death in Sumerian and Akkadian texts (late 3rd to 1st Millennium BC)

Muller, Virginie 12 November 2015 (has links)
Les sources textuelles sumériennes et akkadiennes sont à la base de ce travail. Il offre une enquête sur le thème de la mort, à partir d’une analyse lexicale du champ sémantique de la mort, ainsi que des différents termes, expressions et euphémismes utilisés pour désigner le fait de mourir. La totalité des genres littéraires attestés sont donc pris en compte, notamment les textes divinatoires, les inscriptions royales, les textes de lois… L’objectif est tout d’abord de constituer un corpus le plus exhaustif possible, qui jusqu’ici n’était pas disponible, en étudiant de façon systématique les données. Mais l’ambition est également d’analyser toute la terminologie et de réaliser une synthèse sur ce thème. Cette recherche porte donc sur la mort dans sa réalité concrète, notamment les différentes sortes de trépas, et les gestes afférents, comme les étapes du processus funéraire ou des cultes de commémoration. L’intérêt est également porté sur les différents sentiments ressentis face à la mort, aux valeurs et significations qui lui sont accordées, et aux utilisations de la mort par les vivants, notamment au travers d’une exploitation politique et sociale. / Sumerian and Akkadian texts provide the primary material for this study, which is a lexical analysis of the semantic field of death, and of terms, expressions and euphemisms used to refer to dying. All literary genres are examined, especially divinatory texts. The purpose is not only to bring together a corpus, which until now has not been available, by going through the texts systematically, but also to analyze all the terminology and to summarize the subject. This research concerns concrete aspects of death, especially the different ways in which Mesopotamians died and the acts that followed death, such as funerary practices and rites, and commemorative ceremony. We are also interested in different feelings, values, and uses attributed to death by the living, especially political or social.

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