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Subclinical inflammation as a predictor for erectile dysfunction after brachytherapy for localized prostate cancer

Garabed, Laurianne Rita 08 1900 (has links)
La dysfonction érectile est une complication courante des traitements du cancer de la prostate, y compris la curiethérapie. La dysfonction érectile a été associée à des marqueurs inflammatoires, notamment le rapport neutrophiles/lymphocytes (NLR). Dans ce mémoire, les interactions complexes entre la dysfonction érectile, l’inflammation et la valeur prédictive du NLR sont explorées. Plus précisément, l'étude incluse dans ce mémoire examine la valeur prédictive potentielle du NLR sur la dysfonction érectile après une curiethérapie prostatique pour le cancer de la prostate, sur la base d'une base de données maintenue de manière prospective. Les résultats montrent que le NLR de base est un prédicteur significatif de la dysfonction érectile post-curiethérapie dans les analyses univariées et multivariées, et que cet effet est plus prononcé avec un suivi plus long après curiethérapie. Par conséquent, l’inflammation systémique subclinique est un facteur potentiellement important pour prédire la toxicité sexuelle après une radiothérapie de la prostate, et le NLR est un outil potentiel pour prédire la dysfonction érectile comme complication des traitements du cancer de la prostate. De futures pistes de diagnostic et de traitements basées sur l’hypothèse inflammatoire pourraient être explorées à l’avenir sur la base de cette étude. / Erectile dysfunction is a common complication of prostate cancer treatments, including brachytherapy. Erectile dysfunction has also been association with inflammatory markers, including the neutrophil-to-lymphocyte ratio (NLR). In this memoir, the complex interactions between ED, inflammation, and the predictive value of NLR are explored. Specifically, the included study examines the potential predictive value of the NLR on erectile dysfunction after prostate brachytherapy for prostate cancer, based on a prospectively maintained database. The results show that baseline NLR is a significant predictor of post-brachytherapy erectile dysfunction on both univariate and multivariate analyses, and that this effect is more pronounced with longer follow-up after PB. Therefore, subclinical systemic inflammation is a potentially important factor for predicting sexual toxicity after prostate radiotherapy, and NLR is a potential tool to predict erectile dysfunction as a complication of prostate cancer treatments. Future avenues for diagnosis and treatments based on the inflammatory hypothesis could be explored in the future based on this study.
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Engineering PSMA-targeted nanoparticles co-encapsulating mitoxantrone and indocyanine green for precise combinatory therapy in prostate cancer

Khalid, Hafiza J., Khan, Sobia, Hussain, Danyaal, Obinyima, Amarachi, Pina, Clara, Walker, Harriet R., Fox, Stuart, Elies, Jacobo, Ruiz, Amalia 31 October 2024 (has links)
Yes / Prostate cancer is the 2nd most common cancer in men worldwide. Chemotherapeutic treatment of prostate cancer with mitoxantrone (MTX) has limited efficacy due to severe side effects in which cardiotoxicity and myelosuppression are the two major causes of its dose-limiting toxicity. This study aimed to obtain a poly (lactic-co-glycolic acid) (PLGA) nanoparticle that can precisely deliver MTX to the prostate cancer cells overexpressing the Prostate-specific membrane antigen (PSMA) receptor-sparing healthy tissues and co-loading Indocyanine green (ICG) as a fluorescent photothermal/photodynamic agent for precise combinatory therapy in prostate cancer. The biocompatible polymer PLGA was covalently modified with the peptide of sequence (WQPDTAHHWATL) to actively target the PSMA receptor. Factors like the peptide-to-polymer ratio or the peptide's orientation during the polymer's chemical modification were investigated to enhance the active targeting of the nanoparticles (NPs). NPs were characterised using dynamic light scattering, scanning electron microscopy, and UV–vis spectroscopy to determine their morphological and colloidal properties and optimal MTX and ICG encapsulation efficiency. Quantitative FACS analysis of LNCaP and PC-3 cells incubated with Nile Red-labelled non-targeted PLGA or PLGA-PSMA targeted NPs was assessed to identify the best formulation that bound selectively to PSMA. The orientation of the peptide conjugated to the polymer, which has the C-terminal end of the peptide sequence accessible for interaction with the cell receptor, maximises the targeting capacity of the system. Photothermal experiments using 808 nm near-infrared laser irradiation were conducted, and cytotoxicity was assessed using the resazurin viability assay. Remarkably, our results confirmed the safety and efficacy of a targeted and activatable therapy using polymeric NPs functionalised with the peptide and co-loaded with MTX and ICG. This pioneer nanosystem opens new perspectives for exploring advanced targeted delivery in prostate cancer. It offers a straightforward methodology for functionalising drug delivery systems with bioactive peptides that can be applied to different types of cancer. / Royal Society Research Grant (RGS\R1\221399); MRC Confidence in Concept grant (RM0039); University of Bradford. This work was partially supported by a grant to I.H. (PID2021-122216OB-I00) funded by the Spanish Ministry of Economy, Industry and Competitiveness at the European Regional Development Fund
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Le rôle de l'hormonothérapie dans le développement de la dépression chez les hommes atteints d'un cancer de la prostate : une étude longitudinale

Hervouet, Séverine 16 April 2018 (has links)
L'hormonothérapie (HTX) est un traitement couramment administré chez les hommes atteints d'un cancer de la prostate et qui peut avoir des répercussions sur leur bien-être émotionnel, en incluant une occurrence possible de dépression. Les études qui ont évalué la relation entre l'HTX et le développement de la dépression chez ces patients ont tantôt démontré une telle association et tantôt non. Une explication avancée serait que le cancer de la prostate et ses traitements puissent mener à des altérations dans les niveaux de testosterone et de Cortisol pouvant être associées à la dépression. Cependant, ces études comportaient plusieurs limites méthodologiques dont l'utilisation d'un devis de recherche transversal et l'absence d'un groupe contrôle approprié. La présente thèse compte deux articles empiriques issus de la même étude longitudinale menée auprès de 60 participants traités par radiothérapie seule (n = 32) ou combinée à de l'HTX (n = 28) évalués avant le début des traitements et à sept autres reprises sur une période de 16 mois. Cette thèse visait à répondre aux objectifs principaux suivants : (1) vérifier si l'introduction de l'HTX (et le retrait) de l'HTX étaient associés à une augmentation (et une diminution) des troubles dépressifs et de la sévérité de la dépression; (2) documenter l'évolution des niveaux sanguins de testosterone et de Cortisol dans chacun des groupes; et (3) évaluer la relation entre les niveaux hormonaux de testosterone et de Cortisol et la dépression. Globalement, les résultats obtenus suggèrent que l'HTX a eu un impact mineur sur le développement et la résolution de la dépression chez ces hommes. Par ailleurs, les niveaux de testosterone et de Cortisol ont diminué de façon significative dans les deux groupes de traitement. Néanmoins, la baisse de testosterone dans le groupe qui recevait de l'HTX n'était pas associée significativement à la dépression alors que des scores plus élevés de Cortisol étaient significativement reliés à des niveaux plus importants de dépression, et ce, dans les deux groupes de traitement. Ces résultats contribuent au développement d'une meilleure compréhension de la relation entre les traitements oncologiques, les changements hormonaux et la dépression. Il apparaît maintenant important d'investiguer davantage les différents mécanismes hormonaux et psychologiques sous-jacents au développement de la dépression chez cette population.
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Analyse de la qualité de vie des hommes à risque de développer un cancer de la prostate

Tourigny, Roxane 01 February 2024 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles / Contexte: Aucune étude n'a décrit la qualité de vie (QdV) des hommes à risque de cancer de la prostate (CaP) au Canada. Notre objectif visait à faire une analyse descriptive complète de la QdV dans une cohorte canadienne d'hommes à haut risque de développer un CaP, et à évaluer l'impact des problèmes urinaires et érectiles sur la QdV générale. Méthodes: La QdV a été récoltée chez 2053 hommes à risque de CaP participant à une étude observationnelle prospective multicentrique appelée BIOmarqueurs, Cancer de la Prostate, Prévention et Environnement (BIOCaPPE). Les participants ont rempli plusieurs questionnaires validés afin d'évaluer leur QdV générale(Échelle d'anxiété et de dépression [HADS] et Inventaire de 36 items forme courte [SF-36]), et celle spécifique au CaP (Score international des symptômes de la prostate [IPSS] et Inventaire de la santé sexuelle pour hommes [SHIM]). Résultats: Parmi tous les participants, 122 (6,1%) représentent des cas définitifs d'anxiété et 40 (2,0%) des cas définitifs de dépression; 1068 (53,9%) ont des symptômes urinaires modérés à sévères et 154 (7,8%) ont des symptômes de dysfonction érectile sévères. Les participants ont une QdV similaire à celle des hommes de la population générale, à l'exception de la fonction urinaire. Plus les symptômes urinaires et de dysfonction érectile sont sévères, moins bonne est la QdV générale. Les symptômes urinaires ont un plus grand impact sur la QdV générale que les symptômes de dysfonction érectile. Conclusions: Nos résultats suggèrent que la majorité des participants perçoivent leur QdV comme étant satisfaisante, bien que la majorité présentent des symptômes urinaires modérés à sévères. Les symptômes anxieux, dépressifs et érectiles sont moins fréquents. Les symptômes urinaires et de dysfonction érectile ont un impact négatif sur la QdV générale. Il s'agit de la première analyse de la QdV d'une cohorte canadienne d'hommes à risque de CaP / Background: No study has described the quality of life (QoL) of men at risk for prostate cancer (PCa) in Canada. Our objective was to conduct a comprehensive descriptive analysis of QoL in a Canadian cohort of men at risk of developing PCa, and to assess the impact of urinary and erectile symptoms on general QoL. Methods: QoL was collected in 2053 men at risk for PCa participating in a prospective multicenter observational study called BIOmarkers, Prostate Cancer, Prevention and Environment (BIOCaPPE). Participants completed several validated questionnaires to assess their general QoL (Anxiety and Depression Scale [HADS] and 36-item Short Form Survey [SF-36]), and PCa-specific QoL (International Prostate Symptom Score [IPSS] and Sexual Health Inventory for Men [SHIM]). Results: Of all participants, 122 (6.1%) are definite cases of anxiety and 40 (2.0%) definite cases of depression; 1068 (53.9%) have moderate to severe urinary symptoms and 154 (7.8%) have severe erectile dysfunction symptoms. Participants have a QoL similar to that of men in the general population, except for urinary function. More severe the urinary and erectile dysfunction symptoms are, worse the general QoL is. Urinary symptoms have a larger impact on general QoL than erectile dysfunction symptoms. Conclusions: Our results suggest the majority of participants perceived their QoL as satisfactory, although the majority have moderate to severe urinary symptoms. Anxiety, depressive, and erectile symptoms are less common. Urinary and erectile dysfunction symptoms have a negative impact on general QoL. This is the first analysis of the QoL of a Canadian cohort of men at risk of PCa
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Étude de l’infiltration leucocytaire et de l’hétérogénéité du carcinome intracanalaire de la prostate

Diop, Mame Kany 04 1900 (has links)
Le carcinome intracanalaire de la prostate (intraductal carcinoma of the prostate, IDC-P) est un variant histologique agressif du cancer de la prostate retrouvé dans environ 20% des spécimens de prostatectomie radicale. L’incidence de l’IDC-P augmente avec l’évolution de la maladie, elle passe de 2% chez les patients avec des cancers localisés à faible risque à plus de 50% chez les patients avec des cancers métastatiques ou récurrents. Malgré l'association de l'IDC-P à la récidive biochimique, au développement de métastases, au décès lié au cancer et à une mauvaise réponse aux traitements standards, environ 40% des hommes avec des IDC-P n’ont pas encore récidivé après cinq ans de suivi. Une portion des hommes avec des IDC-P auraient donc une forme moins agressive de la maladie qui ne nécessite pas de traitement immédiat. Nous avons émis l’hypothèse que l’IDC-P possède des caractéristiques qui permettent de stratifier les patients en catégories pertinentes pour la prise en charge. Nos objectifs étaient de (1) comparer l’infiltration leucocytaire de l’IDC-P à celui du cancer invasif habituel et le tissu bénin et (2) identifier des critères morphologiques dans l’IDC-P qui sont associés à la récidive. La première étude a été réalisée sur les spécimens de prostatectomie radicale provenant d’une cohorte de 96 patients avec des cancers de la prostate localement avancés. Nous avons marqué par immunohistochimie les cellules exprimant CD3 (lymphocytes T), CD8 (lymphocytes T cytotoxiques), CD45RO (lymphocytes T mémoires), FoxP3 (lymphocytes T régulateurs), CD68 (macrophages), CD163 (macrophages M2), CD209 (cellules dendritiques immatures) et CD83 (cellules dendritiques matures). Le nombre de cellules positives par mm2 a ensuite été calculé dans le tissu bénin, au niveau des marges tumorales, dans le cancer et dans l’IDC-P. L’IDC-P a été retrouvé chez 33 patients (34%). Dans l'ensemble, l'infiltrat immunitaire était similaire chez les patients IDC-P-positifs et IDC-P-négatifs. Cependant, les lymphocytes T FoxP3+ (p < 0,001), les macrophages CD68+ et CD163+ (p < 0,001 pour les deux) et les cellules dendritiques CD209+ et CD83+ (p = 0,002 et p = 0,013, respectivement) étaient moins abondants dans l'IDC-P que dans le cancer invasif adjacent. De plus, les patients ont été stratifiés selon la densité de cellules immunitaires dans l’ensemble de l’IDC-P ou dans les points chauds immunitaires, en patients avec des IDC-P immunologiquement « froids » ou « chauds », avec une tendance vers un meilleur pronostic pour les patients avec des IDC-P « froids ». Un point chaud immunitaire a été défini comme la densité de cellules immunitaires la plus élevée dans les plus grandes lésions d’IDC-P. Par ailleurs, les points chauds immunitaires CD68/CD163/CD209 sont associés au développement de métastases (p = 0,014) et aux décès liés au cancer de la prostate (p = 0,009). Dans la deuxième étude, la morphologie de l’IDC-P a été examinée sur des tissus, colorés à l’hématoxyline et l’éosine, provenant de spécimens de prostatectomies radicales de 108 hommes avec des IDC-P. Dans la cohorte test (n = 39), nous avons trouvé cinq critères morphologiques associés à une récidive biochimique précoce (avant 18 mois) : les canaux plus larges (> 573 µm de diamètre), la présence de cellules avec des noyaux à contours irréguliers, un score mitotique élevé (> 1,81 mitoses/mm2), la présence de petits vaisseaux sanguins et la présence de comédonécrose. Dans la cohorte de validation (n = 69), deux de ces critères, la présence de cellules avec des noyaux à contours irréguliers et de vaisseaux sanguins, étaient indépendamment associés à un risque accru de récidive biochimique (rapport de risque = 2,32, intervalle de confiance à 95% = 1,09–4,96, p = 0,029). De plus, lorsque nous combinons les critères, la présence de cellules avec des noyaux à contours irréguliers, de vaisseaux sanguins, de scores mitotiques élevés ou de comédonécrose est plus fortement associée à la récidive biochimique (rapport de risque = 2,74, intervalle de confiance à 95% = 1,21–6,19, p = 0,015). Notre étude sur l’infiltration leucocytaire de l’IDC-P est la première étude décrivant l’environnement immunitaire de l'IDC-P. Nos résultats suggèrent que l’infiltration immunitaire des IDC-P est distinct de celui du cancer invasif habituel. Nous avons montré que l’IDC-P peut être classé comme immunologiquement « froid » ou « chaud », selon les densités de cellules immunitaires. Dans notre étude, les points chauds immunitaires CD68/CD163/CD209 ont prédit la progression vers une maladie métastatique et la survie spécifique au cancer. D'autres études dans de plus grandes cohortes sont nécessaires pour évaluer l'utilité clinique d'analyser l’infiltration immunitaire de l'IDC-P pour mieux prédire le pronostic des patients et améliorer l'immunothérapie chez les patients avec des cancers de la prostate mortels. Par ailleurs, nos résultats sur les critères morphologiques de l’IDC-P suggèrent que l'IDC-P peut être classé comme à faible ou à haut risque de récidive. Nous proposons de combiner deux à quatre critères, dont la présence sont des prédicteurs indépendants de récidive biochimique, pour stratifier les hommes avec des IDC-P en fonction de leur statut de risque. Les critères morphologiques délétères identifiés peuvent être facilement évalués et devront être intégrés pour une application clinique après validation dans de plus grandes cohortes. / Intraductal carcinoma of the prostate (IDC-P) is an aggressive histological variant of prostate cancer detected in approximately 20% of radical prostatectomy specimens. The incidence of IDC-P increases with disease progression, from 2% in patients with low-risk localized cancers to more than 50% in patients with metastatic or recurrent disease. Despite the association of IDC-P with biochemical recurrence, the development of metastases, cancer-related death, and poor response to standard treatments, roughly 40% of men with IDC-P remain biochemical recurrence-free after 5 years of follow-up, therefore not necessarily needing the “aggressive” label. We hypothesized that IDC-P possesses features that allow patients to be stratified into relevant categories for cancer management. Our objectives were to (1) compare the leukocyte infiltration in the IDC-P to the one found in invasive cancer and in benign tissues and (2) identify morphological features in IDC-P that are associated with recurrence. The first study included radical prostatectomy specimens from a cohort of 96 patients with locally advanced prostate cancer. Immunohistochemical staining of CD3 (T lymphocytes), CD8 (cytotoxic T lymphocytes), CD45RO (memory T lymphocytes), FoxP3 (regulatory T lymphocytes), CD68 (macrophages), CD163 (M2 macrophages), CD209 (immature dendritic cells) and CD83 (mature dendritic cells) was performed. For each slide, the number of positive cells per mm2 in the benign tissues, tumor margins, cancer and IDC-P was calculated. IDC-P was found in a total of 33 patients (34%). Overall, the immune infiltrate was similar in the IDC-P-positive and the IDC-P-negative patients. However, FoxP3+ T cells (p < 0.001), CD68+ and CD163+ macrophages (p < 0.001 for both), and CD209+ and CD83+ dendritic cells (p = 0.002 and p = 0.013, respectively) were less abundant in the IDC-P than in the adjacent invasive cancer. Moreover, the patients were classified as having immunologically “cold” or “hot” IDC-P, according to the immune-cell densities averaged in the total IDC-P or in the immune hotspots. An immune hotspot was defined as the highest immune-cell density in the largest IDC-P lesions. Interestingly, the CD68/CD163/CD209-immune hotspots predicted metastatic dissemination (p = 0.014) and PCa-related death (p = 0.009) in a Kaplan–Meier survival analysis. In the second study, IDC-P morphology was analyzed on tissues, stained with hematoxylin and eosin, from radical prostatectomy specimens of 108 men with IDC-P. In the test cohort (n = 39), we found five morphological criteria associated with early biochemical recurrence (before 18 months): larger duct size (> 573 µm in diameter), the presence of cells with irregular nuclear contours, a high mitotic score (> 1.81 mitoses/mm2), the presence of small blood vessels and the presence of comedonecrosis. In the validation cohort (n = 69), two of these criteria, the presence of cells with irregular nuclear contours and blood vessels, were independently associated with an increased risk of biochemical recurrence (hazard ratio = 2.32, 95% confidence interval = 1.09–4.96, p = 0.029). Additionally, when combining the criteria, the presence of any cells with irregular nuclear contours, blood vessels, high mitotic score, or comedonecrosis showed a stronger association with biochemical recurrence (hazard ratio = 2.74, confidence interval = 1.21–6.19, p = 0.015). Our study on the leukocyte infiltration of IDC-P is the first report describing the immune cell landscape of IDC-P. Our results suggest that the immune infiltrate of IDC-P is distinct from the one in the associated invasive prostate cancer. We showed that IDC-P can be classified as immunologically “cold” or “hot”, depending on the immune-cell densities. In our study, CD68/CD163/CD209-immune hotspots predicted progression to metastatic disease and cancer-specific survival. Further studies in larger cohorts are necessary to evaluate the clinical utility of assessing specific immune infiltrates in IDC-P with regards to patient prognosis and outcomes, and eventually, the use of immunotherapy for patients with lethal prostate cancers. Furthermore, our study on the morphology of IDC-P suggests that IDC-P can be classified as low versus high-risk of recurrence. We propose combining two to four criteria, whose presence are independent predictors of biochemical recurrence, to stratify men with IDC-P according to their risk status. The defined morphologic criteria can be easily assessed and should be integrated for clinical application following validation in larger cohorts.
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Analýza efektivnosti léčby benigní hyperplazie prostaty pomocí miniinvazivního zákroku laserovou metodou fotoselektivní vaporizace a metodou standardního chirurgického zákroku transuretrální resekcí prostaty / Analysis of the Effectiveness of the Treatment of Benign Prostatic Hyperplasia

Jirásková, Marcela January 2009 (has links)
The theoretical part of my thesis at first introduces the most common benign neoplasm in men over fifty, a non cancerous prostate gland enlargement called the benign prostate hyperplasia (BPH). The main focus of this section will be on BPH's anatomy, etiology, symptomatology, complications, diagnosis and therapy. I will also describe four cost analyses used in health services: CMA, CEA, CUA and CBA. In the practical section of my thesis I will analyze the therapy effectiveness of transurethral resection of the prostate and photoselective vaporization of the prostate with the use of cost-effectiveness analysis.
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Klinikinių, instrumentinių ir laboratorinių tyrimų prognozinė reikšmė diagnozuojant prostatos vėžį pacientams, turintiems padidėjusią prostatos vėžio riziką / Prognostic value of clinical, instrumental and laboratory investigations for detection of prostate cancer in high risk patients

Vaičiūnas, Kęstutis 08 September 2008 (has links)
Prostatos vėžys yra dažniausia vyrų onkologinė liga JAV, Vakarų Europoje bei Lietuvoje. Dėl senstančios visuomenės ateityje bus nustatoma dar daugiau naujų prostatos vėžio atvejų. Lietuvos vėžio registro duomenimis 1995 – 2005 metais vidutinis metinis prostatos vėžio sergamumo didėjimas - 14,5 proc. per metus. Vyrų sergamumas prostatos vėžiu Lietuvoje 2005 metais siekė 125,9/100000 atvejų, o mirtingumas nuo šios ligos siekė 31/100000 atvejų. Vyrų mirtingumas nuo prostatos vėžio antras pagal dažnį po plaučių vėžio su vėžiu susijusio mirtingumo grupėje. Todėl daugelis tyrėjų pabrėžia, kad norint mažinti mirtingumą, reikia ankstinti prostatos vėžio nustatymo laiką. Pradėta Lietuvos vyrų ankstyvosios prostatos vėžio diagnostikos programa ir dažnas prostatos specifinio antigeno nustatymas lėmė padidėjusį apsilankymų pas urologus skaičių ir padidino prostatos biopsijų kiekį. Norint efektyviai ir optimaliai ištirti šiuos pacientus, reikia daug materialinių išteklių ir laiko.Šio darbo tikslas buvo optimizuoti pacientų su padidėjusia prostatos vėžio rizika ištyrimą ir stebėjimą bei nustatyti ryšį tarp prostatos vėžio rizikos veiksnių ir prostatos vėžio diagnozavimo padidėjusios rizikos grupėje. Darbo uždaviniai: 1. Išanalizuoti prostatos vėžio nustatymo dažnį pirmąja ir kartotinėmis lateralinėmis sekstantinėmis prostatos biopsijomis ir įvertinti jų efektyvumą. 2. Nustatyti amžiaus, rūkymo, alkoholio vartojimo, prostatos vėžio šeiminės anamnezės, viršsvorio ir padidėjusio cholesterolio... [toliau žr. visą tekstą] / Prostate cancer is the most frequent malignant disease in men in United States, Western Europe and in Lithuania. Due to ageing population incidence of prostate cancer will rise even more in the future. Since the year 2003 prostate cancer became the most common form of cancer diagnosed in men in Lithuania (more than 1500 new prostate cancer cases a year). There were 2005 of new prostate cancer cases diagnosed in the year 2005. According to Lithuanian Cancer Registry data during the years 1995-2005 the prevalence of prostate cancer was increasing 14.5 percent annually. Prostate cancer was detected in 24.3 percent of all cancer cases in men in the year 2005 in Lithuania and in 48.3 percent of them disease was detected in the stages I and II. In the year 2005 the prevalence of prostate cancer in Lithuanian men was 125.9 per 100000 population and mortality was 31 per 100000 population. Prostate cancer is a second common form of death after lung cancer in cancer-associated mortality group in Lithuania. Prostate cancer mortality ranged between 19 and 55 per 100000 in Europe and it was 23.2 per 100000 populations in the year 2006 in European Union. Many authors stress that it is important to diagnose prostate cancer in the early stages in order to reduce prostate cancer mortality rate. The aim of the study was to optimize investigation and follow-up of the high prostate cancer risk patients, and to define the relation between prostate cancer risk factors and prostate cancer... [to full text]
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On immunotherapy against prostate cancer

Lundberg, Kajsa, January 2010 (has links)
Diss. (sammanfattning) Stockholm : Karolinska institutet, 2010.
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Etude de profil d'expression et caractérisation moléculaire du facteur de transcription Fev, un répresseur transcriptionnel de la Famille Ets.

Maurer, Philippe 26 May 2004 (has links)
Les protéines de la Famille Ets sont des facteurs de transcription qui reconnaissent par l'intermédiaire d'un domaine de liaison à l'ADN, appelé le domaine ETS, une séquence nucléotidique centrée sur un core consensus 5'-GGAA/T-3'. Le gène fev, un membre de cette famille, a été isolé chez l'humain après avoir été identifié dans une tumeur de Ewing chez l'enfant comme le résultat d'une translocation chromosomique. Une étude préliminaire de 1997 indiquait que chez l'Homme, Fev possède une expression tissulaire restreinte au petit intestin et à la prostate "adulte". Dans la première partie de ce travail, nous avons observé une surexpression de l'ARNm de ce facteur de transcription dans une large série d'adénocarcinomes prostatiques de différenciation variable en comparaison au profil d'expression observé dans un groupe témoin de prostates hyperplasiées. En recherchant des lignées cellulaires qui expriment ce facteur, nous avons mis en évidence la présence de ce messager dans la lignée humaine d'origine prostatique LNCaP. De même, les lignées humaines d'origine hématopoïétiques Dami/HEL92.1.7, K-562, KU-812 F et U-937 expriment ce facteur. Parallèlement, nous avons réalisé l'étude de l'expression de Fev dans le cerveau humain. En effet, chez le rat et chez la souris, l'homologue de Fev (mPet-1/Pet-1) est exprimé spécifiquement dans les neurones sérotoninergiques. Nous avons ainsi montré sur le cerveau humain que l'ARNm de Fev est exclusivement exprimé dans les noyaux du raphé qui contiennent les neurones sérotoninergiques. Il est co-exprimé avec deux marqueurs de ces neurones, la SERT/5-HTT et la TPH2.<p>Parallèlement, nos travaux de caractérisation fonctionnelle de la protéine Fev ont permis de définir ce facteur comme un répresseur transcriptionnel. En effet, ce facteur possède un domaine carboxy-terminal riche en résidus alanines qui lui confère, en partie, sa fonction de répresseur de la transcription (répression active); la délétion de cette région conduisant à une réduction drastique de l'effet répresseur. Parallèlement, nous avons montré que le domaine ETS de Fev est responsable d'une activité répressive passive par l'occupation des sites de liaison aux facteurs Ets. Néanmoins, nous ne connaissons pas, à l'heure actuelle, les gènes-cibles spécifiques qui sont directement réprimés par Fev dans les cellules dans lesquelles le gène est normalement exprimé. Nous avons tenté de développer, par établissement de clones stables, des modèles cellulaires où le gène d'intérêt est surexprimé, mais ces tentatives furent infructueuses. Cet effet drastique de Fev est conféré par la partie carboxy-terminale. Il est ainsi probable que la surexpression de ce répresseur transcriptionnel spécifique de certains gènes cibles de la famille Ets provoque des effets sur la survie des cellules en régulant des gènes indispensables à la croissance cellulaire, et ainsi empêchant la prolifération de clones cellulaires.<p> / Doctorat en sciences biomédicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Extratumoral effects of highly aggressive prostate cancer / Aggressiv prostatacancer : tidig påverkan i extratumoral vävnad

Strömvall, Kerstin January 2017 (has links)
Prostate cancer (PC) is the most common cancer in Sweden. Most patients have slow growing tumors that will not cause them any harm within their lifetime, but some have aggressive tumors and will die from their disease. The ability of current clinical practice to predict tumor behavior and disease outcome is limited leading to both over- and undertreatment of PC patients. The men who die from their disease are those that develop metastases. It is therefore of great value to find better and more sensitive prognostic techniques, so that metastatic spread can be detected (or predicted) at an early time point, and so that appropriate treatment can be offered to each subgroup of patients. The aim of this thesis was to investigate if, and by what means, highly aggressive prostate tumors influence extratumoral tissues such as the non-malignant parts of the prostate and regional lymph nodes (LN), and also if any of our findings could be of prognostic importance. Gene- and protein expression analysis were the main methods used to address these questions. Our research group has previously introduced the expression Tumor Instructed (Indicating) Normal Tissue (TINT), and we use the term TINT-changes when referring to alterations in non-malignant tissue due to the growth of a tumor nearby or elsewhere in the body. In the Dunning rat PC-model we found that MatLyLu (MLL)-tumors, having a high metastatic ability, caused pre-metastatic TINT-changes that differ from those caused by AT1-tumors who have low metastatic ability. Prostate-TINT surrounding MLL-tumors had elevated immune cell infiltration, and gene ontology enrichment analysis suggested that biological functions promoting tumor growth and metastasis were activated in MLL- while inhibited in AT1-prostate-TINT. In the regional LNs we found signs of impaired antigen presentation, and decreased quantity of T cells in the MLL-model. One of the downregulated genes in the MLL-LNs was Siglec1 (also known as Cd169), expressed by LN resident macrophages that are important for antigen presentation. When examining metastasis-free LN tissue from PC patients we found CD169 expression to be a prognostic factor for PC-specific survival, and reduced expression was linked to an increased risk of PC-specific death. Some of our findings in prostate- and LN-TINT could be seen already when the tumors were very small suggesting that differences in TINT-changes between tumors with different metastatic capability can be detected early in tumor progression. However, before coming of use in the clinic more research is needed to better define a suitable panel of prognostic TINT-factors as well as the right time window of when to use them. / Populärvetenskaplig sammanfattning Prostatacancer är den i särklass vanligaste cancerformen hos män i Sverige. De flesta patienter har en mycket långsamt växande tumör som inte orsakar dem några större besvär under deras livstid, men enbart i Sverige dör ca 2500 patienter/år av sjukdomen. Det är först vid uppkomst av metastaser som sjukdomen blir dödlig. Befintliga diagnos- och prognosmetoder är otillräckliga när det gäller att uppskatta och förutse tumörens aggressivitet och risk för att bilda metastaser. Detta gör att vissa patienter inte får tillräcklig behandling eller behandlas försent medan andra behandlas i onödan. Behovet av förbättrad diagnostik är därför stort. Om vi kan hitta markörer för potentiellt metastaserande sjukdom, och i bästa fall också behandla innan metastaser uppstår, skulle det förbättra chansen för överlevnad markant. För att kunna växa och spridas behöver en tumör inte bara förbereda närliggande vävnader utan förmodligen hela kroppen. Vår hypotes är att potentiell dödliga tumörer sannolikt är bättre på detta än mer ofarliga. Man vet från studier av andra cancerformer att farliga tumörer orsakar förändringar i det organ dit cancern senare sprids. Dessa förändringar sker för att de tumörceller som senare anländer ska kunna överleva, och processen har fått namnet pre-metastatisk nisch. Bl.a. har man sett att immunsystemet hämmas och nybildning av kärl ökar. Det är vanligt att metastaser uppstår i närliggande lymfkörtlar innan uppkomst av metastaser i andra organ. Dock är väldigt lite känt om pre-metastatiska förändringar i lymfkörtlar eftersom den forskning som hittills är gjord främst har tittat på andra organ. Inom prostatacancer finns det förvånande få studier av premetastatiska nischer överhuvudtaget, och man vet därför inte om de alls förekommer eller vilka förändringar som i så fall sker. Vår grupp har tidigare myntat uttrycket TINT som står för Tumor Instructed (Indicating) Normal Tissue (TINT är ett engelskt verb som betyder färga) och syftar på förändringar i normal vävnad som inducerats av tumören, dvs. att tumörer färgar av sig på omgivningen. Det kan vara förändringar i normal vävnad nära tumören, som i det här fallet resten av prostatan, eller i vävnad långt ifrån tumören som till exempel regionala lymfkörtlar, lungor och benmärg. Syftet med det här avhandlingsarbetet var att undersöka TINT-förändringar inducerade av aggressiv cancer och se om dessa skiljer sig från TINT-förändringar inducerade av mindre farliga tumörer, samt att utvärdera om någon TINT-förändring skulle kunna användas för att prognostisera vilka patienter som har hög risk att få metastaser. Vi har använt oss av en prostatacancer-modell i råtta där vi analyserat genoch proteinuttryck i pre-metastatiska regionala lymfkörtlar, tumörer och prostata-TINT (dvs. prostatavävnad utanför tumören). TINT-förändringar inducerade av MatLyLu (MLL), en tumör med hög metastaserande förmåga, jämfördes mot TINT-förändringar inducerade av AT1, en snabbväxande tumör men med låg förmåga att bilda metastaser. Vi kunde vi se flera skillnader mellan modellerna. Genuttrycket i MLL-prostata-TINT indikerade en aktivering av cellulära funktioner som visat sig stimulera tumörväxt och spridning såsom celldelning, viabilitet, migration, invasion, och angiogenes (nybildning av kärl). I AT1-prostata-TINT var genuttrycket kopplat till samma funktioner men verkade istället inhibera dessa. Genom att titta på vävnaderna i mikroskop kunde vi se att MLL-tumörer rekryterade färre T-celler (som har en viktig funktion i immunsvaret mot tumören), men istället fler makrofager och granulocyter till både tumören och prostata-TINT (dessa typer av immunceller har visats kunna hjälpa tumörer att växa och sprida sig). MLL-tumörer hade också fler blodkärl och lymfkärl strax utanför tumören. I de regionala lymfkörtlarna från djur med MLL-tumörer visade genuttrycket tecken på försämrad antigenpresentation, samt immunhämning och/eller induktion av immuntolerans. Immuntolerans innebär att immuncellen inte längre reagerar mot det specifika antigen den blivit tolerant emot. Detta är vanligt förekommande hos individer med cancer och är ett sätt för tumören att undkomma immunförsvaret. I vävnadsprover av lymfkörtlarna kunde vi se färre antigenpresenterande celler, och liksom i tumörerna fanns det färre T-celler i MLL-modellen, något vi kunde se redan när tumörerna var väldigt små. CD169 är ett protein som bl.a. uttrycks av sinus-makrofager i lymfkörtlar. Dessa makrofager har en central funktion i att aktivera ett tumör-specifikt immunsvar. I råttmodellen kunde vi se att regionala lymfkörtlar från djur med MLL-tumörer hade lägre nivåer av CD169 än regionala lymfkörtlar från djur med AT1-tumörer, och då antalet sinus-makrofager visat sig ha prognostiskt värde i t.ex. tjocktarmscancer, ville vi se om det kunde vara så även i prostatacancer. Därför kvantifierade vi uttrycket av CD169 i metastasfria regionala lymfkörtlar från prostatacancerpatienter och såg att låga nivåer av CD169 medförde en ökad risk för att dö i prostatacancer. Sammantaget tyder resultaten på att MLL-tumören jämfört med AT1- tumören bättre lyckas förbereda omgivande vävnad för att gynna tumörväxt och spridning, både lokalt i prostatan men också längre bort från tumören i de regionala lymfkörtlarna. Våra fynd stämmer väl överens med aktuell tumörbiologisk forskning om hur tumörer påverkar sin omgivning. Något som inte visats tidigare är att miljön utanför tumören verkar skilja sig drastiskt beroende på tumörens metastaserande förmåga, samt att dessa skillnader går att se relativt tidigt under sjukdomsförloppet och förmodligen även långt bort från tumören. Vi har också visat att särskilt aggressiv prostatacancer verkar inducera en pre-metastatisk nisch i tumördränerande lymfkörtlar likt det som beskrivits i andra modellsystem och i andra cancertyper, men hittills inte i prostatacancer. Fler studier behövs för att bättre karaktärisera de förändringar som en potentiellt dödlig prostatacancer orsakar i andra vävnader, och för att ta reda på hur denna kunskap kan användas för att förbättra diagnostik och behandling.

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