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Contar la historia de la Revolución cubana : la desconstrucción del discurso official en Te di la vida entera de Zoé Valdés y Tres tristes tigres de Guillermo Cabrera InfanteTaschereau, Véronique January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Subjetividades sexuales y nacionales en la narrativa cubana contemporánea (1990-2003)Valladares-Ruiz, Patricia January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Quand une dictature regarde une révolution : Analyse critique du discours de la presse franquiste sur la Révolution Cubaine du triomphe à la proclamation socialiste / Critical analysis of the discourse of the Francoist press on the Cuban Revolution from the triumph to the socialist proclamationRos, Fanny 24 May 2018 (has links)
Lorsque triomphe la Révolution Cubaine à l'aube de 1959, le franquisme qui fête ses vingt ans au pouvoir en Espagne voit d'un mauvais œil l'avènement de cette « version tropicale de la CNT-FAI » (Paz-Sanchez : 1997). Une propagation de ses idées progressistes pourrait mener à un ravivement de l'opposition espagnole jusqu'alors persécutée et muselée. Pourtant, ce mouvement révolutionnaire trouve une place (de choix) dans les colonnes des journaux franquistes. Nous analyserons le discours de la presse franquiste sur la Révolution Cubaine selon les méthodes de l'Analyse Critique du Discours. Il s'agira de montrer comment la couverture médiatique de la Révolution Cubaine, un mouvement diamétralement opposé aux idéaux franquistes, participe du discours idéologique des autorités espagnoles et du dispositif de légitimation de la dictature de Franco. Pour cela, nous sonderons les propositions explicites et implicites de ce discours journalistique qui réactivent, grâce à cette actualité brûlante, les modèles mentaux des Espagnols soumis depuis deux décennies à l'idéologie nationale-catholique. / Upon the triumph of the Cuban Revolution in early 1959, Francoism was celebrating its 20 years in power in Spain and did not look very keenly on the birth of this “tropical version of the CNT-FAI” (Paz-Sanchez : 1997). If the Revolution’s progressive ideas were to spread, the Spanish opposition – which had been persecuted and silenced up until then – may be revived. This revolutionary movement, however, managed to secure a (choice) position in the Francoist newspapers. We shall analyze the Francoist press’ discourse on the Cuban Revolution using the Critical Discourse Analysis methods. We shall aim to show how media coverage of the Cuban Revolution – a movement in total opposition with Francoist ideals – was integrated into the Spanish authorities’ ideological discourse and Franco’s dictatorship’s legitimization system. We shall explore the implicit and explicit arguments from the newspapers discourse that – thanks to this prominent topic – reactivate the mental patterns of the Spanish people, who had been subjected to National Catholicism ideology for the last two decades.
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Les orichas dans l'art cubain. Une généalogie de l’image des dieux noirs à travers les œuvres de Wifredo Lam, René Portocarrero, Manuel Mendive et Santiago Rodríguez Olazábal / Orichas in Cuban Art. A genealogy of Black gods’ images through the artworks by Wifredo Lam, René Portocarrero, Manuel Mendive and Santiago Rodríguez OlazábalCastaner, David 01 December 2018 (has links)
Les orichas sont des divinités d’origine africaine dont le culte est connu à Cuba sous le nom de Santería ou Regla de Ocha. A travers l’interprétation des œuvres de quatre artistes cubains, cette étude entend retracer la généalogie de l’image artistique de ces entités. Participant au mouvement des avant-gardes parisiennes, Wifredo Lam (1902-1982) est le premier artiste cubain à opérer une réappropriation artistique des orichas, conférant une forme de légitimité à une culture marginalisée dans la société postcoloniale. René Portocarrero (1912-1985) explore le syncrétisme qui a uni les orichas et les images catholiques des Saints et des Vierges et fabrique leur première image humaine. Ce n’est qu’avec Manuel Mendive (né en 1944) que les orichas sont imaginés comme des dieux noirs et deviennent des figures positives de la négritude dans l’art. Afin de remettre en question la supposée ancestralité des orichas, Santiago Rodríguez Olazábal (né en 1955) propose à partir des années 1990 des représentations de ces dieux en prise avec le monde contemporain. Cette généalogie des représentations des orichas permet d’interroger la place des cultures des afro-descendants dans les sociétés postcoloniales, les logiques de conservation du patrimoine afro-cubain et de mise en spectacle de celui-ci, ainsi que les formes d’articulation entre la création artistique d’une ancienne périphérie et le marché international de l’art. Elle propose également une réflexion sur les rapports entre la politique, l’art et la religion dans une période déterminante de l’histoire contemporaine de Cuba. / Orichas are not only gods from a syncretic Cuban religion, but also Cuban popular culture characters becoming more and more famous abroad. This work intends to understand the invention of oricha artistic images while studying the artworks of four Cuban artists. Following the surrealist and cubist movement, Wifredo Lam (1902-1982) is the first artist to adopt orichas as a subject for his paintings. Through this choice he legitimates a culture that was marginalized in the postcolonial society until then. René Portocarrero (1912-1985) works on the syncretism between orichas and Catholic Saints and Virgins and builds their human representations. But it’s Manuel Mendive (born in 1944) who creates the figures of the black gods and turn them into positive characters of blackness in art. Santiago Rodríguez Olazábal (born in 1955) designs a new way of representing orichas according to contemporary art aesthetics. This genealogy of the orichas focuses on the Afro Cuban cultures role in postcolonial societies, their folklorisation and adaptation to spectacular shows, and the articulation between perpipherical artistic creation and the international art market. It also considers the links between politics, art and religion during a very relevant period of contemporary Cuban history.
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Histoire socio-politique du Chili : une interprétation depuis la revue Mensaje entre 1958-1973 / Socio-political history of Chile : an interpretation from the magazine Mensaje’s between 1958-1973 / Historia Socio-política de Chile : una lectura desde la revista Mensaje entre 1958-1973Salas Aguayo, Francisca Andrea 25 October 2017 (has links)
La présente recherche vise à reconstituer la position de la revue Mensaje, pendant 15 ans d'histoire du Chili (1958-1973). Ainsi, par le biais d’une méthodologie inductive et qualitative, l’étude effectue une analyse de l’interprétation de cette publication. De cette façon, par la codification de tous les articles par sujet ou par thématique, ce travail met en évidence les concepts centraux utilisés par Mensaje, au moyen desquels la revue a analysé la période étudiée. En outre, la recherche établit une relation entre ces concepts et propose un scénario fondé sur un terme transversal, celui de “changement social”, propre à tous les articles. L’étude, est composée de deux sections: «L'importance du changement social» et «Deux modèles de changement social». Ces deux sections sont complémentaires ; les débats et les concepts qui émergent dans la première section sont analysés, approfondis et mis en perspective sur le territoire chilien au cours de la seconde section. Chacune de ces sections est subdivisée en trois chapitres, qui examinent chronologiquement les concepts centraux, commentés par Mensaje.Le premier chapitre de la section initiale « L’importance du changement social » examine le concept de «communisme» et la façon dont la publication présente le « communisme » comme «une urgence» et «un problème» en raison de son «impact croissant». Le magazine Mensaje a interprété cette influence progressive du «communisme» en tant que symptôme d'un problème: «le malaise social en expansion». Dans ce contexte, Mensaje propose en réponse le renforcement des corps intermédiaires et l'application de la théorie du développement économique, en faveur de la modification des structures économiques et sociales. Le deuxième chapitre propose une analyse relationnelle entre la Révolution Cubaine et Alliance for Progress (ALPRO). Les deux événements ont favorisé, mais pas par la même voie, une valeur ajouté pour le «changement social». Le troisième chapitre traite de la mise en place de la «réforme agraire » au Chili comme un signe de l'arrivée du « changement social » sur le territoire. Dans ce contexte, l’analyse porte sur l'influence et l'impact de l'expérience de la répartition et distribution des terres de la hiérarchie de l'Église parmi ses travailleurs, comme un symbole d'approbation d’un modèle spécifique de « changement social ».La deuxième section traite spécifiquement de deux modèles chiliens de «changement social»: le premier revolución en libertad (révolution en liberté), le deuxième transición al socialismo (transition vers le socialisme). Dans ce scénario, le premier chapitre analyse l'émergence et la consolidation du parti démocrate-chrétien (PDC) dans l'arène politique et sa victoire présidentielle en 1964. Le magazine Mensaje soutiendra le gouvernement d'Eduardo Frei (PDC) et son projet «révolution en liberté» jusqu'à 1967. Le deuxième chapitre étudie la désillusion de la revue concernant le projet PDC, ainsi que l'explication de son échec. Néanmoins, la publication confirme l'existence de transformations dans la société chilienne, mais ceci par la multiplication des mouvements sociaux. La dernière partie de cette section étudie le succès de Unidad Popular (Unité Populaire) - l'union des mouvements et des partis de gauche, certains marxistes - lors des élections présidentielles de 1970. La revue finit par analyser la présence éventuelle d'une «extrême-droite fasciste» au Chili. Enfin, le dernier chapitre, commente directement les trois ans de gouvernement de l'UP et son projet de "transition vers le socialisme", en quatre moments: «Situation continentale», «Construction d'un espace social dominant», «Crise de confiance dans le jeu politique des partis» et enfin «Coup d'état (1973)». / The present research aims to reconstruct the position of the magazine Mensaje throughout fifteen years of Chile’s history (1958-1973). Through an inductive and qualitative methodology, a review on the interpretation of this publication has been reached. In this way, through the codification of all articles by topic, this work introduces the central concepts used by Mensaje, which the journal employed to analyse this historical period. In addition to this, the research proposes a relationship or storyline between these concepts, born from a transversal term throughout the articles: "social change". In regard to the structure of the study, the work is divided into two sections: "the importance of social change" and "two models of social change". Both sections are complementary: while debates and concepts emerge in the first section, the second pursues them and delves into them in Chilean soil. Each one of these sections is subdivided into three chapters, which chronologically examine the central concepts commented by Mensaje.The first chapter of the initial section “the importance of social change” examines the concept of "communism" and how it constitutes “an urgency” and a “problem" for the publication due to its "growth". Mensaje interprets the progressive influence of “communism” as a symptom of a problem: the "expanding social malaise". In this scenario Mensaje proposes the strengthening of intermediary bodies and the application of the theory of economic development in favour of changing the social and economic structures as an answer. The second chapter propose a comparative analysis between the Cuban Revolution and the Alliance for Progress (ALPRO). Both events promoted, although not in the same way, a greater value for "social change". The third chapter deals with the implementation of the "agrarian reform" in Chile, as a sign of the arrival of "social change” to the territory. In this context, we analyse the influence and impact of the experience of the distribution of land owned by the Church’s hierarchy amongst its workers, as a symbol of approval of a specific model of "social change".The second section deals with two specific Chilean models of "social change": the first “revolución en libertad" (revolution in freedom), the second “transición al socialismo” (transition to socialism). In this context, the first chapter analyses the emergence and consolidation of the Christian Democratic Party (PDC) in the political arena, through the gain of the presidency in 1964. The magazine Mensaje explicitly supports the government of Eduardo Frei (PDC) and its project "revolution in freedom". The second chapter studies the magazines disillusionment in respect to the PDC’s political project, and gives an explanation for its failure. Nevertheless, the publication confirms the existence of transformations in Chilean society by the multiplication of social movements. The last part of this section studies the success of “Unidad Popular” (Popular Unity) -a union of left-wing movements and parties, some of them Marxist- in the presidential elections of 1970. The magazine ends by analysing the possible presence of a "fascist right" in Chile. Finally, the last chapter comments directly on the three years of government of the UP and its project to "transit to socialism” in four moments: "continental situation", "construction of a dominant social area", "crisis of confidence in the political game of parties" and finally "coup d'état (1973)". / La presente investigación tiene como objetivo reconstruir la postura de la revista Mensaje a lo largo de 15 años de la historia de Chile (1958-1973). Así, mediante una metodología inductiva y cualitativa, el presente trabajo analiza el discurso de la publicación en el periodo. De tal modo, el trabajo por medio de la codificación de los artículos por temáticas recoge los conceptos centrales a través de los cuales la revista interpretó los diversos sucesos. Por otra parte, esta reflexión establece una relación entre estos conceptos a partir del término “cambio social”, noción recurrente en los artículos. Respecto a la estructura este estudio se organiza en dos secciones complementarias: “la importancia del cambio social” y “dos modelos de cambio social”. En la primera sección el trabajo relaciona debates y conceptos socio-políticos, mientras que la segunda se aparta de una esfera más teórica para ponerlos a prueba en el contexto chileno. Cada uno de estos apartados se subdividen en tres capítulos que examinan cronológicamente las temáticas comentadas por Mensaje.Así, el primer capítulo de la sección inicial estudia el concepto de “comunismo” y cómo para la publicación este constituyó una “urgencia” y un “problema” debido a su crecimiento, interpretado como síntoma del “creciente malestar social”. Así, Mensaje propone como respuesta el fortalecimiento de los “cuerpos intermedios” y la aplicación de la “teoría del desarrollo” a favor del cambio de la estructura económica y social. El segundo capítulo propone un análisis relacional entre la Revolución Cubana y Alianza para el Progreso (ALPRO). Ambos acontecimientos que promocionaron, aunque no del mismo modo, un mayor valor por el “cambio social”. El tercer capítulo aborda la implementación de la “reforma agraria” en Chile como signo de la llegada del “cambio social” al territorio. En este contexto, se analiza la influencia e impacto que tuvo el reparto de tierras de la jerarquía de la Iglesia Católica entre sus trabajadores como señal de aprobación de modelo específico de “cambio social”. La segunda sección trata específicamente sobre dos modelos chilenos de “cambio social”: “revolución en libertad” y “transición al socialismo”. El primer capítulo considera la consolidación del Partido Demócrata Cristiano (PDC), el cual logra la presidencia en 1964 con el candidato Eduardo Frei y el proyecto “revolución en libertad”, a los que la revista Mensaje apoyó explícitamente. El segundo capítulo expone la desilusión de la revista respecto al proyecto, así como la explicación sobre su fracaso. No obstante, la publicación confirma la existencia de transformaciones en la sociedad chilena por la multiplicación de los movimientos sociales. La última parte de esta sección, estudia el éxito en las elecciones presidenciales de 1970 por la Unidad Popular (UP) –unión de movimientos y partidos de izquierda, algunos marxistas–. La revista termina analizando la posible presencia de una derecha “fascista” en Chile. Finalmente, el último capítulo, analiza, en cuatro momentos, los tres años de gobierno de la UP y su proyecto “tránsito al socialismo”: “situación continental”, “construcción del un área social dominante”, “crisis de confianza en el juego político de partidos” y “golpe de estado (1973)”.
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