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Peinture et écriture : l'imaginaire pictural dans les romans gothiques d'Ann Radcliffe / Painting and Writing : The Pictorial Imagination in Ann Radcliffe's Gothic Novels

Labourg, Alice 30 November 2013 (has links)
Cette étude se propose d’analyser les différents rapports que l’écriture radcliffienne, souvent qualifiée de « peinture de mots », entretient avec la peinture d’un point de vue thématique, structurel, symbolique et formel. Nous analyserons tout d’abord comment les romans s’inscrivent dans le contexte esthétique de l’époque et son paradigme pictural (valorisation de la peinture de paysage du XVIIe siècle, redécouverte du gothique architectural, « vision en tableau » du pittoresque). L’approche intermédiale de Liliane Louvel et sa définition du pictural au sein d’une problématique texte-image nous permettront de voir comment l’écriture file la métaphore picturale et développe ses propres stratégies pour « faire tableau » dans un désir paragonesque d’émuler la peinture. Tableaux et portraits en miniature occupent également une place importance dans l’économie du récit et leurs fonctions diégétiques et symboliques seront abordées au travers de leur spécificité intersémiotique en tant qu’objets d’art littéraires. Enfin, l’étude des descriptions paysagères au cœur de l’iconotexte montrera comment deux types de picturalité s’entrecroisent, l’une, iconique et figurative, qui cherche à « faire tableau », et l’autre, picturale et sémiotique, qui travaille le texte sur le mode plus diffus du signifiant plastique, de la dislocation du « tableau » et de la dissémination de son image au travers des substituts picturaux, de la peinture synesthésique et « iconorythmique », faisant miroiter des « éclats de picturalité » en texte. Nous montrerons ainsi comment le pictural est le mode spécifique de la gothicité radcliffienne, articulant les problématiques du « female Gothic ». / This study will analyse the different links that Ann Radcliffe’s “word-painting”—as her writing has often been called—bears with painting, from a thematic, structural, symbolic and formal point of view. We shall first see how the novels fit into the aesthetical context of the time and its pictorial paradigm—seventeenth century landscape painting as an iconographical model, the rediscovery of Gothic architecture as a pictorial motif, the picture-like vision of the picturesque. Liliane Louvel’s intermedial approach and her definition of the “pictorial” within a text-image problematics will help us see how Radcliffe spins out her pictorial metaphor and implements her own strategies to make the reader “see pictures” in a paragon-esque desire to emulate painting. Full-sized pictures and miniature portraits also play an important role in the unfolding of the narrative. Their diegetic and symbolic functions will be studied in reference to their intersemiotic specificities as literary works of art. Finally, the study of landscape description at the core of the radcliffian iconotext will help us see how two different types of pictoriality interact, one based on figurative representation which aims at making the reader “see pictures”, and another more diffuse form which works on a semiotic level through deconstruction and iconic dissemination, expressing the pictorial signifier in words. It makes “fragments of pictoriality” shine throughout the text by means of pictorial substitutes and a synesthetic experience of “iconorythmic” pictures. We shall thus prove how the pictorial is the specific mode of Radcliffe’s Gothic writing and articulates the problematics of the female Gothic.
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Penser le monde en langue vulgaire et en images : enjeux sociaux et dimensions visuelles de la transmission du savoir dans l’Image du monde (XIIIe-XVe siècles) / The World in Images and Vernacular Language Thinking : Social Implications and Vis-ual Aspects of the Transfer of Knowledge in the Image du monde (13th.-15th Century)

Dion, Élisée 01 December 2018 (has links)
Rédigée en 1246 par un clerc nommé Gossuin de Metz, l’Image du monde est considérée comme la première encyclo-pédie de langue française. Elle constitue à ce titre l’une des premières entreprises de transmission écrite d’un ensemble de savoirs sur le monde d’origine cléricale et latine à destination d’un public laïc et aristocratique. Trois versions furent produites, deux en vers et une en prose, dont il n’est pas certain qu’elles soient le travail d’une seule et même personne. Signe de son très grand succès, l’Image du monde est conservée dans 110 manuscrits. Elle constitue donc un objet de recherche idéal pour l’étude des phénomènes de transmission de savoir entre clercs et laïcs dans les trois der-niers siècles du Moyen Âge. Pour ce faire, la présente thèse envisage l’Image du monde à partir des représentations du monde et de l’ordre social transmises par son discours. Ces représentations ne sont pas seulement produites par le texte mais également par l’iconographie (miniatures, initiales historiées, drôleries) ornant une quarantaine de manus-crits, qui forment le corpus de recherche. Dans un premier temps, c’est d’abord l’économie du savoir de l’Image du monde, qui sous-tend la transmission du savoir et en détermine les modalités, ainsi que les implications sociales de la transmission de ce savoir hautement valorisé qui est analysées. La seconde partie de la thèse se concentre quant à elle sur la forte dimension visuelle de la transmission des savoirs opérée par l’Image du monde, à savoir le cycle de vingt-huit figures cosmographiques intégrées par l’auteur lui-même à son ouvrage et qui constitue une pièce maîtresse de sa stratégie didactique. / Written in 1246 by a cleric named Gossuin de Metz, L’image du monde is considered to be the first French language encyclopedia. It is thus one of the first attempts to diffuse to a secular and aristocratic audience a body of knowledge concerning the world, originally coming from a clerical and Latin culture. Three versions were written -two in verse, one in prose- none of which are proven to be the work of only one person. 110 manuscripts were conserved, which can be considered as a proof of its great success. It is thus an ideal research object to study the knowledge transmission phenomena between the clerks and the laity during the Middle Ages’ last three centuries. To that end, this doctoral dissertation considers L’image du monde from the world and social order representations that are transmitted by its discourse. These world’s representations are not only transmitted by the text but also by the pictures (diagrams, minia-tures, historiated initials, drolleries) that adorn some forty manuscripts that constitutes my body of research. This study thus addresses both the text and the iconography. First off, the knowledge economy of L’image du monde will be analyzed, considering the discourse as determining the terms of knowledge transmission and its social implications. The second part of this dissertation focuses on the strong visual dimension taken by knowledge transmission in L’image du monde, relying on a cycle of twenty-eight cosmographic figures that were originally included in his manu-script by the author himself, and that represents the masterpiece of his didactic strategy.
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Les premières illustrations des manuscrits de l’Histoire romaine de Tite-Live en France entre 1356 et 1440 / The first illustrations of the manuscripts of the Titus Livius’ Roman History produce in France between 1356 and 1440

Stevenson, Julie 13 November 2010 (has links)
Vers 1356, le bénédictin Pierre Bersuire achève une traduction en français de l’œuvre latine de Tite-Live commandée par Jean II le Bon : les livres de l’Ab Urbe Condita deviennent les Décades. Celles-ci connaissent rapidement un succès important à la fin du Moyen Âge. C’est ainsi que jusqu’en 1515, presque soixante-dix copies sortent des plus grands ateliers de peintres. On distingue dans cette période un premier « moment » de l'illustration livienne compris entre 1356 et 1440 et qui constitue l'objet de cette étude. Nous nous consacrons d’abord au récit en latin et à la mise en valeur de son contenu. Puis nous tentons de définir l’œuvre livienne disponible pour la première fois en français et en intégralité. Enfin, nous analysons la place de celle-ci dans la société des années 1400. La seconde partie de cette recherche étudie les deux principaux manuscrits produits au cours du règne de Charles V. Nous nous attachons à révéler leurs origines, leurs sources d’inspiration et les mécanismes de leur mise en image. Enfin, nous étudions les volumes liviens des règnes de Charles VI et Charles VII. Cette étape de la production suit en parallèle l’évolution de l’enluminure. Le nombre des copies augmente. Cette croissance se caractérise par l’apparition d’exemplaires d’une qualité variable mais surtout par une rationalisation de la production. En effet, l’apparition de modèles de cycles repris par différents ateliers de peintures témoigne des échanges entres les artistes. Enfin, certains cycles présentent une identité forte qui les démarque de la fabrication plus massive et annoncent la production future. / Around 1356, the Benedictine Pierre Bersuire completes a french translation of the Latin work of Titus Livius ordered by John II the Good : the books of the Ab Urbe Condita become the Decades. They quickly meet an important success at the end of the Middle Ages. Until 1515, almost seventy copies are produced in the biggest painters' workshops. We distinguish within this period a first "moment" of the livian illustration between 1356 and 1440 which constitutes the purpose of this study. Firstly, we dedicate ourselves to the text in Latin and to the development of its contents. Then we try to define the livian work now entirely available in French for the very first time. Finally, we analyze its place in the society of the 1400’s. The second part of this research studies two major manuscripts produced during the reign of Charles V. We attempt to reveal their origins, as well as their sources of inspiration and the way the text is depicted. Finally, we study the livians’ volumes of the reigns of Charles VI and Charles VII. This stage of the production follows in parallel the evolution of the illumination. The number of copies increases. This growth is characterized by the appearance of copies of a variable quality but especially by a rationalization of the production. Indeed, the appearance of models of cycles painted by various workshops shows the exchanges between the artists. Finally, a few cycles present a strong identity which marks them down to the more massive manufacturing and announce the future production.
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Le revers de la ligne : déclinaisons de l’altérité dans les images et les marginalia des livres illustrés de William Blake

Graham, Émile 08 1900 (has links)
L’artiste et poète romantique William Blake (1757-1827) produisit, entre la fin du 18e siècle et le début du 19e siècle, plusieurs livres illustrés unissant texte, images, et décorations marginales. Ce mémoire se penche sur ces illustrations afin d’en analyser les motifs selon l’orientation théorique de l’ « altérité », un concept composite unifiant trois sens : l’infinitude, soit la dimension insaisissable de l’autre ; la distinction, soit l’altérité en tant que différence ; et la déclinaison, soit un mouvement hors du soi. Les chapitres abordent cette « altérité » à travers plusieurs thématiques : la dynamique de la forme visuelle, le lien du sublime et de l’émerveillement à la vision, la représentation du corps et du genre, et le rapport avec la nature. Chaque chapitre exemplifie une manière dont l’« altérité » se lie à des enjeux conceptuels issus de perspectives romantiques et contemporaines. L’analyse considère l’iconographie en tant que reflet et expression de l’imagination blakéenne, guidant la lecture vers une vision et une subjectivité accrues. Le « marginalium », l’élément décoratif marginal du livre illustré, parvient à symboliser cette vision de manière ponctuelle. La « figure flottante », une version humanisée et singularisée de ce marginalium, sous-tend les divers motifs, évoquant l’infinitude du potentiel humain. / Between the end of the 18th century and the beginning of the 19th century, William Blake (1757-1827), a romantic artist and poet, produced various illuminated works which unite text, images, and decorations set in the margins of the page. This thesis considers the iconography of these works, attempting to understand their visual motifs through the theoretical standpoint of “alterity”, a composite notion uniting three meanings: infinitude, or a quality of limitlessness; distinction, or the difference of what is “other”; and extension, suggesting a motion outside the self. The different chapters exemplify how this notion of “alterity” relates to contemporary and romantic theoretical constructs. Among the subjects considered are: “alterity” in itself, the significance of Blakean visual form, the sublime and the experience of awe, the representation of the body and of gender, and the relationship to the natural world. The thesis considers the Blakean iconography as a reflection of the imagination, guiding the reader towards a heightened capacity for vision and subjectivity. The “marginalium”, the decorative marginal element of the illustrated books, symbolizes such vision by a punctual means. The “floating figure”, a humanized and singular marginalium, underlies the different motifs, evoking the infinitude of human potential.

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