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Essays on the history of macroeconometric modeling and the evolution of economic analysis at the Federal Reserve / Essais sur l’histoire de la modélisation macroéconométrique et l’évolution de l’analyse économique à la Réserve fédérale

Acosta, Juan 25 May 2019 (has links)
Cette thèse est composée de quatre articles qui analysent l’évolution de l’analyse économique au sein de la Réserve fédérale et le développement des modèles macroéconométriques aux Etats Unis pendant les années cinquante et soixante. Le premier article, « Roosa et Samuelson sur l'efficacité de la politique monétaire », porte sur les différents types d'arguments utilisés par Robert Roosa (Banque de la Réserve Fédérale de New York) et Paul Samuelson (Massachussetts Institute of Technology) au sujet du rôle des banques dans l'efficacité de la politique monétaire au début des années cinquante. Roosa souligne l'importance de prendre en compte les caractéristiques du système financier des États­-Unis et son évolution. Son argumentation se fond sur l'intuition acquise dans son activité quotidienne sur le marché monétaire à New York. Samuelson, quant à lui, transforme le débat et le réduit à la question de l'existence d'un équilibre avec rationnement sur le marché du crédit. Bien que Samuelson n’ait pas proposé de modèle mathématique, il a ainsi orienté le débat dans une direction plus proche du langage des économistes, reposant sur les concepts d'équilibre et comportement rationnel. Dans le deuxième article, « La modélisation macroéconométrique et le comité sur la stabilité économique (CES) du SSRC, 19591963 », Erich Pinzón­Fuchs et moi­ même discutons l’élaboration d'un modèle qui a jeté les bases de la macroéconométrie des années soixante. Nous analysons, à l’aide de l’étude du travail individuel des chercheurs impliqués et des retranscriptions de leurs réunions annuels, comment le modèle a été construit par un groupe d’une vingtaine de chercheurs. Nous signalons l'importance des liens que ce projet a institué entre les économistes, différentes agences gouvernementales, et des think­tanks comme la Brookings Institution. Dans le troisième article, « Le comportement des banques dans les modèles macroéconométriques des années soixante », Goulven Rubin et moi­ même étudions l’intégration du choix de portefeuille pour les banques et le traitement du rationnement du crédit dans ces modèles. Nous démontrons que le modèle de la Réserve fédérale est plus transparent que les modèles précédents dans la mesure où la structure du marché monétaire est plus claire. Un effort a été réalisé pour clarifier le rapport entre les équations fonctionnaires de la Réserve fédérale pour explorer ces méthodes et leurs possibles usages pour guider la politique monétaire. estimées et les choix microéconomiques des banques. Par rapport au rationnement du crédit, nous soulignons l’effort des modélisateurs pour l'inclure dans les modèles malgré la difficulté à observer ce rationnement directement. Leurs efforts pour favoriser la mesure a permis d’inclure ce rationnement dans le modèle, mais avec des résultats limités en termes d’implication analytique du rationnement sur la politique monétaire. Dans le quatrième article, « La transformation de l'analyse économique à la Réserve fédérale pendant les années soixante », Béatrice Cherrier et moi ­même utilisons les données biographiques des fonctionnaires de la Réserve Fédérale, des témoignages, et des archives, pour montrer comment la modélisation économétrique et les prévisions ont trouvé une place au sein de la Réserve Fédérale. Nous montrons, en particulier, que l’arrivée de ces méthodes a été la conséquence des pressions externes mais aussi de la volonté des fonctionnaires de la Réserve fédérale pour explorer ces méthodes et leurs possibles usages pour guider la politique monétaire. / This dissertation contains four papers that discuss the transformation of economic analysis at the Federal Reserve and the development of large-scale macroeconometric models during the 1950s and 1960s in the United States. The first paper is titled “Roosa and Samuelson on the effectiveness of monetary policy.” I discuss the different types of arguments used by Robert Roosa (Federal Reserve Bank of New York) and Paul Samuelson (MIT) in their discussion about the effectiveness of monetary policy in the early 1950s. Roosa emphasized the importance of lenders’ willingness to lend and, in general, of taking into account the details of the evolution of the American financial system. He presented an argument based on the intuition acquired in his participation—as an official of the New York Federal Reserve— in the New York money market. Samuelson, for his part, transformed the debate by reducing it to a discussion about the existence of an equilibrium with rationing in the credit market. Although Samuelson did not provide a mathematical model, he did transform the debate into a discussion palatable for economists, based on concepts like equilibrium and rational behavior. The second paper is titled “Macroeconometric modeling and the SSRC’s Committee on Economic Stability, 1959-1963.” Erich Pinzón-Fuchs and I discuss the construction of a macroeconometric model (1960-1963) that laid the bases for subsequent large-scale macroeconometric models of the 1960s. We discuss how, using an approach based on individual work together with two long annual conferences, the model was built by a team of more than 20 researchers. We also point out the important connections that the project helped establish between economists in academia, the government, and the Federal Reserve. The third paper is titled “Bank behavior in large-scale macroeconometric models of the 1960s.” Goulven Rubin and I discuss the implementation of a portfolio choice framework and the inclusion of credit rationing by banks in these models. We found that the Fed-MIT-Penn model has a more transparent structure: the structure of the money market is clearer, as is the relationship of its equations with the microeconomic choices of banks. Regarding credit rationing, we found that modelers made important efforts to include it despite its non-observable nature and to develop a measure of it. Once a measure was found, and despite constant negative results, modelers kept trying to find a place for credit rationing in their model. These results invite a deeper reflection on the idea of microfoundations in large-scale macroeconometric models and on the role of beliefs in macroeconometric modeling. The fourth paper is “The transformation of economic analysis at the Federal Reserve during the 1960s.” Béatrice Cherrier and I use biographical data, reminiscences, and archival sources to show how econometric modeling and forecasting found a place at the Federal Reserve. We show, in particular, that the arrival of these methods was in part the consequence of external pressures, but also of the will of Fed officials interested in exploring the possible uses of these methods for monetary policymaking. There was no simple takeover by econometricians at the Federal Reserve but, instead, an equilibrium between judgmental and econometric forms of analysis emerged by the early 1970s.
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Bank and Sovereign Credit in Financial Turmoil / Crédit bancaire et dette souveraine en période de crise financière

Burietz, Aurore 06 February 2015 (has links)
L'objectif de cette thèse est d'étudier tant les causes qui expliquent la faillite de Lehman Brothers et la crise des « subprime » que leurs conséquences pour deux agents économiques distincts, à savoir les banques et les souverains, à travers différentes approches empiriques originales. Nos résultats mettent en avant le fait que la crise des « subprime » trouve son origine dans la combinaison d'une bulle immobilière et de crédit associée à une hausse du risque dans les décisions d'investissement, le tout soutenu par des innovations financières telles que la titrisation. Ainsi, en 2008, lorsque les marchés financiers s'effondrent, les banques Européennes notamment deviennent réticentes à prêter, conduisant à un rationnement du crédit et à une réorientation de leur offre ayant pour conséquences un biais domestique et sectoriel. Dans ce contexte, les gouvernements nationaux décident d'intervenir afin de soutenir leurs systèmes bancaires et de limiter la propagation de la crise sur l'économie réelle. Cependant, nos résultats montrent que ces plans de sauvetage ont suscité des questionnements parmi les investisseurs sur la capacité des états Européens à gérer leur propre dette. On observe ainsi la hausse des taux d'intérêt sur les dettes souveraines Européennes et l'émergence de la crise des dettes souveraines dans la zone Euro. Nos résultats suggèrent que la gestion de cette crise est unique et ne peut pas s'appuyer sur l'expérience des crises précédentes notamment à cause du risque de contagion très significatif. Néanmoins, nous montrons que la réduction de dette mise en œuvre en Grèce pour résoudre la crise fut optimale et parvint à réduire le risque de défaut / The objective of this dissertation is to study both the causes that explain the collapse of Lehman Brothers leading to the subprime crisis and its consequences for two different agents, i.e. banks and sovereigns, using several original empirical approaches. We set forth that the subprime crisis found its origins in the combination of a real estate and a credit bubble associated with an increase in moral hazard behaviour, emphasized by the use of financial innovations such as securitization. Hence, in 2008, when financial markets collapsed, European banks in particular became reluctant to lend money which in turn provoked credit crunch and a flight-to-home effect associated to a sectoral bias. As such, national governments had to intervene to support their banking systems and to limit the propagation of the crisis in the real economy. However, we show evidence that these rescue packages raised concerns among investors about the capacity of European sovereigns to manage their own debt. The cost of servicing sovereign debt thus increased and the sovereign debt crisis in the Euro-zone burst. We set forth that this sovereign debt crisis was unique and could not be handled similarly to previous experiences due to significant spillover risks. Nevertheless, our results show that the debt reduction implemented in Greece to solve the crisis was optimal and succeeded in rendering the default option unattractive
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La restructuration de l'espace microfinancier du Kivu (R. D. Congo) : pistes d'une intermédiation efficace

Kalala Tshimpaka, Frédéric 10 January 2007 (has links)
L'efficacité de la microfinance, considérée comme mode de financement des exclus de la finance classique, peut être évaluée en terme de pérennité de financement et d'adéquation de celui-ci aux besoins des clients. Cette démarche quasi absente de la littérature, est au centre de cette étude qui propose une relecture de la théorie financière des organisations. Grâce à l'approche qualitative, les rationalités des principaux stakeholders sont analysées et la pertinence relativement contextuelle des indicateurs de performance est discutée. L'approche quantitative tente de modéliser le comportement des emprunteurs et des prêteurs au Kivu en s'appuyant sur les données collectées auprès de 31 institutions de microfinance (IMF) et 260 de leurs clients pour la période allant de 1996 à 2002. Il ressort de notre étude que trop peu d'indicateurs classiques sont compatibles avec les réalités du Kivu. Le ratio de liquidité immédiate et la caution solidaire sont peu significatifs. Seul le portefeuille à risque explique les contre-performances souvent enregistrées par les IMF. Il fournit des résultats (≥ 11 %) supérieurs aux normes théoriques (5 % pour un PaR30) mais significatifs au Kivu dans la mesure les créances irrécouvrables ne sont pas exclues des prêts en retard de paiement, base théorique de détermination du ratio. Les IMF dont le PaR30 dépasse 20 % s'enlisent dans le rationnement de crédit et finissent souvent par cesser tout octroi de crédit. En règle générale, les IMF du Kivu ne mobilisent pas suffisamment l'épargne locale et n'accèdent pas aux fonds commerciaux. La restructuration de l'espace microfinancier local passe par l'institutionnalisation des organisations qui fonctionnent de manière professionnelle. Ceci leur permettra d'accéder à l'épargne du public et au refinancement auprès des banques commerciales parfois en situation de sur-liquidité faiblement rémunérée. A cette occasion, tous les « stakeholders » peuvent tirer parti de l'inversion du cycle d'intermédiation financière (c'est-à-dire l'octroi des microcrédits plus rentables à partir des crédits bancaires à long terme) par les IMF. Nos investigations mettent enfin en exergue d'intéressantes pistes d'économies d'échelle à l'aide des fusions possibles entre quelques organisations de microfinance du Kivu.
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Financement des Petites et Moyennes Entreprises en Tunisie / Small and Medium-sized Enterprises finance in Tunisia

Fhima, Fredj 26 October 2010 (has links)
L'étude des difficultés d'accès des Petites et Moyennes Entreprises (PME) tunisiennes aux fonds montre que ces entreprises connaissent un “déficit d'intégration bancaire” qui peut être expliqué par la théorie du rationnement du crédit. La réticence des banques tunisiennes à s'impliquer dans le financement des PME est en grande partie expliquée par les caractéristiques structurelles et financières du système bancaire tunisien qui connaît une prépondérance des banques de dépôts se traduisant par une limitation de la concurrence sur le coût de financement. Elle est aussi expliquée par les faiblesses qu'enregistre la Tunisie en matière de partage d'information de crédit et de protection légale des créanciers tout au long de l'opération de financement.La vérification empirique du rationnement des PME sur le marché du crédit bancaire tunisien est fondée sur une estimation d'un modèle de déséquilibre sur la base d'un échantillon de données de panel composé de 1760 PME sur la période 2001-2006. Les résultats obtenus montrent que les PME tunisiennes, dépendantes du crédit bancaire, cherchent à éviter de mobiliser cette source de financement chaque fois qu'elles enregistrent une augmentation de leurs ressources internes ou font recours au crédit fournisseur. La très forte aversion au risque des banques fait que la décision d'offre du crédit dépend principalement de la garantie réelle et se traduit par une proportion moyenne d'environ 90% des entreprises qui sont - partiellement ou totalement - rationnées. / The study of Tunisian Small and Medium-size Enterprises (SMEs) difficulties to access to funds shows that these enterprises experience a “banking integration deficit” that can be explained by credit rationing theory. The reluctance of Tunisian banks to become involved in SMEs' financing is largely explained by the structural and financial characteristics of the Tunisian banking system whereof of the dominance of commercial banks results in a limitation of competition on the financing cost. It is also explained by the weaknesses experienced by Tunisia as regards the sharing information and the creditors legal protection throughout the financing transaction.The empirical verification of Tunisian SMEs' credit rationing on the Tunisian bank credit market is founded on an estimate of a disequilibrium model on the basis of a panel data set of 1760 Tunisian SMEs over the period 2001-2006. Results show that Tunisian SMEs, dependent on bank credit, seek to avoid the call for this source of financing every time they experience an increase in their internal resources or have recourse to trade credit. The very strong risk aversion of banks makes the credit supply decision mainly dependent on real guarantee, and results to an average proportion of 90% - partially or totally - credit rationed enterprises.
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La finance solidaire : un système de relations de financement.

Artis, Amélie 23 September 2011 (has links) (PDF)
La finance solidaire se caractérise par un système de relations de financement entre des agents économiques : une relation de confiance découlant d'espaces de socialisation, une relation d'accompagnement facilitant la construction d'anticipations convergentes, et une relation financière stricto sensu. Elle s'inscrit dans les mutations socioéconomiques institutionnelles qui affectent l'offre et la demande de financement. Elle construit de nouvelles réponses à destination des agents productifs exclus du fait des transformations de la régulation financière, prenant ainsi en charge des espaces de financement périphériques nécessaire à la durabilité du système financier dominant. La finance solidaire est mise en œuvre par des organisations diversifiées partageant des caractéristiques particulières. Elle est l'expression d'une convention de financement solidaire territorialisée qui repose sur des modalités d'acquisition de l'information à la fois personnalisées et normalisées, sur des garanties collectives et sur l'association de différentes parties prenantes (associations, banques coopératives et lucratives, entreprises, collectivités territoriales). La diversité et l'articulation de ressources de nature différente engagent la finance solidaire à ancrer son action dans un compromis entre plusieurs logiques d'actions, aux fondements plus ou moins stables. Du fait de cette nature partenariale, les organisations de finance solidaire évoluent dans un environnement non concurrentiel qui assure néanmoins des moyens de financement pour la re-dynamisation d'une partie des activités économiques de proximité. Elle contribue ainsi à l'adaptation du système financier tout en proposant de diffuser des règles de financement innovantes.
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Conditions de financement de la PME et relations bancaires

Vigneron, Ludovic 21 November 2008 (has links) (PDF)
L'étude des effets de la mise en place d'un financement relationnel bancaire sur les conditions de financement de la PME est l'objet principal de cette thèse. Il s'agit de mettre en évidence la manière dont un accord implicite de collaboration sur le long terme mitige les problèmes d'asymétries d'information caractéristiques de ces structures. On peut inférer de ce travail plusieurs contributions dans le domaine de la politique financière de la PME et de la tarification bancaire. Les entreprises ayant pour banque principale une entité décentralisée, donc à l'organisation favorable à la fourniture de financement relationnel, utilisent de manière moins importante le crédit fournisseur, la dette fiscale et sociale et le crédit-bail. Il apparaît qu'elles obtiennent plus facilement du crédit. Une étude de leur choix de banque principale montre l'intériorisation du phénomène. Les PME s'orientent ainsi soit vers une banque centralisée, si elles peuvent produire une information standard suffisante et crédible, soit, si elles en sont incapables, vers une banque décentralisée de manière bénéficier d'un financement relationnel. Les entreprises n'étant pas parvenues à établir de lien avec une banque correspondant au type d'information qu'elles sont susceptibles de produire subissent une contrainte financière plus importante. Dans le cadre d'un financement relationnel, la banque peut réduire les difficultés informationnelles en mettant en place un équilibre séparant taux/garanties afin de distinguer les porteurs de projet de qualité. L'échange d'informations durant la relation réduit les possibilités de détournement de valeur des actifs offerts en garantie. Les porteurs de projets peu risqués peuvent ainsi de manière crédible conférer plus de garanties afin d'obtenir un taux inférieur. Ceci réduit les situations de rationnement du crédit.
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La finance solidaire : un système de relations de financement. / ‘Solidarity-based finance’ : a system of funding partnerships

Artis, Amélie 23 September 2011 (has links)
La finance solidaire se caractérise par un système de relations de financement entre des agents économiques : une relation de confiance découlant d'espaces de socialisation, une relation d'accompagnement facilitant la construction d'anticipations convergentes, et une relation financière stricto sensu. Elle s'inscrit dans les mutations socioéconomiques institutionnelles qui affectent l'offre et la demande de financement. Elle construit de nouvelles réponses à destination des agents productifs exclus du fait des transformations de la régulation financière, prenant ainsi en charge des espaces de financement périphériques nécessaire à la durabilité du système financier dominant. La finance solidaire est mise en œuvre par des organisations diversifiées partageant des caractéristiques particulières. Elle est l'expression d'une convention de financement solidaire territorialisée qui repose sur des modalités d'acquisition de l'information à la fois personnalisées et normalisées, sur des garanties collectives et sur l'association de différentes parties prenantes (associations, banques coopératives et lucratives, entreprises, collectivités territoriales). La diversité et l'articulation de ressources de nature différente engagent la finance solidaire à ancrer son action dans un compromis entre plusieurs logiques d'actions, aux fondements plus ou moins stables. Du fait de cette nature partenariale, les organisations de finance solidaire évoluent dans un environnement non concurrentiel qui assure néanmoins des moyens de financement pour la re-dynamisation d'une partie des activités économiques de proximité. Elle contribue ainsi à l'adaptation du système financier tout en proposant de diffuser des règles de financement innovantes. / ‘Solidarity-based finance' is characterized by a system of funding partnerships between economical operators : a trust-based relation emerging from social interactions, a stewardship enabling convergent anticipations, and a financial partnership. It operates in socio-economic institutional mutations which affect the supply and demand of funding. It offers new opportunities to productive operators excluded by financial regulation transformations. Therefore, peripheral financial activities required to sustain the dominant financial system are taken into consideration. The ‘solidarity-based finance' is implemented by various organizations sharing specific characteristics. This unique concept is based upon territorialized solidarity-based funding agreements that are defined by information acquiring mechanisms (which are individualized but nonetheless normalized); collective commitments and association of various stakeholders (civil society, cooperative banks, local authorities, corporations). The diversity of resources and their interactions compel ‘solidarity-based finance' to anchor its role in a mediation between several policies, with more or less solid ground rules. Because of this collaborative nature, ‘solidarity-based finance' organizations operate in a non-competitive environment. However, they also offer means of funding for the reinstatement of part of local economy. It so contributes to the mutations of the wider financial system while promoting innovative means of funding.
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Le financement bancaire des Petites et Moyennes Entreprises : rationnement de crédit, conditions d'emprunt et notation / Bank financing of Small Medium Enterprises : credit rationing, credit terms and rating

Sayeh, Wafa 09 December 2014 (has links)
Les travaux de recherche menés dans cette thèse répondent à plusieurs problématiques concernant les Petites et Moyennes Entreprises (PME). Après un état de l'art et une proposition de classification des types de rationnement de crédit, les deux premières études s'interrogent sur l'accès des PME aux crédits bancaires : la première question concerne la prédiction du rationnement de crédit à partir des caractéristiques des PME, la deuxième est relative aux déterminants des conditions de crédit. Enfin, la troisième étude teste l'existence et les causes de la divergence des notations de crédit des PME. Les travaux économétriques menés dans ces trois études se sont appuyés sur deux échantillons différents : l'un construit à partir d'un questionnaire sur le rationnement du crédit envoyé à un panel de PME, l'autre contenant les PME clientes d'un établissement bancaire, ayant obtenu au moins un crédit sur la période d'étude de quatre ans. / This dissertation addresses several issues facing Small and Medium Enterprises (SMEs). The first three articles are focusing on SMEs' access to bank loans. This issue contains two areas for intervention. The first is the prediction of credit rationing decision based upon SMEs characteristics. The second relates to the determinants of credit terms. The fourth article approaches the issue of the existence and causes of split rating. Researches covered in this thesis are based on two different samples. The first sample was constructed from a credit rationing survey sent to an SMEs panel. The second sample was supplied by one French mutual bank and relates to information on its credit reports and credit history over the period from 2007 to 2010.
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Asymétrie d'information et rationnement du crédit bancaire : le cas de la PME Tunisienne / Asymmetric information and bank credit rationing : the case of the Tunisian SMEs

Ben Ahmed, Walid 17 January 2014 (has links)
Malgré les encouragements visant à soutenir les PME, la création de ces entreprises demeure inférieure aux attentes ; nombre de celles-ci disparaissent. L'octroi de crédit est la ontrainte primordiale pesant sur le développement et la pérennité de ces entreprises puisque les banquiers accordent du crédit seulement lorsqu'ils s'assurent que les clients sont solvables et qu'ils sont aptes à honorer leur engagement. Cette politique financière discriminatoire des banques se justifie par la difficulté d'évaluer leurs risques et le manque de crédibilité de leurs systèmes d'informations puisque les informations sont insuffisantes et souvent unilatérales ; une des deux parties dispose d'une meilleure information ; il en sait davantage que l'autre. Ce phénomène est appelé asymétrie de l'information et pourrait engendrer l'aléa moral et la sélection adverse. Cependant, le contrat signé entre d'un côté, les emprunteurs, et de l'autre, les créanciers, pourrait se traduire par une information asymétrique conduisant, tout au plus, au rationnement de crédit, ou dans certains cas, à des taux d'intérêt élevé, freinant ainsi le développement de la relation banque-entreprise. Notre recherche s'appuie sur une enquête conduite auprès de 160 chargés de clientèle de deux banques tunisiennes, la Société Tunisienne de Banque (STB), et la Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT), afin d'étudier leur comportement dans la décision d'attribution de crédit aux ppetites et moyennes entreprises (PME). L'utilisation de la méthode des équations structurelles montrent une diversité des comportements des banques privées par rapport à ceux étatiques. / Despite the encouragement to support the SMEs, the creation of these companies still bellow expectations, number of these disappears. The granting of credit is the essential constraint pressing on the development and the sustainability of these companies because the bankers provide credit only when they make sure that the customers are solvent and that they are capable of honoring their commitment. This discriminatory fisal policy banks is justified by the difficulty in assessing their risks and the lack of credibility of their information systems, since the information is insufficient and often unilateral, one of two parties has better information, he know more than the other. This phenomenon is alled asymmetric information and could cause moral hazard and adverse selection. However, the contract between the borrowers, on one hand, and creditors, on the other hand, the creditors ould be shifted by asymmetric information leading, at the most, rationing of credit, or in some cases, to high rate interest ; thus limiting the development of the relationship between banks and companies. Our research is based on a survey conducted among with 160 account managers of two Tunisian banks, Tunisian Banking company ("Société Tunisienne de Banque", STB) and the Arab International Bank of Tunisia ("Banque Internationale Arabe de Tunisie", BIAT) to study their behavior in the decision of allocation credit to small and medium enterprises (SMEs). The results, achieved through Structural Equations Analysis, show differences between private versus public banks in regard.
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La liaison entre les nouvelles formes de crédit et le développement en Afrique subsaharienne / The linkage between new forms of credit and develompent in sub-Saharian Africa

Djade, Komi 02 July 2008 (has links)
Cette recherche est une contribution au débat sur la possibilité de concilier rentabilité, faible coût du crédit et large portée relative des institutions de microfinance. Elle discute aussi l’efficacité des subventions accordées à ces institutions. Enfin elle cherche à articuler la microfinance et la croissance économique dans les pays d’Afrique subsaharienne. Notre étude produit des résultats qui tendent à montrer qu’en Afrique subsaharienne les institutions de microfinance issues de la privatisation directe ou indirecte d’anciens réseaux de collecte étatiques ont une rentabilité négative mais touchent un grand nombre de personnes. A l’inverse les institutions de microfinance d’origine locale ont une taille relative beaucoup plus faible, leur part dans la distribution du crédit total à l’économie est faible, mais elles sont rentables. Deuxièmement la politique de subventions doit encourager les institutions à devenir autonomes plutôt que chercher à pérenniser les situations acquises d’endettement, tout en cherchant à réduire l’effet des coûts fixes sur le taux du crédit. Finalement, de la nature de la politique économique dépendra le développement relatif des secteurs formel et informel. Par exemple, une politique monétaire restrictive favorisera le secteur informel alors qu’une politique monétaire expansionniste favorisera le secteur formel. / The aim of this dissertation is to contribute on the debate about the possibility to reconcile return, low cost of credit and high relative outreach of microfinance institutions. It deals with efficiency of the granted subsidies to these institutions and at last with the interaction between microfinance and economic growth in sub-Saharan Africa. The results of our study tend first of all to suggest that, in sub-Saharan Africa, microfinance institutions coming from the direct or indirect privatization of public development banks have a negative return but a high level of outreach, whereas microfinance institutions coming from local groups have a relative low size but are profitable and self-sufficient. The ratio of their gross loan portfolio to total loan is marginal. Secondly, subsidy policy should enforce microfinance institutions to become self-sufficient rather than perpetuate overdraft situations coming from the past. It should also aim at reducing fixed cost on loan rate. The development of formal and informal markets will depend on the nature of economic policy: a restrictive monetary policy will increase the informal market while an expansionist monetary policy will increase the formal market.

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