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L'art de propagande en Espagne, de la Seconde République au premier franquisme : affiches et portraits officiels

Barriault Fortin, Myriam 02 1900 (has links)
This thesis questions the major esthetic differences between the artistic productions of the Second Spanish Republic (1931-1939) and the nationalist artistic productions of the Civil War years and the first decade of the francoist dictatorship. These differences are analysed using the artistic productions of Josep Renau (1907 Valence – 1982 Berlin East) and of Ignacio Zuloaga (Elibar 1870 – Madrid 1945). Renau was an important artistic figure during the Spanich Republic. In this thesis, we analyse Renau’s different propaganda productions between 1931 and 1939. Zuloaga was an international artist when the nationalist uprising occurred in 1936. He was recognized by the European elites for his portraits of Andalousian and Castillian sceneries. Zuloaga supported the nationalist putsch and the francoist ideology. In 1939, the Caudillo ordered the painting of the portrait that we will be analysing. The theories of François Hartog, Reinhart Koselleck, Paul Ricoeur and Hannah Arendt are used to analyse the historical conceptual confrontation in Spain, portrayed by the artworks that we studied. During the Republic, it was the modern historical regime that was in force. The historical references used are close in time and the history is constructed in the future and attached to the idea of progress. With the nationalists, the historical conception is connected to the Historia magistra where the past is used as an example. In the first francoism, a return to Spain’s glorious past (the Middle Ages, the Golden Century and the Counter Reform) is clearly claimed in order to rescue the country from the ills of modernity. It is with these different historical conceptions in mind that we compare the esthetics specificities of the artworks, the identity and historical references and the mediums used to legitimize the power and the political actions of each front. / Ce mémoire interroge les différences esthétiques majeures entre les productions artistiques issues de la Seconde République espagnole (1931 - 1939) et l'art franquiste de la première décennie du régime. Ces différences sont examinées à partir d’œuvres de deux artistes ; Josep Renau (1907 - 1982) et Ignacio Zuloaga (1870- 1945). Renau est une figure importante dans le milieu artistique de la République pendant la Guerre civile. Nous analysons les différentes productions à vocation propagandiste réalisées par Renau entre 1931 et 1939. Zuloaga est un artiste reconnu par l’élite européenne pour ses portraits et pour ses scènes andalouses et castillanes. Zuloaga appui le coup d’État et l’idéologie franquiste. Le Caudillo lui commande, en 1939, le portrait que nous examinons. Les théories de François Hartog, de Reinhart Koselleck, de Paul Ricœur et de Hannah Arendt sont utilisées pour expliciter la confrontation des conceptions historiques dont les œuvres examinées sont des témoignages. Sous la République c’est le régime moderne de l’histoire qui est actif. Les références historiques utilisées sont proches dans le temps et l’histoire se construit dans un futur en lien avec l’idée du progrès. Pour le franquisme, la conception de l’histoire s’apparente à l’Historia magistra où le passé a une valeur d’exemple. Un retour au passé glorieux de l’Espagne (le Moyen Âge, le Siècle d’Or et la Contre-Réforme) est clairement revendiqué, afin de guérir le pays des maux de la modernité. C’est à partir de ces différentes de conceptions historiques que nous comparons les spécificités esthétiques des œuvres, les références identitaires et historiques employées et les médiums utilisés aux fins de légitimer le pouvoir et les actions politiques de chacun des fronts.
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Le temps de l'événement architectural : fabrication et mise en scène de tours de bureaux et leurs quartiers : la City, la Défense, Francfort / A time for the architectural event : production and staging of tall buildings and their districts : the City, La Défense, Frankfurt

Lenne, Loïse 16 July 2015 (has links)
L'ambition de cette recherche est d'interroger et de clarifier l'emploi du terme événement à propos de réalisations architecturales et des phénomènes qui les entourent. Elle a été menée grâce à l'étude de trois quartiers de tours et d'affaires européens – la City, la Défense, Francfort – qui apparaissent propices à la recherche d'événements. L'événement architectural y est vu, à l'instar de tout événement, non comme un donné immanent advenant par lui-même, mais comme un construit auquel participe chaque acteur en amont et en aval, du client qui organise un concours aux médias qui fabriquent sa réception. Cette construction est caractéristique de la période récente. L'événement architectural tel que nous le définissons n'est pas un simple mode d'existence de l'événement mais le produit d'un rapport au temps particulier que certains historiens voient comme étant uniquement tourné vers le présent et qualifient à l'aide de la notion de régime d'historicité. Dans les quartiers étudiés, l'événement prend la forme de mises en scène de l'existant lors de festivals ou grâce à la réalisation de bâtiments qui se présentent comme atemporels et hors de toute question de style. Il ne provoque plus nécessairement de rupture. Mais alors que ce phénomène tourne tous les regards vers l'architecture des bâtiments, il opère également une réduction dans leurs caractéristiques architecturales. L'architecture, en devenant événement ou en étant utilisée par un événement festif, n'est plus vue que sous l'angle de questions typologiques plus ou moins réduites et de différenciation pour faire mémoire. Ces deux points sont vus comme la part irréductible de l'architecture, indissoluble dans l'événement, dernier levier d'action pour les architectes aux prises avec une demande en événement / The aim of this research is to question and clarify the use of the term event when talking about architectural realizations and the phenomena that occur around them. It has been conducted by analyzing three European tall building and business districts – the City, La Défense, and Frankfurt – which seem propitious for the location of events. Just like any other event, the architectural one is not viewed here as a spontaneous given which occurs in and of itself but as a construction in which a variety of actors take part, from the client who organizes the competition beforehand all the way to the media who, in the aftermath of the event, generate its reception. This construction is characteristic of recent times. The architectural event such as we define it is not a mere mode of existence of the event but the product of a special relationship to time which some historians see as being only preoccupied with the present and define thanks to the notion of regime of historicity. In the districts studied, the event takes the form of a staging of the existing by way of festivals or thanks to the completion of buildings which present themselves as timeless and devoid of any question of style. It no longer necessarily leads to a breach. But while this phenomenon has all gazes turned toward the architecture of the buildings, it also diminishes their architectural characteristics. By becoming an event in itself or being used for festive events, architecture is henceforth only considered through the angle of a limited number of typological questions and that of its ability to distinguish itself in order to be remembered. These two aspects are seen as the irreducible facets of architecture, those which cannot be dissolved in the event. They are the final levers of action for the architect who is faced with a demand for events
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Le discours de la guerre dans la chanson de geste et le roman arthurien en prose / The discourse of war in chanson de geste and arthurian prose romance

Bonansea, Marion 06 December 2014 (has links)
La chanson de geste et le roman arthurien en prose aux XIIe et XIIIe siècles dépeignent un univers largement guerrier. Mais loin d’en donner une signification homogène, les œuvres narrent différents types de conflits, des plus terrestres aux plus spirituels, et font entendre des voix diverses – y compris celle du jongleur ou du narrateur – qui tantôt justifient la violence collective, tantôt la condamnent, selon des critères variables. Cette pensée complexe de la guerre s’éclaire lorsqu’on replace les discours littéraires au cœur d’un dialogue avec d’autres textes – surtout ecclésiastiques – concernant l’activité guerrière et sa légitimité : ainsi, la manière de concevoir le sens de la lutte, dans des fictions destinées en premier lieu à un public noble, puise dans des systèmes de valeurs parfois opposés mais aussi complémentaires, laïcs et cléricaux. L’enjeu des relations conflictuelles tel que l’expriment les récits dépend également de schémas d’organisation intellectuelle qui sous-tendent une représentation de l’ordre : la guerre est conçue positivement lorsqu’elle vise à défendre ou à établir une certaine organisation du monde et de la société, parfois fondée sur une exigence de continuité et d’unité du pouvoir, parfois au contraire nourrie par une aspiration à la totalité. En dernier lieu, la valeur de la lutte dépend de son rôle dans la destinée humaine, ce que l’épopée et le roman expriment chacun selon un régime d’historicité distinct : les discours de la guerre sont donc aussi fonction des spécificités poétiques des formes littéraires, de leur écriture de l’histoire, et de la façon dont elles organisent le temps. / 12th and 13th century chansons de gestes and prose Arthurian romances depict a largely warlike universe. But, far from giving an homogeneous interpretation of it, these works narrate different types of conflicts, from the more earthly to the more spiritual, and let diverse voices be heard – including that of the juggler or of the narrator – which sometimes justify collective violence, sometimes condemn it, according to different criteria. This complex view of war can be better understood if we place these literary discourses at the center of a dialogue with other kinds of texts – mainly ecclesiastical – about war and its legitimacy : thus, the way in which the meaning of fighting is conceived in fictions first of all destined to a noble audience is rooted in sets of values which are sometimes opposed but also complementary, lay and ecclesiastical. The stakes of the conflictual relationships as they are expressed in the narratives also depend on the intellectual constructions underlying a representation of order : war is conceived positively when its aim is to defend or to establish a certain organization of the world and of society, sometimes based on a requirement for continuity and unity of power, sometimes drawing on the contrary on an aspiration for totality. Finally, the value of the fight depends on its role in human destiny, which the epic and the romance each express according to a different regime of historicity : discourses about war thus depend on the poetic specificities of literary forms, on their writing of history, and on the way they organize time.
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Préservation de la nature, protection sociale et justice entre les générations : Privilégier le présent pour transmettre au futur un monde plus juste / Nature conservation, social welfare and justice between generations : Emphasizing the present to transmit to the future a fairer world

Rio, Cédric 29 November 2013 (has links)
Comment peut-on concilier le respect des droits à la liberté des membres des générations futures et présentes ? Agir en faveur des premiers ne doit pas se faire aux dépens des seconds. Selon nous, la garantie pour tous de pouvoir développer et concevoir une conception spécifique de la vie bonne suppose de privilégier l'objectif d'une justice sociale globale dans le temps présent pour ainsi transmettre à la postérité un monde plus juste. Nous indiquons en premier lieu en quoi les générations qui se succèdent sur Terre ont des devoirs envers celles qui les suivront dans le temps, mais également pourquoi nos actes ne reflètent pas la reconnaissance de tels devoirs. Nous nous interrogeons ensuite sur le contenu du monde à transmettre en conformité avec ces devoirs. Il incombe aux générations de préserver autant que possible l'environnement naturel et d'édifier un environnement politique et social suffisant. Cela requiert la constitution d'une épargne intergénérationnelle au cours d'une phase limitée, suivie d'une phase de croisière dans laquelle l'accumulation doit être stoppée. Mais les efforts pour cette épargne et les ressources générées par celle-ci sont à répartir équitablement au sein et entre les générations : ce point est l'objet de notre troisième partie. Nous montrons que les efforts demandés à chacun au sein de la phase d'accumulation devraient dépendre de l'environnement dont disposent les individus, tandis que les ressources produites sont à redistribuer en priorité aux contemporains les plus démunis. Une telle préférence sociale pour le présent ne va pas à l'encontre des droits des individus futurs : elle permet au contraire de limiter la perpétuation, de génération en génération, des inégalités intragénérationnelles et de favoriser le respect de leurs droits par les individus qui vivent dans le temps présent. / How can we reconcile the respect to liberty rights of members of future and current generations? Act in favour of the former should not be at the expense of the latter. According to us, the guaranty for all to be able to develop and conceive a specific conception of the good life involves favouring the objective of global social justice in the present time, and so transmitting to posterity a fairer world. We show first how the succeeding generations on Earth have duties to those who follow in time, but also why our acts do not reflect the recognition of such duties. Then we wonder about the content of the World to transmit in compliance with these duties. Generations bear the responsibility to preserve as much as possible the natural environment and to edify a sufficient political and social environment. This requires the constitution of an intergenerational savings during a limited phase, followed by a steady-state phase in which the accumulation must be stopped. But efforts to the savings and resources generated by it have to be distributed fairly within and between generations: this is the subject of our third part. We show that efforts required to everyone during the accumulation phase should depend on the environment available to individuals, while produced resources have to be redistributed primarily to the most disadvantaged contemporaries. Such a social time preference does not run counter the rights of future individuals: it allows instead to limit the perpetuation of intra-generational inequalities from generation to generation and to promote the respect of their rights by individuals living at the present time.

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