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Le discours utopique dans la Possibilité d'une île de Michel Houellebecq

Letendre, Daniel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Lecture et interprétation du Théâtre d'Ippolito Nievo : « I Beffeggiatori » et les fragments dramatiques / The Reading and interpretation of Ippolito Nievo's Theatre "I Beffeggiatori" and dramatic fragments

Crisanti, Flavia 06 December 2010 (has links)
À l'exception de Le Confessioni di un italiano, le roman le plus célèbre d'Ippolito Nievo (1831-1861), - et d'une partie de sa production poétique – Le poesie garibaldine- , les œuvres de Nievo sont encore, en grande partie, étudies selon l'image du début du XXe siècle fixée par Dino Mantovani. Le premier biographe de Nievo a voulu relever dans ses œuvres une dimension poétique et esthétique liée au Romantisme, auxquelles s'ajoute un arrière fond politique. Cet portrait a marqué la tendance de la critique italienne à lire et relire Nievo comme l'écrivain qui a donné les plus belles pages de la littérature du Risorgimento, mais, en même temps, qui n'a jamais eu une propre et véritable dimension intellectuelle. Mais, depuis le lancement de l'Edition Nationale de l'Œuvres d'Ippolito Nievo en 2005 à Padoue, cette image a commencé lentement a changer. Il y a eu un revirement critique signalé par la décision de publier comme premiers titres les comédies Pindaro Pulcinella et Le Invasioni moderne, soulignant la volonté d'ouvrir les études aux textes moins connus qui avaient été sacrifiés et, parfois, jamais publies au XXe siècle. Cette approche, donc, a engendré une revalorisation et une redécouverte de toute sa production romanesque, poétique et journalistique. Par conséquence il à été possible pénétrer totalement sa pratique d'écriture. Quant à ce sujet il s'arrive que Nievo avait l'habitude de rédiger en même temps des textes de nature très différente: des poèmes et des roman, des articles et des lettres. Cette pratique a mise à jour la naturelle tendance à abattre les confins entre les genres.Pour ce qui concerne les œuvres théâtrales, dont nous proposons l'édition critique (la comédie I « Beffeggiatori » et les brouillons pour une comédie en vers « Don Giovanni » et un livret d'opéra « Consuelo ») cette absence de confins est encore plus évidente. D'une manière générale on peut affirmer que Nievo n'a jamais regardé au théâtre contemporain, mais il a fondé sa dramaturgie sur des éléments très éloignes entre eux: la tradition goldonienne pour la fonction des personnages par rapport à certaines situations (par exemple la typologie du moquer ou des amoureux), la production romanesque française de Honoré de Balzac, de Stendhal et de George Sand pour la structure des relations entre les personnages et pour le choix des thèmes d'actualité (par exemple la description ironique du pouvoir politique de l'aristocratie). Donc il apparaît aujourd'hui que, même si Nievo n'avait jamais quitte l'Italie, sa dimension existentielle et intellectuelle était complètement européenne. Il s'agit d'une double identité littéraire et nationale ambiguë, qui dénoue très clairement la complexité de l'écrivain italien. / For a long time Ippolito Nievo’s (1831-1861) theatrical production was considered less important than his work of narrative and was considered as “juvenile work”. On the contrary, during the last ten years of the Nineteenth century, it was reconsidered and it brought to the discovery of several comic texts, such as Le Invasioni Moderne and Il Pindaro Pulcinella, which have showed Nievo’s cleverness in writing plays for the theatre.The edition of the last unpublished production, which is presented in this essay, completes and broadens the studies done on Nievo’s theatre, at the same time, opening several doors for a possible reconsideration of some critical points of Nievo’s literary aesthetics. From the study of the unpublished texts produced before Le Confessioni di un Italiano, in fact, Nievo’s dependence on French literature appeared, especially Balzac, Stendhal and George Sand. The setting of I Beffeggiatori –a political comedy which portrays Italy in 1852-1853 – and its study of the characters recalls the Chartreuse de Parme by Stendhal, his ironical glance at political happenings told by Balzac and it moves away totally from contemporary comic theatre. Don Giovanni –notes for a comic text in verses- results from Stendhalian considerations on the figure of the Seduttore, considerations which we can find in the De l’Amour and in the short story Les Cenci; but Don Giovanni also results from the whole French post-Byron tradition of the myth. Consuelo – the libretto- reveals a clear and evident Sandian matrix in its plot and allows to formulate a theory on the aesthetic Nievian music, full of Mazzinian considerations, well known to Sand too.The edition of these texts has allowed to reformulate some judgements on the origin of Nievo’s irony, even in L’Afrodisiaco per l’amor platonico and in Lettere a Matilde, underlining a matrix which is decidedly and only French.
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Nord de L.-F. Céline : une réécriture des chroniques médiévales

Wesley, Bernabé 08 1900 (has links)
À partir du projet d’écriture d’une chronique que Céline met en avant lorsqu’il parle de son œuvre dans l’après-guerre, ce mémoire examine l’hypothèse selon laquelle le genre des chroniques médiévales fait, dans Nord, l’objet d’une réécriture permanente et déterminante pour la version de la Seconde Guerre mondiale de Céline. La notion d’horizon d’attente de Jauss permet d’abord de démontrer comment Nord reconstruit le discours testimonial et l’éthos de la vérité qui fondent la légitimité de chroniqueurs comme Villehardouin ou Clari afin d’accréditer une version illégitime des événements de 39-45. Au récit magnifié de la « Libération », Céline oppose en effet une chronique de l’épuration et un témoignage sur la vie quotidienne dans l’Allemagne de 1944. Idéologiquement nationalistes, les chroniques médiévales forment une lignée de la francité à partir de laquelle Céline crée une fiction politique passéiste qui projette sur les événements de 39-45 la géopolitique d’une Europe médiévale afin de cautionner les partis pris d’extrême droite de l’auteur. Par ailleurs, Nord accentue la propension autobiographique de certaines chroniques et la confond avec une lignée de mémorialistes disgraciés. Ceux-ci lui fournissent le plaidoyer pro domo qui orchestre toute la rhétorique d’autojustification de l’écrivain dans l’après-guerre : s’autoproclamer victime de l’histoire afin de justifier a posteriori les pamphlets antisémites et ainsi s’exonérer de tout aveu de culpabilité. Enfin, Céline qualifie Nord de « roman » par référence à la part d’affabulation des chroniqueurs. Pour représenter l’histoire en une Apocalypse advenue sans justice divine et sans héros, Nord procède en effet à une réactivation des genres fictionnels comme la légende, l’épique et le chevaleresque qui s’entremêlaient à l’histoire dans les Chroniques de Froissart. Cette réécriture entre fabula et historia est donc d’abord une création de romancier qui, dans le contexte de crise de la fiction de l’après-guerre, procède à un épuisement du roman par l’histoire. / Rooted in the chronicle writing exercise that Céline upholds when speaking about his post-war work, this memoire examines the hypothesis that the genre of medieval chronicles establish, in Nord, a permanent and definitive rewriting of Céline’s version of the Second World War. Jauss’ reception theory permits a demonstration of how Nord reconstructs the testimonial discourse and the ethos of truth, which are the foundation of the chroniclers Villehardouin or Clari, in order to give credence to an illegitimate version of the events of 1939-1945. In the magnified narrative of “Liberation”, Celine in fact opposes a chronicle of the épuration and an eyewitness account of daily life in Germany, 1944. Nationalist in ideology, medieval chronicles trace a French tradition from which Celine creates a pacifist political fiction and projects the geopolitics of medieval Europe upon the events of 1939-1945 in order to legitimize the author’s extreme right political leanings. Nord accentuates the autobiographical propensities of certain chronicles and merges them with a tradition of disgraced memorialists. This provides the pro domo plea instrumental in orchestrating the rhetoric of self-justification in the writer’s post-war works : to proclaim himself a victim of history in order to justify a posteriori the anti-semite pamphlets and therefore to self-exonerate of all admission of guilt. Finally, Céline qualifies North as a novel as a reference towards the fabrication of the chroniclers. To represent history as the coming Apocalypse without divine justice and without heroes, North proceeds to reactivate fictional genres such as legend, epic, and chivalry which become entangled with history in the Chroniques of Froissart. This rewriting between fabula and historia is therefore a creation of a novelist who, within the context of the post-war fiction crisis, proceeds to deconstruct the novel through history.
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Le discours utopique dans la Possibilité d'une île de Michel Houellebecq

Letendre, Daniel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Nord de L.-F. Céline : une réécriture des chroniques médiévales

Wesley, Bernabé 08 1900 (has links)
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Les figures de la lecture dans La possibilité d'une île de Michel Houellebecq

Thuot, Jonathan 04 1900 (has links)
Dans ce mémoire, je compte étudier la lecture représentée dans l’œuvre de Michel Houellebecq. Mon travail sera divisé en deux parties. D’abord, je m’attacherai aux figures de lecteurs dans La possibilité d’une île et dans les autres romans de Houellebecq. Je verrai alors comment la lecture est incarnée dans les romans et quelles sont les fonctions des personnages-lecteurs. Par exemple, j’examinerai comment les personnages s’expriment sur la littérature dans La possibilité d’une île. Je compte pour ce faire utiliser les concepts de « liseur », de « lu » et de « lectant » proposés par Michel Picard dans La lecture comme jeu, mais dans le sens que leur donne Marcel Goulet dans ses travaux. La deuxième partie se centrera sur un « lecteur » particulièrement important : Houellebecq lui-même. Adoptant la définition de l’intertextualité donnée par Gérard Genette dans Palimpsestes, je me concentrerai uniquement sur les traces explicites d’autres textes dans La possibilité d’une île. Je me concentrerai d’abord sur les auteurs fréquemment cités, ceux dont Houellebecq se réclame ou dont il s’écarte. Je me questionnerai ensuite sur le rapport souvent négatif de Houellebecq avec la littérature du passé, pour essayer d’y voir une représentation de cette lecture critique à laquelle l’auteur tente de nous initier. Le travail sur l’intertextualité servira à identifier ce que Pierre Bayard nomme la « bibliothèque intérieure » de l’auteur et à questionner son rapport à celle-ci. / In this thesis, I will study the readings represented in the works of Michel Houellebecq. My work will be separated in two parts. Firstly, I will study the figures of the readers in La possibilité d’une île and in the other novels by Houellebecq. I will then see how the readings are represented in the novels and what are the functions of these character-readers. For example, I will observe how the characters talk about literature in La possibilité d’une île. I will use the concepts of “liseur”, “lu”, and “lectant” established by Michel Picard in La lecture comme jeu, but in the sense of Marcel Goulet’s works. The second part will be centered on another reader who is important: Houellebecq himself. To do so, I will use the theory of the intertextuality of Gérard Genette’s Palimpsestes, which means that I will focus on the explicit traces of other texts in La possibilité d’une île. I will first concentrate my study on the most quoted authors, those that Houellebecq admires or dislikes. Then, I will question myself about the fact that Houellebecq has most of the time a negative relationship with past authors and books – I will try to prove that my author wants the reader to adopt the same kind of criticism towards literature than him. This part will serve to identity what Pierre Bayard calls the author’s “bibliothèque intérieure” (inner library) and to understand his relationship towards it.
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La mise en éclats de l’héritage chez Lydie Salvayre

Vaillancourt, Noémie 11 1900 (has links)
Très peu d’études ont été consacrées à l’œuvre de la romancière française Lydie Salvayre, dont le premier roman a paru en 1990. Il me semble pertinent de me pencher plus sérieusement sur son travail, qui manifeste une véritable exigence d’écriture. Un trait de l’œuvre de Salvayre m’intéresse plus spécifiquement : son rapport à l’héritage. J’envisage ce rapport à la fois dans la thématique, dans l’écriture et dans la forme de deux de ses romans, soient La Puissance des mouches (1995) et La Méthode Mila (2005). Dans chacun de ces deux romans, le narrateur a un rapport trouble à la fois avec son héritage familial et avec son héritage culturel, plus spécialement celui de la philosophie et de la satire classiques. Tiraillé entre le monde du quotidien (trivial) et le monde des idées (sublime), le personnage cherche une issue : il cherche comment vivre. Dans La Puissance des mouches, le narrateur voue une haine à son père et avoue un amour pour Pascal. Dans La Méthode Mila, il est déchiré entre sa mère sénile dont il a la charge et Descartes dont il est obsédé. J’étudierai comment se vit cette déchirure et comment le texte la travaille. La façon dont l’auteure met l’héritage en éclats — elle pastiche, bouscule, malmène, détourne les classiques — n’a rien du respect servile. Cette manière d’hériter, de rompre avec l’évidence d’une continuité avec le passé, pose une question essentielle : comment hériter aujourd’hui, et pourquoi ? / Few studies have examined the work of the French novelist Lydie Salvayre, whose first novel was published in 1990. It seems appropriate to look more seriously into her work, which shows a genuine demand of writing. One part of the work of Salvayre interests me more specifically: its relation to inheritance. I consider this relation in the themes, the writing and the form of her novels La Puissance des mouches (1995) and La Méthode Mila (2005). In each of these two novels, the narrator has a troubled relationship with both his family heritage and his cultural heritage, especially that of philosophy and classical satire. Torn between the everyday world (trivial) and the world of ideas (sublime), the character is looking for a way out: he wonders how to live. In La Puissance des mouches, the narrator is possessed with hatred for his father and confesses love for Pascal. In La Méthode Mila, he is torn between a senile mother at his charge and an obsession for Descartes. I will study how this breach is lived and how the text labors it. The way the author highlights the concept of legacy—it pastiche, shakes, bullies, away classics—leaves no amount of servile compliance. This way to inherit, to break with the evidence of continuity with the past, poses a fundamental question: how does one inherit today, and why?
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Les figures de la lecture dans La possibilité d'une île de Michel Houellebecq

Thuot, Jonathan 04 1900 (has links)
Dans ce mémoire, je compte étudier la lecture représentée dans l’œuvre de Michel Houellebecq. Mon travail sera divisé en deux parties. D’abord, je m’attacherai aux figures de lecteurs dans La possibilité d’une île et dans les autres romans de Houellebecq. Je verrai alors comment la lecture est incarnée dans les romans et quelles sont les fonctions des personnages-lecteurs. Par exemple, j’examinerai comment les personnages s’expriment sur la littérature dans La possibilité d’une île. Je compte pour ce faire utiliser les concepts de « liseur », de « lu » et de « lectant » proposés par Michel Picard dans La lecture comme jeu, mais dans le sens que leur donne Marcel Goulet dans ses travaux. La deuxième partie se centrera sur un « lecteur » particulièrement important : Houellebecq lui-même. Adoptant la définition de l’intertextualité donnée par Gérard Genette dans Palimpsestes, je me concentrerai uniquement sur les traces explicites d’autres textes dans La possibilité d’une île. Je me concentrerai d’abord sur les auteurs fréquemment cités, ceux dont Houellebecq se réclame ou dont il s’écarte. Je me questionnerai ensuite sur le rapport souvent négatif de Houellebecq avec la littérature du passé, pour essayer d’y voir une représentation de cette lecture critique à laquelle l’auteur tente de nous initier. Le travail sur l’intertextualité servira à identifier ce que Pierre Bayard nomme la « bibliothèque intérieure » de l’auteur et à questionner son rapport à celle-ci. / In this thesis, I will study the readings represented in the works of Michel Houellebecq. My work will be separated in two parts. Firstly, I will study the figures of the readers in La possibilité d’une île and in the other novels by Houellebecq. I will then see how the readings are represented in the novels and what are the functions of these character-readers. For example, I will observe how the characters talk about literature in La possibilité d’une île. I will use the concepts of “liseur”, “lu”, and “lectant” established by Michel Picard in La lecture comme jeu, but in the sense of Marcel Goulet’s works. The second part will be centered on another reader who is important: Houellebecq himself. To do so, I will use the theory of the intertextuality of Gérard Genette’s Palimpsestes, which means that I will focus on the explicit traces of other texts in La possibilité d’une île. I will first concentrate my study on the most quoted authors, those that Houellebecq admires or dislikes. Then, I will question myself about the fact that Houellebecq has most of the time a negative relationship with past authors and books – I will try to prove that my author wants the reader to adopt the same kind of criticism towards literature than him. This part will serve to identity what Pierre Bayard calls the author’s “bibliothèque intérieure” (inner library) and to understand his relationship towards it.
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La mise en éclats de l’héritage chez Lydie Salvayre

Vaillancourt, Noémie 11 1900 (has links)
Très peu d’études ont été consacrées à l’œuvre de la romancière française Lydie Salvayre, dont le premier roman a paru en 1990. Il me semble pertinent de me pencher plus sérieusement sur son travail, qui manifeste une véritable exigence d’écriture. Un trait de l’œuvre de Salvayre m’intéresse plus spécifiquement : son rapport à l’héritage. J’envisage ce rapport à la fois dans la thématique, dans l’écriture et dans la forme de deux de ses romans, soient La Puissance des mouches (1995) et La Méthode Mila (2005). Dans chacun de ces deux romans, le narrateur a un rapport trouble à la fois avec son héritage familial et avec son héritage culturel, plus spécialement celui de la philosophie et de la satire classiques. Tiraillé entre le monde du quotidien (trivial) et le monde des idées (sublime), le personnage cherche une issue : il cherche comment vivre. Dans La Puissance des mouches, le narrateur voue une haine à son père et avoue un amour pour Pascal. Dans La Méthode Mila, il est déchiré entre sa mère sénile dont il a la charge et Descartes dont il est obsédé. J’étudierai comment se vit cette déchirure et comment le texte la travaille. La façon dont l’auteure met l’héritage en éclats — elle pastiche, bouscule, malmène, détourne les classiques — n’a rien du respect servile. Cette manière d’hériter, de rompre avec l’évidence d’une continuité avec le passé, pose une question essentielle : comment hériter aujourd’hui, et pourquoi ? / Few studies have examined the work of the French novelist Lydie Salvayre, whose first novel was published in 1990. It seems appropriate to look more seriously into her work, which shows a genuine demand of writing. One part of the work of Salvayre interests me more specifically: its relation to inheritance. I consider this relation in the themes, the writing and the form of her novels La Puissance des mouches (1995) and La Méthode Mila (2005). In each of these two novels, the narrator has a troubled relationship with both his family heritage and his cultural heritage, especially that of philosophy and classical satire. Torn between the everyday world (trivial) and the world of ideas (sublime), the character is looking for a way out: he wonders how to live. In La Puissance des mouches, the narrator is possessed with hatred for his father and confesses love for Pascal. In La Méthode Mila, he is torn between a senile mother at his charge and an obsession for Descartes. I will study how this breach is lived and how the text labors it. The way the author highlights the concept of legacy—it pastiche, shakes, bullies, away classics—leaves no amount of servile compliance. This way to inherit, to break with the evidence of continuity with the past, poses a fundamental question: how does one inherit today, and why?
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Le laboratoire narratif des années 1910 en France et en Italie / The laboratory of the 1910s novel in France and Italy / Il laboratorio narrativo degli ’10 in Francia e in Italia

Quadrato, Gabriella 15 September 2017 (has links)
Les années 1910 ont été lues tour à tour comme celles des avant-gardes, de la « crise du roman », de la « crise des intellectuels », de la « Belle Époque », de la « conscience malheureuse ». La notion de « laboratoire » semble bien faite pour contenir cette multiplicité. Qu’il s’agisse d’une crise ou d’un foisonnement de nouvelles beautés, le trait commun de ces différentes interprétations de la période semble être la réinvention de l’appréhension du mouvement. De quelle manière les œuvres emploient-elles l’aventure comme moyen de refondation de la péripétie romanesque ? Quels sont les types de mouvements narrés et comment dialoguent-ils avec ceux des narrations de la fin-de-siècle ? À la veille du premier conflit mondial, les champs littéraires français et italien sont proches. La plume d’Aldo Palazzeschi en a donné peut être la meilleure illustration, lorsqu’il considère qu’en 1914 « L’Italie déménage à Paris ». Quel est l’apport spécifique de chacun de ces univers littéraires à la réinvention de l’aventure dans le roman ? De quelle manière l’analyse des échanges entre les deux pays contribue-t-elle à éclairer les poétiques romanesques du mouvement et à dessiner leurs formes ? Peut-on parler d’un axe franco-italien de renouvellement narratif ? À travers le rapprochement d’œuvres habituellement dissociées ou même oubliées, notre étude se propose de forger des notions pouvant mettre en lumière les spécificités de cette saison du roman, qui ne peut être lue comme un « paléomodernisme » ou comme un simple prolongement du XIXe siècle. / The 1910s were read like those of the avant-gardes, of the "crisis of the novel", of the "intellectual crisis", of the "Belle Epoque",of the "unhappy conscience". The notion of "laboratory" seems well suited to contain this multiplicity. Whether it is a crisis or an explosion of new aesthetics, the common feature of these different interpretations of the period seems to be the reinvention of the conception of the movement. How do narrative works use adventure as a way to reimagine the plot? What are the types of movements narrated and how do they interact with those of the end-of-the-century? On the eve of the First World War, the French and Italian literary fields are close to each other that they almost overlap. Aldo Palazzeschi gave perhaps the best illustration, when he points out that in 1914 "Italy moves to Paris". What is the specific contribution of each of these literary worlds to the reinvention of adventure in the novel? How does the analysis of the exchanges between the two countries help to shed light on the poetics of the movement and to draw its forms? Is it possible to talk about a Franco-Italian axis of narrative renewal? Our thesis aims to use concepts that may be useful to distinguish the features of a certain novel’s era (which cannot be read only as a "paleomodernism" or as a simple extension of the nineteenth century) through the reconciliation of works that are usually dissociated or even forgotten. / Gli anni ’10 sono stati letti di volta in volta come gli anni delle avanguardie, della «crisi del romanzo», della «crisi degli intellettuali», della «Belle Époque», della «conscience malheureuse». La nozione di «laboratorio» appare utile per contenere questa molteplicità. Che si tratti di crisi o di effervescenza di nuove strade, il tratto comune delle diverse interpretazioni del periodo sembra essere la riconfigurazione della concezione di movimento. In che maniera le opere narrative utilizzano l’avventura come modo di rigenerazione della parola romanzesca? Quali sono i tipi di movimento narrati e come dialogano con quelli della fin-de-siècle? Alla vigilia della prima guerra mondiale, i mondi letterari francese e italiano sono vicini fin quasi a sovrapporsi. La penna di A. Palazzeschi ne ha dato forse la migliore illustrazione scrivendo, a proposito dell’anno 1914, che “L’Italia ha traslocato a Parigi”. Qual è l’apporto specifico di ciascuno dei due universi letterari alla rinascita dell’avventura nel romanzo? In che maniera l’analisi degli scambi tra i due paesi contribuisce a fare luce sulle poetiche romanzesche del movimento e a disegnarne le forme? È possibile parlare di un asse italo-francese di rinnovamento narrativo? Attraverso uno studio comparativo di opere abitualmente dissociate o cadute nell’oblio, la tesi propone delle nozioni che possano distinguere le specificità di una stagione del romanzo che non può essere letta come un “paleo-modernismo” o come un semplice prolungamento dell’Ottocento.

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