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Prévalence du jeu pathologique dans les organismes communautaires

Lepage, Claudine 11 March 2021 (has links)
Au Québec, la dernière étude de prévalence auprès de la population générale observe un taux de 2,1% de joueurs pathologiques (Ladouceur, Jacques, Ferland & Giroux,1997). Les études auprès des populations particulières (Castellani et al., 1996; Othsuka et al., 1997) rapportent des taux de prévalence plus élevés que dans la population générale. La présente étude a pour but d’estimer la prévalence du jeu pathologique auprès d’un échantillon de personnes ayant recours aux organismes communautaires offrant de l’assistance financière, matérielle ou de l’hébergement. Les participants sont pour la majorité ni aux études et ni à l’emploi. Les résultats indiquent que 17,2% des personnes sont joueurs pathologiques dont 80% d’hommes et 20% de femmes. Cette recherche permet de joindre des joueurs pathologiques exclus des dernières études de prévalence menées par téléphone. À l’intérieur de la discussion, les particularités de cette population sont mises en relation avec les problèmes de jeu.
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La revitalisation du quartier Saint-Roch (Ville de Québec) et ses effets sur l'expérience d'exclusion des femmes itinérantes

Bourgeois, Fanny 12 April 2018 (has links)
La revitalisation amorcée dans le quartier Saint-Roch fait couler beaucoup d'encre depuis quelques années. Ce quartier a vécu de nombreuses transformations depuis sa création, devenant tour à tour un quartier marchand, ouvrier et industriel avant de connaître son déclin. Depuis, des tentatives de revitalisation ont eu lieu mais sans grand succès. Or, c'est l'initiative du plan d'action « RevitalisAction au cœur de la capitale » amorcée au cours des années 1990 qui donne lieu à la revitalisation que nous connaissons actuellement. Les points de vue divergent toutefois quant aux effets d'une telle revitalisation du quartier. Certains la perçoivent comme un second souffle alors que d'autres y constatent davantage une forme d'exclusion territoriale des personnes itinérantes, que l'on nomme aussi gentrification. Dans ce débat d'opinion très actuel, on remarque que l'avis des personnes itinérantes prend très peu de place alors qu'elles sont directement touchées par les transformations qui s'opèrent dans leur milieu de vie. C'est pour cette raison que nous ayons décidé, dans le cadre de ce mémoire, de rendre la parole aux principales personnes concernées. Toutefois, puisque l'itinérance se caractérise par des parcours de vie extrêmement diversifiés, nous avons choisi de nous limiter à la réalité de l'itinérance au féminin. Ainsi, nous nous sommes demandé si la revitalisation du quartier Saint-Roch est expérimentée comme un processus d'exclusion territoriale par les femmes itinérantes. Plus précisément, nous étudions les changements urbains au plan socio-politique, au plan économique et au plan symbolique liés à la revitalisation du quartier, afin de mieux cerner les dimensions qui peuvent accroître ou diminuer l'expérience d'exclusion. Nous avons donc donné la parole à quarante-quatre femmes itinérantes afin de mieux connaître leur expérience et leur opinion en matière d'exclusion territoriale.
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Le réseau comme organisation du travail en itinéranceh[ressource électronique] : le cas de la (ré)intégration socioprofessionnelle des femmes dans la ville de Montréal

Plamondon, Gabrielle 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur le réseau de services qui sous-tend les trajectoires de (ré)intégration socioprofessionnelle des femmes en situation d'itinérance. Puisque le réseau est traité comme une organisation du travail, notre objectif est de décrire comment le travail y est divisé, puis réuni par le biais de mécanismes de coordination. Leur mise à jour est particulièrement pertinente puisque la (ré)intégration socioprofessionnelle suppose l'existence d'une intervention globale et individualisée qui ne peut exister sans collaboration interorganisationnelle. Au travers des résultats colligés, nous remarquons que ce sont les ajustements mutuels conjoints – soit des échanges directs – qui sont les plus répandus dans le réseau. Ils impliquent plusieurs OBNL du secteur communautaire, mais également des acteurs provenant d'autres secteurs d'activités tels que le RSSS et le RESS. La division verticale du travail est aussi abordée afin de montrer le rôle prépondérant des bailleurs de fonds sur l'offre de service disponible dans le réseau. Finalement, nous étudions quelques-unes des tensions que nous avons répertoriées entre les acteurs, notamment la course au financement. Ce mémoire tente également d'évaluer l'impact que la spécificité de l'itinérance au féminin a sur les services offerts dans le réseau. Nous remarquons entre autres une concentration des services sur l'insertion sociale plutôt que sur l'intégration professionnelle. De plus, nous observons des défauts de collaboration entre les maisons d'hébergement pour femmes et les OBNL qui spécialisent leur offre de service en employabilité. Ces raisons, en plus des obstacles à l'emploi liés aux causes de l'itinérance au féminin et aux besoins des femmes en situation d'itinérance, font en sorte que celles-ci participent moins aux activités d'employabilité que leur contrepartie masculine. Mots-clés : réseau, intégration socioprofessionnelle, femmes en situation d'itinérance, organisation du travail, ajustements mutuels.--Mots-clés : réseau, intégration socioprofessionnelle, femmes en situation d’itinérance, organisation du travail, ajustements mutuels.
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La cohabitation dans les espaces publics: Conflits d'appropriation entre riverains et personnes marginalisées à Montréal et Paris

Margier, Antonin 12 December 2013 (has links) (PDF)
Constituant des réflecteurs d'urbanité, les espaces publics font aujourd'hui l'objet d'une attention accrue de la part des aménageurs et des planificateurs dans un contexte de compétition urbaine où l'attractivité devient l'une des principales stratégies de développement (Harvey, 1989). Dans cette perspective, de nombreuses transformations touchent les espaces publics, à l'instar de leur privatisation (Zukin, 1995 ; Le Goix et Loudier Malgouyres, 2005), de leur marchandisation (Sorkin, 1992 ; Zukin, 1995) ou de leur sécurisation (Németh et Hollander, 2010), soulevant alors des conflits d'appropriation. Les fonctions associées aux espaces publics, de sociabilité, d'interaction et de libre accessibilité (Ghorra-Gobin, 2001), évoluent donc considérablement. Ces changements ont été analysés par de nombreux auteurs, lesquels ont révélé les dynamiques de mise à l'écart et d'exclusion des personnes les plus marginalisées (Smith, 1996 ; Mitchell, 1997), dont la visibilité limite la portée des politiques urbaines de revitalisation. Pourtant, au-delà des espaces publics centraux et iconiques et de l'action des pouvoirs publics, des conflits d'appropriation se manifestent également dans les espaces publics ordinaires (Paddison et Sharp, 2007) et résidentiels. En construisant leurs " mondes ", certains groupes peuvent restreindre celui d'autres groupes et déclencher des cohabitations parfois difficiles. Comprendre ces conflits nécessite alors d'intégrer à l'analyse les rapports qu'entretiennent les citadins à leurs espaces de vie, primordiaux dans la structuration des espaces publics. En effet, dans leurs pratiques, dans la projection de soi dans l'espace urbain, les citadins participent à leur production (De Certeau, 1990 ; Lefebvre, 2000), et les appropriations mises en œuvre peuvent être vectrices de conflits, de mises à l'écart ou d'inaccessibilité à certains espaces publics. Plus particulièrement à une époque où les espaces publics tendent à être investis comme une extension du chez-soi, leur production dans la proximité et la participation des résidents peuvent déclencher des processus d'exclusion (Fleury, 2007) et de résistance des populations marginalisées qui investissent aussi ces lieux comme un " chez-soi ". Nous proposons dans cette thèse d'analyser ce type de conflits d'appropriation. Dans cette perspective, nous inscrivons notre réflexion dans l'interprétation de l'espace géographique comme structure topologique de positions (Desmarais, 1992 ; Hubert, 1993 : Parazelli, 1997). Ces préceptes épistémologiques nous permettent d'aborder le partage des espaces publics à travers les concepts d'appropriation et d'habiter, et de porter une attention particulière aux pratiques mises en œuvre par les riverains et les personnes marginalisées dans leurs espaces de vie. Cela nous permet notamment d'éclairer le sens de l'appropriation des espaces publics et d'expliciter les significations relatives aux conflits. En tissant également des liens théoriques avec les concepts de purification de l'espace (Sibley, 1995) et d' " out of place " (Cresswell, 1996), il s'agit de comprendre comment les pratiques mises en œuvre dans ces appropriations peuvent se contraindre les unes les autres et marginaliser davantage les personnes marginalisées. Nous nous sommes alors intéressés à deux quartiers, la Goutte d'Or à Paris et le Village Shaugnessy à Montréal, à vocation davantage résidentielle qu'iconique, et au sein desquels se manifestent des conflits pour l'appropriation des espaces publics. À travers une cinquantaine d'entrevues avec divers acteurs : des riverains et des personnes marginalisées ou des travailleurs communautaires mais également des responsables politiques, des urbanistes et architectes, nous montrons comment les espaces publics s'avèrent particulièrement importants dans les pratiques d'habiter. Ceux-ci constituent des positions attractives que les personnes marginalisées et les riverains investissent de manière à se les approprier et à pouvoir s'y reconnaître. Par les socialisations et leur occupation, les personnes marginalisées parviennent ainsi à constituer un " chez-soi " identificatoire tandis que par leur réappropriation, par l'animation et leur embellissement, les riverains les instituent comme une extension résidentielle du " chez-soi ". Or, ces dynamiques d'appropriation, et les prégnances qu'elles inscrivent dans l'espace, vont à l'encontre les unes des autres. L'inadéquation de la présence et des comportements des personnes marginalisées avec le mode de vie résidentiel désiré du quartier constitue l'un des éléments moteurs de la mobilisation des riverains et des désirs de purification de l'espace (Sibley, 1995). Face aux pratiques des personnes marginalisées s'affirment alors le " commun " des valeurs résidentielles désirées et la constitution d'un " nous ". Or ces exigences résidentielles renvoient à la volonté des riverains de créer un " intérieur coexistentiel " (Sloterdijk, 2005) protecteur dans l'ensemble des espaces publics du quartier, au sein duquel les personnes marginalisées ne sont pas incluses, à moins de s'y conformer. La diffusion de valeurs résidentielles dans les espaces publics limiterait ainsi les prégnances associées à la marginalité, réduisant leur sentiment d'appartenance au quartier et la reconnaissance de soi, et les incitant alors à se déplacer, à adopter des tactiques de résistance pour maintenir leur occupation des lieux ou à normaliser leurs comportements. De fait, dans ces espaces publics ordinaires, des rapports de force se manifestent également pour leur appropriation, mettant en lumière des rapports de pouvoir qui s'éloignent du revanchisme ou de la tolérance zéro. Ceux-ci prennent une forme plus subtile de dispersion, à travers le contrôle des références topologiques associées aux diverses positions. Ces résultats invitent alors à interroger le partage des espaces publics à travers la cohabitation et à réfléchir aux moyens de faire des espaces publics des lieux dans lesquels l'ensemble des habitants d'un quartier puisse se reconnaître.
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La presse écrite et les représentations des personnes en situation de marginalité

Robitaille, Charles 04 1900 (has links)
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