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Skeptische Poetik in der Aufklärung : Formen des Widerstreits bei Johann Karl Wezel /

Hammerschmid, Michael. January 2002 (has links)
Diss.--Universität Wien, 2000. / Bibliogr. p. 295-328.
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Een genealogie van twee moderniteiten Jean Bodin, Michel de Montaigne en het verval van een teleologisch wereldbeeld /

Valkhoff., Rudolf Johan January 1900 (has links)
Proefschrift Universiteit van Amsterdam. / Met een samenvatting in het Engels.
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Skepsis und Lebenspraxis : das pyrrhonische Leben ohne Meinungen /

Vogt, Katja Maria, January 1900 (has links)
Diss.--München--Hochschule für Philosophie, 1998. / Bibliogr. p. 197-202. Index.
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Diderot et le scepticisme : le problème des limites théoriques et pratiques de la philosophie

Williamson, Sophie 09 January 2020 (has links)
Notre recherche porte sur la question du scepticisme diderotien et se divise en trois moments. Le premier consiste à présenter deux formes distinctes du scepticisme dans le corpus diderotien et le second à édifier chez Diderot un ethos et une figure idéale du philosophe sceptique. C’est à ce moment que nous tenterons de défendre notre thèse exégétique centrale ; soit l’unification de la pensée de Diderot par la mise en lumière de sa posture sceptique et par le repositionnement du matérialisme qu’on lui attribue traditionnellement. Nous chercherons finalement à présenter la transformation de la métaphysique traditionnelle en esthétique métaphysique pour mener à bien les objectifs du projet philosophique développé au deuxième moment. Notre recherche a pour visée générale l’établissement d’une attitude et d’une méthode propres à redonner goût à la vérité en réponse au problème de la « mort de la philosophie ».
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Le scepticisme climatique dans l’opinion publique au Canada : une analyse empirique

Basillais, Audrey 04 1900 (has links)
Le Canada est le cinquième plus grand émetteur de gaz à effet de serre (GES) par habitant au monde et le quatrième plus grand producteur de pétrole brut. Il joue donc un rôle important dans la lutte aux changements climatiques. Considérant que les changements climatiques sont de plus en plus polarisant et politisés et que l’opinion publique peut représenter un frein important à l’action climatique, cette étude a pour objectif de dresser un portrait du scepticisme climatique au Canada. À l’aide d’une analyse en composantes principales, nous avons pu identifier quatre types de climato-sceptiques au Canada, soient les sceptiques anthropogénique (remettent en doute l’existence des changements climatiques anthropogéniques), d’impact (doutent que les changements climatiques aient des conséquences négatives pour eux ou pour autrui), de réponse (remettent en doute les capacités humaines et sociales à atténuer les effets de changements climatiques) et de responsabilité (doutent que le Canada ait une part de responsabilité dans les changements climatiques et minimisent le rôle qu’il devrait jouer dans la lutte). En nous appuyant sur des modèles de régressions linéaires et la technique des graphes orientés acycliques (GOA), nous avons dressé le profil sociodémographique des différents types de climato-sceptiques au Canada. Ainsi, nous avons découvert que les trois premières formes de scepticisme (anthropogénique, d’impact et de réponse) sont fortement corrélées et partagent plusieurs caractéristiques sociodémographiques. Ils ont plus de chance d’être de sexe masculin, d’être plus âgés, d’être moins éduqués, de vivre en zone rurale et d’être associés aux valeurs et aux partis politiques de droite. De plus, ce mémoire est le premier à révéler la présence de scepticisme de responsabilité au Canada. Nous constatons que le scepticisme de responsabilité s’appuie sur les mêmes arguments que les groupes de pression conservateurs qui ont pour objectif d’entraver et de ralentir la mise en place de politique climatique. Le scepticisme de responsabilité se démarque, car il s’agit de la forme de scepticisme climatique la plus répandue et qu'il est partagé par la majorité des résidents du Canada. Les sceptiques de responsabilité diffèrent des autres climato-sceptiques, car ils ont plus de chance d’avoir des revenus plus élevés que la moyenne et de s’associer au Parti Libéral du Canada. / As the fifth-largest per capita greenhouse gas (GHG) emitter and the fourth-largest crude oil producer in the world, Canada will play a major role in the fight against climate change. Considering the politicization of climate change, polarization on this issue, and the fact that public opinion is a major constraint on climate action, this study aims to draw a portrait of climate skepticism in Canada. Using principal component analysis, we identify four types of climate skeptics in Canada: anthropogenic skeptics (doubt the existence of anthropogenic climate change), impact skeptics (doubt that climate change will have negative consequences for themselves or others), response skeptics (doubt the human and social capacity to mitigate the effects of climate change) and responsibility skeptics (doubt that Canada has a share of responsibility in climate change and minimize the role it should play in the fight against it). Using linear regression models and the directed acyclical graphs technique, we developed a sociopolitical profile of different types of climate skeptics in Canada. We also found that the first three forms of skepticism (anthropogenic, impact, and response) are highly correlated and share several sociopolitical characteristics. They are more likely to be male, older, less educated, live in rural areas, and be associated with rightwing values and political parties. In addition, this thesis is the first to reveal the presence of responsibility skepticism in Canada. We find that responsibility skepticism relies on the same arguments as conservative think tanks that aim to obstruct and slow down the implementation of climate policy. Responsibility skepticism stands out because it is the most widespread form of climate skepticism, and is one held by the majority of residents in Canada. Responsibility skeptics differ from other climate skeptics in that they are more likely to have higher than average incomes and to associate themselves with the Liberal Party of Canada.
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Aresilas de Pitane vers une lecture sceptique du platonisme

Chelkowska, Maria January 2012 (has links)
L'objectif de ce mémoire est de replacer la contribution d'Arcésilas de Pitane dans notre compréhension de l'histoire du platonisme et du scepticisme ancien. La double nature philosophique, sceptique et platonicienne, de ce scholarque de l'Académie ne peut être bien comprise qu'en la situant dans son contexte hellénistique. Quoique, son passage à l'Académie ait soulevé des critiques de la part de ses contemporains et plus tard de la tradition platonicienne, ce mémoire veut tenter de montrer la pertinence d'étudier sa philosophie dans le contexte platonicien. La compréhension de l'histoire du platonisme en différentes lectures a su mettre de l'avant la nature polymorphe de cette doctrine philosophique qui invite à saluer la présence de ce philosophe original. L' absence de sources de premières mains et la tardivité des sources à son sujet ne laissent qu'un portrait sommaire de la personnalité philosophique d'Arcésilas de Pitane. Néanmoins, ce mémoire propose qu'Arcésilas comprend l'observation des choses du monde comme adêla , et que sa méthode discursive relève de l'elenchos socratique, de l'isosthénie dans les arguments et de l'argumentation pro et contra . Ces deux postulats l'amènent toujours au résultat de l' épochê peri panton . Il est donc possible de démontrer qu'Arcésilas a réitéré non pas l'impossibilité de la connaissance, mais le simple constat de la nécessité de poursuivre les recherches. De cette manière, il est envisageable de supposer qu'Arcésilas de Pitane serait bien un platonicien sceptique plutôt qu'un dogmatiste négatif.
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Le réductionnisme dans le Traité de la nature humaine de David Hume

Noisette, Kim January 2016 (has links)
Résumé : À l’aube des études humiennes, Norman Kemp Smith appelait à représenter Hume « suivant toutes ses nombreuses activités », comme s’il pressentait que l’étude de la pensée humienne pouvait s’avérer un labyrinthe dans lesquels les commentaires pouvaient s’égarer et se perdre de vue. Ce pressentiment, on peut le dire aujourd’hui, s’est avéré juste, et il porte avec lui une clé de lecture : pour dépasser la représentation parcellaire, fragmentée et ultimement incohérente d’un Hume kaléidoscopique, le mieux est peut-être de s’intéresser à ses activités. La présente thèse vise à circonscrire la pratique humienne de la philosophie, ou, pourrait-on dire, du travail épistémologique et conceptuel, dans l’espace de son magnum opus, et cela à l’aide d’une clé de lecture : celle du réductionnisme. Si le Traité est une oeuvre que l’on peut qualifier d’empiriste, on ne saurait la lire seulement par ce biais ou par celui de questions localisées, et nous montrons que le projet du Traité ne peut se comprendre qu’en voyant comment Hume tente d’y réduire la et les connaissances à des dépendances ou à des parties de sa propre théorie de la nature humaine. Pour cela, nous procédons via quatre chapitres. D’abord, nous tentons de circonscrire les caractéristiques les plus importantes du projet humien, c’est-à-dire de ce que Hume avait l’intention de développer à travers les contenus particuliers du Traité ; ensuite, nous nous concentrons sur la base dont Hume part et dont il se servira pour accomplir des réductions, base que l’on peut appeler une théorie des perceptions doublée d’une théorie de l’esprit (principes, facultés, relations) ; ces deux théories, couplées à un standard strict pour obtenir le statut de « vraie idée » ou d’idée intelligible, semblent amener de par leurs prémisses assez directement au scepticisme, et c’est pourquoi on traitera du scepticisme avant d’évoquer les aspects « naturalistes » du Traité au-delà des éléments de base de la théorie des perceptions et de l’esprit, soit une manoeuvre qui ne suit pas tout à fait l’ordre humien d’exposition mais nous semble suivre un certain ordre des raisons ; enfin, la quatrième partie nous permettra de passer en revue diverses réductions opérées par Hume, celles qui mènent au scepticisme pyrrhonien mises à part, ce qui nous permettra de voir quelles sont les limites et les problèmes afférents à son réductionnisme particulier. Refondateur, systématique et totalisant dans ses intentions, le Traité suit bien plus qu’un projet simplement empiriste, et on verra que dans la démarche humienne l’empirisme apparaît davantage dans les conclusions qu’au point même de départ. En le lisant comme le lieu et la conséquence d’une orientation que l’on peut dire réductionniste, on peut trouver dans le Traité un fil conducteur qui, en dépit de problèmes plus ou moins importants rencontrés en cours de route, ne se rompt pas. / Abstract : At the dawn of Hume studies, Norman Kemp Smith called to study the philosopher “in all his manifold activities,” as if he foresaw there a serious risk for the comments to lose themselves as well as each other. Today, it can be said that Kemp Smith’s foreseeing was legitimate. Fortunately, it is possible to find here a reading key: in order to go beyond fragmented and ultimately incoherent readings of Hume, the better way to proceed may consist into focusing on his activities. The present dissertation aims at delineating Hume’s practice of philosophy, or rather his conceptual and epistemological work, in his magnum opus, by focusing on why, how and when he makes reductions. As well-known, the Treatise is an empiricist work, but can never be fully understood if one focuses only on that aspect or on local and tangential questions, and we aim at showing that the Hume’s project and development of said project can only be understood by following how the philosopher tries to reduce most (if not all) knowledge to dependencies of his own theory of human nature. In order to do that, we proceed through four chapters. First, we circumscribe the most important features of the project before and behind the Treatise, which is, what Hume intended to develop through the particular contents of the work. Second, we focus on the conceptual basis from where Hume accomplishes reductions, a basis we call his theory of perceptions, on which is grafted a theory of mind (principles, faculties, relations). These theories, associated to an intention to boil down everything into perceptions as well as to a strict standard to give a mental content the status of a “true idea,” seem to lead straight to skepticism, and this is why the third chapter will focus on the skeptical overtones of the Treatise before looking into aspects commonly referred to as “naturalist.” Though this maneuver does not exactly follow Hume’s own order of exposition, it follows, we think, a specific order of reasons. Finally, on the fourth chapter we review various reductions Hume proceeds (apart from those that lead to a Pyrrhonian skepticism), which will allow us to highlight the limits and problems that stem from his particular breed of reductionism. Following a foundationalist, systematic and totalizing project, Hume’s Treatise is much more than simply empiricist, and as we will see the empiricist aspect appears more as a set of conclusions than as a starting point. Read as both a place and an effect of a reductionist orientation, the Treatise shows a common threat which, in spite of sometimes important problems met on the spot, never breaks.
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Scepticisme et normativité épistémique chez David Hume

Turmel-Huot, Mélanie January 2009 (has links) (PDF)
Dans le premier livre du Traité de la nature humaine (1739), David Hume avance plusieurs arguments paraissant avoir des conséquences sceptiques radicales à l'effet que les procédures inférentielles à la base de nos croyances tant empiriques que non empiriques ne sont pas fondées par la raison, en conséquence de quoi ces croyances ne sont pas épistémiquement justifiées. Pourtant, le Traité poursuit un projet positif de type naturaliste, celui de construire une science de la nature humaine par la méthode expérimentale, et ce projet amène Hume à défendre des principes théoriques empiriques se voulant de bonnes explications des phénomènes cognitifs, passionnels et moraux humains. Or, il semble que Hume ne puisse pas défendre une telle théorie sans se commettre à la thèse que certains procédés inférentiels sont fondés et permettent de produire des croyances justifiées, ce que semble contredire son scepticisme. Comment Hume peut-il tenir une position philosophique cohérente en défendant à la fois un scepticisme épistémique radical et une théorie de la nature humaine? Notre étude de ce problème s'intéresse à deux arguments de type sceptique présentés par Hume: son argument sur les croyances causales, couramment désigné comme son argument sceptique sur l'induction, et son argument sceptique sur la raison basé sur la faillibilité de nos facultés inférentielles. Nous présentons une analyse de ces arguments montrant en quoi ce sont des arguments sceptiques radicaux mettant en cause la justification de nos croyances. Nous montrons ensuite que le texte de Hume ne permet pas de trancher clairement la question interprétative de savoir comment celui-ci envisage de défendre la poursuite de son projet d'une théorie de la nature humaine face à ses arguments sceptiques, mais que seulement deux possibilités demeurent à cet égard: la possibilité que Hume soit conduit à une conception non épistémique du fondement normatif des croyances, et la possibilité que Hume croie pouvoir encore, malgré ses arguments sceptiques, défendre le caractère raisonnable des croyances issues de sa recherche en référence à des caractéristiques qui différencient épistémiquement sa méthode philosophique expérimentale de ses concurrentes. Nous montrons toutefois qu'aucune de ces deux possibilités ne semble épargner à Hume des difficultés importantes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hume, Scepticisme, Croyances, Justification, Théorie de la connaissance.
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Pour une didactique de l'esprit critique - Zététique et utilisation des interstices pseudoscientifiques dans les médias

Monvoisin, Richard 25 October 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse s'appuie sur le constat déjà connu que les capacités critiques mobilisables par un individu pour distinguer entre science et pseudoscience ne sont pas corrélées à son niveau d'études. L'hypothèse défendue est que le rôle joué par les médias dans la transformation et la scénarisation des savoirs est autant un rôle de fabrication de la culture scientifique moyenne qu'un rôle de marqueur des ambiguïtés les plus courantes sur la question de la démarche scientifique. Partant de la notion d'interstice pseudoscientifique dans la transposition des savoirs, la démarche zététique a été grandement mise à contribution pour élaborer une panoplie d'outils exploitables auprès d'étudiants sur la base des supports médiatiques les plus accessibles. <br />S'il a été question dans la première partie de prendre les précautions philosophiques et épistémologiques incontournables de la démarche scientifique — matérialisme, rationalisme et scepticisme notamment — et de les rendre enseignables, la deuxième partie a approfondi les spécificités des champs dits pseudoscientifiques et ‘paranormaux' qui fournissent aussi bien des mises en scène fantasmatiques courantes de la connaissance que, poussées à leur extrême, de tragiques aliénations.<br />La troisième partie s'est essayée à donner quelques éléments de compréhension des enjeux de la vulgarisation scientifique dans un contexte médiatique marchand, avec la description de quelques-unes des contraintes médiatiques s'exerçant sur le savoir savant qui vont jusqu'à parfois dénaturer ce dernier. Enfin la quatrième partie, prenant pour base les supports de vulgarisation les plus communs, dresse une sémiologie d'outils spécifiques pour prévenir les interstices pseudoscientifiques, qu'ils prennent des formes lexicales, rhétoriques, argumentatives ou scénaristiques. <br />Ces outils ont la spécificité, outre d'être des objets conceptuels zététiques, d'avoir été enseignés et remaniés in situ, durant quatre années d'enseignements à l'esprit critique dans l'enceinte de l'Université Joseph Fourier, Grenoble 1, sur les trois cycles universitaires de plusieurs filières. Ils fournissent une gamme de séquences didactiques exploitables facilement pour tout enseignant percevant tant la nécessité scientifique que sanitaire et « citoyenne » d'élaborer chez les étudiants des modes d'autodéfense intellectuelle vis-à-vis des sollicitations pseudoscientifiques, pseudomédicales et spiritualistes qui ne manqueront pas de leur échoir.
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The Christianization of Pyrrhonism : scepticism and faith in Pascal, Kierkegaard, and Shestov /

Maia Neto, José Raimundo, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Doctoral thesis--Saint Louis--Washington University. / Bibliogr. p. 137-145. Index.

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