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A philosophical analysis of America's transformation to universal health care: implications for responsibility and justice

Unknown Date (has links)
Human beings have two apparently conflicting fundamental rights. On the one hand, individuals have a right to health care as the United Nations declared in 1948. On the other hand, individuals have a right to liberty; that is, the freedom to make one's own health related choices, even poor ones. One goal of this essay is to show how to reconcile these two apparently conflicting core American values. This reconciliation is important, because a universal health care system that is fair and just must account for individual rights in tandem with attempts to address matters of social justice. In order for this reconciliation to occur, matters of individual responsibility, social responsibility, and social justice must be central to health care reform. / by Jennifer Lynn Mantoni. / Vita. / Thesis (M.A.)--Florida Atlantic University, 2011. / Includes bibliography. / Electronic reproduction. Boca Raton, Fla., 2011. Mode of access: World Wide Web.
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Les institutions de la reconnaissance: entre théorie critique de la reconnaissance et philosophie hégélienne du droit / Institutions of recognition: critical theory of recognition and Hegel's philosophy of right

Carré, Louis 15 February 2011 (has links)
Ce travail consiste en une confrontation systématique entre la théorie de la reconnaissance développée par Axel Honneth depuis une vingtaine d'années dans ses travaux et la Philosophie du droit (1820) de Hegel. Il propose de réfléchir aux problèmes que pose le statut, à la fois socio-ontologique, normatif et historique, des institutions. Trois questions en forment la trame :1) Comment penser l'articulation entre reconnaissance interpersonnelle et institutions ?2) Quels sont les critères normatifs définissant ce que sont de « bonnes » institutions ?3) Quel est le diagnostic qu'il serait possible de poser sur l'évolution des sociétés modernes et de leurs principales institutions (la famille, le marché économique, l'ordre juridique, l'Etat) ?<p> <p>Dans une première partie, nous exposons les grandes lignes de la théorie de la reconnaissance de Honneth. Nous y développons successivement sa « morale de la reconnaissance », la conception normative de la justice sociale qui en découle, ainsi que la manière dont Honneth appréhende l'articulation entre reconnaissance et institutions. Nous nous intéressons ensuite, dans une deuxième partie, à l'institutionnalisme éthique de Hegel dans sa Philosophie du droit. Partant d'une lecture non-métaphysique de l'œuvre berlinoise, nous défendons la thèse interprétative d'un « institutionnalisme faible » chez Hegel par opposition à un « institutionnalisme fort ». Cet « institutionnalisme faible » stipule que les principales institutions du monde éthique moderne doivent pouvoir permettre à l'ensemble des agents individuels qui les composent d'atteindre, à travers leur participation à une série de relations intersubjectives fondées sur la réciprocité de leurs droits et de leurs obligations, des formes croissantes d'autonomie rationnelle (autonomie affective dans la famille, autonomie socioprofessionnelle et juridique dans la société civile, autonomie civile et politique au sein de l'Etat constitutionnel). <p><p>Au final, il ressort de la confrontation entre théorie de la reconnaissance et institutionnalisme hégélien dans sa version « faible » que, contrairement au reproche de « surinstitutionnalisation » adressé par Honneth, la philosophie hégélienne du droit se montre toujours d'actualité s'agissant 1) de penser conjointement les deux dimensions éthiques du système objectif des institutions et des relations intersubjectives de reconnaissance, 2) de définir une série de critères normatifs concernant une « bonne » forme de vie dans les institutions, voire même 3), malgré le caractère parfois historiquement daté de son analyse institutionnelle, de poser à terme un diagnostic critique sur l'évolution « pathologique » des sociétés modernes. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le mythe de la souveraineté: dialectique de la légitimité, du Corps au contrat social

De Smet, François-Julien 11 May 2010 (has links)
Notion irréductible de notre univers politique, la souveraineté semble aujourd’hui dépassée, et appelée à céder sa place à d’autres modes de représentation de l’État et de la collectivité. Pourtant, les difficultés liées à son dépassement recèlent le fait que ce concept n’a rien en réalité rien d’évident :abstraite et mystérieuse, la souveraineté l’est par nécessité. Le cœur de cette abstraction, fossile théologico-politique, fonde sa légitimité. Ainsi, la souveraineté est surtout le produit d’un refoulement des sources et de la nature violente de l’autorité vers le Tiers autoritaire, notion médiane caractérisant la nécessaire conceptualisation de l’autorité légitime comme troisième terme institutionnalisé de la relation entre celui qui exerce l’autorité et celui qui la subit. <p><p>Ce Tiers, au sortir de la théologie médiévale, s’est d’abord incarné dans le concept de Corps ;le corps de l’État dérive en droite ligne du corps du Christ d’abord, de celui de l’Église ensuite, et a offert à l’autorité, alors pensée sur un registre hétéronome, divin et naturel, un écrin la liant à une légitimité et une nécessité naturelles. Le mythe du Corps, pourtant, va petit à petit devenir celui du Père au fur et à mesure de la constitution de l’État, et singulièrement de la monarchie absolue. Le Père campe alors le caractère nécessaire de l’autorité devant être exercée par le créateur sur sa chose créée, mais permet de continuer dans le même temps à faire bénéficier les structures existantes de l’empreinte théologique représentée sur terre par des mandataires héréditaire – les princes. L’institutionnalisation de l’État, et la relative stabilité qui va en découler, va toutefois fournir le cadre apte à permettre à une pensée du sujet d’émerger, faisant naître des concepts qui, tels la multitude et le peuple, posent de plus en plus directement la question de la légitimité par la prise en compte de la volonté de ceux sur lesquels elle s’exerce. C’est ainsi que naîtront les théories du pacte social, qui tentent chacune à leur manière de concevoir un moment méthodologique où l’octroi du pouvoir soit a été cédé dans le passé, soit est toujours exercé par le peuple à chaque instant. Le mythe du contrat, ainsi, est celui par lequel la légitimité de l’autorité est conciliée avec l’origine du pouvoir. Cette liaison est rendue possible par le meurtre du Père, c’est-à-dire la suppression de l’autorité naturelle et nécessaire au profit d’une autorité conventionnelle et contingente. Or, le mythe du contrat est fragile ;il nécessite, pour juguler le flux de contingence qui émerge dès lors que la question de la légitimité se pose, que la question de la nature du pouvoir soit dûment maîtrisée. Cela demande que l’autorité ne prenne pas sa source dans le repli sur le présent permanent, c’est-à-dire sur le peuple, mais sur un critère de représentativité. Cela nécessite surtout un refoulement conscient de la nature et de l’origine de l’autorité vers un sur-moi qui constituera, à l’apogée de la modernité, le cœur abstrait de la notion de souveraineté. <p><p>Or cette conception de l’autorité se fissure elle-même sous le poids d’une contingence qui, comme flux permanent, tend par nature à excéder son cadre. A terme, ainsi, l’étiolement de la souveraineté coïncide-t-il avec l’avènement du dogme des droits de l’homme, appelés sur un registre immanent à compenser la perte de sens induite par l’insuffisance de verticalité assumée par la modernité.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Perspective vol. 6 no. 1 (Jan 1972) / Perspective: Newsletter of the Association for the Advancement of Christian Scholarship

Carvill, Robert Lee, Baumgartner, Mary, McNally, Don, Zylstra, Bernard 26 March 2013 (has links)
No description available.
265

Perspective vol. 21 no. 4 (Aug 1987) / Perspective (Institute for Christian Studies)

Veenkamp, Carol-Ann, Pitt, Clifford C., VanderVennen, Robert E. 26 March 2013 (has links)
No description available.
266

Perspective vol. 9 no. 6 (Dec 1975) / Perspective: Newsletter of the Association for the Advancement of Christian Scholarship

Rowe, Amy 26 March 2013 (has links)
No description available.
267

Christian rebellion theories as delivered by St. Paul from Mars Hill by Augustine, Calvin and Adams

Hastings, Jason Michael, University of Lethbridge. Faculty of Arts and Science January 2003 (has links)
This thesis explicates teh rebellion theories of three reowned Christian political thinkers and evaluates the extent that each can communicate an intelligible rebellion theory to a non-Christian audience. Augustine of Hippo, at a dawn of the medieval ages, John Calvin of Geneva during the Reformation and John Adams of the USA in the midst of the Enlightenment are the three thinkers selected for consideration. These thinkers have produced ideas that have transcended time and geographical location. Rebellion is an issue of the utmost political importance as it reveals the limits, and the first principles of politics. The issues surrounding the involovement of religion in politics have created a place for confusion in minds of many people today. The issues surrounding religion and politics need further elucidation. The way these thinkers were able to translate the divine command from Romans 13:1, which decrees an absolute prohibition against rebellion, into an intelligible rebellion theory to non-Christians, is an important consideration in this thesis. / ix, 158 leaves ; 28 cm.
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Control room agents : an information-theoretic approach

Van der Westhuizen, Petra Laura 28 February 2007 (has links)
In this thesis, a particular class of agent is singled out for examination. In order to provide a guiding metaphor, we speak of control room agents. Our focus is on rational decision- making by such agents, where the circumstances obtaining are such that rationality is bounded. Control room agents, whether human or non-human, need to reason and act in a changing environment with only limited information available to them. Determining the current state of the environment is a central concern for control room agents if they are to reason and act sensibly. A control room agent cannot plan its actions without having an internal representation (epistemic state) of its environment, and cannot make rational decisions unless this representation, to some level of accuracy, reflects the state of its environment. The focus of this thesis is on three aspects regarding the epistemic functioning of a control room agent: 1. How should the epistemic state of a control room agent be represented in order to facilitate logical analysis? 2. How should a control room agent change its epistemic state upon receiving new information? 3. How should a control room agent combine available information from different sources? In describing the class of control room agents as first-order intentional systems hav- ing both informational and motivational attitudes, an agent-oriented view is adopted. The central construct used in the information-theoretic approach, which is qualitative in nature, is the concept of a templated ordering. Representing the epistemic state of a control room agent by a (special form of) tem- plated ordering signals a departure from the many approaches in which only the beliefs of an agent are represented. Templated orderings allow for the representation of both knowledge and belief. A control room agent changes its epistemic state according to a proposed epistemic change algorithm, which allows the agent to select between two well-established forms of belief change operations, namely, belief revision and belief update. The combination of (possibly conflicting) information from different sources has re- ceived a lot of attention in recent years. Using templated orderings for the semantic representation of information, a new family of purely qualitative merging operations is developed. / School of Computing / Ph. D. (Computer Science)
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The viability of the concept of political liberalism

Young, Shaun Patrick 06 1900 (has links)
This thesis examines the viability of the concept of political liberalism. Since its emergence, the idea of a purely political liberalism has been the subject of a voluminous amount of discourse and debate. The concept of political liberalism has been presented as both a solution to the problems of justice and political stability troubling liberal democracies and an exemplar of all that is wrong with contemporary political philosophy; it has, quite literally, altered the landscape and the vernacular of contemporary political theory. Herein it is argued that, despite the significant amount of literature that has been devoted to the analysis of the idea of a purely political liberalism, the idea itself has yet to be subjected to the type of critique that is required if one is to assess its viability effectively. Though there have been a number of contemporary political theorists who have developed conceptions of political liberalism which they believe differ in important ways from those of their doctrinal colleagues, detailed analyses of the concept of political liberalism have and remain focussed almost exclusively on a single formulation: namely, Rawlsian political liberalism. This singular focus has precluded the completion of a comprehensive assessment of the viability of the concept (as opposed to a single conception) of political liberalism as represented both by Rawlsian and non-Rawlsian models. This thesis confronts this problem by expanding the scope of investigation to include a fulsome examination of other prominent paradigmatic conceptions of political liberalism namely, those developed by Charles Larmore and Judith Shklar and in so doing provides a more inclusive and, subsequently, thorough critique than has previously been offered. Adopting such an approach reveals that, despite protestations to the contrary, the prominent paradigmatic conceptions of political liberalism are sufficiently similar in all important respects to enable their conflation for the purpose of analysis; and when subjected to a thorough analysis, the idea of a purely political liberalism proves itself to be untenable. / Political Science / D. Litt. et Phil. (Politics)
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Chimie, chimie quantique et concept d'émergence: étude d'une mise en relation

Llored, Jean-Pierre 22 November 2013 (has links)
Cette thèse prend pour point de départ l’exploration de quelques pratiques chimiques contemporaines en vue d’identifier certains réquisits que devrait satisfaire un concept d’émergence pour être mis en relation avec la chimie. Cette épistémologie distribuée prend appui sur l’histoire de la chimie. Dans cette perspective seront mis en évidence :la dépendance mutuelle des niveaux d’organisation ainsi que celle des relations et des relata, et le rôle constitutif des modes d’intervention dans la définition, toujours ouverte et provisoire, de ce à quoi les chimistes disent avoir affaire. Un détour par l’histoire de la philosophie est alors envisagé pour étudier comment les émergentistes britanniques ont mis en relation la chimie avec l’émergence. L’étude attentive de ces textes est l’occasion d’une mise au banc d’essai de mon étude préliminaire. Nous revenons ensuite aux définitions formelles de l’émergence, et en particulier aux analyses de Kim, en montrant que la clause ceteris paribus sur laquelle elles s’appuient prend un autre sens en métrologie chimique. Cette étude nous permet d’insister sur le rôle et l’importance de deux types de méréologie pour penser l’émergence d’un point de vue formel en tenant compte de la spécificité du travail des chimistes. La thèse envisage enfin de prolonger son enquête en explorant les travaux en chimie quantique et la façon très particulière avec laquelle ils entre-définissent un tout, ses parties et le milieu qui leur est associé. Une mise en relation est alors tentée et ouvre plusieurs pistes :une approche ontologique et pragmatique adaptant à la chimie le concept d’habitude de Peirce repris par Claudine Tiercelin ou celui d’ « affordance » proposé par Rom Harré ;une approche pragmatique et transcendantale inspirée des travaux menés par Michel Bitbol en philosophie de la physique quantique ;et, enfin, une approche qui prend en charge les conséquences des transformations chimiques sur les humains et les non-humains, en réintégrant les conditions pragmatiques, socio-politiques, institutionnelles et technologiques de la chimie dans le débat à propos de l’émergence. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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