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Poséidon en terre d'Athènes : un dieu entre séisme et fondationDarthou, Sonia 24 June 2000 (has links) (PDF)
Cette recherche, qui propose une réflexion sur la construction de l'identité mythique d'Athènes et son lien au territoire, choisit de revaloriser la place de Poséidon, trop souvent marginalisé dans la cité d'Athéna. La thèse est scindée en deux parties : la première suit Poséidon au cœur de la terre, la deuxième le consacre fondateur à l'issue du partage qui s'opère avec Athéna. J'ai tout d'abord choisi d'analyser les compétences de Poséidon sur la terre : tenir/soutenir le sol, assurer les assises, enraciner et soutenir les fondations. La cité d'Athènes, qui se raconte autochthone car elle n'a pas été fondée sur le mode de la " colonisation ", renouvelle dans ses discours mythiques en permanence ses fondations avec la terre qui l'a générée. Elle va ainsi accorder au dieu Poséidon une place centrale en terre d'Athènes à l'issue d'un mythe de partage qui met en rivalité deux prétendants au titre de Poliade. Si Athéna gagne l'eris en recevant le titre " politique", Poséidon n'est pas exclu pour autant. Certes, Athéna protège et représente la cité, défend les murs d'Athènes et s'affiche sur les monnaies, mais c'est Poséidon qui pose l'ultime maillon de fondation de la polis. Gardien des origines, garant de la stabilité, ce dieu à l'assise sûre que les citoyens appellent Celui qui tient la terre, siège en réalité avec tous les honneurs sur la cité autochthone. Grâce à Poséidon, Athènes a réussi le pari de son " autofondation " car ce sont tous les Athéniens que le dieu enracine sur leur propre terre.
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LE FÉMINISME ROUMAIN ET SES AFFINITÉS AVEC LE FÉMINISME FRANÇAIS (1918-1940)Dimitriu, Andreea 29 September 2011 (has links) (PDF)
Paru dans la deuxième moitié du XIXe siècle, le féminisme roumain se manifeste dans la période d'entre les deux guerres dans toute sa puissance, quoique la plupart des femmes impliquées dans le mouvement soient les représentantes d'une élite féminine, sans des rapports trop profonds avec le reste de la population. Les premières féministes découvrent le féminisme français par l'intermédiaire des études et des stages faits à l'étranger. Leurs contacts deviennent de plus en plus durables une fois que le mouvement roumain s'intègre, s'organise et s'affirme en public après l'union de 1918. L'implication des principales associations sur le plan international, la propagande et les actions déroulées au niveau national, les " victoires " obtenues (les droits civils en 1932, politiques intégrales en 1938) sont la preuve incontestable que dans l'espace roumain il y a eu un mouvement féministe fort. De plus, la période d'entre les deux guerres en est le moment d'apogée, " l'indifférence patriarcale " et une partie de l'opinion publique sont combattues grâce aux efforts soutenus et à la patience spécifique féminine. Les affinités franco-roumaines, relevées dans notre thèse, celles au niveau des programmes, de l'organisation et même des formes de manifestation ne sont pas des nouvelles, mais plutôt une preuve que le cadre national est dépassé. Ces deux pays latins ont déroulé des actions communes à l'intérieur des fors féminins internationaux, les liaisons d'amitié se manifestant aussi au niveau officiel que sur le plan personnel. Mais, chaque mouvement se dessine dans des contextes sociopolitiques différents, avec des nuances et spécificités qui leur donnent l'individualité.
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L'utopie en héritage. La Société du Familistère de Guise, de la mort de Jean-Baptiste Godin à la dissolution de l'association (1888-1968)Dos santos, Jessica 12 October 2012 (has links) (PDF)
Lorsqu'il meurt en 1888, Jean-Baptiste Godin lègue à ses ouvriers un héritage multiforme : une entreprise florissante, dont le capital et les bénéfices sont partagés entre l'ensemble des salariés, un ensemble architectural original garant d'une vie en collectivité, voire en communauté, un système social et éducatif complet. Pour ses successeurs, il s'agit dès lors de s'approprier l'ensemble de cet héritage et de le conserver intact, en dépit des bouleversements économiques et de l'évolution de la société française. Entre l'attachement à la tradition, les contraintes de la concurrence et le progrès des droits sociaux, la Société du familistère de Guise peine cependant à trouver son équilibre. Si la mémoire de Godin, le "Fondateur", reste l'élément central d'une identité commune, elle ne suffit pas à maintenir indéfiniment la cohésion d'une association ouvrière qui choisit de se dissoudre, poussée par les difficultés économiques, en plein coeur du mouvement social de mai 1968
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Sociabilité, Franc-maçonnerie et réseaux relationnels. Contributions pour une histoire sociale et culturelle de l'espace européen des LumièresBeaurepaire, Pierre-Yves 23 November 2002 (has links) (PDF)
L'inédit de cette HDR replace l'expansion foudroyante et durable de l'ordre maçonnique dans son environnement social et culturel en l'intégrant au « commerce de société » des élites européennes marqué par le renouvellement rapide de l'offre et les exigences nouvelles en terme de loisir aristocratique. <br />Le premier chapitre propose un programme et un agenda de relance de la recherche française en histoire maçonnique qui, pionnière dans les années 1960, n'a pas remplacé ses cadres, s'est progressivement isolée au sein de la communauté historienne, quand elle ne s'est pas égarée dans une « maçonnologie » (sic) a-scientifique, qui tranche sur le dynamisme que l'on peut observer en Autriche, en Allemagne, en Italie, en Espagne, et aux Etats-Unis. <br />Présentés dans le chapitre II, les nouvelles archives et les nouveaux outils accessibles aux chercheurs permettent cette relance et constituent autant d'opportunités à saisir pour une véritable histoire culturelle des sociabilités européennes au XVIIIe siècle. L'ouverture à partir de l'année 2002 des fonds « russes » d'archives maçonniques françaises des XVIIIe-XXe siècles rapatriés de Moscou en décembre 2000, la mobilisation des exceptionnelles ressources documentaires des archives du Grand Orient des Pays-Bas à La Haye, ou du Geheimes Staatsarchiv Preußischer Kulturbesitz à Berlin, permettent de rompre avec la mono-exploitation paresseuse du fonds maçonnique de la Bibliothèque nationale de France, pour l'essentiel constitué de listes de membres et de correspondances administratives stéréotypées entre les loges et leur obédience. Les écrits du « for privé » également dénommés « ego-documents », aujourd'hui au centre des préoccupations des historiens, élargissent le corpus. Leur étude et l'attention portée aux réseaux sociaux –mis à l'épreuve de leur fonctionnement matériel, des échanges qu'ils véhiculent et orientent, et non pas réduits à l'utilisation métaphorique d'un concept à la mode-, aux stratégies individuelles qui s'y déploient, permettent de restituer la Franc-maçonnerie dans son environnement profane –social, culturel, familial, professionnel, confessionnel- à des échelles imbriquées plus qu'emboîtées –la famille, la nébuleuse huguenote et le réseau négociant européen par exemple. Avant d'être une institution, la loge est d'abord une communauté de pairs où un individu s'insère en société. <br />Intégrer la dimension européenne, c'est également prendre en compte l'existence d'une Maçonnerie brillante –objet du chapitre III-, offrant une offre de divertissement mondain variée –bals, concerts et théâtre amateurs- dans un espace qui transcende la frontière entre espaces domestique et public pour intégrer le temple de la loge, la vie de société, les châteaux et les hôtels particuliers. On met ainsi en évidence la plasticité et la résistance d'un modèle aristocratique –que l'on redécouvre également à propos des salons- de sociabilité maçonnique, qui permet de contester la thèse de Ran Halevi sur Les loges maçonniques dans la France d'Ancien Régime. Aux origines de la sociabilité démocratique et de nuancer le modèle de Jürgen Habermas d'une sociabilité maçonnique « bourgeoise » laboratoire de L'Espace public. Les loges de cour existent au XVIIIe siècle, elles ont un pouvoir d'attraction considérable qui déborde largement la sphère aristocratique. <br />Le chapitre IV propose une histoire interculturelle de la Franc-maçonnerie européenne en s'appuyant sur le cas saxon. La Saxe électorale, malgré sa situation apparemment périphérique dans l'espace européen, constitue en effet un laboratoire pour l'éclosion des différentes formes de sociabilité maçonnique : Maçonnerie de cour, ordres initiatiques mixtes, réforme maçonnique d'essence chevaleresque et chrétienne, loges négociantes cosmopolites. Ces innovations intègrent rapidement et avec succès l'offre de sociabilité offerte aux élites européennes.
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Maquis et Justice Militaire en Espagne (1944-1945)<br />Image personnelle et mémoire collectiveFraile, Antoine 16 November 2005 (has links) (PDF)
Le travail est une recherche dans les archives militaires espagnoles. Il analyse les pièces de 11 Conseil de Guerre qui ont jugé en juillet 1945, une centaine de maquisards espagnols qui avaient franchi clandestinement la frontière française en octobre 1944 pour "libérer" l'Espagne franquiste.
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Everyday infidels: a social history of secularism in the postwar Pacific NorthwestBlock, Tina Marie 29 January 2010 (has links)
Together, British Columbia and Washington State have constituted a uniquely secular region. Residents of the Pacific Northwest were (and are) far more likely than their counterparts elsewhere to reject or ignore religious institutions, and religion itself. Historians have devoted little attention to this phenomenon. This dissertation draws on a wide range of manuscript, quantitative, and oral history sources to interrogate the nature and meanings of Northwest secularism in the years between 1950 and the early 1970s. Scholars have typically depicted secularism as something produced and disseminated within institutions and by cultural elites. Inspired by the rich literature on popular and lived religion, this study departs from convention and explores secularism at the social and everyday level. It does not reveal any coherent doctrine of secularism, nor does it suggest that the Pacific Northwest was a region of atheists. Just as church involvement is not the sole measure of religiosity, atheism is not the singular expression of secularity. Northwesterners were secular in multiple, ambiguous, and contested ways - ways that did not exclude encounters with the sacred. This dissertation traces certain widely shared elements of secularism in the postwar Pacific Northwest, including an indifference towards organized religion, and ambivalence around personal religion and belief. Influenced by normative ideas of race. class, gender. and family, postwar religious and cultural commentators blamed the distinct irreligion of the Northwest on single, working-class men in the region. Northwest secularism also tended to be constructed as a problem
particular to whites in the region. In rejecting religion. white Northwesterners were seen as contravening dominant expectations of respectable whiteness. This study argues that Northwest irreligion was broadly based rather than anchored to a particular demographic group within the region. It challenges the assumption that secularity had little to do with women, the middle classes. and families. At the same time, this study also contends that class, race, gender, and family shaped and differentiated the meanings and experiences of religion and irreligion. For example. white, middle-class women in the Pacific Northwest were far less committed to organized religion, and religion itself, than their counterparts in other regions. However, in everyday life, secular women confronted and struggled against entrenched ideals of feminine and middle-class piety. On the other hand, working-class men were freer to behave in non-religious ways, since for them this behaviour conformed to, rather than contradicted, class and masculine norms. For men and women from all social locations, the deepest tensions around religion emerged in relations with family. The ambivalent secularism of the Northwest took shape in ordinary households, as people worked to reconcile their own secular impulses with family demands and expectations. Although they were secular in different ways, all social groups helped to produce and sustain the distinct irreligion of the Northwest. This dissertation argues that certain historical, demographic, and imaginative factors combined to broaden the possibilities for rejecting or avoiding religion in this cross-border region. While the region has been, and remains, a place of abundant spiritual energies, over time irreligion has become entwined in the myths and expectations of Northwest culture. This dissertation highlights the neglected intersections between geography and religion, and demonstrates the importance of place to secular and religious practice and identity.
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Makers and their marks: the ancient function and modern usefulness of stamps on glass and ceramicsPrior, Jonathan David 15 November 2010 (has links)
This thesis examines the marking of Roman glass and ceramic vessels with stamps in the period from the first century B.C. through the second century A.D. The thesis establishes the context for the study of such makers' marks by first examining the early history of Roman glass. the changes brought on by the introduction of glassblowing, and the organization and working conditions of the industry. Next the thesis examines the roles played by stamps on glass in the ancient world. Then the organization and conditions of the ceramics industry are examined and the same questions are posed regarding the roles of stamps and what they can tell us. These stamps show us how the two industries were organized and reveal that Roman makers' marks served not only as proto-brand identifiers and artists signatures, but also as tools for industrial organization.
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Coming full circle: the development, rise, fall, and return of the concept of anticipation in hereditary diseaseFriedman, Judith Ellen 26 October 2009 (has links)
This dissertation examines the history of the creation and development of the concept of
anticipation, a pattern of heredity found in several diseases (e.g. Huntington’s disease and
myotonic dystrophy), in which an illness manifests itself earlier and often more severely
in successive generations. It reconstructs major arguments in twentieth-century debates
about anticipation and analyzes the relations between different research communities and
schools of thought. Developments in cutting-edge medicine, biology, and genetics are
analyzed; many of these developments were centered in Britain, but saw significant
contributions by people working in France, Germany, Switzerland, the Netherlands and
North America.
Chapter one traces precursor notions in psychiatric and hereditarian thought from
1840 to the coining of the term ‘anticipation’ by the ophthalmologist Edward Nettleship
in 1905. Key roles in the following chapters are played by several figures. Prior to World
War II, these include: the neuropathologist F.W. Mott, whose advocacy during 1911-
1927 led to anticipation being called “Mott’s law”; the biometrician and eugenicist Karl
Pearson, who opposed Mott on methodological and political grounds; and two politically
and theoretically opposed Germans – Ernst Rüdin, a leading psychiatrist and eugenicist
who came to reject anticipation, and Richard Goldschmidt, a geneticist who offered a
peculiar Mendelian explanation. The British psychiatrist and human geneticist, Lionel
Penrose, makes a first interwar appearance, but becomes crucial to the story after World
War II due to his systematic dismissal of anticipation, which discredited the notion on
orthodox Mendelian grounds. The final chapters highlight the contributions of Dutch
neurologist Christiaan Höweler, whose 1980s work demonstrated a major hole in
Penrose’s reasoning, and British geneticist Peter Harper, whose research helped
demonstrate that expanding trinucleotide repeats accounted for the transgenerational
worsening without contradicting Mendel and resurrected anticipation as scientifically
legitimate. Reception of the concept of anticipation is traced across the century through
the examination of textbooks used in different fields.
This dissertation argues against established positions regarding the history of the
concept, including claims that anticipation’s association with eugenics adequately
explains the rejection of the notion after 1945. Rejected, in fact, by many eugenicists
from 1912, anticipation was used by physicians until the 1960s.
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Les jeunes filles des milieux populaires ruraux en anjou (1920-1950)El Amrani, Frédérique 24 June 2010 (has links) (PDF)
Il n'existe pas dans la langue française de traduction simple du terme anglais "Girlhood" désignant à la fois l'état de jeune fille et le processus de formation dont il est le résultat. De même l'adjectif "girlish" utilisé pour qualifier tout ce qui se rapporte spécifiquement à cet état n'a pas d'équivalent. Pour étudier comment on devient peu à peu "jeune fille" dans les campagnes angevines entre 1920 et 1950 je suis partie du récit fait de leur jeunesse par cent femmes nées dans une commune rurale entre 1905 et 1935. Je souhaitais y rechercher les indices d'une "girlisation" de leur jeunesse sous l'effet des mutations contemporaines affectant le genre féminin. Se reconnaître et être reconnues comme "jeunes filles", supposent pour celles qui en ont font l'expérience à la fois singulière et partagée, de répondre à des critères précis et changeants de qualification en terme d'apparence et de comportement. Construction sociale et culturelle, le genre s'apprend. Cet apprentissage implique l'acquisition de savoirs normatifs, constituant le référentiel du genre et l'expérimentation de savoir-faire performatifs le mettant en application. Au croisement du temps biographique de la jeunesse, âge de cristallisation de l'identité sexuée et du temps historique des mutations du genre dans la société occidentale de la première moitié du XXe siècle, l'étude, à partir des sources orales, des jeunes filles des milieux populaires ruraux, permet d'éclairer les mécanismes complexes d'appropriation de ces nouvelles normes.
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Marquage corporel et signation religieuse dans l'AntiquitéRenaut, Luc 06 December 2004 (has links) (PDF)
<p>Cette étude remet en question la signification “religieuse” souvent prêtée sans précaution aux pratiques de marquage corporel dans le monde ancien, en analysant la plupart des documents aujourd'hui disponibles sur ces pratiques.</p><p>Une première partie s'attache à inventorier et à localiser dans le temps et dans l'espace les différentes pratiques de marquage corporel indélébile (tatouage, scarifications, cautérisations), et à dégager leurs trois fonctions principales ou “ordinaires” : 1) fonction ornementale ; 2) fonction thérapeutique-prophylactique ; 3) marquage d'appartenance et stigmatisation pénale.</p><p>Dans une seconde partie, après avoir signalé quelques rares cas de marquages provisoires à destination religieuse certaine ou probable (en Égypte ancienne en particulier), sont analysées plusieurs notices anciennes où l'historiographie a voulu reconnaître la mention de marquage rituels indélébiles. Il est montré qu'aucune source ne permet en réalité d'associer les cultes grecs et romains à des pratiques de marquage de ce type.</p><p>Cette seconde partie reprend également le problème de la dénomination baptismale <I>sphragis</I> (sceau). Contrairement à ce qu'ont cru F. J. Dölger et d'autres savants, cette dénomination baptismale n'impliquait au départ aucun rite tangible de marquage corporel. Chez les chrétiens orientaux, les pratiques de marquage corporel encore observables aujourd'hui (tatouage essentiellement), ne proviennent pas du christianisme primitif ; elles perpétuent et adaptent des procédés prophylactiques plus anciens qui sont le propre de certaines populations méditerranéennes restées en marge de la culture gréco-romaine.</p><p>Cette thèse a reçu en 2005 le <I>prix John Jaffé de la Chancellerie des Universités de Paris</I>
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