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Le décor sculpté religieux à Paris (1660-1760)

Bontemps, Sébastien 07 May 2012 (has links)
Ce travail de recherche sur le décor sculpté religieux à Paris a eu pour ambition de reconstruire l'image d'un patrimoine en partie disparu : l'espace interne de l'église parisienne entre 1660 et 1760 à travers le mobilier liturgique, le décor en relief ou en ronde-bosse, dans la nef, le transept et le chœur des églises de la capitale du royaume. Notre étude analyse ainsi la sculpture religieuse dans son espace d'inscription immédiat, entre art monumental et art décoratif, de la fin des grandes commandes religieuses royales du XVIIe siècle, tel le Dôme des Invalides, à l'avènement du néo-classicisme dans le chœur de Saint-Germain-l'Auxerrois en 1760, avant la reprise des grands chantiers royaux, inaugurés par les travaux menées à la basilique Sainte-Geneviève. Même si une partie de ces décors a été démonté à la Révolution, il est possible d'appréhender précisément leur contenu, les éléments détruits étant analysés à partir de nombreuses sources iconographiques et écrites qui permettent de restituer l'œil du contemporain dans une église. Grâce à la découverte de nombreux contrats d'archives, il a été possible de déterminer les conditions et les facteurs matériels et religieux de la commande. L'étude des textes critiques, issus de la théorie artistique et religieuse contemporaine, pose le problème du luxe du décor religieux, ainsi que le problème de l'organisation de l'espace intérieur de l'église, et dont est largement tributaire l'évolution stylistique et formelle du décor. Cette thèse, combinant histoire de l'art, histoire du visuel, histoire économique et histoire religieuse, contribue ainsi à la connaissance d'un patrimoine artistique français méconnu. / This work on the religious sculptured decoration in Paris had for ambition to built the image of a partially disappeared heritage : the space interns of the Parisian church between 1660 and 1760 through the liturgical furniture, the relief decoration or in round-bump, in the nave, the transept and the choir of the churches of the capital of the kingdom. Our study so analyzes the religious sculpture in its immediate space, between monumental art and decorative art, the end of the big royal religious orders of the XVIIth century, such the Dome des Invalides, in the advent of the neoclassicism in the choir of Saint-Germain-l'Auxerrois in 1760, before the resumption of the big royal construction works, inaugurated by the works in the basilica saint-Geneviève. Even if a part of these decorations was destroyed in the Revolution, it is possible to determinate exactly their contents : the destroyed elements are analyzed from numerous iconographic and written sources which allow to restore the eye of the contemporary in a church. Thanks to the discovery of contracts of archives, it was possible to determine the conditions and the material and religious factors of the order. The study of the critical texts, stemming from the contemporary artistic and religious theory, raises the problem of the luxury of the religious decoration, as well as the problem of the organization of the internal space of the church, and on which is widely dependent the stylistic and formal evolution of the decoration. This work combine art history, history of the picture, economic history and religious history to contributes to the knowledge of an underestimated French artistic heritage.
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L'atelier des Écores (1792-1830) : une entreprise artisanale

Chagnon, Joanne January 2010 (has links) (PDF)
Notre projet de recherche concerne deux disciplines: l'histoire et l'histoire de l'art. Le sujet provient des arts anciens du Québec et porte sur un groupe de maîtres sculpteurs. L'organisation mise en place par ceux-ci et la question de l'artisanat constituent le coeur de notre démarche, la problématique découle donc de l'histoire sociale et économique, plus spécifiquement de l'histoire du travail au Bas-Canada. L'atelier des Écores occupe une place unique en histoire de l'art ancien du Québec, par le nombre de personnes impliquées et par l'ampleur de la production réalisée. Au tournant du XIXe siècle, quatre maîtres sculpteurs (Louis Quévillon, Joseph Pépin, René Beauvais dit Saint-James et Paul Rollin) établis à Saint-Vincent- de-Paul de l'île Jésus, ont formé au moins 53 apprentis en plus d'employer plusieurs compagnons sculpteurs et des menuisiers. Preuve de leur dynamisme, les maîtres ont travaillé dans 61 paroisses -49 de la région de Montréal, douze dans celle de Québec -ainsi que pour trois communautés religieuses. Souvent les commandes sont importantes puisque dans bien des cas ils réalisent le mobilier liturgique et le décor intérieur de l'église. Fait marquant, en 1815, les initiateurs de l'atelier, Louis Quévillon et Joseph Pépin, s'associent avec deux de leurs anciens apprentis. De fait, l'atelier des Écores a détenu le monopole de la décoration des églises de la région montréalaise durant les trente premières années du XIXe siècle. Les maîtres sculpteurs ont exploité au maximum les possibilités offertes par l'artisanat et développé un fonctionnement efficace qui leur a permis d'avoir une main-d'oeuvre nombreuse et un niveau de production élevé. Tout indique qu'ils ont mis sur pied une forme d'organisation dont la structure de base s'apparente à celle qui définit une entreprise: gestion d'une production, d'une main-d'oeuvre, capacité à se bâtir une clientèle et à financer ses projets. Notre thèse poursuit donc deux objectifs principaux: reconstituer l'historique de l'atelier des Écores d'une part, pour ensuite analyser son fonctionnement afin de démontrer, d'autre part, comment l'organisation mise en place par les maîtres possède les caractéristiques fondamentales d'une entreprise. Notre étude repose sur une recherche documentaire provenant principalement de 80 greffes de notaires répartis dans les régions administratives de Montréal, de Trois-Rivières, de Québec et du Bas-Saint-Laurent. Afin d'avoir le maximum d'informations possibles, nous avons aussi consulté les dossiers de paroisses de l'Inventaire des oeuvres d'art du Québec qui renferment des transcriptions des livres de comptes et de délibérations, d'où l'intérêt de ce fonds. Les éléments recueillis ont été versés dans une base de données afin de ne pas laisser échapper d'informations importantes et de pouvoir les mettre en relation. Depuis près d'un siècle, les sculpteurs de l'atelier des Écores ont retenu l'attention des historiens de l'art qui ont avancé plusieurs hypothèses concernant leur fonctionnement. Des données présentées un peu pêle-mêle circulent, ce qui gêne la compréhension de leur activité. La reconstitution historique s'imposait donc. Elle rend compte de la croissance et du déclin de l'atelier. Ainsi, on observe qu'à partir de 1806, quand les sculpteurs maîtrisent la finition de leurs oeuvres, plus rien ne freine leur progression. Dès lors, on note une augmentation de la main-d'oeuvre et une forte croissance de la production. L'acte d'association des maîtres en 1815 constitue le point culminant de leur activité. En fait, si nous transposions sur un graphique la courbe de croissance de l'atelier, nous aurions les années 1792-1815 représentées par une courbe ascendante, les années 1815-1820 constituant le plateau et la période 1820-1830 figurée par une courbe descendante. Les maîtres contrôlaient les diverses étapes de la production, tant en atelier que durant les campagnes de sculpture. Même avec un carnet de commandes bien rempli, ils répondent aux exigences des clients dans les délais impartis et mènent plusieurs chantiers de front. Le caractère répétitif d'une partie de la production leur permet d'établir des modèles, ce qui accélère le rendement. Rien n'indique toutefois qu'ils aient pratiqué une subdivision du travail, celui-ci étant réparti selon les compétences de chacun. Une gestion solide des diverses étapes de la production semble être à la base de la quantité impressionnante de commandes traitées. Une main-d'oeuvre nombreuse et compétente a rendu possible ce fort volume de production. Les maîtres ont su l'attirer par la possibilité d'apprendre un métier ou d'obtenir du travail. La formation des apprentis mène à la connaissance du métier, plusieurs carrières de sculpteurs en font foi. À la fin de leur contrat d'apprentissage certains sont employés par les maîtres qui embauchent aussi des menuisiers pour accomplir une partie des travaux. Les commandes ne manquent pas, car deux-tiers des paroisses de la région montréalaise établies en 1830 ont fait affaire avec les sculpteurs de Saint-Vincent-de-Paul -souvent à plusieurs reprises preuve que ces derniers avaient la capacité de rejoindre la clientèle et de la fidéliser. Le fait qu'ils aient obtenu des commandes dans la région de Québec démontre clairement leur aptitude à ouvrir de nouveaux marchés. Au fil du temps, les maîtres de l'atelier des Écores sont devenus des notables à Saint-Vincent-de-Paul, une paroisse qui a bénéficié de leur contribution. Il n'existe pas vraiment un autre groupe avec lequel on peut comparer ces sculpteurs, mais cette étude de cas est un exemple convaincant que l'artisanat a pu activement participer à l'économie bas-canadienne au tournant du XIXe siècle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Artisanat, Entreprise, Travail, Sculpture, Bas-Canada.
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De Paris à Rome : Jean-Baptiste Théodon (1645-1713) et la sculpture française après Bernin / From Paris to Rome : Jean-Baptiste Théodon (1645-1713) and French Sculpture after Bernini

Adamczak, Alicia 05 December 2009 (has links)
Sculpteur du règne de Louis XIV, Jean-Baptiste Théodon (1645-1713) se rattache à l’école française autant qu’à l’école romaine de sculpture. Formé auprès de Charles Le Brun à la Manufacture royale des Gobelins, il y rencontre Jean-Baptiste Colbert qui devient son premier mécène. Protégé par ce dernier qui l’envoie en Italie, Théodon rejoint en 1677 l’Académie de France à Rome où il sculpte pour Louis XIV et le château de Versailles. Parallèlement il prend part à la vie académique romaine. Membre actif de l’Accademia di San Luca et de la congrégation des Virtuosi al Pantheon, Théodon devient l’un des sculpteurs les plus recherchés de la Rome de la fin du Seicento, sollicité par les papes Innocent XII et Clément XI à Saint-Pierre de Rome et au Latran, et par les congrégations et les ordres religieux au Gesù et au Monte di Pietà. Appelé par Louis XIV, il revient à Paris en 1705 et contribue, durant ses dernières années, à la décoration des Maison royales de Marly et de Meudon. Abordant avec brio l’allégorie et la sculpture animalière pour Colbert, la mythologie et le genre historique pour Louis XIV, la sculpture funéraire et l’art du portrait pour Christine de Suède, le sculpteur s’illustre avant tout dans l’art religieux. Brillante personnalité artistique du XVIIe siècle, Théodon méritait une étude. Nous avons considéré sa vie et sa carrière, analysé sa manière et établi le corpus exhaustif de son œuvre. / Jean-Baptiste Théodon (1645-1713) was a French sculptor of the reign of Louis XIV who belonged both to the French and Italian schools of sculpture of the Seventeenth-Century. In the 1670’s during his training at the ‘Manufacture des Gobelins’ he worked under the supervision of Charles Le Brun and met the minister Jean-Baptiste Colbert. In 1677 he joined the French Academy in Rome where he carved garden sculptures for royal estates and for his protector Colbert. Early in his Roman carrier he was made member of the Academy of St Luke and member of the Congregazione dei Virtuosi al Pantheon where he met Bernini, the architect Carlo Fontana and the painter Carlo Maratta. Appreciated by the Pope Innocent XII he obtained several commissions at Saint-Peter’s (Baptismal chapel, Monument to Christine of Sweden) and at the same time he worked for the Jesuits at the Sant’Ignazio chapel at the Gesù. As one of the most significant sculptors of the end of the Roman Seicento he dedicated his last years in Rome to the pope Clement XI and the papal basilica before his return to Paris in 1705 where he worked for the Sun King and the ‘Maisons’ of Meudon and Marly. With the same maestria Jean-Baptiste Théodon carved allegories for Colbert, mythological and historical figures for Louis XIV, funeral sculptures and portrait for Christine of Sweden as well as works of art for Roman churches. The Ph.D. dissertation consists of a study of the career of the sculptor with an analysis of his artistic manner and its evolution from Paris to Rome. In addition the thesis includes the complete ‘catalogue raisonné’ of his works, sculptures and drawings.

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