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"Scythians is a name given them by the Greeks" : an analysis of six barrow burials on the West Euroasian steppe /Tillisch, Søren Skriver. January 2008 (has links)
Texte remanié de: Ph. D.--Archéologie--Copenhague, 2004. / Bibliogr. p. 109-118.
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Totenkult der Skythen.Rolle, Renate, January 1979 (has links)
Habilitationsschrift--Vorgeschichte--Göttingen. / Bibliogr. p. 169-174. Index.
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Kimmerier und Skythen : Kulturgeschichte und chronologische Probleme der Archäologie der osteuropäischen Steppen und Kaukasiens in vor- und frühskythischer Zeit /Ivančik, Askolʹd I., January 2001 (has links)
Texte remanié de la 2e partie de: Habilitationsschrift--Fribourg, Suisse, 1996. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : Kimmerijcy i skify : kulʹturno-istoričeskie i hronologičeskie problemy arheologii vostočnoevropejskih stepej Kavkaza pred- i ranneckifskogo vremeni / Askolʹd I. Ivančik. Bibliogr. p. 286-[308]. Index.
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Monnaies indo-scythes et indo-parthes du Département des monnaies, médailles et antiques [de la Bibliothèque nationale de France] : catalogue raisonné /Fröhlich, Christine. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire, antiquité, culture, art--Paris--École pratique des hautes études, 2001. Titre de soutenance : Histoire et monnayage des Indo-Scythes et des Indo-Parthes, 1er siècle avant notre ère-1er siècle de notre ère : catalogue raisonné des monnaies du Cabinet des médailles. / Bibliogr. p. 145-151. Index.
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Présence et influence iranienne dans les régions pontiques des origines à la chute de l’Empire achéménide / The Iranian presence and influence in the Pontus regions from the origins to the fall of the Achaemenid EmpireBikas Shourkaei, Hamid 25 July 2011 (has links)
La présence iranienne dans les régions pontiques, bien qu’apparaissent de manière incidente dans de nombreuses études, n’a jamais fait l’objet d’une thèse de doctorat. Ce travail de thèse se propose de retracer l’histoire de la présence des Iraniens dans les régions pontiques des origines à la chute de l’Empire achéménide. Dans la première partie de notre thèse, nous passons en revue les discussions les plus récentes sur l’origine, les stades de la formation et la répartition des populations nomades iranophones dans les steppes eurasiatiques. Nous nous penchons notamment sur les rasions du passage au grand nomadisme pastoral monté de ses tribus à l’aube du Ier millénaire avant J.-C. Dans la deuxième partie de notre thèse, nous retraçons d’abord l’histoire du peuple cimmérien, puis nous traitons in extenso du problème de leur appartenance linguistique et anthropologique. Dans cette partie sont également examiné l’origine de la culture de la Scythie du Pont, l’établissement des Scythes en Asie antérieures et leur retour aux steppes nord-pontiques. A la fin de cette partie, nous reprenons l’analyse de la première légende d’origine des Scythes rapportée par Hérodote et nous tentons, en utilisant la méthode comparative dumézilienne, de démontrer que les éléments constitutifs de cette légende sont la résurgence et l’assemblage de schémas narratifs des mythes fondateurs des peuples iraniens. La troisième partie de notre thèse est consacrée à l’étude de la présence iranienne dans les régions pontiques à l’époque achéménide. Nous nous appliquons à dresser le portrait historique de ces espaces géographiques sous la domination achéménide et nous tentons d’identifier les traces de l’occupation achéménide ainsi que les « marqueurs » de la présence iranienne dans ces régions. Les documents de natures diverses et complémentaires permettent de confirmer non seulement la présence iranienne, mais aussi la profondeur des contacts inter-culturels entre les Iraniens de la diaspora impériale, les Grecs et les populations locales de ces régions. / The thesis studies the presence and influence of the Iranian peoples and tribes in the Pontus region from the origins to the fall of the Achaemenid Empire. While the sedentary Iranian people have been the center of attention, this work focuses firstly on the nomadic Iranian peoples originally living in western Siberia and who moved later in the north-Pontic region. In the absence of Cimmerian and Scythian written documents, the first part of thesis attempts to reconstruct a historical narrative of the migration and invasion of these people through the references made to them in ancient Greek and Assyrian texts, as well as by archaeological evidence. Modern debate about the Cimmerians’ linguistic and ethnic affiliation continues at a lively pace, for the existing documentation is both sparse and full of contradictions. Nonetheless, the inclination today is to consider them as an Iranian people. The second part of thesis traces the history of Scythian tribes in the North Pontic region. The first Scythian legend of origin, as related by Herodotus is studied and it is suggested that this legend incorporates typical features of Iranian legends of origin. The third part of the thesis studies the history of Pontus regions in the Achaemenid period and attempts to evaluate the impact of Persian and Iranian presence there. This part discusses the political status of the Pontus regions within the Achaemenid empire and attempts to determine the nature and the level of political incorporation of these regions into Achaemenid administrative organization. The work concludes by reviewing the written, archeological, artistic and various other sorts of evidence which suggests that there was not only a permanent presence of Persians and Iranians of the imperial diaspora, but also a considerable impact by the Achaemenid political and cultural influence in the Pontus region. This was due to the intense intercultural exchange between these Iranians and local populations.
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Origines indo-européennes des deux romans médiévaux : Tristan et Iseut et Wîs et RâmînWolff, Shahla 03 February 2012 (has links) (PDF)
L'examen attentif des concordances ponctuelles et annexes des romans de Tristan et Wîs et Râmîn de Gorgâni dévoilela survivance d'un passé idéologique commun provenant de I'idéologie tripartite des Indo-européens. Comme le récitdu roman persan date de l'époque parthe, cette thèse pour découvrir l'énigme d'une transmission ou d'un emprunt, se focalise sur I'origine iranienne de certains thèmes et motifs du roman de Tristan et retrace la migration d'un rameau des peuples iraniens en Europe jusqu'en France. Ce peuple que la mémoire historique connaît sous le nom des Alains était I'un des descendants des Scythes qui étaient eux-mêmes les frères nomades des Parthes.
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La chevalerie iranienne : ‘Ayyâri, à travers le récit médiéval de Samak-é ‘Ayyâr / The Iranian chivalry : ‘Ayyâri, through the medieval story of Samak-é ‘AyyârNosrat, Shahla 30 September 2015 (has links)
Jusqu'à présent, plusieurs études ont été consacrées au 'Ayyâri et à ses origines, mais aucune n'a visé le cœur mythique de cette chevalerie qui se nourrie du culte de Mithra. Cette thèse étudie en premier lieu la genèse de la chevalerie iranienne et ses idéaux dans un contexte mythico-religieux où la fonction de l'lzad Mithra est analysée comme celle de la grande Déesse-Mère des sociétés archaïques mèdes et scythes bien avant la réforme religieuse de Zoroastre. En deuxième lieu, puisque la femme est le pivot de tous les événements du récit, la thèse en se basant sur les fonctions et les caractéristiques d'un Mithra féminin, étudie la place et le rôle prépondérant de la femme dans le système religieux mithriaque. L'objectif consiste à dévoiler les raisons socio-religieuses pour lesquelles la femme est considérée, depuis la religion de Zoroastre, comme un être inférieur dans toutes les religions postérieures au caractère monothéiste et dans toutes les sociétés du type patriarcal. / Till today, several studies have been devoted to Ayyâri and its origins, but none of them has pointed to the cuit of Mithra who is the mythical source of this knigtit. This thesis studies, firstly, the origins of lranian chivalry and its ideals in a mythical-religious context in which the function of the lzad Mithra is analyzed as one of the greatest Mother-Goddess of archaic societies of Medes and Scythian; well before the religious reformation of Zoroaster. Secondly, forasmuch as the woman is the axis of all events in the story, this thesis analyzes the status and leading role of women in the Mithraic religious system, based on the functions and features of a female Mithra. The aim is to reveal the socio-religious reasons for which the woman isconsidered, since the religion of Zoroaster, as an inferior in all the subsequent religions with monotheistic character and in all the patriarchal societies.
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Origines indo-européennes des deux romans médiévaux : Tristan et Iseut et Wîs et Râmîn / Indo-European origins of two medieval novels : Tristan and Isolde and Wîs and RômînNosrat, Shahla 03 February 2012 (has links)
L'examen attentif des concordances ponctuelles et annexes des romans de Tristan et Wîs et Râmîn de Gorgâni dévoilela survivance d'un passé idéologique commun provenant de I'idéologie tripartite des Indo-européens. Comme le récitdu roman persan date de l'époque parthe, cette thèse pour découvrir l'énigme d'une transmission ou d'un emprunt, se focalise sur I'origine iranienne de certains thèmes et motifs du roman de Tristan et retrace la migration d'un rameau des peuples iraniens en Europe jusqu'en France. Ce peuple que la mémoire historique connaît sous le nom des Alains était I'un des descendants des Scythes qui étaient eux-mêmes les frères nomades des Parthes. / A careful examination of occasional concordances and appendices of Tristan and Gorgâni's Wîs and Râmîn novel reveals the survival of a common ideological past borrowed from Indo-Europeans tripartite ideology. As the narration of the Persian novel dates from the Parthian period, this thesis to solve the enigma of a transmission or an adaptation focuses on the Iranian origin of some themes and motifs of Tristan novel and retraces the migration of a branch of lranian people in Europe, even to France. This people who is known by historical memory under the name of the Alans, was one of thedescendants of the Scythians who were themselves the nomadic brothers of the Parthians.
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L'ESPRIT-MÈRE DANS "BUILE SUIBHNE" : romance en moyen-irlandais, du XIIe siècle. // AR SPERED-MAMM E "BUILE SUIBHNE": tenergan an Iwerzhoneg-krenn, eus an 12vet kantved.Boucherit, Gilles 18 December 2009 (has links) (PDF)
Cette étude se propose de montrer la parenté de Fer benn dans "Buile Suibhne", avec le culte du cerf d'origine sibérienne décrit par A.F. Anisimov dans son article de 1963 "Cosmological concepts". Cette parenté suppose une diffusion de Sibérie en Irlande par l'intermédiaire de la branche Indo-Européenne après sa séparation de la branche Indo-Iranienne à partir de -2.000, laquelle marque le fin de l'unité des proto-Indo-Européens. L'origine de ce culte pourrait bien se trouver dans la culture d'Afanasievo d'essence proto-Indo-Européenne provoquée par la migration de Repin sur le Don à partir de -3.700, qui mettra en contact permanent l'est et l'ouest pendant des siècles. Le sceau cylindrique en jade de Maikop qui ne peut être antérieur au troisième millénaire av. n. è. d'après Nekhaev, représentant un cerf avec un arbre, pourrait être un précieux témoin précurseur du culte totémique des ancêtres chez les anciens Hittites sous forme de cerf. Nous suivons les traces de cet animal mère d'Usatovo jusqu'en Scandinavie puis du Val Camonica jusqu'en Ibérie en passant par la Gaule, avant de s'embarquer pour l'Écosse vers -1.000 d'où il passera en Irlande. Ce sont probablement des anciens moines devenus fili qui pour des raisons que l'on peut imaginer sauvegarderont une partie de notre patrimoine pré-chrétien, sous prétexte de christianisation.
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Les provinces orientales de l’empire parthe / The eastern provinces of the Parthian empireBaratin, Charlotte 28 November 2009 (has links)
Le croisement des sources écrites permet de restituer des confins parthes comprenant la Margiane, l’Arie, la Drangiane, l’Arachosie, une partie de la Bactriane et la vallée de l’Indus. La rareté et l’ambiguïté des sources avaient fait négliger les indications sur la Bactriane et envisager l’indépendance des autres régions à partir du Ier siècle de notre ère. Les récents renouvellements de la documentation, en particulier numismatique et archéologique, concernant l’Asie centrale et le nord-ouest de l’Inde, et les progrès accomplis par la critique des sources permettent aujourd’hui de reconsidérer la question. L’objectif de notre enquête consiste à explorer l’hypothèse d’une intégration politique de cet espace à l’empire parthe, occupé en partie par des populations réputées scythes et dont les pratiques monétaires sont habituellement interprétées comme le témoignage d’une indépendance politique. La reconstitution d’un corpus adéquat, la relecture critique des sources écrites et la reconsidération du matériel disponible montrent que la réinterprétation des données permet d’intégrer celles-ci de façon plus cohérente dans une synthèse d’ensemble enrichie. Cette étude, en faisant intervenir des « Sakas-Parthes » de Bactriane, des Parthes « scythisés » de Margiane et des « Indo-Sako-Parthes » dans les régions sud-orientales, veut montrer que la question de l’origine ethnique est de peu d’intérêt pour rendre compte de la culture et des pratiques politiques de groupes que leur position géographique frontalière vouait à avoir un peuplement ethniquement mêlé et à subir de puissants effets d’acculturation communs aux pays voisins et constamment renouvelés. / Intersecting written sources allows a restitution of Parthian eastern borders comprising Margiana, Aria, Drangiana, Arachosia, one part of Bactria, and the Indus Valley. The rarity and the ambiguity of sources had caused us to neglect the indications pertaining to Bactria and to envision the independence of the other regions from the 1st century of our era. The recent revival of sources -- in particular numismatic and archeological ones -- concerning central Asia and north-west India, as well as the progress accomplished by the criticism of sources allow us today to reconsider this statement. Our investigation aims at exploring the hypothesis of a political integration of these regions to the Parthian Empire, partly occupied by populations known as Scythian, whose monetary practices are usually interpreted as a mark of political independence. The reconstitution of an adequate corpus, the critical re-evaluation of the written sources, as well as the reconsideration of the available material allow us to reinterpret the data and to integrate them in a more consistent way within an overall improved synthesis. This study involves so called Bactrian 'Saka-Parthians', Margian 'scythianized Parthians' and south-oriental 'Indo-sako-Parthians'; it seeks to demonstrate that the issue of ethnical origin is of little interest to understand the cultural and political practices of these groups, which, due to their geographical position on the frontier, were doomed to have an ethnically mixed population and to undergo powerful acculturation effects which were common to neighbouring countries and which where constantly renewed.
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