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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier/Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret I

Lorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais. Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain. La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon. La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres. La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi. Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie.
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The Cairo Dahshur boats

Creasman, Pearce Paul 25 April 2007 (has links)
Excavations conducted in A.D. 1894 and 1895 by French archaeologist Jean- Jacques de Morgan at the funerary complex of the ancient Egyptian Middle Kingdom pharaoh Senwosret III on the plain of Dahshur revealed some unparalleled finds which included five or six small boats. These boats provide a unique opportunity in nautical archaeology—to study contemporaneous hulls. Today, only four of the "Dahshur boats" can be located with certainty; two are in the United States, one in the Carnegie Museum of Natural History in Pittsburgh and one in the Field Museum of Natural History in Chicago. The remaining two are on display in The Egyptian Museum, Cairo. Since their excavation these boats remained relatively inconspicuous until the mid-1980s when a study of the two hulls in the United States was conducted. However, the two boats in Cairo remained largely unpublished. This thesis combines personal observation and recording of the Cairo boats over two summers to reveal more unique characteristics of the hulls and will facilitate a future study of the group as a whole. Each boat is discussed individually and is further divided into its major components by order of construction.
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The Cairo Dahshur boats

Creasman, Pearce Paul, January 1900 (has links)
Thesis (M. A.)--Texas A&M University, 2005. / "Major Subject: Anthropology" Title from author supplied metadata (automated record created on Apr. 27, 2007.) Vita. Abstract. Includes bibliographical references.
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Les fouilles françaises de Médamoud : synthèse historique et archéologique d’un temple thébain / The French excavations in Medamud : historical and archaeological study

Relats Montserrat, Félix 21 November 2016 (has links)
Les fouilles françaises de Médamoud se sont déroulées entre 1924 et 1939 sous la direction de F. Bisson de la Roque (entre 1924 et 1932) et de Cl. Robichon (entre 1933 et 1939). Elles ont mis au jour de nombreux monuments s’échelonnant de la XIe dynastie jusqu’à l’époque byzantine, mais aucune synthèse n’avait encore offert une étude globale de l’histoire du site. L’ensemble de cette documentation constitue un corpus riche mais hétérogène dont il a fallu restituer le contexte de découverte. En effet, les deux étapes des fouilles sont inégalement publiées et l’étude des archives nous a permis de reconstituer le déroulement, les modalités et les résultats des actions sur le terrain. Après avoir restitué l’histoire des fouilles et proposé une nouvelle datation des vestiges mis au jour, nous avons analysé l’état du temple depuis sa fondation. L’existence du temple primitif a ainsi été prouvée, même si nous avons modifié son plan et très largement nuancé les théories d’A. Varille quant à son usage cultuel. Ensuite, Sésostris III a refondé le temple, qui a ensuite été modifié par Thoutmosis III. Une nouvelle étude des maçonneries a permis de réfuter la présentation traditionnelle qui supposait des destructions successives du bâtiment et nous avons proposé, au contraire, qu’une partie du temple du Moyen Empire et du Nouvel Empire furent inclus par les Ptolémées dans leur propre programme architectural. Le dieu de Médamoud, Montou, a également été étudié à travers la documentation du site qui le présente comme le dieu thébain par excellence. L’essentiel du programme iconographique n’était pas consacré à l’exaltation guerrière de la divinité mais plutôt à la légitimation royale et au culte des ancêtres, parmi lesquels Sésostris III occupait une place de choix. / Medamud’s French excavations took place between 1924 and 1939 under the supervision of F. Bisson de la Roque (between 1924 and 1932) and of CL. Robichon (between 1933 and 1939). They excavated numerous monuments which spread from the XIe dynasty to the Byzantine period although there is no global overview of the history of the site. It was necessary to re-establish the discovery’s context of all of this information as the corpus of documents was extensive but heterogeneous. As the two excavation stages were unequally published, studying the archives allowed us to establish how the field actions took place, its methods and results. After having summarized the excavations’ history and offered the uncovered vestiges a new dating, we analysed the temple’s condition since its founding. In this way, the existence of the « temple primitif » has been proven even though we modified its plan and widely qualified A. Varille’s theories regarding its cult uses. Senwosret III rebuilt the temple, which was modified by Thutmose III afterwards. Thanks to a new study of the masonry, we re-examined the traditional assumption, which supposed successive destruction of the building. Instead, we believe that parts of the Middle Kingdom’s temple and of the New Kingdom’s were included by the Ptolemies in their own architectural plans. Regarding Montu the god of Medamud, he is presented as the ultimate Theban god through the site’s documentation. Most of the iconography wasn’t dedicated to the war glorification of the deity but rather to royal legitimisation and ancestor worship among which Senwosret III occupies a prominent place.
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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier / Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret I

Lorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais.<p>Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain.<p><p>La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon.<p>La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres.<p>La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi.<p><p>Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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